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7 janvier 2017 6 07 /01 /janvier /2017 16:27

"Planète interdite" est un film que j'avais été voir à sa sortie, en 1957, au cinéma "Le Panthéon", un après-midi, après les cours. La projection avait déjà commencée. Dans le film le Docteur Morbius est, avec sa fille Altaira, le seul survivant d'une expédition spatiale qui a été décimée par une force inconnue ...

Le Docteur Morbius explique au commandant Adams, venu enquêter sur le disparition de l'équipe, avoir découvert qu'il y a plusieurs milliers d'années, la planète était habitée par des êtres à l'intelligence exceptionnelle, les Krells, lesquels ont mystérieusement disparu en laissant derrière eux un cube de plusieurs kilomètres de côté capable de fournir une quantité illimitée d'énergie. Ce cube n'a donc rien à voir avec le STSMC, découvert sur la planète Terre il y a cinq ans par le Dr. "Léon", l'auteur de ces lignes.  L'énergie que peut fournir le STSMC ne se limite en effet à proposer que quelques centaines de terawatts.

Le résumé de "Allociné" ne correspond pas pleinement au souvenir que j'ai gardé du film : le gros cube servait dans mon souvenir non pas à fournir de l'énergie mais à élucider le comportement des insectes. Ou à fournir l'énergie nécessaire à l'élucidation de leur comportement. Il va me falloir revoir le film, qui serait, d'après Allociné "une très libre adaptation de La Tempête de William Shakespeare".    

Quoi qu'il en soit, la machine infernale trouvée sur "La planète interdite" n'est pas ce cube immense, mais une machine à booster l'intelligence, une sorte d'électro-encéphalogramme, à brancher sur le crâne. L'appareillage, à l'instar du divan freudien, tue, rend dingo, pervers ou super "intelligent"  - c'est-à-dire paranoïaque - comme l'est dans le film devenu le Dr. Moebius, qui s'en était servi pour comprendre les Krells.

Ces "Krells" super intelligents n'avaient pourtant pas tenu compte des propos d'Arthur Shopenhauer, dont Freud avait fait ses choux gras, à savoir que l'intellect est conditionné voire gouverné à son insu par les résidus d'un passé enfouis dans les couches inférieures de la conscience.  Freud a TIR2  l'idée l'idée que les "névrosés" en tiennent une couche, comme le dit l'expression populaire "en tenir une sacrée couche", pour les désignés.   

Planète interdite serait une très libre adaptation de La Tempête de William Shakespeare.

Parce qu'il s'est aperçu que la psychanalyse ne guérit pas mais rend fou, pervers ou paranoïaque, quand elle ne conduit pas à l'invincibilité l'imbécillité - cf. Adolfus Hitler, grand lecteur de Schopenhauer après qu'il est passé en 1908 par les mains par le divan  et l'enseignement de Sigismund Freud après la mort de sa mère - le psychanalyste François Roustang l'a reniée, en 1976, pour se tourner vers l'hypnothérapie, alors que celle-ci peut aussi servir les mêmes vices - cf. le même Adolf Hitler passé l'hypnothérapeute Edmund Forster à l'hôpital de Pasewalk en novembre 1918  pour soigner une masculine hystérie (Cf. "Le témoin oculaire", un rapport du docteur Ernst Weiss,  rédigé d'après celui du docteur E. Forster, qu'il avait réussi à sauvegarder avant qu'Hitler, parvenu au pouvoir, ne les fasse disparaître illico avec son auteur (Folio n° 2261, Gallimard, avril 1991).     

François Roustang avait abandonné la psychanalyse après avoir assisté, pétrifié, en 1975, aux conséquences inhérentes aux concepts "psychanalytiques" freudiens.

Cela s'était produit à Villejuif, lors du staff du mardi, dans le Service dit de "psychiatrie institutionnelle" tenu par madame Jeanine Piret-Pillachon,  à hôpital psychiatrique Paul Guiraud, un établissement (un psychiatre farouchement anti-freudien, le docteur Pinchas Borenstein, y faisait l'objet de railleries de la part d'icelle

La "psychiatrie institutionnelle" est la démarche psychiatrique qui cherche à marier la carpe avec le lapin en mariant le marxisme aux fabulations du docteur Freud.

Comme Freud avait lancé ses fables sur le marché de la psychiatrie dans l'intention de se faire du blé de faire fortune, au mépris même de leurs vraisemblances, autant dire qu'il y a comme une contradiction interne à cette très louable intention.  << Il faut en finir avec la plainte, sortir de notre moi chéri, que nous cultivons à coups de jérémiades >> clamait François Roustang (Odile Jacob, 2000, )

François Roustang est décédé 23 novembre dernier.

