Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
18 décembre 2015 5 18 /12 /décembre /2015 16:07

Jacques Attali, Polytechnicien, semble prendre au sérieux la Low Energy Nuclear Reaction ( la "fusion froide" ) et le dispositif qui l'exploite, à savoir l'E-Cat, de l'ingénieur italien Andrea Rossi (jeudi 17 décembre, dans un entretien avec la journaliste Sonia Mabrouk, sur LCP, la chaîne parlementaire)

Valéry Giscard d'Estaing, ancien président de la République, lui aussi sorti de l'Ecole Polytechnique, avait pris au sérieux l'escroquerie qui lui avait fait croire que des avions dits "renifleurs" pouvaient détecter depuis le ciel les gisements de pétroles ! 

Jean-Pierre Cousty, ingénieur (?) et journaliste du site-Web "libéral" Contrepoint  (www.Contrepoint.org), dans un article mis aux archives pour n'être plus d'actualité s'était, en juin 2011, dans une tribune, montré négateur du réchauffement climatique causé par l'augmentation du CO² dans  l'atmosphère (climatoscepticisme).

Climatosceptique aussi  Jacques-Marie Moranne  sur le même site, dans un texte plus argumenté daté du 6 octobre dernier.  

En date du 13 octobre 2014 Jean-Pierre Cousty fait lui l'éloge de l'E-Cat dans un article de "Contrepoint".  Sous le titre "Fusion froide, le chat (E-Cat) enfin sorti de sa boîte"  JPC écrit  :  

<< ... il y a 4 ans, un ingénieur italien, Andrea Rossi, réussissait à mettre au point un appareil, empiriquement (il dit avoir essayé des centaines de combinaisons), avec l’aide du Professeur Focardi. Cet appareil baptisé, E-cat, pour « energy catalyzer » ne cesse d’émerveiller ceux qui l’ont vu fonctionner. Il s’agit d’un petit tube contenant une poudre mystérieuse, principalement du nickel en présence d’hydrogène, laquelle, échauffée au démarrage par une résistance, délivre une chaleur pouvant atteindre 1400°C et cela pendant plusieurs mois avec un très bon rendement (COP1)>>

Mais Jean-Pierre Cousty est-il vraiment ingénieur ?

On peut en douter parce qu'il semble singulièrement manquer de culture scientifique : il fait dans son article climatosceptique de 2011  état d'une température de millions de degrés à la surface du Soleil alors que c'est au coeur de l'étoile que ces températures sont atteintes.

Au coeur du soleil, ces très hautes températures sont, avec des pressions non moins considérables, considérées comme nécessaires pour enclencher la fusion  des noyaux d'hydrogène pour produire de l'hélium en dégageant un énorme surplus d'énergie (c'est grosso modo le principe de la "bombe H", où les températures nécessaires pour amorcer les réactions de fusion nucléaires sont obtenues au moyen d'une bombe à fission (la "bombe A")

Jean-Pierre Cousty  fait aussi état d'une production d'énergie de 1,5MW/heure, une énergie qui aurait dû faire fondre et exploser son petit appareillage ! 

Cette méconnaissance entache à mon avis son avis sur la réalité de la fusion froide comme sur la réalité du titre d'ingénieur dont il se prévaut ! 

Si bien qu'au lieu de nous faire croire à la fusion froide J-P Cousty  nous fait plutôt penser que l'E-Cat est à classer comme une mystification. 

S'il s'agit d'une mystification, celle-ci laisse ses chances à la solution énergétique que je propose, qui peut très rapidement (en quelques mois si l'on s'en donne la peine) être rendue opérationnelle. 

Elle  repose sur des expériences beaucoup moins ésotériques, qui sont facilement reproductibles 

Notre propre solution énergétique consiste à récupérer l'énergie cinétique du système Terre-Lune d'une façon bien plus performante et économique qu'avec la construction de barrage tel celui de La Richardais l'usine marémotrice.

Si l'E-Cat et la fusion froide sont des utopies, notre solution n'est alors pas à jeter à la poubelle. Il ne lui manque que d'avoir été appréciée à sa juste valeur malgré sa pertinence et sa facilité de mise oeuvre (voir infra et les articles relatifs à récupération économique et écologique de l'énergie cinétique du système Terre-Lune).

D'autres mystifications pseudo scientifiques ont eu beaucoup de succès auprès des gogos, tant auprès de professionnels que du "grand public". 

