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2 août 2016 2 02 /08 /août /2016 17:05

En France, au moins une organisation terroriste a pu et peut continuer d'exercer toute sa destructivité sans que les pouvoirs publics n'interviennent pour y mettre un terme.

Pour comprendre cette aberration, il faut avoir à l'esprit comment le CNOM conçoit les DDH (les Droits de l'Homme) : celui du droit des médecins, du moins de ses protégés au "plus-de-jouir", un concept "psychanalytique" ad hoc "perlaboré" par Jacques Lacan pour son propre usage comme au profit de nombreux psychiatres "psychanalystes", gynécologues et sexologues, tel le Dr. Gilbert Tordjman.

Le psychiatre-psychanalyste  Charles Caille la mit à profit pour "perlaboré" celui de "méditation de l'étreinte" (sic).

"Le-plus-de-jouir" est un concept que Jacques Lacan a mis sur orbite avec son  "retour à Freud", Freud étant l'objet petit a de ses spéculations cliniques.

Jacques Lacan avait compris le parti qu'il pouvait en tirer et s'est tout au long de son oeuvre appuyé sur le cas de Freud  pour en tirer la substantifique moelle, tandis que lui-même était le sujet grand A, en supposant, nous sans raison, que Freud avait été le grand Autre d'Adolf Hitler.

Nous y reviendrons en faisant la "psychanalyse" des concepts freudiens (notamment celle  du "roman familial du névrosé, puisé chez son célèbre mais inavouable patient) et de leirs dérives interprétatives délirantes, dont celle, emblématique, du docteur Bernard This, psychiatre et "psychanalyste lacanien" dans un texte prochain (B. This, son nom l'indique, voulait nous faire avaler à travers l'insconscient qu'un changement de prénom - celui de Sigismund en Sigmund, est à l'origine du cancer de la bouche que Sieg-ist-Mund Freud a développé dans les années 1920, parce que l'insconscient est "structuré comme un langage" (sic  cf. genocides.over-blog.com/article-cancer-de-la-bouche-explique-par-l-inconscient/).

Dans son roman "La part de l'autre" le romancier Eric-Emmanuel Schmitt n'a manifestement pas compris, contrairement à Jean-Paul Sartre, qu'Adolf Hitler avait voulu parler de Sigmund Freud en reconnaissant en lui  "la part de l'autre" dans sa destinée : « J'admets la part de l'autre dans la constitution de mon destin » (avait admis A.H. dans une lettre à Sœur Lucie.)

La compréhension qu'en avait Jean-Paul Sartre, rend compte du fait que Claude Lanzman, qui était son secrétaire, se soit violemment  opposé à ce que Ron Rosenbaum puisse le découvrir dans son enquête sur Hitler et "l'origine du mal", un livre paru en France en 1998 aux éditions Jean-Claude Lattès, mais qui a mystérieusement disparu de certaines  médiathèques dès sa parution, une façon de procéder à l'instar du professeur Gérard Saïd, qui a très freudiennement fait interdire "Archives of Neurology" de parution à la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre en novembre 1997, au prétexte qu'il s'agit "d'une très mauvaise revue", dixit le professeur  Gérard Saïd, qui  pourtant fait, six ans plus tard, des pieds et des mains pour voir son nom associé à celui de Jacqueline Zittoun et Hèlène Ogier de Baulny dans un article de cette "très mauvaise revue" , cf. Arch Neurol. 2003, "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert),

La censure freudienne est un procédé que le docteur Michel Meignant, psychiatre et psyhanalyste, a mis 26 ans à découvrir, Cf. www. l'affaire Freud.      

L'oeuvre de Jacques Lacan continue de hanter les philosophes et les psychanalystes alors qu'elle a été très mal comprise, aussi mal de la part de ses milliers d'admirateurs patentés, dont évidemment Bernard This, que de la part de ses détracteurs (Cf. "Le livre noir de la psychanalyse" et "Mensonges freudiens" de Jacques Bénesteau.)

