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30 mars 2016 3 30 /03 /mars /2016 00:07

Une loi "hors la loi" permet à l'Ordre des médecins d'imposer, sous peine de persécutions, le silence sur les fautes, mêmes et surtout les plus graves, pour ne pas dire les plus abjectes, commises par des médecins dans l'exercice de leur profession.

C'est une loi omertiste, c'est-à-dire mafieuse, qui permet tous les débordements sexuels exercés sur des enfants, parfois des nourrissons.

Le Parti Socialiste semblait avoir conscience de la malfaisance de l'Ordre, et il en avait promis l’abolition dans le Programme Commun de Gouvernement. Mais arrivé au pouvoir François Mitterrand s'est empressé d'oublier de mettre sa promesse à exécution, sans que grand monde se soit demandé pourquoi. 

Ne serait-ce par égard envers Gabriel Matzneff ?

Et/ou parce que l'Ordre avait de quoi le tenir en respect ?

Pourquoi la Clinique de l'Haÿ-les-Roses était-elle si farouchement "protégée en haut.s-lieu.x" cependant qu'il s'y était passé des choses dignes du bras droit du Dr. Freud ?

Pourquoi Carol Bouquet avait-elle été mise sur écoute à la demande (sur l'ordre) de François Mitterrand ?

Ma consœur Catherine Bonnet a fait l'amère expérience de ce qu'était l'Ordre des Médecins en juin 1998, à qui le Conseil disciplinaire avait infligé une interdiction de trois fois trois ans d'exercice professionnel pour avoir fait trois signalements de viols pédocriminels, en dépit de l'article 40 du CPP, qui fait obligation aux médecins relevant du Service public, et les Conseillers de l'Ordre des Médecins en relèvent puisque l’État a confié à l'Ordre des médecins "mission e Service public" (dixit son président Bernard Glorion)  de signaler aux autorités judiciaires les crimes dont ils ont connaissance dans l'exercice de leur fonction.

En respectant la loi, elle s'était mis en travers de celles du CNOM, une "loi" qu'il faut bien qualifier de mafieuse et providentielle pour la pédophilocratie (2).

Pierre Joxe, ancien ministre, en tant qu'il est avocat et qu'il a pris conscience de ce problème, se consacre maintenant à la défense des enfants et de leurs droits à être respectés. Il était présent à la Table Ronde du 24 février 2011 à l'Institut de criminologie de Paris consacrée aux conséquences de la mystification d'Outreau, Table Ronde courageusement organisée par mon Confrère Gérard Lopez, qui écrit en présentaion << ...... les résultats de la recherche se heurtent aux positions idéologiques et aux réactions émotionnelles largement entretenues par les médias. Les nouveaux masques du déni de la maltraitance infantile - syndrome des faux souvenirs, syndrome d'aliénation parentale, résilience mal interprétée, critique d'une société soi-disant compassionnelle - parviennent à relativiser dans une large mesure le discours scientifique concernant les conséquences personnelles et sociales de la maltraitance infantile. A cet titre le procès dit d'Outreau a des conséquences particulièrement délétères sur le plan sociétal et probablement sur les droits des enfants bien que 12 des 15 enfants aient été reconnus victimes de viols et d'actes de proxénétismes >> .......

Il est à noter que le docteur Lopez a fait l'objet d'une campagne de dénigrement tendant à le faire passer pour "scientologue". La gens médico-pédophilocratique ne recule devant aucun procédé pour essayer de discréditer ses contempteurs : Anne Fournier, déléguée à la lutte contre les dérives sectaires, répétait à l'envie qu'il était "scientologue".

D'autre part, alors qu'il me savait investi dans la lutte contre les mensonges psychanalytiques, le Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins du Val-de-Marne s'était arrangé par je ne sais quel truchement de me faire passer pour pédophile et antisémite auprès de ma Consœur Catherine Bonnet.

Celle-ci me demanda par la suite de la pardonner d'y avoir cru (ou de ne m'avoir pas cru lorsque je lui ai rapporté ce que m'avait confié le Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses au sujet des médecins de la Clinique Léon Elmelik, qui, se sachant "protégés en haut.s lieu.x", se permettaient d'y faire tout ce qu'ils voulaient sans risquer de se voir sanctionnés, y compris de violer les femmes en couches (en salle de réveil ?)

En 1996, l'affaire Dutroux battait son plein, qui coïncidait avec du Congrès de Stockholm qui eut lieu en août 1996 – en présence de la Reine de Suède – sur la pédophilie et l'exploitation sexuelle des enfants à des fins commerciales.

Ce qui inquiéta la pédophilocratie ordinale, l'incitant à se mettre plus que jamais sur la défensive.

Catherine Bonnet, Pascal Vivet et Bernard Lemper en firent les frais.

Selon ce que m'avait rapporté Me Annick Dorsner-Dolivet à propos de l'affaire qui nous opposait à des médecins de la Clinique Léon Elmelik, madame Toxé, Juge d'instruction au TGI de Créteil, a prétendu "que les prisons étaient déjà suffisamment pleines et qu'elle ne voulait pas aller pour rien embêter de vieilles gens" pour refuser d'instruire la plainte pour "coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril de mort" que le doyen des Juges d'instruction Serge Portelli lui avait transmise.

