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24 mars 2016 4 24 /03 /mars /2016 01:26

Médecin, il m'avait fallu intervenir en septembre 1990 de façon beaucoup plus efficace, écologique et économique que ne le faisait le médecin-chef de l'Unité de Soins dits Normalisés de l'hôpital Charles-Foix pour sortir mon père du coma mortel dans lequel plongé un traitement manifestement (et délibérément) inapproprié que lui avait dicté l'Interne du Service de Neurologie du professeur Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre.

Cet Interne deviendra le médecin-Chef du Service de neurologie du CHU de Mantes la Jolie où, sous sa direction, Christine Malèvre se vantera d'avoir commis une trentaine d'euthanasies sans qu'il ne s'en aperçoive. Il aura fallu que ce soit sa collègue Laurence Kouyoumdjian, responsable du secteur consacré à la pneumologie qui le fasse à sa place pour qu'il y soit mis un terme. Ce qui vaudra à celle-ci d'être invitée à aller exercer son art ailleurs que dans ce CHU.

Ille sera en 2013 un des conférenciers du Cinquième Rassemblement du Mouvement "Amour &Vérité" des 15 et 16 mars 2013 à Paray le Monial sur le thème "Prends soins de lui".

D'après Wikipédia "Amour & Vérité" est une association apostolique qui émane de La Communauté de l'Emmanuel. Elle se propose de répondre aux questions que posent l'amour, la sexualité, la vie de famille et la bioéthique.

Cette association devrait donc se préoccuper du sort de la famille des patients qui ont été jugés, pour des motifs sordides, pour ne pas les dire crapuleux, "en fin de vie" parce que "voués à une inéluctable plus grande aggravation", ainsi que l'a expressément stipulé l'expertise médicale du neurologue François Chedru de façon délibérément mensongère dans le cas de mon père - mensongère de son propre aveux - alors qu'il a prêté non seulement le serment d'Hippocrate en tant que médecin mais aussi "assermenté" en tant que médecin expert. Mais en France, où règne la ploutocratie, il n'y a ni contradiction ni mal à cela, bien que ce soit en principe, mais en principe seulement, passible de lourdes condamnations pénales.(voir à ce sujet, sur ce blog l'article n° 108281777 html et ceux relatifs à l'euthanasie)

Les actions déstabilisantes dont j'ai été la cible après mon intervention de la part du Conseil de l'Ordre des médecins et de l'AP - HP responsable de cette entourloupe ont interdit, du moins momentanément j'espère, la mise en chantier d'un procédé innovant bien plus économique, écologique et efficace que les classiques constructions de barrages pour récupérer l'inépuisable et gigantesque gisement d'énergie que représentent les marées tout le long de la côte atlantique française, de Dunkerque à Biarritz (et bien au delà)

Les susdites actions ont été pour moi et une Consœur très dommageables : non seulement j'avais, par mon intervention, pu sauver la vie de mon père, mais par là-même été à l'origine de la découverte, ou plutôt de la redécouverte, d'un important syndrome neurologique découvert en 1973 (selon les uns, 1978 selon les autres) mais fâcheusement oublié depuis.

Important non seulement par le grand nombre de malades concernés, mais parce qu'à cette époque il était trop souvent confondu avec la maladie d'Alzheimer, alors que ce syndrome est de même nature que la maladie de Biermer, se traitant pareillement et aussi bien que celle-ci.

Ce syndrome est en outre deux à trois plus fréquent que la maladie de Biermer, qui elle-même touche 3 à 5% des personnes âgées de plus de soixante ans (7% d'après le Pr. Dollfus). Il importe donc de savoir qu'il est accessible à un traitement très simple et économique, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer parce qu'il n'en est qu'une forme clinique, mais trompeuse, puisque contrairement à la maladie de Biermer, ni le test de Schilling ni même une vitaminémie B12 normale ne le met en évidence (d'après le Dr. Michel Serdaru dans "La maladie d'Alzheimer et autres démences", Flammarion Médecine-Sciences, 1991).