Sur les "dérives" du CNOM lire aussi René Chiche << Enquête sur les mandarins de la médecine >>, parue en 2013  aux EDITIONS DU MOMENENT, en passant par l'exposé qui suit, à propos du ratage "réussi" d'une laborieuse entourloupe "à la Rossignol", pour ne pas dire "à la Dr. Petiot", car il s'agit bien de l'élimination physique d'une certaine catégorie de malades.

Un ratage réussi dans la mesure ou l'objectif principal du CNOM a été atteint : soustraire les médecins mis en cause à ce qui, en France, s'appelle la justice.

Un ratage tout de même puisque le malade condamné à la perte de ses facultés intellectuelles et à un exitus rapide a réussi à survivre, et qui plus est en récupérant des facultés intellectuelles à 30/30, ce qui pour lesdits médecins avait été très mal vécu.

Le président François Mitterrand était bien conscient de la monstrueuse perversité du CNOM, qui, avant son arrivée au pouvoir en 1981, avait promis sa suppression

René Chiche rappelle, pour introduire son enquête, qu'elles étaient les propositions du "Programme commun de gouvernement", et le docteur Bruno Halioua  à la page 12 de son livre "Blouses blanches étoiles jaunes" (paru en décembre 1999 chez Liana Lévi) comment l'Ordre s'en est sorti bien que l'Ordre  ait "relayé sans état d'âme les idées et les mesures de Vichy", ce qui le prédisposait à continuer sur cette lancée après la Libération.  

Je n'ai présentement pas le texte de Bruno Halioua sous les yeux, mais il se trouve dans mes précédents articles sur les activités criminelles, "protégées en hauts lieux", de la Clinique Léon Elmelik - dixit le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Christian Raeckelboom lorsqu'il m'a reçu le 23 janvier 1991 au Commissariat de cette sous-préfecture, cf. le site 34640255 html chap. II § 5, sur la maltraitance des personnes âgées au sein des établissements hospitaliers (hôpitaux et Cliniques, et le 108281777 html, le texte de la lettre que j'ai adressée aux pouvoirs publics concernés comme aux contre-pouvoirs médiatiques, dont le CCNE (Comité Consultatif National d'Ethique), le Figaro et Libération, en passant par d'autres médias, dont Le Monde et Médiapart, qui se taisent sur ces affaires, trop scandaleuses pour être réellement portées à la connaissance de l'opinion publique :  le journal "Le Monde" avait, sous la direction d'Edwy Plenel, "couvert" son journaliste maison, le docteur Yves Nau, qui "omertisait" les conséquences désastreuses des transfusions faites avec les flacons de sang fournis par le CNTS aux établissements hospitlaliers dans la première moitié des années 1980, jusqu'en mai 1985 (25.000 contaminations par le VIH sont dues à ces transfusions; cf. Marie Christine Casteret "L'affaire du sang" aux éd. La découverte, 1992, toujours disponible chez votre libraire).

Le CNTS a été depuis rebaptisé "Etablissement Français du Sang" pour atténuer les responsabilités étatiques en la matière.

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CONTEXTE En août 1990, devant une évidence clinique, j'avais  formulé l'hypothèse qu'une forme de la maladie de Biermer devait exister qui ne soit pas détectable  par  le test de Schilling pas plus que par une vitaminémie B12 dans les limites de la normale; Cette hypothèse non seulement m'a valu les moqueries des neurologues du CHU de Bicêtre, mais aussi une demande de radiation du tableau de l'Ordre des médecins et l'application de l'article L460 du CSP de la part du Rapporteur de l'Ordre des Médecins, le docteur Patrice Bodenan, alors même que l’application de mon hypothèse s'était montrée très pertinente, puisque :

devant une situation devenue quasi désespérée, et contre l'avis des internistes du Service de neurologie de Bicêtre, elle avait permis au malade auquel j'avais pris l'initiative de l'appliquée de se rétablir cependant que son état de dégradation était devenu tel qu'il avait été pris par les neurologues de l'hôpital Bicêtre (pilotés par le professeur Gérard Saïd) pour la conséquence d'une "encéphalopathie"  vasculaire" (sic)  compliquant  une maladie d'Alzheimer, le tout baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. leur compte-rendu d'hospitalisation daté du 30 septembre 1990 au site 69970222) 

Le eurologue Michel Serdaru  (de la Fédération Française de Neurologie) l'a formulé l'année suivante dans un traité paru chez Flammarion Médecine-Sciences sur "La maladie de d'Alzheimer et autres démences" (Traité sous la direction des professeurs Jean-Louis Signoret Jean-Jacques Hauw).