Madame Piret prenait les concepts "psychanalytiques" de Freud au sérieux, ce qui avaient fait qu'elle avait, en toute innocence (?) rejeté les aveux que m'avait fait un grand-père de 73 ans à son admission dans son Service. Elles les avait ipso facto attribué à des rêves, c'est-à-dire à des fantasmes.

Madame Piret n'avait toutefois pas été jusqu'à parler de "fantasmes oedipiens". Ce que je regrette parce que le "fantasme oedipien" renvoie à celui auquel Freud n'avait ou ni pu, ou ni su, ou ni voulu accéder, inconscient qu'il était demeuré de l'origine de son fantasme originaire.

Il est bien connu que dans les familles le premier concerné par un secret est le dernier à le connaître.

Freud n'avait pas eu, comme Jacques Lacan s'est tout au long de son enseignement  métaphoro-paradigmatique échiné à l'exposer, accès à sa propre équation originaire.

Le cas du grand-papa pas au courant de ce que la conception de Freud en est une, à une différence près, s'il a dit vrai, s'il a "parler vrai", aurait dit Françoise Dolto, qui les disait consentantes.

Ce grand-père venait d'être hospitalisé pour "dépression". Sa dépression n'était pour moi pas du tout évidente. Il m'était surtout apparu inquiet parce que sa petite-fille, la fille de sa fille, venait d'être hospitalisée. Il m'avait fait part des relations sexuelles qu'il avait fait subir à sa petite-fille au cours desquelles il avait certes éjaculé mais, "sans qu'il ait eu réelle pénétration", avait-il tenu à préciser. Il craignait que ces relations puissent lui être reprochées.

Ce en quoi ses craintes étaient non pas illégitimes, mais exagérées parce que "fantasmées". A sa décharge il n'était pas assez savant pour savoir que la doctrine freudienne était faite pour lui et ses semblables, comme l'a bien montré la "sociologue" Marie Balmary en 1979 en publiant sa thèse.

L'adolescente venait d'être hospitalisée à l'hôpital Saint-Anne sur le diagnostic d'une probable schizophrénie.

<< Il n'a fait que rêver >> avait péremptoirement proclamer madame Piret, manifestement prise d'angoisses.

Sur ce, elle avait promptement mis fin à toute discussion, alors que je venais d'insister en proposant de prévenir les psychiatres du Service qui avaient recueilli la petite-fille de ce nouveau patient.

Je n'avais pas encore une assez grande expérience du négationnisme des psychiatres concernant les questions d'incestes, mais mon insistance à vouloir prévenir les psychiatres de Saint-Anne avait mis madame Piret dans tous ses états, au point qu'elle s'était levé et m'avait mis la main devant la bouche lorsque j'ai insisté pour que cela se fasse.

Les participants se taisaient alors que je sollicitai leur avis. Je me suis tourné vers François Roustang pour qu'il exprime le sien, espérant qu'il soutiendrait le mien.

Mais il resta figé, comme pétrifié, allongé sur sa chaise à regarder fixement le bout de ses chaussures (très bien cirées) comme s'il avait été changé en statue de sel (je n'avais pas encore lu "L'homme aux statues", la thèse iconoclaste et révoltante révolutionnaire de Marie Balmary, et pour cause, elle n'a été publiée qu'en 1979, et avait, à l'époque, été jugée exécrable, à commencer par son directeur de thèse, un psychiatre "psychanalyste" demeuré orthodoxe, c'est-à-dire "imbécile", ainsi que l'avait qualifié Jacques Lacan en 1964 (ou 1968, je ne me souviens pas exactement quand c'était - qui s'en souvient ?) après qu'il a publié avec Jean-Bertrand Pontalis un fascicule intitulé Fantasme des origines, Origine du- ou des - fantasme(s) et par la suite plus longuement "Fantasme originaire Fantasme des origines Origine du fantasme" dans lequel Jean Laplanche et J-B. Pontalis traitaient les équations symboliques de Jacques Lacan comme des entités mathématiques pour "démontrer" que le fantasme originaire à l'oeuvre dans les névroses se situait dans le dessous des dessous de ces équations, qu'il était donc difficilement accessible à la conscience !

Autrement dit seuls des psychanalystes de la pointure de Jean Laplanche et Jean-Bertrand Pontalis sont à même de l'atteindre.

Mais comment n'y ai-je pas pensé avant ? N'était-ce pas pour pour tenter d'y accéder que François Roustang regardait si fixement le bout de ses chaussures vernies en 1975 ?