Notamment celle qui s'est greffée sur un "délire" (ou mystification) de Freud et de ses acolytes, qui ont profité de ses avantageuses élucubrations pour s'enrichir sans trop se fatiguer aux dépens de la santé mentale de ses gogosjusqu'à ce que la conscience professionnelle dicte à certains psychanalystes redevenus lucides de dénoncer ouvertement la supercherie, ou, pour ne pas s'attirer des "ennuis", plus subtilement, de manière cryptée, comme l'a fait Jacques Lacan,  qui a mis le délire freudien sur le compte de la mystification dont Freud avait été la cible de la part de ses parents, délire attribuable à "la forclusion du nom du VRAI père" de Sigmund Freud.

 

 

Jeffrey Moussaëff Masson et Jean-Jacques Rillaer, anciens psychanalystes "repentis", ont vertueusement mis les pieds dans le plat. 

S'en prendre au "croc à finance" ne va pas sans risque.

Ils ont été villipidés par les bénéficiaires  de cette  lucrative mystification;

Sigmund Freud, tel un certain Adolf Hitler, aurait été poussé à la sur-mystification par ses adorateurs, si ce n'est par son propre inconscient ... relatif à la forclusion du nom de son VRAI père !

 

 

 

Mais en médecine la mystification est plus difficile à détecter et surtout plus dangereuse à dénoncer (Cf. ce qu'il en a coûté aux Professeurs Bernard Debré et Philippe Even au sujet des médicaments inutiles ou dangereux)

Dans les sciences physiques et en mécanique la reproductivité des expériences et des fonctionnements est possible et exigée.

La notion de l'existence du syndrome que l'on a appelé le syndrome NDB12PP a fini par s'imposer comme une réalité.

Les neurologues qui n'avaient pas su le diagnostiquer se moquaient de moi lorsque je l'ai proposé en 1990, et cela bien que le docteur Michel Serdaru en ait, indépendamment de moi, aussi fait la proposition dans "La maladie d'Alzheimer et autres démences" (Flammarion Médecine Science, paru en 1991) 

Pour en revenir à la "fusion froide", ce n'est pas Andrea Rossi qui l'a découverte (ou inventée), mais Martin Fleischmann et Stanley Pons.

J'espère me tromper, puisque la fusion froide et l'E-Cat se présente (a été présenté par Contrepoint en 2014) comme la solution au problème du réchauffement climatique comme à la survie et au développement des pays pauvres, alors que la solution que je préconise est beaucoup moins universelle, mais rapidement opérationnelle.      

...................................................................................................

 

Abrégé d'un article "avangardiste" publié par  "Before it's News"  

Traduit bénévolement par Maverick, le 13 janvier 2012
  

 

<< Nous avons rapporté hier la publication sur le site de la NASA (NASA technology gateway) d’une vidéo de deux minutes présentant en termes non techniques la Low Energy Nuclear Reactions (LENR), précédemment appelée « cold fusion » (NDT : « fusion froide »). Elle est présentée par Joseph Zawodny , un chercheur senior à NASA qui décrit les possibilités offertes par les récentes avancées sur la fusion du Nickel (Ni) et de l’Hydrogène (H).


Après plus de vingt années d’expérience de fusion froide réussies (elles se comptent par milliers), menées par des centaines de chercheurs de par le monde, il semble que la NASA commence enfin sortir la tête du sable à ce sujet. Il semble néanmoins que cette « reconnaissance » n’ait pas été de bonne foi, mais plutôt motivée par la réalité de la technologie E-Cat (Energy Catalyzer) de Andrea Rossi, qui est venue à l’attention du public en 2011, il y a presque un an aujourd’hui.

A cette heure, Andrea Rossi se prépare à commercialiser un million d’unités E-Cat, conçues pour un usage domestique ou commercial, à l’automne prochain. En même temps, il travaille au bouclage d’une commande de treize systèmes de 1 MégaWatt pour l’armée américaine (commanditaire non spécifié). Il y a a également la concurrence, les uns essayant de reconstituer, copier, adapter son procédé, ou d’en créer leur propre version. Selon mes sources, certaines personnes de la N A S A - Never A Straight Answer ( jeu de lettres = “Pas Franc du Collier” ou “Notre Agence Sournoise Arriviste” ) - seraient de la partie, et l’institution en général commence à remarquer qu’il se passe quelque chose : s’ils ne le faisaient pas, ils seraient sévèrement critiqués d’avoir fait l’impasse sur le sujet.