Ce livre a mystérieusement disparu de la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre, de même que le livre du professeur Pierre Bouche sur les polyneurophies périphériques dans lequel était exposé l'intérêt d'utiliser d'autres tests que le Schilling pour ne pas passer à côté de ses défaillances dans la mise en évidence des carences vitaminiques B12, de même que le professeur Gérard Said y a fait interdire de parution en 1997 la Revue neurologique de référence qu'est "Archives of Neurology", au prétexte, m'avait-il dit, que c'était une "très mauvaise revue" (sic, donc pour les mêmes motifs que les précédentes disparitions)

La mauvaise opinion qu'il disait avoir de cette revue ne l'a pas empêché six ans plus tard de faire des pieds et des mains pour que son nom figure dans cette "très mauvaise revue" auprès de ceux des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun. Je m'en étais étonné et avais interrogé madame Ogier à ce sujet, qui m'a répondu à peine savoir qui était le professeur Gérard Saïd ! Cf. Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62. "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert.

Cf. aussi au "blog de leon" la bibliographie relative à la découverte du syndrome NDB12PP   mise en ligne sur http://génocides.over-blog.com/.

Y est aussi rapportée la soudaine, "mystérieuse" et bien dérangeante disparition de la Revue "Archives of Neurologyde la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre" (une Revue que le docteur François Chedru était bien d'accord avec moi pour considérer qu'elle était une Revue de référence, et non pas "une "très mauvaise Revue" !  

Le docteur François Chedru, connaissait très bien le docteur Michel Serdaru pour avoir collaboré avec lui pour rédiger dans Archives of Neurology un article clinique sur la maladie de Marciafava Bignami  (Cf. Arch. of Neuro. 1977 "Signs of Interhemispheric Disconnection in Marchiafava-Bignami ..."

A toute fin utile je reporte cette bibliographie en addenda à la fin de cet article.

F. Chedru s'est en février 1996 chargé de rédiger à la demande des Professeurs André Lienhart et René-Claude Touzart une expertise savamment bidonée pour minimiser les très lourdes fautes médico-chirurgicales. Il était alors chef du Service de neurologie du CHU de Meaux.

le rétablissement de ce malade fut dans les années suivantes plus ou moins  (et plutôt plus que moins étant donné la panique suscitée par le rétablissement de ce malade au sein de l‘AP - HP ) à l'origine de la découverte du  syndrome NDB12PP (syndrome de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses touche deux fois plus de patients que la maladie de Biermer, mais reste bizarrement méconnu de la plupart des praticiens, ce dont j'ai déjà informé le CCNE, qui ne s'est guère soucié des ruineuses persécutions que la  mise évidence de ce syndrome me vaut, tant de la part du très "éthique" professeur Gérard Saïd (il était membre de l'IFREM,  éditeur de « Médica Judaïca », une revue d'éthique médicale communautaire) qui m'a fait accuser, en juillet 2004, par la direction de l'hôpital Bicêtre, d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) ledit syndrome par "antisémitisme" (sic), que de la part du Conseil de l'Ordre, sous la houlette du docteur Patrice Bodenan, et du parquet de Créteil, celui-ci la houlette de Michel Barrau,, c'est-à-dire de l'Etat.

