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27 mars 2017 1 27 /03 /mars /2017 16:16

Actuellement, 13 ans après que la Mairie de l'Haÿ-les-Roses, entièrement reconstruite après l'incendie qui l'avait ravagée a pu rouvrir ses portes (cf. le blog de leon - Autour du mystérieux incendie qui a ravagé les archives de la mairie ... ) l'artiste peintre Myriam Lahcene y expose des portraits stylisés de femmes ("Femme au turban", "Femme pensive" ... "sereine", "asiatique" , "à l'oiseau" ...)

https://fr.artquid.com › myriamlahcene

L'occasion est cependant ratée d'y faire aussi figurer des portraits stylisés de Femmes en couches violées"

Mais comment Myriam Lahcene aurait elle pu y exposer au public de tels portraits, à supposer qu'elle ait eu la permission d'exposer ouvertement ce qu'à la mairie de l'Haÿ-les-Roses on savait depuis longtemps, qu'à une centaine de mètres de la mairie, dans la Clinique voisine, la Clinique Léon Elmelik,, avant que son changement de propriétaire finisse  en 1995 par se réaliser, soit plus de cinq ans après sa mise en ventedu temps où ses médecins propriétaires étaient en affinité avec les maires (Pierre Tabanou et  Marc Méchain) il était de notoriété qu'il arrivait fréquemment que les femmes en couches y soient violées par le docteur Jean-Claude Elmelik), sans que jamais la Presse ni les médias, n'aient osé relater ces faits ?

Était-ce parce qu'il était bien connu que ses médecins propriétaires étaient "protégés en haut.s lieu.x", c'est-à-dire par le CNOM et les autorités gouvernementales ("socialistes")  ? 

Le Principal du Commissariat de cette sous-préfecture en ignorait la raison, mais il en avait "par dessus la tête" d'avoir à enregistrer en vain la multitude de plaintes pour viol portée par les parturientes qui avaient eu la chance (ou la malchance ?) de reprendre conscience en salle de travail ou en salle de réveil avant que l'accoucheur ait terminé le sien.

Cent-cinquante plaintes, m'avait-il dit, comme s'il comptait un peu sur moi pour les faire cesser restaient en souffrance  sur ses étagères.

Toutes étaient "bloquées au parquet", m'a dit le Commandant Christian Raeckelboom, quand je me suis rendu au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses le 23 janvier 1991 pour accompagner mon père, qui, atteint d'une maladie neurologique d'expression psychiatrique d'origine métabolique (un délire d'illusion qui lui faisait penser que je n'étais pas véritablement son fils, mais un imposteur à sa ressemblance qui en voulait à sa vie pour s'accaparer de ses biens - le docteur Emeisen a parlé de ce type de délire cette semaine sur France-Inter, de même que la Revue "L'Encéphale" en décembre 2003 au sujet d'une femme de 64 ans atteinte de la maladie de Biermer, c'est-à-dire d'une carence profonde en vitamine B12), y avait été victime d'épouvantables exactions chirurgicales doublées d'une tentative de détournement de fonds, dont les suites furent ruineuses, pour lui comme pour son fils, médecin, par ricochet. 

Selon le Conseiller de l'Ordre Patrice Bodenan °°°, un ami intime de Mlle  Elmelik que l'Ordre des médecins avait spécialement et très illicitement choisi pour être le rapporteur de la plainte du docteur Cretien contre lui et son amie, ce dernier ne pouvait être que "dérangé" pour s'être permis de porter l'affaire devant la justice (c'est comme cela que "fonctionne" l'Ordre des médecins).

Il réclama que l'article L 460 du CSP lui soit appliqué.

En effet, non seulement le fils s'était permis de sauver la vie de son père en lui administrant le traitement approprié à son état, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer et des états de carences vitaminiques B12 sévères, maladie et états inéluctablement et à n'importe quel moment mortels si leur traitement spécifique n'est pas administré, mais il avait, en le lui administrant,  contrecarré la décision des neurologues de l'hôpital Bicêtre, qui avaient refusé de l'administrer parce qu'ils avaient très arbitrairement décrété que son état était "de toute façon inéluctable voué à une plus grande aggravation" (sic, cf. le rapport d'expertise du docteur François Chedru, un expert agréé d'une honnêteté parfaitement fillonnesque et/ou cahuzacienne - au choix, consultable sur le site n° 116517337 html), mais après qu'il a ainsi remis son père sur pied et que celui-ci a récupéré ses facultés mentales, il s'était permis de ne pas l'empêcher de porter plainte auprès du procureur de Créteil pour ce qui lui était arrivé. Il dérogeait ainsi selon Bodenan lourdement au devoir de confraternité.

Le docteur BOD pense qu'on est en France encore au moyen âge, que le cuissage est un droit. 

