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17 octobre 2016 1 17 /10 /octobre /2016 16:05

Bretons,  ARTung   ARTung ! 

Les ART.R.417-11 §I3, ART.L.121-2 C.ROUTE.ART.L.241-3 - 2  C.A.S.F. ART.L.2213-2 3° C.G.C.T. ART.R417-11 §IIC.ROUTE  rodent dans les environs, qui peuvent vous tomber dessus si vous ne faites pas attention !

Ca m'est arrivé le temps de poster une carte postale depuis la boîte placée devant la Poste de Lamballe.

La boîte est située sur le bord du trottoir de façon que les automobilistes puissent y déposer leur courrier sans descendre de voiture.

Les ART.R.417-11 §I3, ART.L.121-2 C.ROUTE.ART.L.241-3 - 2  C.A.S.F. ART.L.2213-2 3° C.G.C.T. ART.R417-11 §IIC.ROUTE  m'ont été inoculés bien que  le temps d’arrêt nécessaire pour poster la carte lettre n'ait été que de deux ou trois secondes, car 4 m 30  après le couloir de circulation menant vers ladite boîte se trouvent un large emplacement réservé au stationnement des véhicules munis de la carte attestant qu'ils appartiennent à la catégorie des personnes immunisées handicapées.

Cet emplacement empiète largement sur la chaussée, et c'est en cela que réside le risque de contamination : après avoir posté ses lettres, l'automobiliste lambda ne se méfie pas assez que, sauf à faire un crochet vers la droite pour éviter de rouler sur cet emplacement quand il reprend  la route, roule un peu dessus. C'est durant ce court instant qu'il peut être infecté. 

C'est ce qui m'est arrivé en postant ma carte, car après avoir parcouru une centaines de mètres je me suis engagé dans rue Préville, une rue étroite à sens unique. Une voiture à gyrophare me klaxonnait. J’ai regardé dans le rétroviseur. C'était une voiture de la gendarmerie. J'ai pensé qu'elle assurait  une urgence et j’ai accéléré l'allure pour me ranger un peu plus loin sur la droite, rue de Bouin, de façon à la laisser passer rapidement.

La voiture de la Gendarmerie s’est arrêtée à ma hauteur et sa conductrice m'a intimé péremptoirement l’ordre d’aller me ranger plus loin sur le terre-plein déserté d’une ex Agence Renault. Comme je portais des lunettes fumées et une casquette bleue à visière, j’ai pensé que j'étais contrôlé en vertu des mesures sécuritaires instituées depuis l'attentat du 13 novembre.

La gendarmette qui m’avait pris en chasse examina mes papiers, sortit un carnet à souche, me signifia que j’écopais d’une amende de 90 euros pour avoir illicitement stationné sur lesdits emplacements réservés.

J’eus beau lui expliquer ce que j’ai rapporté ci-dessus, rien n’y fit. Elle me dit d'une façon qui ne souffrait pas la discussion  "On vous a vu" (sic) cependant que sa collègue ne pipait mot.

Le lendemain je me suis rendu à la Gendarmerie expliquer l'affaire. Une des gendarmettes, celle qui était restée passive,  était là.

Les gendarmes m’ont très gentiment écouté et fait savoir qu’il fallait attendre la communication de l’avis d’infraction pour pouvoir placer une réclamation.

Or je n'ai jamais reçu l'avis me notifiant l'infraction et l'amende s'y rapportant. J'ai pensé que suite à ma démarche à la Gendarmerie l'affaire avait été classée. Mais datée du 31 mai une lettre postée écopli depuis le tribunal d’instance de Saint-Brieuc m'invite à me rendre chez Maître Philippe Trouvé, huissier Dinan, une ville située à une quarantaine de kilomètres de chez moi.