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L'organisation terroriste : il s'agit du CNOM, le Conseil National de l'Ordre des Médecins, une organisation criminelle à laquelle l'Etat a eu la malencontreuse idée de confier "mission de Service public" (sic, dixit le professeur Bernard Glorion dans un éditorial du Bulletin de l'Ordre lorsqu'il  présidait le CNOM

Ci-après le texte retrouvé figurant à la page 12 du livre du docteur Bruno Halioua "Blouse banches, étoiles jaunes" : << L'Ordre, pouvoir administratif glacial et sans visage, relayait sans état d'âme les idées et les mesures de Vichy. Courroie de transmission du régime, il a répercuté le statut des Juifs du 3 octobre 1940, respectant dans l'esprit et la lettre son décret d'application du 11 août 1041 relatif à la profession médicale. Cinquante sept ans après, l'institution ordinale a besoin d'être en paix. Elle sait qu'elle a failli à l'esprit de confraternité et d'entraide qui l'anime (sic, ndlr), même si dans l'ombre quelques confrères, dignes de ce nom, se sont battus personnellement contre les lois antijuives.>> 

Respectueux de l'omerta médicale Bruno Halioua écrit aussi en post-face à son livre (je  cite mémoire)  que sans l'intervention de Bernard Weber il n'aurait jamais osé publier son manuscrit (qui est Bernard Weber ? BH ne le précise pas)

Voilà textuellement ce qu'il avoue page 275 dans ses remerciements : << Sans Bernard Weber, je n'aurais jamais eu le courage d'adresser mon manuscrit à un éditeur >>, un aveux qui démontre combien l'Ordre des médecins s'arroge un droit de vie et de mort professionnelle sur les praticiens,  non pas sur ceux qui respectent la loi commune et le Code de déontologie, mais sur qui lui déplaisent parce qu'ils dénoncent des crimes et/ou des abus, notamment des viols et des escrioqueries perpétrés par ses protégés, par exemple les médecins propriétaires de l'ex Clinique Léon Elmelik (voir www. viols à la clinique léon elmelik

Pourquoi le gouvernement formé par les socalistes en 1981 s'était-il abstenu de tenir leur promesse ? 

Pourquoi au jour d'aujourd'hui, le 3 août  2016, n'en est-il plus question alors que de très nombreuses affaires ont depuis éclatées, qui mettent l'Ordre, l'AP - HP  et le CNTS en cause, dont les nombreux assassinats de malades commis au sein de l'AP - HP par Christine Malèvre, infirmière dans le Service du docteur Olivier Ille, en passant par les scandaleuses opérations chirurgicales  du docteur Georges Rossignol ? Cf. à son sujet l'article tardivement mis en ligne par l'UNOF - l' Union Nationale des Omnipraticiens Français - le 03 septembre 2013  www.unof.org/les grandes affaires judiciaires. 

Cet urologue toulousain falsifiait éhontément les dossiers médicaux pour guérir des cancers qui n'existaient pas en procédant à l'ablation, très invalidante, de prostates et de vessies. Il pouvait ainsi se tailler une réputation de chirurgien miracle éradiquant des cancers qui n'existaient pas et faire fortune (les abus médicaux dénoncés qui coûtent cher à l'Assurrance maladie sont à 90 % l'oeuvre de praticiens "indélicats" et pour 10% attribuables à la "triche" des Assurés sociaux).

Le scandale est aussi que l'Ordre des médecins n'a sanctionné le docteur Georges Rossignol que d'un simple blâme  t qu'il protégeait d'autre part les agissements criminels des médecins actionnaires de la Clinique Léon Elmelik - apparemment sans savoir que cette Clinique était déjà protégée "en hauts lieux", c'est-à-dire par les ministères responsables de la Santé et de la Justice, c'est-à-dire par l'Etat, pour une raison bien différente que celle des viols qu'y commettaient à tire-larigot son médecin-propriétaire le docteur Jean-Claude Elmelik, à savoir l'élimination physique des malades contaminés par le VIH lors desdites transfusions de sang pratiquées, entre autres, dans les hôpitaux de l'AP - HP, sur des patients qu'il valait mieux, quand les circonstances s'y prêtaient (les médecins de mon père avaient pensé qu'elles s'y prêtaient en ce qui le concernait), faire diparaître avant qu'ils aient eu le temps de développer un SIDA maladie cliniquement évident, ce afin que le CNTS les hôpitaux et les Cliniques qui ont usé des lots infectés puissent échapper à l'obligation de dédommager les bénéficiaires receveurs (Cf. Le Mémoire soutenu en 1999 par le docteur Patrice Bodenan devant le professeur Christian Hervé en vu de l'obtention d'un DEA d'éthique médicale, Mémoire intitulé "Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliations hospitalières " mis en ligne sur la Toile jusqu'à l'an dernier, mais prudemment retiré depuis (depuis que Bodenan et/ou Christian Hervé ont pris conscience de son incongruité) . - cf. aussi  www. viols à la Clinique Léon Elmelik.