Bodenan signe les lettres Patrice Bod quand il s'adresse au secrétaire général  du CROM de l'Île-de-France en signe de reconaissnce, bien que sa carte de visite n'ait, sur la longueur et sur la "ronflitude" de ses titres allégués pas grand chose à envier aux titres mentionnés sur les  ordonnances de feu le docteur Petiot.

Voir en fin d'article la lettre que Bod °°° a adressé au Dr. Jean Penneau le 10 janveir 1994, et ci-après ou à www l'Ordre des médecins jamais entâché d'aucune impartialité le fac-similé de la carte de visite qu'il m'a  tendiu le 27 avril 1992 en proférant des menaces de représailles  (l'Ordre allait me faire payer d'avoir laissé mon père mettre les pieds à la Clinique Léon Elmelk)

                                                    Docteur Patrice BODENAN 
                                                       Anesthésiste Réanimateur 
                                    Chef de service adjoint à l'Hôpital Saint-Camille 
                                       Pneumologue attaché à l'Hôtel Dieu de Paris 
                                           Expert près des Cours d'Appel de Paris 
                          Membre du Conseil de l'Ordre des Médecins du Val de Marne 
                                              Responsable du bureau de Presse 
                                 Administrateur du Syndicat des Médecins du Val de Marne                                                    Hôtel Dieu de Paris Tel : 42.34.82.34 (poste 2506)      Hôpital Saint-Camille Tel : 49.83.10.10. (Bip 34) 
                                19, route des Gardes - Meudon 92 190 Tel : 46.26.02.73  

De fait, son acolyte, le président du CDOM du Val-de-Marne, le docteur Jean Pouillard, m'avait "demandé solennellement" dans une lettre datée du 22 juin 1992  "qu'il serait nécessaire(que je sois)  "plus conscient que l'honneur de la mission de l'Ordre départemental et sa réputation n'ont jamais été entâchées d'aucune impartialité dans le cadre du respect de la déontologie et de l'éthique" (sic), mais il faut que je vérifie s'il a mis un ^ sur le "a"  d'entacher, ce qui ne serait pas une faute d'orthographe si dans son esprit il a plus ou moins consciemment voulu me faire comprendre que je devrais me côiffer d'un entonoîr. Sinôn, aûtant pour moî. Reste qu'il affirme qu'aucune impartialité n'entache l'Ordre départemental : la preuve, Patrice Bod°°° dans les années suivantes, présidera lui-même le Conseil disciplinaire de l'Ordre après avoir obtenu un DEA d'éthique médicale en produisant un Mémoire portant sur les "Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliation hospitalières" auprès de Christian Hervé, un Mémoire dont il était si fier qu'il l'a mis en ligne sur Internet. Il était possible de le lire jusqu'en 2015, avant que lui ou son mentor l'en fasse supprimer, tant il est le reflet de la conception que lui et le CNOM se font de ce qui est éthique ou pas.  

Après qu'il m'a remis sa grande carte de visite mensongère en l'accompagnant de menaces de représailles (il y usurpait le titre de réanimateur, sachant surtout endormir) il réclama contre moi, dans une lettre adressée au président du Conseil disciplinaire du CROM d'Île-de-France le docteur Jean Penneau, un ex proctologue devenu professeur de droit, que l'article L 460 du CSP (code de la santé publique) me soit l'appliqué.

Bod avait été formé à l'anesthésie à Henri Mondor par le docteure Edith Elmelik, dans le Service du professeur Pierre Huguenard. Il n'ignorait évidemment rien des "exploits" des médecins de la Clinique Léon Elmelik, et alors que Jean Pouillard l'avait illicitement chargé d'être le rapporteur de la plainte que mon père avait porté contre les médecins de la Clinique (non pas des chirurgiens) qui s'étaient livré sur lui, sans prévenir et après l'avoir subrepticement anesthésié, à des actes chirurgicaux tout à la fois extrêmement dangereux, illicites, déplacés, et tout à fait crapuleux, dont la seule justification était  le tiroir-caisse (il étaient en outre surfacturé de 75 %, les "milliardaires" n'en ont jamais assez, et de toute façon l'Assurance Maladie n'était pas très regardante alors qu'elle n'ignorait rien des pratiques de cette Clinique !)    

Après que l'opéré à "l'insu de son plein gré" est par miracle sorti vivant de son K 60 + 60/2) + 75% + 50 + 20 + etc des hémorragies impossibles à juguler sans arrêter le traitement anticoagulant étaient survenues au décours de l'opération surprise, il avait fallu que son fils intervienne pour que son père ne sorte pas les pieds devant : les neurologues qui avaient relayé les médecins de la Clinique Léon Elmelik avaient laissé leur malade délibérément  sans traitement (à part le  Prozac*) au prétexte fallacieux qu'il était dément, diagnostiqué "atteinte diffuse du système nerveux" cependant qu'il souffrait à l'évidence d'une profonde carence vitaminique B12 relative à un syndrome qui depuis 2003 a été dénommé syndrome NDB12PP. 

