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8 février 2017 3 08 /02 /février /2017 12:49

En dépit de ce que l'on serait tenté de croire, les "histoires" suivantes ne sont pas que des fables, mais des réalités tangibles, c'est-à-dire very fiables.

Les "fables scientifiques", c'est à pas moi qui les invente, mais un dénommé Sigmund Freud. Il savait si bien les présenter que ceux qui les ont avalées se parent maintenant du titre de professeur, cf. Samuel Lepastier, psychiatre et "psychanalyste" (sic) , qui a, sans même avoir conscience de sa X-ité, osé écrire dans "Le Monde" du 8 février 2006 qu'à Outreau les enfants avaient été victimes de leur "inconscient oedipien" (sic) alors qu'il est partout dans le monde, sauf en France (qui en est malade) que ce "complexe" n'existe pas - sauf chez les personnes, qui, comme Freud l'ont développé non pas parce qu'elles étaient nées ou avaient été victimes d'inceste, mais pour masquer le fait, inavouable, Freud ayant cru et surtout voulu faire croire qu'il était universel après qu'il s'est aperçu qu'il fallait en accuser ses parents afin de se persuader et persuader le monde qu'il était "comme tout le monde", c'est-à-dire "normal".

Deux  psychanalystes françaises, Marie Balmary (dans "L'homme aux statues"), Gabrielle Rubin ("L'histoire familial de Freud), une troisième avec  l'historienne de la psychanalyse qu'est Elisabeth Roudinesco ("Généalogies" écrit en collaboration avec le psychiatre et psychanalyste Serge Wasserzstrüm) ont montré que Sigmund Freud n'était probablement pas le fils biologique de Jacob Freud, mais le fils de Jakob Nathanshon, c'est-à-dire le fils de son grand-père maternel.

Une telle occurrence reste chose tout à fait inavouable, quoique loin d'être exceptionnelle;

Or c'est source de délires paranoïaques et volontiers mégalomaniaques lorsque les intéressés n'en ont pas vraiment conscience.

C'est ce qu"avait très bien compris, mais sur le plan conscient, Jacques Lacan quand il a avancé le concept, de "Forclusion du nom du père" à l'origine du délire paranoïaque de Freud. 

Il l'avait appliqué à Freud, son principal objet clinique. Il avait dans son enfance été témoin que sa mère était la maîtresse de son grand-père paternel.

Il n'avait pas eu de mal à comprendre que la mère de Sigmund Freud, Amalia Nathansohn, avait été la maîtresse de son père, et non pas de son grand-père, et que c'était là  toute l'histoire, et le problème inavouable de Sigmund Freud (les médecins et les sages-femmes d'expérience savent il est plus d'une fois arrivé que non seulement un père, mais un grand-père abuse de sa petite-fille et la mette enceinte) a

Ce qui porte le nombre des psychanalystes qui ont eu l'intuition, sinon la claire conscience, du fait à quatre, et à cinq si on y inclus la sociologue allemande Mariane Krüll ("Freud, fils de Jakob") et même à six puisqu'il faut y compter Jacques Lacan  

Commençons par la dernière en date que j'ai eu à vivre, parce qu'elle est la moins pénible, quoique pas moins ubuesque que la seconde, sans parler de la "psychanalyse", du moins telle que Freud la voulait.

L'existence en France de nombreux ronds-points inutiles voire dangereux peut se justifier dans la mesure où leurs constructions donnent aux entreprises de travaux publics de quoi faire facilement des bénéfices et accessoirement un peu de travail aux ouvriers que ces entreprises emploient.

Si leurs constructions contribuent à résorber un tout petit peu le chômage endémique, on peut se demander si les sommes qui consacrées à leur construction ne seraient pas mieux utilisées pour mettre en place du STSMC et/ou du STSMi, deux innovations industrielles qui permettraient de faire de substantielles économies budgétaires, puisque ces techniques permettraient alors de se passer et des énergies carbonées et de l'énergie nucléaire, et cela en peu d'années, pour ne pas dire en quelques mois, pour faire tourner les activités industrielles du pays, et cela de façon bien plus économique et écologique que le recours à ces deux types d'énergies. Elles rendraient même rapidement obsolète la solution des éoliennes et des hydroliennes, voire celle du photo-voltaïque.