Ainsi s'explique pourquoi Christine Malèvre s'était glorifiée d'avoir réussi à exécuter une trentaine de malades. Elle avait toutes les raisons de penser que c'était ce que son Chef de Service, le docteur Olivier Ille, lui demandait de faire, et au delà de celui-ci, le CHU de Mantes la Jolie, et au delà de ce CHU la direction de l'AP - HP, gardienne de l'éthique médicale depuis la création, en 1995 de l'Espace Ethique de l'AP - HP, un écart espace "éthique" placé  par le professeur  Gérard Saïd sous la houlette de son ami le philosophe Emmanuel Hirsch. 

Ainsi s'explique  pourquoi le docteure Laurence Kouyoumdjian, qui fit cesser ces assassinats de malades en les signalant, n'en fut nullement récompensée - elle aurait normalment dû être citée à la Légion d'Honneur - mais au contraire implicitement blâmée puisqu'elle fut priée de déguerpir alors que son collègue Olivier Ille, qui s'était bien gardé d'n faire le signalement - et pour cause - a pu garder son poste.   

Olivier Ille en avait déjà réalisé d'autres par personnes interposées, notamment lorsqu'il était Interne dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd.

Ainsi s'explique pourquoi le Gérard Saïd et le CNOM ont chercher à s'entendre en 1997, quand de surcroît les assassinats de malades commis au CHU de Mantes la Jolie par Christine Malèvre sous la direction du docteur Olivier Ille ont été connus du fait que le docteur Laurence Kouyoumdjian les a dénoncés.

Ainsi s'explique pourquoi Emmanuel Hirsch, sans être médecin, était à cette époque parfaitement au courant des mésavantures cliniques  dudit malade, en dépit du fait qu'en vertu du sectret professionnel il n'aurait jamais dû les connaïtre, un malade qui avait été "normalement" promis en 1990, alors qu'il était aux mains du docteur Olivier Ille, Interne dans le Service du professeur Gérard Saïd, à une fin rapide (dixit son Chef de Clinique  Pascal Masnou).

Au nom de l'équipe de neurologie de ce Service, Olivier Ille avait ordonné au docteur Jean-Yves Beinis, chez qui il avait fait transféré un de ses malades, qui était alors et encore parfaitement curable avec un traitement simple, mais déclaré voué à la mort à brève échéance  (dixit Pascal Masnou) puisqu'il ne le recevait pas réellement, non seulement de ne pas l'administrer, mais de faire croire à son fils, médecin, qu'il le lui administrait réellement.

Afin que le docteur Beinis accepte de suivre une proposition aussi extravagante, il avait fallu mettre celui-ci en condition (on le savait et peu regardant et très receptifs à des ordres venus "d'en haut", conformément au principe mis en évidence en 1963 par Stanley Milgram, d'où son indifférence aux souffrances manifestes endurait son malade.

Seul (ou avec l'équipe de neurologues de son Service - ce point reste à déterminer) Olivier Ille avait fait  croire au docteur Beinis, dans une lettre très savamment bidonnée (une lettre manuscrite datée du 22 août 1990) que ledit malade ne souffrait nullement de ce pourquoi il avait été hospitalisé à Bicêtre, mais d'une démence de type Alzheimer compliquée d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic, cf. aussi le compte-rendu officiel de son hospitalisation à Bicêtre au site 69970222 html).

