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1 décembre 2015 2 01 /12 /décembre /2015 15:53

Pour se rendre à Dinard ou au Cap Fréhel, avant l'achèvement de la construction de l'usine marémotrice de la Rance il fallait passer par le pont suspendu de Châteauneuf.

Lors de la mise en service de cette usine, en 1966, j'eus la conviction (ou l'intuition) qu'une solution beaucoup plus simple, beaucoup plus efficace, bcp + plus écologique et bcp + économique que la construction de barrages devait exister, qui pourrait fournir de quoi développer l'économie des pays jouissant de grandes marées sans qu'ils aient besoin d'aller puiser l'énergie qu'il leur était nécessaire dans les énergies fossiles (l'énergie nucléaire n'était à l'époque pas encore très développée en France).

Dans la première semaine de juin 2012, alors que je me trouvais face au Fort de la Latte, cela allait faire plus de quarante ans que j'avais cherché la solution sans la trouver.

Elle s'est alors présentée d'elle même, comme une évidence. Je l'ai tout de suite testée. Je suis depuis sûr et certain e sa validité, qu'elle est apte à supporter les plus fortes tempêtes, qu'elle est insensible à la corrosion marine, qu'elle est d'un entretien simple et peu coûteux, qu'elle ne déparera aucunement le paysage, ni l'horizon des mers, ni ne pourra géner la circulation maritime.

Quasi Inépuisable et colossale, l'énergie qu'elle permet de délivrer permettra de se passer de l'énergie nucléaire parce que procédé est réalisable sur des centaines de kilomètres tout le long de la côte française de l'Atlantique, et non pas seulement sur quelques centaines de mètres, comme il en est des usines marémotrices traditionnelles comme celle de la Rance.

D'où son très grand intérêt. Malheureusement ni Delphine Batho, ni Philippe Martin,  ni Arnaud Montebourg, ni même Geneviève Fioraso, ni Ségolène Royal ni les quelques députés-maires des villes côtières que j'ai contactés à ce sujet (à part Marius Mallet, maire honoraire de Dinard, décédé peu après qu'il s'y est intéressé, Jean-Marc Ayrault, trop vite limogé et remplacé par Manuel Valls, et Jean Fernandez, non réélu - à 6 voix près - maire de Saint-Cast) n'ont daigné la prendre assez au sérieux pour s'y intéresser et me répondre.

Ils ont tous apparemment pensé que je devais être dérangé, que si c'était chose possible, il a longtemps que les ingénieurs de la maison EDF,  a priori mieux placés que moi, l'auraient trouvée.

C'est oublier que les plus révolutions conceptuelles ne proviennent pas toujours des professionnels : ainsi de celles de Louis Pasteur, qui n'était pas médecin, mais chimiste et physicien, de la thèse d'Alfred Wegener, qui était astronome et climatologue, non pas géologue, de la découverte de la toxicité cardiaque du Médiator*, mise en évidence par une pneumologue brestoise, de l'invention du massage cardiaque externe, prônée par un chirurgien, non pas par un cardiologue, etc ... ).

Cela m'a méchamment fait dire desdits ministres qu'ils étaient vis à vis des minstères qu'ils occupent ou ont occupés (ministère de l'Ecologie et du Développement durable, ministère de la Recherche, ministère du Redressement productif) ce qu'Elena Ceausescu était à la Science et à la Recherche.

Or la solution que je préconise est à l'instar de celle dont j'avais eu l'intuition quand, en 1990, "à la surprise générale" (dixit le Dr. Michel Serdaru, alors neurologue émérite de la Fédération Française de Neurologie), j'avais réussi à sortir mon père du coma - prémortel - où l'avait plongé les rigidités conceptuelles de ses médecins neurologues, et à lui faire regagner en quelques semaines 30/30 au MMSE ! 

La solution thérapeutique était évidente, elle était des plus simples et elle permet désormais de ne plus mettre dans le même sac le diagnostic de maladie d'Alzheimer ou d'encéphalopathie vasculaire avec celui de syndrome NDB12PP, comme cela avait été le cas de mon père lorsqu'il fut hospitalisé en 1990, et avait été pour un nombre incalculable, mais indubitablement très grand, de malades, la résurrection de mon père ainsi mis le feu aux poudres.

Le diagnostic que lui avaient collé ces neurologues de l'hôpital Bicêtre était "encéphalopathie vasculaire" compliqué d'Alzheimer, le tout baptisé "Atteinte diffuse du système nerveux à traiter par la kinésithérapie" (sic) au prétexte, fallacieux, que la vitaminémie B12 de leur malade était normale et le test de Schilling négatif alors qu'indépendamment de moi le Dr. Michel Serdaru tentait en vain d'attirer l'attention des cliniciens que ni une vitaminémie normale, ni un test de Schilling lui aussi normal ne devaient éliminer le diagnostic de syndrome neuro-anémique (Cf. "La maladie d'Alzheimer et autres démences", Jean-Louis Signoret et Jean-Jacques Hauw, Flammarion Médecine-Science, 1991) cependant qu'en 1990 mon père avait développé un délire de Capgras. 

Les neurologues de Bicêtre avaient prétendu que leur malade était (sic) "de toute façon vouée à une inéluctable plus grande aggravation" (sic)

Suite à son rétablissement, le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" a été reconnu, et depuis 2003, depuis l'arrêt de la commercialisation du test de Schilling, il est appelé "syndrome NDB12PP".

Une découverte qui m'a valu les persécutions du Conseil de l'Ordre jointent à celles du Chef du Service responsable et de l'hôpital Bicêtre via l'intervention de Frère°°° Parice Bodenan, expert médical agréé, et de Sa Nullité Jean Pouillard. (Cf. www. lettre Patrice Bodenan à Jean Penneau ; www. délire de Capgras - vitamine B12 ; www syndrome NDB12PP - bibliographie)

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