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11 septembre 2016 7 11 /09 /septembre /2016 01:02

Elles ont visé à couvrir la non-assistance médicale délibérée et astucieusement masquéesée ciblant les patients qui avaient été transfusés lors de la première moitié des années 1980, c'est-à-dire quand la quasi totalité des transfusions de sang étaient contaminées par le virus du SIDA alors qu'ils étaient hospitalisés et couraient le risque de mourir rapidement du fait que le motif de leur hospitalisation était d'une maladie intercurrente mortelle sans son traitement spécifique.

Tel a été comme par exemple le cas, certainement pas unique, en août 1990 d'un malade de 79 ans atteint d'un syndrome neuro-anémique qui avait, 6 ans auparavant, subi une transfusion de sang (en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis dans le Service du professeur Witvoët au moment de la pose d'une prothèse totale de la hanche).

Outre qu'elle est rapidement et à tout moment mortelle à partir du moment où elle est cliniquement évidente (troubles neurologiques sévères avec syndrome tétra-pyramidal + symptomatologie cérébelleuse sévère se manifestant par des troubles de la marche avec hypermétrie et astasie-abasie + troubles digestifs causes d'une glossite douloureuse appelée "glossite de Hunter, d'anorexie et d'amaigrissement + troubles cardiovasculaires responsables d'angor et d'essoufflements) la maladie de Biermer était encore en 1990 considérée à 80% comme la cause principale d'un syndrome neuro-anémique.

Elle était réputée toucher préférentiellement les personnes âgées ayant passé l'âge de 65 ans. 

3 à 7 % de ces personnes en étaient victimes selon les auteurs publiant à son sujet. Cf. sur ce site "blog de leon - bibliographie relative au syndrome NDB12PP, un syndrome de même nature que la maladie de Biermer, qui n'en serait qu'une forme clinique à l'époque ignorée alors qu'il touche deux fois plus de personnes.  

Quoi qu'il en soit la vulnérabilité de ces malades a alors été mise à profit pour perpétrer des falsifications, qui ont été  couvertes par la justice et par le Conseil de l'Ordre des médecins, qui volent au secours des médecins qui suivent les directives  le invitant à faire disparaître discrètement, c'est-à-dire ni vu ni connu, les malades qui risquent de développer un SIDA maladie.

Les menaces de représailles ordinales sont proférées par les représentants de l'Ordre des médecins sur les Parties Civiles quand celles-ci découvrent ce qui se cache derrière les pseudo soins administrés aux malades anciennements transfusés. 

Le cas d'un malade illustre cet état de chose, qui a été  et reste d'autant plus épouvantable qu'il avait  a priori paru impensable (il est relaté entre autres sur le site n° 108281777 html) 

Trop épouvanbtable pour avoir pu faire l'objet d'un jugement et d'une condamnation pénale, sauvegarder coûte que coûte l' "image" des médecins et de la médecine oblige, selon les dires que le professeur René-Claude Touzart m'avait adressés le 17 janvier 1996 alors qu'il avait été le mois précédent nommé par madame Bénédice Scelle, juge d'Instruction au TGI de Créteil, pour rendre un rapport sur le cas de mon père, qui avait fait l'objet desdites mesures "préventives" en août-septembre 1990. 

René-Claude Touzart avait  éprouvé le besoin de me rappeler qu'il était fils et petit-fils de chirurgien pour me faire comprendre que les traditions corporatistes lui imposaient de taire la réalité.

L'affaire en question a été exposé en juillet 2009 de façon chronologique quoiqu'un peu trop succintement entre autres sur les sites n° 34640255, 69970222 et 108281777 html.

"En France, de toute façon, il n'y a pas de justice", m'avaient d'emblée prévenu maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet lorsque je les abais contacyées pour leur confier la défense d'un patient qui avait réussi à échapper à la fin prochaine qui lui avait été concoctée.

 (voir sur ce blog l'article précédent).

La découverte de ces bavures est tellement épouvantable qu'elle a affolé la direction de l'AP - HP avant d'affoler la justice et l'Ordre des médecins.

Le Dr. Patrice Bodenan s'était dévoué en se chargeant d'étouffer dans l'oeuf la plainte de la victime en le menaçant de représailles ordinales, des représailles à valoir sur son fils au cas où il maintiendrait sa plainte et se porterait Partie Civile.

Médecin anesthésiste formé par Edith Elmelik dans le Service du professeur Pierre Huguenard,  il est l'auteur en 1999 d'un Mémoire sur les "Problèmes Éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières", alors mis en ligne avant d'être retiré l'an dernier après qu'il a lu les critiques que l'on pouvait lui adresser.

Bodenan était bien placé pour savoir et écrire que "force est de constater que le dispositif opérationnel" risque beaucoup d'être inopérant

Référence de l'affaire communiquée à la Présidence de la République sous l'égide de Nicolas Sarkozy : SCP/Cdo/A117429

Contrairement à de nombreux patients mon père, Pierre-André Cretien, avait, à l'âge de 79 ans,  réussi à échapper à une "euthanasie" non désirée;

Le Président Nicolas Sarkozy m'avait fait rappeler par son Chef de Cabinet Monsieur Cédric Goubet les dispositions régissant "le droit des malades arrivés en fin de vie"

Mais la question sur laquelle j'avais voulu attirer l'attention du Ministère de la Santé comme celle de la Justice, et plus récemment celles de la Présidence de la République est d'un autre ordre. Elle porte sur l'assassinat des malades qui, quoique vieillissants, sont encore loin d'être "en fin de vie". Elle rejoint les préoccupations du Professeur Jacques Soubeyrand (Cf. "On tue les vieux" et "Douze gériatres en colère", aux éditions Fayard ).

Ces assassinats sont depuis une vingtaine d'années secrètement programmés par les (ou des) autorités sanitaires, sous le regard complaisamment aveugle de l'Ordre des médecins.

En août-septembre 1990, alors qu'il était un patient du docteur Pascal Masnou et de son Interne Olivier Ille, mon père, Pierre-André Cretien et moi-même par la suite par ricochet - en firent lourdement les frais, comme après lui la trentaine de malades qui ont "bénéficié" des soins de Christine Malèvre, qui les exécutait sous l'égide du docteur Olivier Ille, à l'instar du docteur Jean-Yves Beinis, qui les avait exécuté sur la personne de mon père.

Mon père n'était alors pas plus "en fin de vie" qu' "irrécupérable",dixit le docteur Beinis sous la dictée d'Olivier Ille, dont il exécuta les ordres mortifères, qui consistaient à simuler devant moi, pour me faire croire qu'il le recevaitn l'administration du traitement de la maladie de Biermer, une maladie  diagnostiquée lors de son admission aux Urgences de Bicêtre le 31 juillet 1990 ... et rapidement mortelle au stade où mon père en était arrivé si cette maladie n'en bénéficie pas ...

(à suivre sur www.genocides.over-blog.com  (blog de leon)

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