Olivier Ille savait pourtant pertinemment que son malade (qui était aussi celui du docteur Pascal Masnou)  souffrait d'un syndrome neuro-anémique, c'est-à-dire d'une carence vitaminique B12 sévèrement décompensé, une carence spécifique, qui la plupart du temps (à 80%) est consécutive à la maladie de Biermer, sinon à d'autres causes de malabsorption (20%) aboutissant à une telle carence, et qui par conséquent sont réversibles avec le traitement de la maladie de Biermer, à condition que celui-ci soit administré réellement et en temps voulu (avant le décès du malade, qui peut survenir inopinément, et éviter des séquelles neurologiques irréversibles).

Aussi fait-il maintenant le joli coeur, non plus au yeux de Christine Malèvre, dont il n'a plus rien à foutre attendre, mais aux yeux de la Communauté de l'Emmanuel, alias  Amour & Vérité,  dans  des conférences  qu'il a données  en mars 2013 au 5e Rassemblement sous le titre de "Prends soins de lui", imittant en cela l'exemple de son ex Chef de Service à l'hôpital Bicêtre, le professeur Gérard Saïd, membre de IFREM  (l'Institut de Formation et de Recherche en Ethique Médicale et instigateur de "l'Espace Ethique de l'AP - HP" (sic), à la tête duquel il  (Gérard Saïd) fit placé son ami Emmanuel Hirsch, qui, alors qu'il n'est pas médecin, m'a dit "connaître par coeur" (sic) la mésaventure arrivée à mon père à la Clinique Léon Elmelik et ensuite  au CHU de Bicêtre dans le Service de neurologie de son mentor le professeur Gérard Saïd ! 

Bonjour messieurs les Tartuffes, vous-vous portez toujours à merveille.

Et tant pis pour le SM (le Secret Médical), sur lequel Tartuffe Emmanuel Hirsch est censé veiller (à propos d'Emmanuel Hirsch, combien est-il payé à faire le guignol à enseigner l'éthique médicale aux personnel soignat : que je sache madame Pondu, la Surveillante de l'Unité de Soins  du docteur Beinis n'avait pas eu besoin de ses enseignements pour savoir qu'il fallait arrêter de faire semblant d'administrer au malade du docteur Beinis la traitement de la maladie de Biermer.      

A suivre ... sur 34640522 html et autres articles du "blog de leon" consacrés au docteur Patrice Bodenan

<< Dans cette affaire On a rien à craindre  - pouvait-on entendre dire à l'hôpital Saint-Louis en 1999 - On tient la presse, la médecine et la justice >> Qui "On" ?

Le cas relève du principe, mis en évidence en 1963 par Stanley Milgram à la suite du procès d'Adolf Eichmann, de la soumision à l'autorité, ici appliqué à la maltraitance hospitalière, maltraitance en l'occurrence relative à :

1° -  l'affaire du sang contaminé  (subséquentes aux relations "incestueuses" que  l'A.P. entretenait avec le C.N.T.S.)
2° -  aux euthanasies prétendument compassionnelles opérées au CHU de Mantes-la-Jolie en 1997.
(des assassinats "thérapeutiques" ciblant des malades anciennement transfusés)
3° - aux viols de parturientes  commis par le médecin propriétaire de la Clinique Léon Elmelik  à La Hay-les-Roses.  
4° aux  menaces que l'Ordre des médecins a fait peser sur une des victimes du même praticien et ses avocat(e)s, des menaces qui visaient à l'empêcher de se porter partie civile contre ses agresseurs.
5° à l'occultation des preuves, des mystifications de l'Assistance publique et des entraves faites à la manifestation de la vérité, relayées par les manoeuvres dilatoires de l'autorité judiciaire, faits qui reflètent une justice au service du pouvoir politique : la plainte fut classée non-lieu de façon méprisante et quasi injurieuse malgré l'accumulation de preuves présentées, aussi accablantes qu'irréfutables.
6° - à la falsification d'un test diagnostic (le test de Schilling) pour dérouter le diagnostic, et empêcher la cobalamino-thérapie salvatrice d'être mise en oeuvre   
7° - à la mise en place au CHU de Bicêtre de "l'Espace Ethique de l'Assistance Publique", mise en place confiée au  Chef du Service où ladite falsification a été faite
8° - de l'occultation subséquente de la Revue dec référence "Archives of Neurology" à la bibliothèque du CHU Bicêtre
9° - au maintien en service de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses et aux "hautes protections" administratives et judiciaires dont elles jouissait  malgré (ou à cause de ?) ce qui s'y passait.
10° - à la nomination du Dr. Patrice Bodenan au poste de président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins en Ïle-de-France et à sa qualification (DEA d'éthique madicale en 1999 sur les "Problèmes éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières", Mémoire patroné par le Pr. Christian Hervé.
et 11° - à la même annéeé (1999) l'incendie des archives et la reconstruction de la Mairie de l'Haÿ-les-Roses, une réfection luxueuse qui a grevé et continue de le grever lourdement  le budget de la Municipalité de l'Haÿ-les-Roses.