La réceptionniste me remit contre signature une lettre stipulant  que je suis passible d’une amende majorée  pour l'infraction que j’aurais commise dans l’après-midi du 19 avril 2016. J'ai avec cette lettre appris que j'étais convoqué à me présenter au Tribunal de Police de Saint-Brieuc le mercredi 5/10/16 ... pour << STATIONNEMENT TRÈS GÊNANT SUR UN EMPLACEMENT RÉSERVÉ AUX VÉHICULES PORTANT UNE CARTE DE STATIONNEMENT POUR PERSONNES HANDICAPÉES ... Infraction(s) relevée(s) à LAMBALLE (22400) RUE CHARLES DE BLOIS, en date du 19/04/2016 à 15h40, par procès verbal n°6325311649 dressé par BTA LAMBALLE, avec le(s) véhicule(s) immatriculé(s) : "ZZ-00-ZO" >>   numéro minéralogique de ma voiture évidement changé de façon humoristique, bien que l'affaire rapportée ne soit pas drôle du tout, car j'ai avec cette pseudo infraction dû couvrir quelques 130 kilomètres en allées et venues et perdre deux journées pleines pour avoir soi-disant stationné sur un emplacement réservé aux véhicules des personnes handicapées.

Le Greffier en Chef du Tribunal de Proximité de Saint-Brieuc m'informe le 6 octobre de la part du Ministère de la Justice (sic) que j'ai été "reconnu coupable" de << STATIONNEMENT TRÈS GÊNANT SUR UN EMPLACEMENT RÉSERVÉ AUX VÉHICULES PORTANT UNE CARTE DE STATIONNEMENT POUR PERSONNES HANDICAPÉES (code Natinf : 21200) avec la véhicule immatriculé  "ZZ000ZO"   à 15 h 40 le 19/04/16 à LAMBALLE (RUE CHARLES DE BLOIS) ... Faits prévus et réprimés par ART.R.417-11 §I3, ART.L.121-2 C.ROUTE.ART.L.241-3 - 2  C.A.S.F. ART.L.2213-2 3° C.G.C.T. ART.R417-11 §IIC.ROUTE  ... et condamné à ;: - une amende contraventionnelle de CENT TRENTE-CINQ EUROS ( 135 EUROS) à titre de peine principale ; ainsi qu'au paiement d'un droit fixe de procédure de TRENTE ET-UN EUROS (31 EUROS) >>

Nature du jugement : contradictoire (sic)

N° de l'OMP : 16/00006384

N° MINOS : 009204531626200008

Le montant de l'amende qui m'est infligée pour la susdite pseudo infraction se monte donc à 135 euros + 31 euros de "Droit fixe de procédure" ... à régler dans le délai d'un mois de la date à laquelle la décision a été prononcée" ... "moins 20%  sur le montant total à payer si le paiement est effectué dans le délai d'un mois à compter de la date la décision", et qu'il m'appartient de calculer moi-même le montant de cette diminution !

Ma lettre de réclamation expliquant que je n'avais aucunement stationné sur un emplacement réservé aux véhicules des personnes handicapées autorisées à y stationner n'a pas même été lue et les photos des lieux de l'emplacement de la boîte aux lettres de la Poste de Lamballe que j'avais adressés au Tribunal de Police n'ont servi strictement à rien.

Entretemps, dans une ville de la région parisienne, je me suis flanqué une sacrée trouille : rue des Lilas, deux emplacements réservés aux véhicules de personnes handicapées se font face de part et d'autre de la chaussée, ne laissant qu'une bande très étroite ou seuls les vélos et les motocyclettes peuvent passer sans mordre sur les dits emplacement.

La rue est à sens unique. Donc hors de question de faire demi-tour ! Que faire alors ?

J'ai pris mon courage - je veux dire mon volant - à deux mains et j'ai roulé sur les dits emplacements en espérant qu'aucune gendarmette ou qu'aucune  caméra ne filmait la scène.

EN CONCLUSION :  Je suggère à la Maréchaussée de placer au loin des gendarmettes ou une caméra cachée pour prendre les automobilistes qui s'aventurent à rouler sur ces emplacements en flagrant délit, ce qui lui permettra de leur envoyer une contravention.

Les recettes  financeront  des  protections pour prémunir les gendarmes et les gendarmettes des exactions commises par les terroristes de mon espèce. 

Voilà qui justifie les  courageuses et réalistes déclarations de François Hollande faites aux journalistes Fabrice Lhomme et Berdard Navet. Quant à Yves Deloison, auteur de  "Pourquoi les femmes se font toujours avoir", je lui suggère de revoir sa copie. Marlène Schiappa l'y aidera sûrement. voir article suivant ....

L'affaire des assassinats de malades commis par Malèvre sous l'égide d'un Olivier Ille couvert par ses pairs et la Justice les justifiant beaucoup plus amplement.

