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30 avril 2016 6 30 /04 /avril /2016 20:04

Le STSMC est une technique qui permet de récupérer massivement et très écologiquement l'énergie marémotrice pour un coût de production dix à vingt fois moindre que l'énerge récupérée par le système des barrages.

Or j'apprends que << En mai 2013, l'équipe germano-française du Fraunhofer ISE, de Soitec, du CEA-Leti et le Centre Helmholtz de Berlin avait annoncé une cellule solaire avec un rendement de 43,6 %.

Capitalisant sur ce résultat, de nouveaux travaux intensifs de recherche et des étapes d’optimisation ont permis d’atteindre l'efficacité actuelle de 44,7%" >>

Cf. www.soitec.com/fr/news/

Soitec travaille certes sur le développement de capteurs photovoltaïques dont le rendement énergétique avoisine les 50%, mais la durabilité et leur prix de fabrication les rendent pour l'heure bien moins performants, et donc moins intéressants qu'une autre solution, qu'il ma fallu quarante ans à trouver et à mettre au point.

Le recours au STSMC devrait permettre (et permettra) à la France de se passer de l'importation et de l'exploitation massive des énergies fossiles, si ce n'est du nucléaire. 

Mais je suis médecin, et qui plus est médecin psychiatre, ce qui apparemment a joué dans l'aggravation de mon cas, après qu'il m'a fallu, en 1990,  apporter (in situ) la preuve de ce que ni la normalité du test de Schilling ni même paradoxalement la normalité de la mesure de la cobalaminémie n'excluaient la possibilité de l'existence d'un syndrome neuro-anémique de même nature que l'anémie de Biermer.

D'en apporter la preuve m'a ruiné, financièrement et moralement, similairement à ce qu’il en a été, après moi, de Stéphanie Gibaud, après qu’elle a fait état des activités illicites d’UBS en France, mais moi parce que ... cf.  "L’affaire du sang»  vu au travers des articles de ce blog.

Les persécutions ordinales qui ont fait suite à cette démonstration m'ont ruiné. Et de ce fait privé de la possibilité d'apporter aussi la preuve, in situ et en vraie grandeur de la validité de la solution que j'ai trouvée et que je préconise pour récupérer le potentiel énergétique des marées, c’est-à-dire autrement que par un barrage tel celui construit entre Dinard et Saint Malo dans les années 1960, autrement que par le dispositif dont il m'a fallu me contenter pour l’expérimenter sur maquette, alors que cette solution devrait être, par son principe, peu sensible, et même quasi insensible aux tempêtes les plus violentes comme à la corrosion marine, et alors que ce potentiel est, paraît-il, tout le long des Côtes françaises de l’Atlantique, le deuxième du Monde !  

Un potentiel que ladite solution est à même de récupérer trés massivement, et bien plus économiquement qu'avec drs cellules solaires. 

 

A suivre ... efter jag har ätit

 

Suite relative à la découverte inconvenante du NDB12PP  

 

Parce qu'il ne faut pas contrarier les fous, les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd ne firent que semblant d'administrer à leur malade le traitement de la maladie de Biermer alors qu’il  avait manifestement maille à partir avec une  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" cliniquement en rapport avec une profonde carence vitaminique B12, le remplaçant par du Prozac *, à l‘époque le plus moderne des traitements passe-partout (sic, cf. leur CR d'hospitalisation, daté du 20 septembre 1990 sur www. 699702223html) au prétexte que le test de Schilling ET la vitaminémie B12 de leur malade étaient dans les normes. 


Le malade se trouvant être mon père, j'avais fini par le lui administrer moi-même (après que et parce que les infirmières de  l’Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis à l’hôpital Charles-Foix,  où les neurologues l'avaient fait transférer pour qu'il y finisse ses jours plutôt que dans leur propre Service, classement médiatique oblige, m'ont discrètement fait savoir que consigne  leur avait été donnée par leur Chef de Service de ne faire devant moi que semblant de lui administrer.) 

L’état clinique de leur malade était devenu tellement épouvantable et parlant qu’elles avaient d’elles-mêmes su redresser le diagnostic de carence vitamnique B12.  Sa symptomatologie était devenue de plus en plus cliniquement évidente. Elles ne voulaient pas participer à ce qui leur paraissait relever d’un simulacre macabre, contrairement au comportement collaborationniste qu’adoptera quelques années plus tard, en 1997, l’infirmière Christine Malèvre, sous la houlette du même donneur d’ordre, le docteur Olivier Ille, après qu’il a quitté l’équipe du Service de neurologie  du professeur Gérard Saïd pour prendre la tête de celui du CHU de Mantes la Jolie.    