Sollicité par l'insistance de Me Dorsner-Dolivet, le parquet confia l'instruction à Madame Bénedicte Scelle, qui accepta d'ouvrir une instruction ... à condition "qu'il soit fait attention à ce que l'affaire ne soit pas ébruitée" (sic), m'a rapporté Me Annick Dorsner-Dolivet au début de l'année 1995 !

Mais la suite a démontré que c'était pas seulement l'Ordre des médecins et les psychanalystes freudiens  qui étaient en France à la botte de la pédophilocratie, mais aussi la Justice !

(On verra l'amorce d'un changement des mentalités dans les années suivantes, quand Vanessa Springora* et Camille Kouchner** pourront chacune faire paraître un livre qui la mettront en cause ("Le consentement"* et "La familia grande"**) sans être, comme l'ont été Jacques Bénesteau et Pierre Lassus, "blacklistées", NDLR le 6 mai 2022)

Les raisons de l'interdiction de Catherine Bonnet étaient sur-motivées : l'Ordre avait eu connaissance de ce qu'elle avait essayée de m'aider en me proposant d'avoir recours à Maître de la Morinerie, avec qui elle collaborait à la Fondation Danan, dans l'affaire qui m'opposait aux médecins de la Clinique Elmelik et à l'Ordre lui-même, c'est-à-dire en fin de compte à toute l'organisation informelle et para-étatique du milieu professionnel.Non seulement la France donne peu de moyens à la justice (elle se situe au trente-septième rang pour la part de financement consacré à la justice) mais il arrive que elle se consacre à la contrer et laisse corruption prospérer (4).

Cet état de chose a fait que mon père, et moi-même par ricochet, avons subi toute une serie d'agressions de la part des médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses et de ses soutiens logistiques, en l'occurrence l'Ordre des médecins et un parquet dirigé par Michel Barrau.

J'ai brièvement rapporté dans ma lettre d'avant hier à madame Delphine Batho, Ministre déléguée à la Justice, et plus longuement sur Internet (site 73331815 html) comment mon père avait failli une première fois laissez sa peau dans la Clinique des Elmelik, et peu après une seconde fois dans le Service du Pr. Gérard Saïd du fait de la communauté d'intérêt qui liait ce Service à la Clinique Emelik (5)

Les neurologues avaient confié à leur Interne l'irresponsabilité de patronner en leur nom, c'est-à-dire au nom de l' INSERM, un compte-rendu mensonger et par suite un traitement mortel à mon père pour amener le Dr. Jean-Yves Beinis à le poursuivre aveuglément, juqu'à ce mort "naturelle" s'en suive, une mort qui se devait de paraître inéluctablement due au génie propre d'une DTA (Démence de Type Alzheimer) imaginaire.

L'Article 40 du Code pénal fait obligation de signaler à l Justice les crimes dont on a connaissance.

En 2004 j'ai été accusé par madame Isabelle Pilot, la sous-directrice de Bicêtre "chargée des relations de l'hôpital avec la clientèle" (dans son bureau et devant témoins) d'avoir moi-même volontairement provoqué la maladie de mon père et d'être antisémite.

Provoquer volontairement une maladie est un crime, donc elle et le Pr. Saïd auraient dû se saisir de cette obligation pour le signaler à la justice. Comme ils ne l'ont pas fait, je suis logiquement fondé à porter plainte contre eux pour non dénonciation de crimes.

Lors de sa déposition devant l'Inspecteur Christian Raeckelboom au commissariat de l'Haÿ-les-Roses, celui-ci nous avait confié que contre la Clinique Elmelik, aucune plainte ne pouvait aboutir, toutes étant systématiquement « bloquées au parquet ». « J'ai là sur mes étagères cent cinquante plaintes pour viols. Aucune n'a pu aboutir. Les actionnaires de la Clinique sont milliardaires. Ils font ce qu'ils veulent. Il sont protégés en haut.s lieu.x ».

La suite prouva que cet Inspecteur avait dit vrai.

La Mairie « socialiste » de l'Haÿ-les-Roses était de longue date accoquinés avec Elmelik, propriétaires de ladite Clinique.