NB : Fabrice Lhomme et Berdard Navet étant des journalistes du journal Le Monde il y a peu de chance que celui-ci fassent état de ces raisons d’État dans la mesure où ce journal à contribué avec Yves Nau à l'occultation de cet état de chose.

Les récentes déclarations de François Hollande sur la Magistrature sont-elles impertinentes ou pertinentes ?

Et au cas où elles seraient pertinentes, pertinentes par rapport à quoi ?

Le Président de la République est de par ses fonctions nécessairement un des Français les mieux informés sur le fonctionnement des Institutions en général, et sur le fonctionnement de l'Institution Judiciaire en particulier.
Sans être juristes de formation, les anciens Ministres issus de l'énarchie peuvent d'ailleurs s'inscrire au Barreau et devenir avocats : tel par exemple l'ancien Ministre de l'Intérieur Pierre Joxe.
En connaissance de cause, Pierre Joxe s'est courageusement fait le défenseur des enfants maltraités victimes d'exploitations sexuelles.

Courageusement, parce que s'élever et lutter contre cette exploitation n'est pas un créneau très porteur. 

Sigmund Freud s'en était assez vite rendu compte  qui,  contrairement à ce qu'il avait tout d'abord pensé, avait naïvement cru que dénoncer la découverte qu'il avait faite que  les pères incestueux avait quelque chose à voir avec l' hystérie de leur progéniture lui apporterait gloire et fortune.

Le très mauvais accueil fait à son livre intitulé "Etude sur l'hystérie", cosigné en 1995 de Josef Breuer malgré la réticence de celui-ci - et pour cause (cf. www.blog-de-leon- origine-sulfureuse-de-la-mystique-freudienne) et les conférences qu'il fit dans lesquelles il défendait cette thèse  le fit changer d'idées : il changea son fusil d'épaule et retourna sa veste en inversant le propos : ce n'était pas les pères où la parentèle qui étaient en cause dans la survenue de l'hystérie de leurs filles, mais la résurgence fantasmatique de désir incestueux mal liquidés.
Ses  conceptions pseudo scientifiques clouaient ces enfants au pilori, au grand soulagement de la pédophilocratie, qui s'empressa de lui emboîter le pas, tel par exemple le docteur Ernest Jones, qui, poursuivi pour détournement de mineur-e-s avait dû fuir la Justice anglaise et s'était réfugié au Canada avant de  rejoindre Freud à Vienne et lui suggérer l'invention d'un complexe œdipien pour parfaire son renversant concept de désirs œdipiens  "découvert" chez lui-même dans une soi-disant  "auto-analyse" en octobre 1997. En réalité à partir l'incestualité de sa mère lors d'un voyage en chemin de fer, un voyage qu'il fit avec elle lorsqu'il n'était qu'un jeune enfant (de 2 ans et demi d'après lui-même et de 4 ans d'après les recherches des historiographes.

Pierre Joxe a présidé au côté de la psychologue-clinicienne Marie-Christine Gryson Dejehansart, d'autres cliniciens et d'autres avocats, le bureau du colloque qui s'est tenu le 14 février 2011 à l'Université Panthéon Sorbonne au Colloque organisé par le psychiatre Gérard Lopez sur la parole de l'enfant après la mystification d'Outreau.

J'ai exposé dans mes derniers articles sur quoi le Président de la République pourrait avoir fondé ses déclarations, sachant qu'il sait à quoi s'en tenir sur ce qui a fait que François Mitterrand n'a pas voulu (ou pu) tenir sa promesse, qui voulait  que le Conseil de l'Ordre des médecins soit supprimé à cause de son grand pouvoir de nuisance sur la Santé publique.

C'est un manquement qui ne peut manquer d'avoir à voir avec ce qui a fait que le docteure Laurence Kouyoumdjian n'a pas été citée comme elle aurait dû l'être à la Légion d'Honneur mais a au contraire été virée comme une malpropre du poste qu'elle occupait au côté du docteur Olivier Ille alors que c'était grâce à elle, et non pas grâce au docteur Olivier Ille, comme on peut le lire ici et là sur la Toile, que la série des assassinats perpétrés par Christine Malèvre a été stoppée. La France fonctionnement bien souvent à l'envers, quand elle ne marche pas carrément sur la tête, a conservé le sien.