En résumé, comme me l'avait confié en 1994 le Dr.Claude Poulain, l'ex Secrétaire général du Conseil de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne à propos du Dr.Bodenan et de son mentor le président Jean Pouillard "le ver est dans le fruit", le docteur Claude Poulain étant bien placé pour savoir les turpitudes des médecins Clinique de l'Haÿ-les-Roses et du docteur Jean Pouillard.   

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Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
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NB : En novembre 1997 le Professeur Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser son abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit des pieds et des mains pour pouvoir six ans plus tard y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun. , à qui j'avais, comme au docteur Michel Serdaru, fait part de ce qui était arrivé en 1990 à mon père dans le Service du professeur Gérard Saïd.

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Le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" n'était pas encore individualisé en 1990  lorsque j'en ai formulé l'hypothèse au sujet de mon père, peu après son admission  à l'hôpital Bicêtre dans le Service du Professeur Gérard Saïd, quand son équipe m'a faussement fait savoir que le test de Schilling était normal ainsi que la cobalaminémie. 

Pourtant le Dr Michel Serdaru, neurologue de la Fédération Française de Neurologie (hôpital Pitié-Salpétrière)  en avait déjà la notion puisqu'il fait remarquer, dans un traité des démences paru en 1991 chez Flammarion  Médecin- Sciences que ni un test de Schilling normal ni une vitaminémie B12 elle aussi normale n'éliminaient un syndrome neuro-anémique, c'est-à-dire une démence possiblement  causée par une carence profonde en vitaminique B12.

Dans "Maladie d'Alzheimer et autres démences" il avait écrit - je le cite de mémoire - "Le test de Schilling et même une vitaminémie B12 peuvent être trompeurs dans le diagnostic étiologique démences".
Je n'avais évidemment pas encore pu lire en 1990 un traité publié en 1991 ni ne connaissais alors le Dr. Serdaru. Je ne l'ai rencontré qu'en  novembre 1992 après lui avaoiri écrit pour lui exposer  l'expérience singulière que m'avait fait vivre mon père deux ans auparavant quand il a été admis à l'hôpital Bicêtre (voir celle-ci à "Une nuit vitaminée" sur le blog de leon) ou au site-Web n° 108281777 html  

Les neurologues de cet hôpital avaient prétexté la normalité de la vitaminémie B12 et du test de Schilling pour exclure la posibilité d'un syndrome neurologique dû à une carence vitaminique B12.  Ils avaient oublié l'adage que "la clinique prime le laboratoire" , un adage que pourtant je ne m'étais pas fait faute de rappeler, d'autant que le test de Schilling s'était en lui même montré transitoirement thérapeutique du fait qu'il se termine par l'injection d'une dose non négligeable de vitaminine B12  (1 mg en intra-musculaire) pour éviter la fixation de la vitamine B12 isotopique nécessaire à sa réalisation

A - Posons la question à Google de deux façons équivalentes
1° -  syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal
--> 2320 réponses dont en page 1 aucune à génocides.over-blog.com  
2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal
--> 8 réponses dont 6  à génocides.over-blog.com
B - Posons la même question à Bing
1° - syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal
-->  224 réponses
2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal
--> 128  réponses !  (contre 8 chez Google)
C - Posons la même question à Yahoo
1° - syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal
--> 290 réponses
2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal
--> 223 réponses  (contre 8 chez Google ?!)
CONCLUSION
Google se montre le plus sélectif

 

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