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8 janvier 2016 5 08 /01 /janvier /2016 02:23

entre le fait que dans la nuit du 30 juin 2002 les archives entreposées dans les combles de la mairie de l'Haÿ-les-Roses se sont enflammées toutes seules tellement elles étaient brûlantes (cf. Le Parisien, Violent incendie à la mairie de l'Haÿ-les-roses)

avec ce à quoi cette Clinique avait servi jusqu'en 1995 

- au Dr. Jean-Claude Elmelik d'une part 

- aux hôpitaux environnants  d'autre part 

Le Dr. Léon Elmelik (1897 - 1959), avait en 1930  fondé la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, paraît-il grâce à la fortune de son épouse, fille de grands banquiers  

Avant l'incendie et la destruction de la mairie une petite plaque commémortive placardée dans le square  qui fait face cette mairie proclamait sobrement en blanc sur fond noir "Léon Elmelik. Ancien maire-adjoint Résistant, mort des suites de sa déportation en 1945".

Ce qui laissait entendre que le docteur Léon Elmelik  avait été déporté et était mort en 1945 en tant que résistant et maire-adjoint.

En 2004 lors de l'inauguration de la toute nouvelle mairie de l'Haÿ-les-Roses, érigée en remplacement de l'ancienne plaque placardée sur un mur, une grande pancarte commémorative dévoile, en grandes lettres blanches sur fond bleu : 

 

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l'HAY

O           O

square du docteur 

Léon ELMELIK

( 1879 - 1959 )

 

Fondateur de la cliniique de l'Haÿ

Résistant, arrêté par la Gestapo

Torturé, interné, condamnéà mort, Déporté à Buchenwald

Maire-adjoint, commandeur de la légion d'honneur

O             O

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Selon une notice biographique portant sur les noms des rues et des établisements de la ville déposée à la médiathèque le Dr. Léon Elmelik, avait été porté après son arrestation Nacht un Nebel, n'a jamais été maire-adjoint que de mai 1959 à novembre 1959 et est décédé le 19 novembre des suites "d'une longue et douloureuse maladie" .

Dans cette notice d'autres contradictions témoignent de ce qu'il a eu tromperies délibérées visant à magnifier le docteur Léon Elmelik   

Quoi qu'il en soit, son fils Jean-Claude est à la mort de ses parents devenu le médecin-propriétaire et/ou le principal actionnaire avec sa soeur Edith Elmelik et le Pr. Jean Debeyre de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses. 

Les médecins et les chirurgiens qui exerçaient dans cette Clinique en étaient, d'après mes sources, dans une moindre mesure aussi les actionnaires.

La Clinique était déjà proposée à la vente en 1990 quand mon père y a, malgré mon avis contraire, imprudemment remis les pieds en 1990; (Il y avait déjà été consulter le rhumatologue et pseudo-chirurgien  Antoine Denis le 4 avril 1989. J'avais dit à mon père de ne surtout rien  faire ce qu'il lui avait proposer, qui non seulement serait inutile, mais dangereux, lui précisant qu'il n'en ferait pas les frais physiologiques compte tenu de son mauvais état de santé. Courant mars l'année suivante, j'avais été voir ce médecin pour lui dire ce que j'avais dit à mon père, de ne surtout pas donner suite à ce qu'il lui avait proposé et de ne s'en tenir qu'à une IPP sur le quatrième orteil droit, une intervention en K20 qui se fait sous garrot d'orteil et qui à l'instar de la cure d'une carrie dentaire ne nécessité qu'une anethésie locale. L'état de santé de mon père était entre-temps en effet devenu de plus en plus préoccupant et nécessitait des investigations pneumologiques, cardiologiques et surtout neurologiques et psychiatriques.

En 1993  la police se plaignait d'avoir encore et toujours à enregistrer les mêmes plaintes pour viols, ainsi que m'en avait déjà informé le Commandant Christian Raeckelboom le 23 janvier 1991 lorsque j'avais accompagné mon père au Commissariat confirmer la plainte qu'il avait très légitimement adressée le 17 décembre 1990 au procureur du TGI de Créteil pour coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril.  