En dépit du fait que la NASA aime à se présenter comme un modèle de transparence et d’honnêteté intellectuelle qui ne pense qu’à l’intérêt public, elle fait bel et bien partie du Complexe Militaro-Industriel. Un grand nombre de leurs employés ont des liens étroits avec le « gratin » scientifique et universitaire. Ces mêmes milieux au fonctionnement limite sectaire, dont le dogmatisme a joué un rôle certain dans l’omerta qui frappait la fusion froide et sa mise à l’index depuis les premières publications de Stanley Pons et Martin Fleishmann en mars 1989.

Sans l’obstruction délibérée de la part d’institutions académiques comme le MIT (NDT : Massachussets Institute for Technology) ([voir notre article] et le Department of Energy, et les spécialistes de la fusion chaude essayant désespérément de sauver leur carrière : sans tous ces gens, des technologies à base de fusion froide comme le the E-Cat auraient déjà pu être commercialisées depuis au moins une décennie. Au lieu de quoi, notre civilisation a été contrainte de rester dépendante d’une énergie chère et polluante – au prix de nombreuses vies. Il est encore difficile de mesurer l’impact de ces technologies, il faudra attendre qu’elles aient réellement pénétré le marché. Il sera alors évident à quel point notre vie aurait pu être bien meilleure, tellement plus tôt, sans cette obstruction et cet obscurantisme. Les personnes et organisations qui ont milité contre la fusion froide ont du sang sur les mains. A quel point, ce sera à de futurs tribunaux de statuer.


Ces taches et cette honte ne seront pas facilement lavées. Les efforts répétés et soutenus pour dissimuler la fusion froide sont bien documentés. Pourtant, la NASA est déjà en train de frotter furieusement pour les faire disparaître, en faisant la promotion de la théorie « Widom-Larsen ». En se faisant l’avocat de cette théorie discutable, discutée et illogique, la NASA veut encore prétendre qu’il n’y a pas de “fusion” réelle dans les systèmes à fusion froide. Ce faisant, il leur est possible de faire diversion, et d’éviter les questions embarrassantes sur le passé. Pire encore, ils pourraient éviter d’avoir à assumer leurs agissements et/ou leur inertie. Cerise sur le gâteau, en donnant à la fusion froide un nouveau nom (Low Energy Nuclear Reactions), ils peuvent noyer le poisson et se refaire une virginité.

Si on combine leur tactique de promotion d’une théorie controversée (laquelle n’est d’ailleurs qu’une théorie parmi d’autres) avec l’utilisation de l’appellation LENR, leur objectif devient clair. Voici la liste de ce qu’ils essaient de faire en retirant la fusion de la « Fusion Froide ».

Effacer les traces de la négation de la Fusion Froide Erase par le MIT et autres institutionnels académiques. Par exemple, le recours à des partisans de la fusion chaude pour l’expérimentation, la corruption des données, des forums pour « enterrer » la fusion froide avant même la fin des contre-expertises et reconstitutions, etc.
Empêcher l’opinion publique de comprendre que pendant que d’aussi vaines qu’inutiles recherches sur la fusion chaude recevaient des milliards de dollars en financement, le DOD (Department of Defense = Ministère de la Défense) et le DOE (Department of Energy = Ministère de l’Energie) refusaient de financer la recherche sur la fusion froide.
Empêcher l’opinion publique de réaliser l’état de “Scepticisme Pathologique” dans lequel baigne le monde scientifique, dogmatisme qui a contribué à étouffer la recherche sur la fusion froide.
Protéger les postes de milliers de chercheurs en fusion chaude. C’est un fait qu’avec une technologique de fusion bon marché, il n’y a aucune raison de dépenser des milliards pour la fusions chaude.

L’Utilisation du terme LENR et la promotion d’une théorie qui nie la fusion dans la fusion froide sont essentielles pour protéger ces emplois.


Donner une nouvelle virginité au monde académique, aux agences gouvernementales et au Complexe Militaro-Industriel. Ces gens ne veulent pas que l’opinion publique réalise que d’innombrables vies humaines ont été sacrifiées à cause de leur dissimulation de la fusion froide. Et les morts ne sont pas la seule conséquence. Cette dissimulation a aussi favorisé une énergie chère, l’actuelle crise économique, et l’énorme pollution émise dans notre biosphère.

Les motivations de la NASA ne sont pas obscures pour ceux qui connaissent l’histoire de la fusion froide. La NASA se satisfait très bien du statu quo et ne serait pas en train de s’intéresser à la fusion froide (qu’ils appellant LENR) si ils n’y avaient pas été contraints par certains white-hats (NDT : « Chapeaux Blancs », terme familier que l’on retrouve aussi chez les hackers) en interne. Comme ils n’ont pas le choix, ils essaient de maquiller la réalité de la fusion froide pour en tirer bénéfice et faire table rase du passé.