Le 12 septembre 1990 mon père avait fini par sombrer dans le coma et était tout près de mourir quand je me suis permis de le lui administrer réellement par moi-même ledit traitement, soit six semaines après son hospitalisation à Bicêtre Cf. www.blog de leon - une nuit vitaminée.  

Avec ce traitement non seulement mon père sortit rapidement du coma, mais il put  en quelques semaines récupérer ses facultés intellectuelles alors qu'il avait précédemment été diagnostiqué dément et promis à une "inéluctable plus grande aggravation " (sic, cf. le rapport d'expertise rédigé par le docteur François Chedru à l’intention des professeurs Réné-Claude Touzard et André Lienhart, rapport rendu au juge d'instruction, madame Bénédicte Scelle, en février 1996).

Le rétablissement de mon père ne fit aucunement plaisir au docteur Beinis pas plus qu’aux neurologues de Bicêtre.

Contrariés, ils firent grise mine. Je dus ainsi subir non seulement les persécutions desdits neurologues et de l‘administration de l'hôpital Bicêtre, mais aussi celles du Conseil de l'Ordre,

Les neurologues de Bicêtre, entre autres entourloupes, s'entendirent avec l’Ordre des médecins pour  réclamer contre moi l'application de l'article L 460 du Code de la Santé Publique de façon me discréditer auprès du juge d'instruction et du parquet.

Un nom-lieu leur fut ainsi concédé (ou octroyé)  par le parquet le 3 juin 1998 au prétexte délibérément controuvé par le procureur (à l'époque Michel Barrau avait la haute main sur le tribunal de Créteil), que la plainte de mon père, portée très légitimement le 17 décembre 1990pour coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril de mort, avait été « impulsée » (sic) par le fils, « psychiatre  désocialisé » au style « bien particulier »
(je n’avais aucunement « impulsé » la plainte de mon père, mais je l’avais certes aidé à réunir les preuves matérielles, très nombreuses, des fautes qui avaient été commises à son encontre par les médecins de la Clinique Léon Elmelik, et non pas celles commises par les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd à Bicêtre, ni celles du très obéissant Dr. Jean-Yves Beinis, qui avait aveuglément suivi leur consigne mortifère.

Fautes  étaient si nombreuses et tellement énormes que le Dr. Michel Serdaru, un des plus fins neurologues de la Fédération Française de Neurologie, qui me relaya en 1992 pour parfaire mon traitement, avait éprouvé le besoin de me dire, d’un ton ironique, après avoir pris connaissance du CR de l'hospitalisation de mon père à Bicêtre et à Charles-Foix, en parlant desdits neurologues  et du Dr. Beinis « êtes vous bien sûr que votre père a eu affaire à de vrais  médecins ? ». 

Et alors qu’il ignorait encore que son patient avait porté plainte, il s’était écrié, outré, que « même le centième des fautes qui ont été commises, vous m’entendez, même le centième, méritent un procès ! Je vais vous donner l’adresse d’un bon avocat » (il me dit le Cabinet de Me Bernfeld). Et à  ma stupéfaction il ajouta qu’il allait porter l’affaire devant la Presse.

Or j’avais, par timidité, changé le nom du rhumatologue pour celui de ‘Dr. Foot’. Sitôt que je lui ai dit qu’il s’agissait du Dr. Antoine Denis, il pâlit et me dit, tout en me tournant brusquement le dos: « Ô ! mais celui-là,il a des relations ». 

Et il ne fut plus question d’alerter la Presse. 

Les fautes rapportées étaient déjà trop énormes, mais  dans son expertise le docteur Yves Dano  en a apporté d’autres, en 1997, que j’ignorais, et qui étaient encore plus accablantes que celles que j’avais réunies pour les transmettre au juge d’Instruction.

L‘opération du rhumatologue avait été faite à la sauvette, subrepticement, sans prévenir, à l’initiative de l‘opérateur, sans attendre les résultats des examens préopératoires obligatoires, non seulement contre mon avis mais aussi contre celui, écrit, du cardiologue de mon père, le Dr. Joseph Heller, en raison de son âge et de son mauvais état cardio-vasculaire Cf blog de leon - maltraitances des personnes âgées, www. 34640555 html 

Slut för i natt ... À suivre en mai …lles à détricoter
 

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