Après avoir été dénommé "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal", depuis que la commercialisation du test de Schilling a été abandonnée en 2003, ce syndrome a en France pris le nom de "syndrome NDB12PP", et de "cobalamin malabsorption syndrom" dans les pays anglo-saxonse).

Or c'est l'inattendue résurrection de mon père sous l'effet du traitement de la maladie de Biermer qui a en 1990 mis le feu aux poudres. Elle avait forcé les cliniciens qui avaient cherché à me faire passer pour un fou et un criminel après que mon père a porté plainte, à reconnaître la réalité.

Outre que leurs démarches visaient à nier une réalité dérangeante, avant de me priver de cette découverte et de me déstabiliser, elles ont lourdement sapé ma crédibilité lorsque j'ai voulu, en 2012, faire part aux autorités responsables d'une autre découverte, d'une tout autre nature, puisqu'elle concerne un procédé technique qui permettrait à la France de relancer son économie via la récupération de l'immense et quasi inépuisable potentiel energétique des marées.

Il s'agit d'un procédé qui rend la récupération de cette énergie non seulement possible sur 300 mètres de retenue, comme il en est avec l'usine marémotrice de la Rance, mais sur des centaines de kilomètres, de Dunkerque à Biarritz, pour un côut presque aussi dérisoire à l'échelle du pays que le traitement du syndrome NDB12PP à l'échelle de l'individu.

Le traitement du syndrome NDB12PP ne côute en effet que le prix de deux ou trois paquets de cigarettes, hormis les cas où, comme dans le cas de mon père, tardivement traité, le malade nécessite une assistance médicale au long cours du fait de la perte de son autonomie, perte consécutive aux séquelles motrices engendrées par ce retard, si et quand le malade n'est pas entretemps décédé, ainsi que cela avait failli être le cas pour mon père.

Il ne m'en avait coûté que 9 francs et quelques 39 centimes de cobalamine Labaz* pour sortir mon père du coma et d'un délire spécifique souvent sinon toujours attaché à la maladie de Biermer, un délire par lequel mon père ne me reconnaissait plus comme son véritable fils, mais comme un imposteur attaché à sa disparition, un envoyé du Pr. Vitwoët, qui en avril 1984 lui avait posé une prothèse de hanche, plus 2,5 francs, le prix de trois seringues, cependant qu'il était très chèrement hospitalisé depuis six semaines, dont trois dans un Service de neurologie se réclamant de l'excellence dans le traitement des maladies neurologiques dégénératives, puis de l'INSERM pour ses Recheches sur les possibilités des B vitaminothérapies dans ces affections.

Or si désormais le syndrome NDB12PP est enseigné à la Faculté de Médecine, et donc bien connu des nouvelles générations de médecins, il reste encore largement méconnu de la plupart des médecins généralistes des anciennes générations, voire de certains gériatres ou de certains neurologues, ainsi que j'ai pu m'en rendre compte en me livrant tout dernièrement à un sondage téléphonique. Même les très populaires vulgarisateurs de la médecine que sont Michel Cymès et Marina Carrère d'Encausse, qui animent "Le Magazine de la Santé" sur France 5 n'en ont parler ni daignent en parler pour le faire connaître, malgré maintes invitations à le faire de ma part. Comprenne qui pourra.

Mais l'explication réside sans doute dans le fait que mon père s'en était pris dans sa plainte non pas à Olivier Ille et aux neurologues de Bicêtre qui l'avaient chargé de faire en sorte que le traitement de la maladie de Biermer ne lui soit pas vraiment administré? sauf un faux-semblant, mais aux médecins-actionnaires de la Clinique Léon Elmelik, cette Clinique se vouant à son cash-flow en préservant les intérêts de l'AP - HP et du CNTS, intérêts qui vont de pair avec les siens.

La conférence du Dr. Olivier Ille, sur le thème "Prends soins de lui" au cinquième Rassemblement d'Amour et Vérité, les 15 et 16 mars 2014.à Paray le Monial est donc une parfaite tartuferie.

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