En mauve et bon balm-aryen lacanoïdien j'en ai moi-même tracé la trace innée, la forclusion expliquant où s'origine le délire de Freud, son refoulement expliquant l'inexpliqué, et pourquoi eut recours à la bande de Moebius en guise de métaphore pour en expliciter la nature infernale de sa contagiosité sans limite déli-mythée.

Vous pourrez très difficilement vous procurer ledit fascicule, que ses auteurs se sont empressés de faire disparaître avant de le ressortir après la mort de Lacan, expurgé de ses lacâneries.

La brillantissime thèse de Marie Balmary faisant au goût de Jean Laplanche un peu trop référence à Jacques Lacan, il la black-boulée au prétexte que c'était non pas une thèse de psychanalyste mais la thèse d'une sociologue. Quand on veut noyer son chat ...

Voici néanmoins ce qu'en dit un lecteur : << Dans ce petit ouvrage, J. Laplanche et J-B. Pontalis s'attachent à l'un des éléments fondateurs de la psychanalyse : le fantasme. En effet, comme ils nous le font redécouvrir dans cet ouvrage, la notion de fantasme traverse la théorie freudienne de bout en bout et en dessine les contours. Revenant chronologiquement sur l'évolution de la pensée de Freud et de ses successeurs, les deux auteurs évoquent avec beaucoup de clarté et d'intelligence des questions telles que l'évolution de la théorie freudienne des pulsions, la nature sexuelle du fantasme ou l'importance du conflit originaire. >>

Pour en revenir aux propos négationnistes tenus par madame Piret, bien d'autres "psys" imprégnés de freudistique auraient pu les tenir, puisque les cerveaux ont été contaminés. Ils sont contagieux, appliquent et propagent aveuglément la doctrine du "Maître" de Vienne.

Le professeur Henri Baruk détestait les effets de sa doctrine. Lui qui avait dû porter la croix de David durant le régime de Pétain comparait Freud à Hitler, jusqu'à les mettre dans le même sac ! Leurs doctrines venimeuses sont de fait comparables aux effets du virus du SIDA.

Après avoir pénètré le cerveau d'un individu elles en désorganisent par une transcriptase réthorique perverse les défenses immunitaires, s'y multiplient en silence et finissent par en faire un agent contaminant pour les partenaires de rencontre.

La freudienne nécesseite pour être contenue, en attendant qu'un vaccin efficace soit à même de l'éradiquer, telles les tri-thérapies du SIDA, une approche multi-psychothérapique, telles les TTC combinées à d'autres approches psychothérapiques, l'hypnose, l'analyse systémique, les psychothérapies dites positives, la méthode Coué ....

Roger Perron, qui n'est pas psychiatre, participe aux travers de ses écrits à la propagation de l'épidémie : cf., sous sa signature, le "Que sais-je" (les P.U.F. se consacrent ainsi à la propagation du complexe infectieux, nommé complexe d'Oedipe, comme à son contre-poison, puisqu'elles publient aussi "Tempête aux Archives Freud", de Janet Malcolm (1986).

R. Perron a continué de le propager dans un article consacré - et sacrément ... - à l'inceste", livré dans un des plus gros, mais pas le plus puissant, agent de transmission, le "Dictionnaire international de psychanalyse", paru en 2002 chez Calmann-Lévy, inconscient de ce qu'entre infester et incester, il y a l'Être. Le lui aurait dit s'il était en corps de ce monde d'idiots serre-tifiés/certifiants Jacques Lacan, qui avait au moins eu le mérite d'avoir cherché à éradiquer l'Impair par la vaccination. Le virulent article de Perron est adoubé donc certifié conforme par le responsable de ce dictionnaire, Alain de Mijolla, qui outre Roger Perron a réuni pour sa rédaction une centaine de psychanalystes, dont certains psychiatres.

Je n'ai pas eu l'idée de vérifier si Samuel Lepastier le est de ceux-là. C'est un psychiatre qui se veut "psychanalyste" qui en tant que tel a écrit que les enfant d'Outreau avaient surtout été victimes de le fantames oedipiens. Il a réussi à s'introduire au sein du CHU La Pitié-Salpétrière pour y propager la dite infection au sein même des hôpitaux. Il est en outre paré du titre de professeur, à l'instar de Daniel Wildlöcher, auteur d'un ouvrage traitant du processus de destructuration à l'oeuvre dans la psychanalyse, intitulé "La psychanalyse et le processus du changement". Ce n'est donc pas un secret. La psychanalyste Caroline Gros-Azorin, épouse de pychiatre, a ouvertement anoncé la couleur dans une conférence faite au CIP (Collège International de Philosophie) en disant qu'il s'agissait bien de procéder à la "destructuration" des personnes afin qu'elles se restructurent autrement, c'est-à-dire de façon qu'elles "ne cédent rien sur leur désir".