Selon le Commissariat de l'Haÿ-les-Roses et les médecins de la Commune, Jean-Claude Elmelik aimait assouvir ses envies sur les femmes venues accoucher ou avorter dans son établissement alors qu'elle étaient sous l'effet de l'anesthésie. Une information qui rend compte de ce qui était aussi arrivé à mon père quand, mais aussi bien après, qu'il y a remis les pieds les 30 mars et 24 mai 1990.

La Clinique Elmelik n'a trouvé repreneur qu'en 1995 et fait désormais partie du groupe Clinéa, spécialisé dans les soins de suite.

avec le fait que les services que la Clinique Léon Elmelik rendait aux hôpitaux de la région parisienne et au CNTS étaient du même genre que ceux que le Dr. Olivier Ille fit librement donner à Christine Malèvre aux malades de son Service au CHU de Mantes la Jolie en 1997.

avec le fait qu'à l'Haÿ-les-Roses les actionnaires-propriétaires "milliardaires" de la Clinique Léon Elmelik " (les Drs; Jean-Claude ElmelikEdith Elmelik et le Professeur Jean Debeyre jouissaient pour les  raisons susdites de "protections en hauts lieux" (Cf. sur le Web l'article 34640255 html Chap. II § 5)

 5° avec le fait que le docteur Edith Elmelik, anesthésiste des hôpitaux (sic) se permettait de faire des anesthésies dans sa Clinique pourtant déclarée hors normes.

 avec le fait que Marc Méchain, Conseiller régional, ait été de longue date l'ami intime des Elmelik, en particulier de la fille du Dr. Léon Elmelik, se soit empressé de vouloir en 1989 court-cuiter le notaire d'un patient de cette Clinique victime d'un grave trouble du jugement (un délire d'illusion, délire caractéristique de la maladie de Biermer)  pour transmettre secrètement, c'st-à-dire clandestinement, à un de ses fils adultérins (vrai ou imaginaire ?) une partie de son héritage.   

7 ° avec le fait que le dossier médical d'hospitalisation de mon père à Bicêtre dans le Service du Professeur Gérard Saïd en août 1990 et février 1991 a tout de suite et constamment été déclaré "égaré" lorsque j'ai demandé à le consulter alors qu'il ne l'était aucunement, même après que je me suis adressé à la CADA, qui a légitimé ma demande.

avec le fait que les neurologues dec l'hôpital Bicêtre ont en août fait semblant de faire administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer alors que le diagnostic de syndrome neuro-anémique avait été diagnostiqué dès son admission aux Urgences de Bicêtre, un syndrome essentiellement dû à la maladie de Biermer, maladie rapidement mortelle sans son traitement spécifique tout comme les aux autres causes de carences vitaminiques B12 sévères

avec le fait que pour justifier a posteriori le refus d'accéder à la demande de la CADA la direction de l'Hôpital Bicêtre à chargé madame Isabelle Pilot, responsable des relations de l'hôpital avec la clientèle de m'accuser d'avoir fait une telle demande parce que j'avais moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic)

10° avec la création en 1995 de l' Espace Ethique de l'AP - HP , pour l'enseignement de l'étthique médicale, chaire mise en place à Bicêtre par le Pr. Gérard Saïd cet confiée comme par hasard non pas à un médecin, mais à une relation du Pr. Saïd (Emmauel Hirsch, qui m'a dit "connaître par coeur" l'histoire arrivée à mon père en 1990 das le Service du Pr. Gérard Saïd - bonjour le secret médical ! ) et bientôt déplacée à l'hôpital Saint-Louis, un déplacement en prévision de l'avenir, autour de 25000 patients ayant été contaminés par le VIH lors de transfusions dans la première décennie des années 1980, auxquels il était préférable de ne pas laisser le temps de développer un sida maladie, d'où l'affaire Christine Malèvre, qu'il aurait plutôt fallu appeler l'affaire Olivier Ille sinon l'affaire Jean-Yves Beinis (Cf. Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang", éd. La découverte, toujours disponible à la demande chez les libraires)

(la liste est longue de tout ce qui n'a aucun rapport avec l'incendie de la mairie de l'Haÿ-les-Roses : voir mon enquête publiée sur  34640255, 69970222, 108281777 html et quelques autres articles relatifs à l'omerta médicale imposée par le parquet de Créteil, la direction de l'AP - HP, la D.R.P.S. à la CPAM de Créteil et pour d'autres motifs par l'Ordre des médecins ... 

 

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