Le Commandant Christian Raeckelboom n'avait en 1991 pas l'explication de ce pourquoi les médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient "protégés en hauts-lieux" , sauf à dire que "ces vieilles gens" étaient "milliardaires" (les médecins-propriétaires de la Clinique de La Haÿ étaient certes les héritiers de grands banquiers, mais y étaient encore en activité, et donc pas vraiment de vielles personnes.)

Les propos du Commandant CR m'ont été par la suite confirmés par certains médecins, dont le professeur Pierre Huguenard, à l'époque où il dirigeait le SAMU 94 et la Société Française de Médecine de Catastrophes, et implicitement par une des secrétaires du CROM d'Île-de-France, au moment où elle m'a remis le dossier relatif à la plainte de mon père. Il avait pu survivre à leurs exactions et avait, sur les conseils de son avocate, Me Catherine Scotto-Derouet, commis l'erreur d'adresser aussi une plainte à l'Ordre des Médecins, malgré mon avis de ne pas le faire : << Mon pauvre monsieur (sic), comment voulez-vous que le Conseil de l'Ordre poursuivent des (médecins) violeurs et des pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre ! >>, m'avait-elle dit, alors même que la plainte portait sur d'autres méfaits.

De fait, 18 ans plus tard, à Yffiniac, dans les Côtes d'Armor, un médecin, condamné et interdit d'exercice pour pédophilie, a intégré l'Ordre des médecins APRES sa condamnation, selon les dires d'une consoeur costarmoricaine. Elle confirmait ce que d'autres personnes de la région m'avaient déjà confié.

Pour plus de précisions, si besoin est, se reporter à mon rapport chronologique circonstancié mis en ligne sur la Toile en 2009 sous le n° 34640255 html. Il est à croiser et à compléter de textes relatifs à d'autres informations qui depuis me sont parvenues, et à mes remarques sur la reconstruction de la mairie de l'Haÿ-les-Roses, numérotées 124849927 html. Le site est intitulé  "genocides.over-blog.com" pour marquer l'  imprescriptibilité de crimes que la Justice déclasse en délits quand elle ne requière pas un non-lieu, au prétexte de sauvegarder l'ordre social, parce qu'ils font désordre, qu'ils sont "inqualifiables", c'est-à-dire inavouables.

C'est ainsi que dans la nuit du 30 juin au 1er juillet 1999 la mairie de l'Haÿ-les-Roses est partie en fumées tant ses archives y étaient brûlantes. 

Il y a lieu de penser que cet incendie n'est pas sans rapport direct ou indirect avec les exploits obscènes autant que financiers des tenants de cette Clinique, qui "travaillait" en entente avec la  mairie "socialiste" de cette Commune, mais aussi avec l'AP - HP, à qui elle servait de "poubelle". C'est pourquoi cette Clinique était "protégée en hauts lieux", et ses médecins en profitaient pour tout se permettre, y compris de violer les parturientes, cet exercice étant réservée au propriétaire, c'est-à-dire au docteur Jean-Claude Elmelik. 

                                                                        Bry le 10 janvier 1994

Monsieur le Secrétaire Général

J'ai été chargé d'instruire initialement une plainte du Docteur Pierre CHRETIEN contre le Docteur Denis chirurgien excerçant au centre chirurgical de La Haÿ les Roses 94 -

J'ai donc reçu le Docteur CRETIEN Pierre et son père à l'hôpital SAINT Camille

J'ai aussi contacté et reçu et Docteur DENIS et la responsable de la Clinique (Mme le Docteur ELMELIK ) ainsi que le Professeur Debeyre.

A l'évidence notre confrère le Docteur Pierre Cretien n'est pas fondé à poursuivre le Docteur DENIS professionnel réputé et parfaitement irréprochable pour les faits invoqués par lui Le Docteur Pierre CRETIEN est atteint d'un délire de persécution plaintes multiples auprès des différentes streuctures TGI Creteil CPAM etc _ )

J'ai donc rendu un avis auprès du Conseil de l'ordre des Medecins du Val de Marne conseillant un rejet pur et simple de la plainte du Docteur Crétien , et la mise en examen de ce dernier pour évaluer son aptitudeà l'exercice de la médecine -

J'appris par la suite la plainte que Pierre cRETIEN avait déposée, à mon encontre une plainte pour partialité, collusion avec la partie adverse , pressions , auprès du Conseil départemental deu Val de Marne

J'ai été très étonné de la démarche du de Monsieur Pierre CRETIEN qui ne repose sur aucune base réelle et que je trouve diffamatoire

Cette démarche rapportée à toutes les démarches de Monsieur le Docteur Pierre CRETIEN Justifie à mon avis l'application d e l ' article L 460 -

Je vous prie d' agréer monsieur le secrétaire Général mes salutations respectueuse et distinguées

 

  Signé sur  un large triangle isocàle                      BOD

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