Si l’agence spatiale était vraiment composée de savants à l’esprit ouvert, uniquement intéressés par le progrès technologique (Surtout s’il est question d’améliorer notre civilisation) ils n’auraient pas attendu aussi longtemps pour admettre la réalité de la fusion froide. Au lieu de cela, ils ne font que commencer à la prendre au sérieux, après s’y être opposé pendant des des années. Si la fusion froide doit finir par émerger, ils veulent que cela se fasse à leurs conditions.
Sans les efforts de Andrea Rossi pour faire de la théorie de la fusion froide une technologie capable de produire de l’énergie en quantité, je ne pense pas qu’il y aurait le moindre intérêt suscité par le phénomène. La communauté de l’énergie alternative dans son ensemble a une grande dette, à la mesure des sacrifices qu’il a faits, de son courage et de sa ténacité à développer sans relâche cette technologie.

Espérons que l’opinion publique ne se laissera pas duper par la NASA et les autres organisations qui n’ont pas l’intérêt général en tête de leurs priorités. Nous devons nous souvenir, et demander des comptes aux opposants à la fusion froide, de façon pacifique et légale. Nous ne devons pas laisser les obscurantistes retirer la fusion de la fusion froide.>>

 

No Infringement on copyrights intended. (Aucune restriction sur les droits de copie)

Addenda << Toutefois, Andrea Rossi ne craint aucunement son adversaire ni la concurrence. Pas même un géant de la taille de la NASA. Sur le site du Journal of nuclear physics l’ingénieur affirme, de façon assez complaisante: “ La grande science, après avoir tenté de nous ridiculiser a compris à présent que l’E-cat fonctionne et donc ils tentent de nous copier et d’obtenir des brevets pour nous chevaucher et nous décourager et ils sont en train de chercher, de cette façon sophistiquée, de nous arrêter dans une espèce de vengeance indirecte.

C’est un coup intelligent, mais ils nous sous-estiment. Je ne m’arrêterai jamais: courant 2012 nous distribuerons un million d’E-cat au prix de 50 dollars par kW, avec un concept complètement nouveau, et à ce point-là le jeu sera terminé. Cette technologie doit être populaire, elle doit être à très bon marché et doit être une réelle révolution, et non pas un tas de belles paroles théorétiques “. Un sujet qui devrait raisonner dans les merdias. Ce que VOUS pouvez faire : Passez cette information à vos amis et à vos médias préférés.

Informez les professionnels des énergies renouvelables de cette technologie prometteuse.
Abonnez-vous à notre newsletter pour rester au courant des derniers développements dans le secteur de l’énergie libre.

Pour une liste plus complète, voir PESWIKI. com/index.php/News:Rossi_Cold_Fusion | Mainstream
E-Cat Weekly — January 12, 2012 (PESN)
E-Cat Weekly — January 5, 2012 (PESN)
Anniversary Interview with Rossi Slated for January 14, 3pm MST (PESN; January 5, 2011)
One Full Year of Andrea Rossi’s E-Cat (PESN; December 30, 2011)
E-Cat Weekly — December 29, 2011 (PESN) >>

 

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

Si la Low Energy Nuclear Reaction est réellement une solution au problème de la transition énergétique, comme l'affirme l'ingénieur Jean-Paul Biberian, pourquoi la Cop21 et les médias n'en n'ont-ils pas ou si peu parlée ?


Une autre solution, le STSMC, qui consiste a récupérer l'énergie cinétique du système Terre-Lune d'une façon bien plus performante et économique que la construction de barrage tel celui construit à La Richardais, en devient caduque, qui de toute façon n'avait guère été appréciée à sa juste valeur malgré sa pertinence et sa facilité de mise oeuvre (voir www "récupérer les pieds sur terre l'énergie des marées" , ou "blog de léon - énergie").

Jacques Attali, tout dernièrement invité par Sonia Mabrouk à s'exprimer sur LCP a fait état de la "fusion froide" comme source possible - dans le futur - d'une énergie inépuisable et non polluante.

Pensait-il à l'E-Cat d'Andrea Rossi ?

Serait-il possible que les lobbies de l'énergie voient d'un très mauvais œil la LENR ?