Ainsi du docteur Jean-Claude Elmelik, gynécologue, qui ne cédait rien sur son désir de "se faire" en salle de réveil les parturientes pendant qu'elles étaient encore endormies. Faute d'être bien renseignées, celles-ci avaient commis la faute l'erreur fautive de mettre les pieds dans sa Clinique pour accoucher ou pour bénéficier d'une IVG suivie de viol, et de l'ex Directeur du FMI, Dominique Strauss-Kahnpour au sortir d'une salle de bain, pour ne rien céder sur le sien lui fit sans doute céder la présidence de la République Française à François Hollande.

Ce qui montre que les voies du Seigneur ne peuvent être violées sans prêter à conséquences.

Comme tant d'autres "psys" contaminés par le freudisme, le professeur Samuel Lepastier, tel un porteur sain n'en véhicule pas moins le virus autrichien.

Sur le même modèle, l'affaire relatée par le docteur Bernard Elhaïk dans son livre "La vérité pour ma fille" sous-titrée "Quand l'erreur médicale est étouffée par l'hôpital et la justice" (récemment paru aux éditions Michalon) pourrait aussi être mise sur le compte de fantasmes cependant qu'elle illustre comme dans tant d'autres affaires étouffées, qu'il est d'autant plus difficile, c'est-à-dire en fait impossible, d'avoir gain de cause en portant plainte contre les méfaits des médecins de l'AP - HP et les structures similaires de l'Assistance Publique que les fautes commises par ceux-ci ont été lourdes, voire intentionnellement mortelles, et quand bien même des preuves factuelles irréfutables abondent, qui sont versées au dossier, parce que :

1° les juges confient les expertises médicales à des médecins qui sont quasiment toujours sanctionnés par le Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins s'ils se permettent de rapporter les fautes et les erreurs commises dans leur intégralité sans en esquiver la grossièreté,

2° parce que même s'ils les rapportent suffisamment clairement et fidèlement dans leurs expertises pour se mettre en accord avec leur conscience ...

3° ils font en sorte, pour se mettre à l'abri des remontrances et des sanctions de l'Ordre, d'arranger leurs conclusions en y noyant quelques éléments qui renversent et annihilent en gros caractères ce qu'ils ont très longuement exposé de façon fastidieusement technique en petits caractères.

Ce fut le cas de la contre-expertise confiée au docteur Yves Dano par madame Bénédicte Scelles, Juge d'instruction au TGI de Créteil, qui l'avait choisi en tant qu'expert étranger à l'AP -HP dans l'affaire précédemment expertisée conduite par un trio d'experts issu de l'AP - HP et conduit par le professeur René-Claude Touzart, relation des premiers médecins à avoir commis les "erreurs" qui avaient failli conduire mon père à la mort, une première fois à la fin du mois de mai 1990 dans les Clinique des docteurs Edith et Jean-Claude Elmelik (le frère et la soeur), une seconde fois en septembre 1990 après "qu'On" (On = les neurologues de l'hôpital Bicêtre en août 1990) a fait semblant de lui administrer le traitement qu'il lui fallait, ce qui avait failli le tuer, un traitement qui aurait déjà dû lui être administré en mai et juin 1990 au moment de son séjour forcé dans la susdite Clinique.

Les neurologues de Bicêtre, au lieu de le lui administrer, avaient intentionnellement falsifié les résultats des examens qu'ils avaient fait réaliser par madame Jeanine Yvart, médecin chargé du Laboratoire de médecine nucléaire de l'hôpital Bicêtre afin de me faire croire, à moi qui suis médecin, et parce que je le suis, que mon père ne souffrait aucunement de la maladie de Biermer diagnostiquée à son admission, cette maladie mortelle ayant le tort de se traiter facilement pour le prix de deux paquet de cigarettes, mais d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) compliquant une maladie d'Alzheimer, toutes deux incurables, le tout baptisé "ATTEINYTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" traité par du Prozac*...

Mon père était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" m'avaient prévenu les dits neurologues (dixit le Chef de Clinique Pascal Masnou à la mi-août 1990 ) afin que je m'étonne de rien, paroles reproduites telles quelles six ans plus tard dans son expertise par le docteur François Chedru rédigée en février 1996 malgré la démonstration du contraire, faite en septembre 1990 quand j'ai dû intervenir pour "rectifier" in extremis ces "erreurs", au moment où elles ont failli être fatales réussir.