C'est pourquoi elles risquent aussi de se heurter à des intérêts spécifiques.

Cependant, l'histoire, que raconte Raymond Devos, de voitures tournant indéfiniment autour d'un rond-point sans pouvoir s'en échapper, sauf à écoper d'une lourde amende du fait que toutes les routes qui y mènent sont à sens-unique, n'est pas seulement humoristique, mais métaphorique, et même quasi véridique. Elle correspond en effet à des réalités ubuesques que j'ai personnellement vraiment vécues.

J'en ai fait premièrement l'expérience en 1990, dans un Service de l'AP - HP, et lourdement les frais dans les années suivantes.

Je reviendrai en seconde partie sur les procédés ubuesques des neurologues du CHU de Bicêtre après avoir raconté l'histoire de la contravention ubuesquement abusive dont j'ai récemment fait les frais.

I - Le 19 avril 2016,jour anniversaire du débarquement des GI Baie des Cochons j'ai posté une lettre depuis la Poste de Lamballe (22640).

La boîte y est judicieusement placée sur le bord du trottoir de façon que les automobilistes puissent y glisser les lettres sans qu'il leur soit nécessaire de se garer et de descendre de voiture.

Ce n'est évidemment pas cette disposition qui est acadabrantesque.

Ce qui l'est se trouve 3 m 50 en aval du couloir qui mène à la boite, et surtout l'usage qu'en fait la maréchaussée.

Dans son prolongement se trouve un large emplacement de stationnement réservé aux véhicules des personnes handicapées. C'est un emplacement sur lequel il n'est guère possible de ne pas rouler après avoir repris son chemin. Il risque de devenir un chemin de proie, sauf à braquer le volant à fond vers la droite avant de repartir, comme on le fait pour se dégager d'un créneau.

La disposition de l'emplacement réservé aux véhicules des personnes handicapées m'avait paru curieuse. L'emplacement était situé bien trop près de la sortie du couloir qui mène les automobilistes vers ladite boite aux lettres.

L'emplacement aurait-il été conçu pour arnaquer les automobilistes ? Serait le moyen qu'auraient trouvé les Ponts et Chaussées pour financer la construction des ronds-points ?

La question se pose, car aux dires de certains, je ne serais pas la seule personne à en avoir fait les frais.

Il est en effet difficile aux automobilistes venus poster leurs lettres de repartir sans empiéter, ne serait-ce qu'un peu, sur lesdits emplacements, à moins de braquer à fond vers la droite au sortir du couloir, compte tenu de leur extension sur la chaussée.

Sans être titulaire de la carte d'ayant-droit à l'invalidité, j'avais glissé ma lettre dans la boîte depuis ma voiture, et repris immédiatement la route.

Je n'avais alors pas fait attention au fait que les roues de ma voiture, tout au moins la roue avant gauche, et sans doute aussi la roue arrière, ont roulé l'espace d'une fraction de seconde sur lesdits emplacements.

A peine avais-je fait une centaine de mètres qu'une voiture claque-sonnait derrière moi avec véhémence. Un coup d'oeil dans le rétroviseur me faisait voir que c'était une voiture de la Gendarmerie.

Je m'étais engagé rue Préville, une rue étroite et à sens unique, et roulais lentement (la vitesse y est limitée). J'ai pensé qu'il s'agissait d'une urgence. J'ai accéléré de façon à pouvoir me ranger plus vite un peu plus loin au sortir de la rue pour que la voiture des gendarmes puisse passer. Je n'avais pas compris que c'était moi l'Urgence : la voiture de la gendarmerie s'arrêta pile à ma hauteur.

La gendarmette qui la conduisait me fit péremptoirement signe d'aller un peu plus loin me garer sur le terre-plein. d'un garage Renault désaffecté.