Il semble bien, puisqu'une autre solution que celle de la fusion froide, mais tout aussi capable de résoudre le problème de l'énergie pas chère, abondante, inépuisable et non polluante, une solution éprouvée - la capture du potentiel énergétique du système Terre-Lune autre qu'avec la construction de barrages - ne trouve pas non plus grâce aux yeux des ministres en charge de la Recherche, de l'Energie, de l'Ecologie et du Développement durable !

En attendant, les dits ministres, successivement Delphine Batho, Geneviève Fioraso, Philippe Martin et Ségolène Royal, bien qu'ils aient été avertis, ont fait la sourde oreille, comme s'ils ne voulaient rien connaître des possibilités qu'offre une technique moins ésotérique que la "fusion froide", qui pourrait être mise en service en seulement quelques mois.

Sa réalisation permettrait de récupérer à moindre coût, et très massivement le gigantesque et quasi inépuisable potentiel l'énergétique inhérent au système Terre-Lune.

Du fait que la Terre tourne sur elle-même en 24 heures et la Lune autour de la Terre en une trenraine de jours à une distance d'environ 380.000 kms, et du fait de la grande masse de ces astres, le système que forme ces deux asrtres possède une énergie cinétique considérable et quasi inépuisable, du moins à l'échelle humaine.

Cette énergie peut être récupérée et transformée en électricité, et elle l'est, mais de façon trop peu conséquente, avec les usines marémotrices déjà en service en France et en Corée.

Faire appel à une technique de récupération beaucoup moins onéreuse mais tout aussi efficace que la construction de barrages permettrait de récupérer à moindre coût l'énergie cinétique de la rotation de la Terre sur elle-même.

Est-ce pour préserver les prérogatives de l'industrie nucléaire que ces ministres n'ont pas voulu s'y intéressé, ou parce qu'ils pensent a priori qu'il s'agit de chimères ou d'un canular (en matière de cas nullards cf. les neurologues de l'hôpital Bicêtre qui avaient fait administrer un simulacre de traitement à leur malade en état de grave et mortelle carence vitaminique B12 afin de préserver la Clinique de leur Confrères contre la plainte - 100 fois justifiée - que leur patient voulait porter à leur encontre).

Pourquoi et comment en effet la Clinique Léon Elmelik était-elle «protégée en hauts lieux», c'est-à-dire par le Parquet et l'Ordre des Médecins malgré ou à cause de ce qui s'y passait ?

Le docteur André Souche, sous-directeur de la DRPS (Direction des Relations des Professions de Santé) à la CPAM du Val-de-Marne nous avait prévenu, avant- même que l’Inspecteur Christian Raeckelboom ne le fasse au Commissariat de l’Haÿ-les-Roses au début de l’année suivante.

Le docteur André Souche nous avait averti, en septembre 1990 : << Si c’est de la Clinique de l’Haÿ-les-Roses qu’il s’agit, c’est inutile, laissez tomber>> (sic)

D'autre part, en France, les experts médicaux "agréés" par les ministères de la Santé et de la Justice sont conditionnés par ce que l'historien Antoine Vitkine appelle, dans le livre remarquable et passionnant qu'il vient de faire paraître chez Flammarion, le "Führerprinzip" (FP) des juristes nazis ("Mein Kampf - Histoire d'un livre" page 95), obéissant et terrorisés qu'ils sont par les pouvoirs discrétionnaires de l'Ordre des médecins, qui est non seulement un Etat dans l'Etat, mais une institution mafieuse au sein de l'Etat (Alain Touraine).

C'est une institution à qui l'Etat a confié "mission de Service public" (sic, dixit le Pr. Bernard Glorion, qui, en tant président de l'Ordre des médecins, en toute connaissance de cause, "couvrait" les épouvantables exactions des médecins de la Clinique Léon Elmelik)

Faut-il alors se demander pourquoi l'Ordre des médecins a voulu et facilement obtenu un rapprochement avec l'AMIF en octobre 1997. Cf. "Blouses blanches, étoites jaunes" (préface et posface + les pages 11 et 12), un livre que le Dr. Bruno Halioua s'est à sa grande surprise vu brusquement poussé à faire paraître (Le livre est finalement paru chez Liana Lévy en décembre 1999, en dépit des protestations du président de l'Ordre du Calvados, manifestement pas mis au parfum)

Ainsi les Professeurs André Lienhart et René-Claude Touzart, qui, obeissant au FP, firent en 1996 rédiger par leur Conrère François Chedru un rapport savamment bidonné pour qu'il livre au parquet de Créteil (à l'époque sous l'égide de Michel Barrau) une expertise savamment bidonnée susceptible de donner à ce parquet ce qu'il en attendait en lui offrant un prétexte pour requérir un non-lieu à l'encontre de la plainte que mon père avait portée à l'encontre de ses médecins pour "non assitance à personne en péril de mort", une plainte parfaitement justifiée et étayée sur des preuves factuelles (cf. www.omerta médicale et non-lieu abusif).

