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21 juillet 2017 5 21 /07 /juillet /2017 10:29

 

Nier des réalités trop dérangeantes (1*) par la manipulation des esprits n'est pas propre au freudisme. 

Les "autorités judiciaires" et les médias ne veulent pas savoir (ou refusent de reconnaître et de faire savoir) que les patients qui avaient subi une transfusion de sang dans la première moitié des années 1980 pouvaient faire l'objet d'assassinats déguisés en euthanasies compassionnelles au cours d'hospitalisations ultérieures, à Bicêtre comme à Mantes la Jolie  ? (2*) 

La revue commerciale "Nature Santé Innovation" cherchent à dénoncer la manipulation de l'opinion cependant qu'elle s'y livre pour se vendre. 

La réalité de complots médicaux au sein de l'AP -HP , complaisamment est généralement tue par les grands médias. (Libération, la Croix, Le Monde, Le Figaro, Le Point, Marianne, L'Express, Médiapart etc ....)

La (re) découverte du syndrome NDB12PP après que le sauvetage in extremis d'un malade condamné à mort en août 1990 par les neurologues d'un CHU de l'AP - HP  n'a reçu aucun écho  cependant qu'elle y a semé la panique. Le cas a été porté à la connaissance desdits médias au site http://genocides.over-blog.com. Cf. le n° 108281777 html, qui renvoie au n° 34640522 html.

Le prétexte - controuvé - était que le test de Schilling était normal (il était à 5% cependant que l’on avait voulu me faire croire qu’il était à 35% !), que le malade ne souffrait donc pas de la maladie de Biermer,  mais de la maladie d'Alzheimer compliquant (sic) une "encéphalopathie vasculaire" et une probable tumeur cérébro-spinale, le tout baptisé (sic) "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" au-dessus de solutions thérapeutiques (seul du  le Prozac* fut administré) alors qu'il souffrait manifestement d'une profonde carence vitaminique B12, ainsi qu'avaient fini par le comprendre elles-mêmes, le 5 septembre 1990, les infirmières de l’USN de l’hôpital gériatrique Charles-Foix, où les neurologues de l'hôpital Bicêtre  l'avaient sciemment envoyé terminer ses jours. Elles m’avaient ainsi fait savoir qu’ordre leur avait été ordonné de ne faire que semblant devant moi d’administrer le traitement de la maladie de Biermer, ce qui m’avait permis de le mettre in extremis moi-même en route et de sauver le patient alors qu'il était mourant (3*)

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1* Jeffrey Moussaïëff Masson "Le réel escamoté", éd. Aubier-Montaigne, 1984 , et /ou sur le Web Michel Meignant "L'affaire Freud" 2012)

2*   Dans les années 1990, au C.H.U. de Mantes-la-JolieChristine Malèvre, une infirmière du Service du docteur Olivier Ille, sous couvert d'euthanasies, assassinait des malades. Curieusement ses assassinats ont non pas été signalés par le docteur Olivier Ille, mais par sa collègue Laurence Kouyoumdjian, ce qui a fait que celle-ci n'a pas été félicitée de les avoir fait cesser, mais invitée à aller se faire voir ailleurs, puisqu'à cause de son signalement, ces assassinats apparemment bien tolérés, voire "bien venus" n'ont pas pu être occultés, cependant que le docteur Olivier Ille a pu conserver son poste, alors même que  quelques années auparavant il avait ordonné qu'un faux-semblant de traitement vitaminique B12 soit administré à un malade manifestement victime d'une profonde - et donc mortelle - carence vitaminique B12 !

Selon le Professeur Jacques Soubeyrand, gériatre à l'hôpital Sainte Marguerite (13 274 MARSEILLE) : << Depuis une vingtaine d'années, la maltraitance des personnes âgées a pris des proportions épidémiques >> (Cf. "On tue les vieux" et "Douze gériatres en colère", aux éditions Fayard).
<< Un sinistre secret recouvre ces réalités. De telles occultations impliquent tous les niveaux de la société, médecins et médias compris. Le silence qui les recouvre est génocidaire.>>
La tentative d'assassinat rapportée et analysée au site n° 73331815 ( "Euthanasies et contaminations HIV") est à ce sujet représentative. Elle s'inscrit dans l'occultation des escroqueries financières et des viols commis aux dépens des patients de la Clinique Elmelik et corrobore les déclarations du Pr. Soubeyrand. Elle a été rendu possible par le silence que l'Ordre des médecins et la justice faisaient régner et continue de faire régner sur ces exactions. A ce silence étaient pour des raisons inavouables intéressés l'ancien maire de La-Haÿ-les-Roses Marc Méchain, la D.R.P.S. du Val-de-Marne, les neurologues du C.H.U. de Bicêtre et de hauts responsables de l'institution judiciaire.
Cf aussi Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang", Ed. La découverte, 1992 disponible chez tout libraire.

3* http:// Une nuit vitaminée.

 

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