Comme je portais des verres fumés et une casquette de marin bleu -marine, et qu'au surplus ma voiture était immatriculée dans un département situé loin des côtes d'Armor, j'ai pensé que j'étais contrôlé parce que j'avais l'air louche.

Je n'y étais pas. C'était pas à cause de mes verres fumés ni à cause de ma casquette de vieux faux loup de mer que j'avais été pris en chasse.

Après m'avoir fait souffler dans un petite boîte noire munie d'un long embout de plastique transparent, celle qui m'avait claque-sonné me demanda de lui présenter mes papiers. Elle sortit un carnet à souche et y nota mes coordonnées. J'ai alors compris que j'étais verbalisé.

J'avais droit à une amende de 90 euros pour avoir illicitement "stationné" sur une aire réservée aux handicapés.

J'ai eu beau protester, rien n'y fit. J'apprendrais six mois plus tard, le 5 octobre 2016, au tribunal de police de Saint-Brieuc, que j'avais été à la limite de l'outrage à agents de la force publique pour avoir eu le toupet de contester la pertinence de la sanction.

Je peux donc m'estimer heureux que le tribunal ait eut la magnanimité de n'en avoir pas en tenir compte. Je m'en sortais donc "à bon compte", verbalisé 166 euros pour avoir illicitement stationné sur le susdit emplacement, sans compter les 200 kms de déplacements pour aller chercher à Dinan la convocation à me rendre au tribunal de police de Saint-Brieuc pour recevoir l'amende.

traquenard

II - LE SUPER TRAQUENARD

Les neurologues du Service "de pointe" qu'est (qu'était) celui du professeur Gérard Saïd avaient donné l'ordre de simuler devant moi le traitement salvateur d'une maladie mortelle sur un malade, au prétexte, en l'occurrence manifestement controuvé, qu'il souffrait d'une démence de type Alzheimer compliquée d'une encéphalopathie vasculaire (sic, dixit le compte-rendu d'hospitalisation daté du 20 septembre 1990, le tout "étiqueté" << ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX >> , cf. le site n° 669970222 html).

Ce compte-rendu m'avait été remis en décembre 1990 en lieu et place du dossier d'hospitalisation au prétexte, évidemment mensonger, que celui-ci avait été perdu.

Mais la dissimulation des preuves, qui est en France en principe passible de poursuites judiciaires, est en réalité couverte et par l'Ordre des Médecins et par la Justice. Elle est inhérente à la culture médicale française, de même que l'est la violation du secret médical quand ces sont les médecins de l'Ordre et ceux de l'Assistance Publique qui le violent.

Il est sept ans plus tard apparu qu'un grand nombre de malades (une trentaine, aux dires d'une exécutante) n'y ont pas laissé que des plumes, mais la vie.

Il nécessitait une étroite entente entre ses institutions très établies : la Justice, l'Ordre des médecins et AP - HP; Bien que je l'aie bien des fois relater depuis 2009, entre autres sur les sites n°34640255, 69970222, 69972429 et 108281777 html, je l'exposerai plus brièvement après celle de la boîte aux lettres de Lamballe, celle-ci ne m'ayant guère coûté,que 300 balles euros, l'autre m'ayant une fortune, faute d'avoir pu obtenir réparation après que je me suis adressé à qui de droit, c'est-à-dire au TGI de Créteil.

Or depuis que j'ai illicitement, c'est-à-dire avant les Confrères qui aurait dû le faire comme moi s'ils avaient été plus perspicaces , prématurément mis le doigt sur le fait qu'il devait exister des cas - des cas qui se sont des années plus tard effectivement avérés extrêmement nombeux où des malades premièrement diagnostiqués "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX", "maladie d'Alzheimer" et "encéphalopathie vasculaire" et donc incurables - relevaient en réalité de troubles neurologiques facilement curables, comme le sont ceux de la maladie de Biermer, par le traitement, très simple, de cette dernière, je vis, pour en avoir fait l'objet de persécutions ordinales, deux fois en dessous du seuil de pauvreté. Cc qui a fait qu'après le jugement du 5 octobre dernier, je n'avais plus de quoi avancer, dans les cinq jourssuivants, les 35 euros nécessaires pour faire appel de cette condamnation abusive commise par des représentants des autorités étatiques.