L’Etat était parfaitement au courant de ces activités, mais laissait faire parce qu'il en avait besoin.

Ce rapprochement de l'Ordre avec l'AMIF fit office de préambule et donna libre cours à ce qui s'est passé l'année suivante au CHU de Mantes la Jolie. pour ne pas dire qu'il l'a incité.

Le Programme Commun de Gouvernement avait non seulement envisagé la suppression de l’Ordre des médecins, mais l’avait promise. Survint l'affaire du sang contaminé dans la première moitié des années 1980.

Dans cette affaire, la responsabilité de l'Etat était engagée. Avce des experts et un procureur à sa botte, ni vu ni connu derrière l'Ordre de médecins et la justice l’Etat n'eut pas de mal à les faire fonctionner comme il voulait.

Il a été jusqu’à pondre en 2003, à l'époque où Christine Malèvre était jugée pour des assassinats de malades remontant à 1997, un décret spoliant définitivement les victimes de leurs droits à réparation.

(ne) vous Demandez-vous surtout pas pourquoi le docteur Laurence Kouyoumdjian, qui a mis fin en les dénonçant aux assassinats de malades au CHU de Mantes la Jolie, a été virée comme une malpropre au lieu d'être félicitée et décorée, et aussi pourquoi son Chef de Service, le très pieux ( ?) Olivier Ille, qui s'était bien gardé de dénoncer les assassinats perpétrés par sa très zélée infirmière, n’a pas été beaucoup interrogé par la Justice, et pourquoi il a conservé son poste (réponse possible sur le blog de leon, sites n° 34640255, 69970222 et 108281777 html, entres autres)

Demandez-vous aussi pourquoi la mairie de l'Haÿ-les-Roses a brûlée en 2002 avec ses archives, et pourquoi, après qu'elle brûlée, elle fit ériger Square Léon Elmelik une plaque (subtilement fallacieuse) à la gloire du "fondateur" de la Clinique de la rue des Tournelles en remplacement de la précédente, discrètement plus laconique,

Madame Marisol Touraine, ministre de la Santé, est bien sûr au courant, mais préfère faire l'autruche.

La France mérite donc bien sa réputation d'être le pays de le triche.

Maïtre Régine de la Morinerie n'est pas disposée à y changer quoi que ce soit. Elle a fait tout son possible pour satisfaire le parquet (le procureur Michel Barrau et le barreau parisien ) dans l'affaire qui m'opposait aux médecins de la Clinique Léon Elmelik, protégés en haut lieux.

Avec une autre Clinique du département, cette Clinique servait à l'extermination des malades transfusés dans la première moitié des années 1980, et accessoirement de baisodrome à son riche médecin propriétaire, le docteur Jean-Claude Elmelik.

Ainsi Maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet furent-elles prises de panique après avoir été consulter à Créteil le bureau d’Ordre pénal.

Elles m'avaient pourtant affirmé que "rien ne leur faisait peur" tout en m’avertissant que "en France, de toute façon, il n'y a pas de justice".

Le ministère de la Justice devrait donc changer de nom et s'appeler Ministère de la Censure et de la Sauvegarde des Intérêts de l’Etat.

Il est donc vain faire confiance aux avocats dès lors que la pédophilocratie et les intérêts de l’Etat sont en cause, ainsi que nous en avons fait (et surtout moi), avec le docteur Catherine Bonnet, Maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorner-Dolivet, la douloureuse et très coûteuse expérience.

Celles-ci furent obligées de fermer leur Cabinet pour avoir tenté de prendre notre défense contre les « intouchables » médecins de la Clinique Léon Elmelik.

Le Dr. Catherine Bonnet a depuis mars-avril 2014 trouvé à s'employer auprès du pape François en tant que Conseillère pour les problèmes que pose à l'Eglise catholique la pédophilie.

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

L
Je viens de voir votre commentaire sur les (?) de M. JP Cousty.<br /> Au minimum vous confondez MWh avec des MW/h ou alors chaussez vos lunette si vous n'êtes pas capable de lire ce qui est écrit... : MWh étant le total sur les 32 jours d'essai donc rien à voir à ce qui se passe chaque heure.
Répondre