Mon expérience de ce qui s’est passé en 1990 et les années suivantes, qui avait à plusieurs reprises failli conduire mon père à la tombe avant de le laisser gravement invalide, et la manière très tortueuses dont Justice, l'AP - HP  et le Conseil de l'Ordre des Médecins se sont entendus pour faire passer sa plainte à la trappe dans un insoutenable et très méprisant non-lieu en dit long sur ce qu'il est du fonctionnement de la Justice en France dans les affaires dites "sensibles", comme dans les plus petites d'ailleurs, sous prétexte de manque d'effectifs et de surcharge de travail.

Les déclarations de François Hollande aux deux journalistes du "Monde" sont en réalité  pertinentes par rapport aux susdites réalités en même temps qu’elles sont évidemment impertinentes par rapport à la Magistrature, puisque c’est en toute connaissance de cause que François Hollande les a faites.
Le non-lieu requis par le Parquet de Créteil n’avait en effet aucune raison d’être, hormis le fait que la tentative de meurtre qui avait échouée malgré la "subtilité", c'est-à-dire l'ingéniosité de son montage pour pouvoir la faire passer pour la conséquence d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) sur fond de maladie d'Alzheimer conduisant immanquablement  ("inéluctablement", pour reprendre les termes utilisés par les neurologues qui l'avaient en charge) à une mortelle "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic),  immanquablement mortelle à brève échéance avec le traitement proposé (du Prozac*, cf. site n° 69970222 et 69972429 html) alors qu'il ne s'agissait à l'évidence  - même pour un médecin "lambda" comme moi - d'un état vitamino-carentiel, et plus précisément vitamine B12 carentiel, ainsi que l'avaient très bien compris et exprimé devant moi les premiers médecins qui avaient examiné le malade aux Urgences de Bicêtre au terme de leur examen clinique, un diagnostic qu'ils avaient formulé au retour et vu de l'hémogramme du malade, un hémogramme  caractéristique en effet des carences vitaminiques  B12, c'est-à-dire une carence B12 particulièrement accessible à un traitement extrêmement  simple et économique, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, un traitement qui ne connaît aucune contre-indication, hormis les tumeurs gliomateuses, ce dont à l'évidence le malade ne souffrait pas.

Non seulement les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd n'administrèrent pas le traitement de la maladie de Biermer à leur malade, mais ils me firent croire qu'ils le lui faisaient administrer. Prévoyant ainsi son décès proche, ils se débarrassèrent de lui en l'adressant dans un Service de Gériatrie au prétexte que le malade ne s'améliorait pas et qu'il occupait aussi coûteusement qu'inutilement le lit d'un Service spécialisé. En réalité ils l'envoyaient mourir ailleurs que dans leur propre Service.

Mais les infirmières du Service de gériatrie avaient une bonne connaissance de la maladie de Biermer, car c'est une maladie très fréquente chez les personnes de plus de 60 ans.
C'est ainsi qu'elles m'ont prévenu du simulacre et que j'ai  pu intervenir à temps pour ressusciter le malade (www. 69970222 html).
Programmée, son élimination s’inscrivait dans la série des éliminations de malades HIV + qui avaient cours en 1990.

Elles ont eu cours encore longtemps après, sous un même prétexte d’euthanasies compassionnelles et sur les ordres du même médecin avec des malades éliminés pour les mêmes raisons que celles qui avaient prévalues contre mon père, en l'occurrence pour chercher à faire à bon compte des économies au dépens de ces  patients, c’est-à-dire pour des raisons aussi inavouables qu’intolérables.

Ces agissements nécessitaient des complicités judiciaires afin qu’elles ne soient pas révélées.

Mais ces occultations furent quelque peu bousculées et contrariées par les  "malencontreux" signalements du docteure Laurence Kouyoumdjian.  

N'est-il pas paradoxal que le Président de la République soit plus vilipendé pour avoir eu le courage de mettre les pieds dans le plat que pour avoir eu la faiblesse de les en avoir retirés ?

Bibliographie très sommaire :

1 - Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang", La découverte, 1992, toujours disponible chez votre libraire.

2 - Sophie Coignard, "Omerta française", 1999, réédité en Livre de Poche (Collection Pocket)

4 - Jacques Bénesteau "Mensonges freudiens" Mardaga 2003

5 - http://genocides.over-blog.com/ article 34640255.html

6 - http://genocides.over-blog.com/

     article 34292619 html                            

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