C'était en 1990, plus précisément le 12 septembre 1990, entre 19 heures et 19 heures 45, le temps d'examiner le malade, de prendre une décision, de courir à la pharmacie la plus proche pour me procurer les médicaments qu'il fallait, et de revenir à l'hôpital pour les administrer au malade (voir site n° 69972429 html) lorsqu'il m'avait fallu intervenir pour porter secours à un malade en train de mourir alors qu'il était hospitalisé depuis six semaines.

Le dit malade était alors à l'article de la mort, mais le fait de l'avoir empêcher de basculer dans l'au-delà était apparemment criminel, puisque tout s'est par la suite passé comme s'il aurait été préférable (pour qui ?) qu'il passe l'arme à gauche, comme prévu.

De fait, il n'avait pas réellement reçu le traitement requis pour son rétablissement. Il était pourtant censé l'avoir reçu pour traiter la maladie responsable de son hospitalisation, une maladie infailliblement mortelle sans son traitement spécifique, et alors qu'elle avait été parfaitement diagnostiquée dès l'admission du malade aux ''Lits-Portes'' de l'hôpital où il avait été hospitalisé.

Etait-ce par mesure d'économie que le traitement ne lui avait pas été administré, compte tenu qu'il avait 79 ans ?

Non seulement il n'avait pas réellement reçu son traitement, mais les médecins hospitaliers avaient ordonné que seulement un simulacre de ce traitement lui soit administré.

Les infirmières qui s'occupaient de lui avaient finalement tenu à me le faire savoir, alors que son état était devenu si catastrophique qu'on aurait pu le prendre pour un déporté interné dans un camp de concentration nazi à l'arrivé des troupes russes ou américaines. Il était tout près de mourir et n'avait plus que quelques heures à vivre.

Il m'avait fallu d'urgence courir à la pharmacie la plus proche pour m'y procurer pour neuf francs et 36 ou 39 centimes (c'était le 12 septembre 1990) une boîte de cynanobalamine Labaz * (voir site-Web n° 69972429 « un malade déclaré incurable sort du coma » et « Réflexions sur les impostures et les incohérences du système de soins .. » afin qu'il reçoive réellement le traitement qui était censé avoir reçu. De le lui administrer réellement permit certes au malade de sortir du coma et de se rétablir peu à peu, mais me valut d'être persécuté et par le Conseil de l'Ordre des médecins et par les hospitaliers responsables de cette incroyable et délibérée ''bavure''.

Les médecins hospitaliers responsables se résignèrent ainsi à nouer une alliance contre-nature avec l'Ordre les médecins, au prix d'un compromis avac l'AMIF : l'autorisation donnée au docteur Bruno Halioua de publier les recherches historiques qu'il avait entreprises sur les médecins collaborationnistes et l'attitude de l'Ordre des Médecins sous le régime de Vichy. Un livre qu'il ne se serait pas permis de publier sans l'imprimatur de l'Ordre (Cf. ce qu'il en dit lui-même, en post-face de son livre, « Blouses blanches, étoiles jaunes », éditions Liana Lévy, décembre 1999) qui avaient ordonné de ne faire que semblant d'administrer réellement le traitement de la maladie diagnostiquée à l'entrée du malade et par la direction de l' hôpital Bicêtre qui m'accusa d'avoir moi-même « fabriqué » (sic) la maladie par « antisémitisme ».

Pourquoi cette curieuse et abjecte accusation ?

Parce que je m'appelle Pierre Cretien ?

Ou parce que les Chefs des Services responsables de cette bavure s'appellent Edith Elmelik, Bernard Saïd, Marine Desi, Jean-Yves Beinis et Mlle Sitruk cependant que le procureur qui a demandé un classement sans suite de cette affaire s'appelle Michel Barrau ?

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