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12 mars 2016 6 12 /03 /mars /2016 17:05

Sous le titre "La transparen et l'indépendance du médecin sont les piliers de notre déontomlogie médicale" Michel Legman, alors qu'il présidait encore le Conseil National de l'Ordre des Médecins (le CNOM) écrivit dans le bulletin de l'Ordre des Médecins de novembre-décembre 2011, et alors même que le Conseil continuait de sciemment protéger les scandaleux agissements du Dr. André Hazout:  << Face à la crise de confiance que traverse le système de santé français, c’est à une véritable révolution culturelle que nous devons nous préparer. Refonte du fonctionnement des agences et des autorités sanitaires, renforcement législatif de la sécurité sanitaire des médicaments et des produits de santé, amélioration de la transparence et de la cohérence du circuit du médicament… Nous sommes tous concernés par cette mobilisation qui nous permettra de mieux faire face aux défis de la pharmacovigilance et de la santé publique.

Les médecins sont au cœur de cette mobilisation. Ils se doivent d’être suffisamment indépendants pour faire preuve d’un esprit critique accru vis-à-vis de toute tentative d’ingérence dans leurs décisions. Garant de la relation médecin/patient et de l’indépendance médicale, l’Ordre des médecins veut jouer un rôle essentiel dans la gestion et le contrôle des
conflits d’intérêts entre les praticiens et l’industrie pharmaceutiq
ue.

Comme vous le lirez dans le dossier de ce Bulletin, nous avons d’ailleurs présenté plusieurs propositions aux pouvoirs publics pour que cette volonté de transparence ne reste pas un vain mot.

Nous voulons notamment jouer un rôle d’accompagnement et d’arbitrage dans la gestion des conflits d’intérêt. Encore faut-il que la loi nous en donne les moyens.

Le conseil national de l’Ordre a également eu à cœur de rassembler tous les acteurs de ce dossier autour d’un débat dont vous trouverez le compte rendu intégral sur notre site. Ensemble, nous devons aboutir à un véritable Sunshine Act à la française.

C’est à ce prix que nous pourrons garantir demain de bonnes conditions d’exercice aux médecins, au bénéfice de nos patients.>> 

- / -

<< de toute façon, en France, il n'y a pas de justice >>

C'est ce m'avaient d'emblée annoncé Maître Catherine Scotto-Derouet en mars 1992, et ensuite, lui faisant écho, Maître Annick Dorsner-Dolivet, pénaliste de grande réputation, lorsque, l'année suivante, je lui ai, pour les mêmes raisons que celles que j'avais exposées à Maître Scotto-Derouet, confié la plainte que mon père avait adressée le 17 décembre 1990 au procureur du TGI de Créteil.

Le TGI de Créteil était à l'époque sous la coupe de Michel Barrau, le futur envoyé que, vu son efficacité pour "régler" les affaires relatives aux activités de la Clinique Léon Elmelik, Dominique Perben avait dépêché au TGI de Toulouse pour résoudre au mieux une autre affaire tout aussi scabreuse.

Mon père ignorait lorsqu'il a porté plainte que Michel Barrau avait été chargé par les instances gouvernementales d'enrayer toutes plaintes portées à l'encontre des médecins de la Clinique Léon Elmelik.

Mon père et moi ignorions que cette Clinique était "protégée en hauts lieux" à cause des grands services qu'elle rendait au CNTS comme à l'AP - HP , co-responsables de milliers de contaminations de patients par le VIH s'être servis trop longtemps de lots sanguins non décontaminés par la chaleur ((cf. "L'affaire du sang", du docteur Anne-Marie Casteret, aux éditions La découverte, 1992. toujours disponible chez tout libraire normalement constitué.

Nous avait fait part des protections dont cette Clinique faisait l'objet l'inspecteur Christian Rarckelboom le 23 janvier 1991 lorsque j'avais accompagné mon père, devenu estropié du fait de mauvais traitements (dont il avait failli mourir) au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, la Commune qui abritait la Clinique Léon Elmelik, pour confirmer la plainte qu'il avait adressé au procureur du TGI de Créteil au cours du mois précédent.

Pour savoir plus précisément pourquoi et comment cette Clinique jouissait de "protections en hauts lieux", et pourquoi les archives de la mairie de l'Haÿ-les-Roses se sont enflammées toutes seules dans la nuit du 30 juin 2002 tellement elles étaient brûlantes, on est prié de se reporter aux articles n° 34125637 et 34640355 html, qui datent de juillet 2009, celui intitulé "Omerta médicale - viols - Ordre des médecins", ainsi que les n° 108281777 et 116517337 du blog de leon (site http://génocides.over-blog.com)

NB : l'article n° 108281777 date du 18 juillet 2012, a été adressé par voie postale au Figaro, à François Hollande et au Comité Consultatif National d'Ethique sans susciter plus de réactions que la lettre RAR que j'avais adressée à Michelle Aliot-Marie alors qu'elle occupait le ministère de la Justice.

Les articles relatifs à l'incendie des archives de la mairie de l'Haÿ-les Roses en 2002 et de l'érection d'un panneau à la gloire du docteur Léon Elmelik décédé en novembre 1859 des suites de sa qui de sa déportation et sa condamnation à mort en 1944 sont rapportés sur ce blog.

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