Les neurologues de Bicêtre n'avaient pas prévu, parce que cela leur semblait inimaginable, que les infirmières du Service du docteur Beinis sauraient reconnaître la maladie de Biermer et qu'elles feraient rater leur plan en m'avertissant qu'elles avaient reçut l'ordre, aberrant à leurs yeux, de ne faire que semblant d'administrer au malade le traitement de la maladie de Biermer !

François Chedru était (est-il encore inscrit au tableau des experts ?) pourtant un expert réputé intègre et honnête. Toujours est-il que c'est, comme par hasard, à lui que professeur Olivier Lyon-Caen, neurologue de la F.F.N., s'est adressé pour venir discuter de la sincérité des expertise à feu l'émission de France-Culture "Avec ou sans rendez-vous" (en septembre 2011, alors qu'il était bien au courant de l'affaire que Chedru avait expertisée en la bidonnant pour en faire disparaître la monstruosité.

+ sur http://genocide-over-blog.com.

J'avais dans cette affaire pu échapper, grâce aux infirmières de l'hôpital Charles-Foix, aux mensonges des neurologues de Bicêtre, et dû par moi-même administrer in extremis à mon père le traitement de la maladie de Biermer, ce qui l'avait sorti du coma prémortel où l'avait plongé le simulacre de traitement que lesdits neurologues lui avaient fait administrer.

Les infirmières de l'Unité de Soins Normailsés (sic) de l'hôpital gériatrique Charles-Foix où les neurologues de Bicêtre l'avaient envoyé mourir m'avaient signalé à temps la supercherie, ce qui m'avait permis d'intervenir, et à mon père de se rétablir ... et par-là même de semer la panique, jusqu'aux ministères concernés : d'où la mise place de l'Espace Éthique de l'AP - HP en tant que ... rideau de fumées pour couvrir ce qui s'était passé à Bicêtre en 1990 et en prévision du procès à venir de Christine Malèvre, qui avait agi sous l'égide du même médecin, le docteur Olivier Ille, toujours en place au CHU de Mantes la Jolie, et qui, pour se couvrir, milite maintenant au sein de la Communauté de l'Emmanuel http://www.exultet.net/eshop/pages-product.../dr-olivier-ille-prends-soin-de-lui-3.html

Ce qui continue de faire problème, le go uvernement étant responsable du maintien du Conseil de l'Ordre, qu'il avait promis d' abolir parce qu'il s'agit d'une organisation terroriste et totalitaire de type soviétique.

L'Ordre des médecins se charge d'entraver et de faire bloquer par les parquets toutes les plaintes portées contre les praticiens coupables de viols, parmi bien d'autres ceux commis par le docteur André Hazout à Clamart, du docteur Jean-Claude Elmelik en sa Clinique de l'Haÿ-les-Roses pour ne parler que ceux-là.

Quant aux viols pédoclastiques du docteur Boscher à Yffigniac, dans les Côtes d'Armor, s'ils ont malgré tout pu faire l'objet d'un procès par lequel le docteur Boscher s'est vu condamné et interdit d'exercice par la justice, celui-ci n'en a pas moins intégré l'Ordre des médecins APRES sa condamnation judiciaire.

Le président François Hollande, que j'avais mis au courant de cette affaire quand il n'était encore que le Secrétaire du PS, en a connaissance, puisqu'il m'avait répondu par lettre en 2008 qu'il n'était pas en son pouvoir de faire quoi que ce soit en ce domaine, alors que le PS, quand il était incarné par François Mitterrand, avait promis d'abolir cet Etat de non-droit dans l'Etat qu'est le Conseil de l'Ordre des médecins.

Quand je la lui ai à nouveau rappelée, en lui écrivant le 18 juillet 2012, depuis la poste l'Haÿ-les-Roses, qui jouxte presque ce lieu de perdition qu'était la Clinique des Elmelik, et alors qu'il était nouvellement élu à la Présidence de la République et alors qu'il aurait pu intervenir en tant qu'il est, de par sa fonction, le premier magistrat de France comme il est aussi le Chef des armées.

Ma lettre du 18 juillet 2012 avait aussi été adressée ce jour-là à Manuel Valls, au professeur Didier Sicard, président d'honneur du Comité National d'Ethique, au Figaro, par lettre et via Internet, telle qu'elle figure au site n° 108281777 html sous le titre "La théorie du complot, mythe et réalité ? " http://genocides.over-blog.com/article-theorie-du-complot-mythes-et-realites-108281777.html

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