Je fais confiance l'actuel gouvernement, a priori plus réaliste que les précédents pour mettre à plat cette très sale affaire, une affaire qui m'a laissé financièrement quasi exsangue parce que le parquet s'est jusqu'à maintenant efforcé de la cacher sous le tapis et que l'Ordre a fait tout son possible pour me faire "payer cher" la non observation de ses "lois"

Notes

1 Catherine Bonnet "L'enfant cassé - l' inceste et la pédophilie" Albin Michel, 1999, "L'enfance muselée", Ed. Moll, Toulouse, 2007. Le Dr. François Chedru, qui avait rédigé un rapport d'expertise satisfaisant à la loi omertiste de l'Ordre et du milieu médical m'avait ri au nez lorsque je lui avais fais remarquer que son expertise était mensongère tout en m'avouant cyniquement qu'elle l'était effectivement,  puisqu'il ajouta << qu'aucun chirurgien n'aurait accépté d'opérer dans de telles conditions >>, avant de me me conseiller de laisser tomber. << Vous-vous y épuiserez pour rien >> (sic, le 4 juillet 1996 ) cependant que le médecin à protéger, Antoine Denis, n'était pas même chirurgien et que François Chedru avait en main toutes les lettres que m'avait adressé son Confrère Michel Serdaru de 1992 à 1994. Je cite son Confrère Michel Serdaru, avec qui Chedru avait publié des articles dans les journaux médicaux; Il s'était écrié, lorsqu'il a pris connaissance de cas que << même le centième, vous m'entendez, même le centième des fautes qui ont été commises méritent un procès ! Je vous donne le nom d'un bon avocat  (Me Bernfeld) et vais prévenir la Presse. Qui c'est, le docteur Foot ? >>

- C'est le docteur Antoine Denis, à la Clinique Elmelik

Le docteur Serdaru blêmit. Il me tourna le dos et dit "Ah, mais celui-là, il a des relations". Et il ne fut pkus question d'alerter la Presse

2 - Le Colloque du 13 décembre 1997 fut ainsi placé sous la présidence de Bernard Glorion et de Bernard Vatier et organisé par "l’Institut de formation permanente du Barreau de Paris." J'y ai rencontré Emmanuel Hirsch,titulaire de la Chaire d'ensignement de l'éthique médicale de l'AP -HP qui, sans être médecin, à ma stupéfaction m'a tout de suite coupé la parole en me disant "connaître par coeur l'histoire de mon père" lorsque j'ai cherché à lui parler de ce qui lui était arrivé en 1990.

3 - Cf. son intervention et les avertissements du Pr. Breton rapportés dans les Actes 1995 du Collectif Féministe Contre le Viol.

4 - Vincent Le Coq et Laurent Lèguevaque "Manifeste contre les notaires ", Max Milo éditeur, 2011

L'ouvrage émane d'un collectif de notaires qui a pris conscience du rôle de la haute corruption et de son impunité dans la paupérisation et la " fracture sociale " de la France.

5 - La Clinique Elmelik était très appréciée des Services hospitaliers non pour son plateau technique, mais parce qu'elle se chargeait de les débarrasser des malades en fin de vie comme des malades contaminés par le VIH.

6 - L' affaire a ILLICO été classée SANS SUITE à Créteil et porte le n° C 90 361 0032 9, (et non pas C 90 301 0032 9 comme précédemment indiqué d'après un document mal imprimé et difficile à lire)

Remarques

ll n'entrait pourtantpas dans l'intention des médecin-actionnaires de la Clinique Elmelik de tuer mon père, mais de faire du fric. Ils avaient seulement voulu l'escroquer en profitant de sa vulnérabilité psychologique, due à sa maladie, et de sa situation patrimoniale après qu'il s'est confié à Marc Méchain, le maire de l'Hay-les-Roses, un grand ami des Emelik. S'agissant de pervers, ils se permettaient de transgresser tous les interdits. Ils lui avait imposé sans prévenir une double opération orthopédique à visée "esthétique" (sic) . A 79 ans, mon père n'était pas, pour de multiples raisons, toutes plus évidentes les unes que les autres, en état de supporter un acte aussi aussi déplacé que dangereux. L'opérateur, un rhumatologue, n'était statuairement pas habilité à procéder à une telle opération. Mon père fut peu après victime d'une véritable tentative d'assassinat à dans le Service de neurologie tenu par le Pr. Gérard Saïd. Une erreur de diagnostic avait soi-disant été commise alors que l'erreur était impossible à faire. Les infirmières elles-mêmes s'en étaient inquiétées, qui m'avaient demandé de venir contrôler si le traitement qu'On leur disant d'administrer était bien celui qui convdnait avant que leur malade ne trépasse !

D 'où probablement le fait que cette Clinique ait été « protégée en hauts lieux », c'est à dire pour sauvegarder les intérêts du C.N.T.S., responsable de nombreuses contaminations hospitalières lors de transfusions faites dans la première moitié des années 1980, mon père entrant dans cette catégorie pour avoir été transfusé en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis

En le corrigeant de façon drastique, mon père sortit du coma et récupéra ses faculté intekllecteuelles. Il porta l'affaire devant le procureur de la République à Créteil (à l'époque Michel Barrau, grand serviteur de l'État, et du CNTS, et par conséquent protecteur de la Clinique Léon Elmelik. qui servait, avant qu'elle ne soit vendue en 1995 à ce à quoi  servira aussi le service du Pr Gérard Saïd au CHU de Bicêtre puis le Service du docteur Olovier Ille (encore lui) au CHU de Mantes la Jolie en 1997, avec Christine Malèvre dans le rôle du docteur Jean-Yves Beinis.

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