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23 octobre 2017 1 23 /10 /octobre /2017 13:25

Tout le monde n'a pas comme Martin Lüther eu à se battre avec le diable ... sinon avec des personnes à sa ressemblance ... qu'on les appelle "pervers narcissiques" ou "psychopathes".    

Interloqué par Au-delà de l'impossible j'ai fini par lire son Le nouveau dictionnaire de l'impossible. Je dédie donc au prestigieux Prix Goncourt 1997  Didier van Cauwelaert ce petit résumé d'un retour inattendu à la vie, celui de mon père, un retour miraculeux mais très mal vécu par les médecins qui l'avaient en charge à l'hôpital, par le Conseil de l'Ordre, mais aussi par la Justice !

Mon père ne se disait pas "croyant", il avait même les curés en horreur, mais m'a un soir avoué, c'était en 1994, en début d'année, avoir prié dans la journée pour que je passe le voir chez lui le plus vite possible (alors qu'il m'avait au cours de l'année précédente maudit - et mots dit, une explication de son aversion généralisée pour les curés)

Le 5 septembre 1990, en constatant de visu que le traitement que les médecins du CHU Charles-Foix appliquaient à la maladie de mon père le conduisait inéluctablement vers une issue fatale, les infirmières d'un service gériatrique de cet hôpital, apprenant que j'étais médecin, pensant que leur Chef de Service et son Assistante devaient s'être trompés, m'avaient discrètement demandé de venir "jeter un œil" sur le cahier de prescription.

J'ai ainsi pu, au moment où mon père était en passe de mourir, intervenir pour lui administrer en catastrophe le traitement qui l'a non seulement sorti d'un coma carus, mais qui, contre toute attente, n'a pas été terminal, mais a réussi à lui faire retrouver rapidement, à 30/30 au MMSE, ses capacités cérébrales alors qu'il avait été diagnostiqué par ses médecins comme dément souffrant de la maladie d'Alzheimer compliquée d'une "encéphalopathie vasculaire", le tout  à l'origine d'une "atteinte diffuse du système nerveux" (sic) déclarée incurable. <<Ne vous faîtes pas d'illusion - m'avait dit le médecin Chef de l' Unité de Soins Normalisés - votre père ne remarchera  jamais >> .

C'est ce qui leur avait fait dire - et même fait écrire noir sur blanc six ans  plus tard par un confrère sollicité en expertise, donc sciemment à faux  -  qu'il était (en 1990) "de toute façon inéluctablement voué à une plus grande aggravation" (sic, pour faire ressortir que les énormes fautes commises à son encontre par ses médecins n'avaient été que vénielles, quasiment sans importance, puisqu'il était "de toute façon voué etc ... une déclaration faite au mépris du CP qui condamne - en principe - sévèrement les faux en expertise. Mais ce principe, il pouvait en l'occurrence sans crainte s'asseoir dessus, parce qu'il le savait bien en tant que lui-même Chef d'un  Service de neurologie dans un CHU de l'AP, c'était ce que lui demandait l'Establishment. C'est d'ailleurs à lui que s'adressera le professeur Olivier Lyon-Caen pour dire au micro de France-Culture ce qu'il faut penser de l'objectivité des experts médicaux, dans une émission intitulée "Avec ou sans rendez-vous" ... au droit du plus faux ... une émission diffusée le 13 septembre 2013)

C'est que le rétablissement de mon père avait été tellement contrariant et dérangeant qu'il avait semé la panique au sein de l'Establishment, c'est-à-dire au Conseil de l'Ordre des médecins comme à la direction de  l'AP - HP,  qui se concertèrent (en 1992) pour que me soit appliqué l'article L 460 du CSP, applicable aux médecins "dérangés" dérangeants l'ordre établi.

Bien plus tard, en 2004,  l'AP -HP, la direction de l'hôpital Bicetre et le Chef du Service responsable de ces énormités m'ont menacé de poursuites en justice en m'accusant d'avoir été responsable de leur bavure, prétendant que j'avais moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic, à cause de mon nom patronymique ? alors que si j'avais porté le nom de ma famille maternelle l'accusation aurait probablement été la même, parce que, c'est bien connu,  "la haine de soi d'être juif" est "maladie" courante, qui sévit chez certains journalistes de "Le Monde", selon le pédopsychiatre Georges Gachnochi, qui la dénonçait (dans un Colloque qu'il présidait, dont le thème était  la "Psychanalyse de l'antisémitisme", Colloque tenu au sein de l'AIU le  dimanche 15 novembre 2002).

La loi, par l'article 40 du CPP  faisait d'ailleurs aux médecins de mon père obligation de me dénoncer, car ce qui aurait été ce l'on appelle en médecine un "syndrome de Münchhausen" est passible d'une très lourde condamnation pénale.

La correction de la  "bavure"  que ses médecins avaient commise - ils avaient à tort refusé à mon père le traitement de la maladie de Biermer,  jusqu'à faire semblant de le lui administrer - avait pourtant permis d'initier la découverte d'un syndrome neurologique resté jusqu'en 1990 méconnu parce que confondu dans ses manifestations cliniques avec la maladie d'Alzheimer, alors qu'il concerne des milliers de malades et est de traitement  très simple et efficace, pourvu qu'il soit vraiment administré.

Ce syndrome est maintenant connu  - depuis 2003  -  sous le nom de syndrome NDB12PP.  

Le cas de mon père avait ainsi été un cas princeps, mais la panique que suscita son rétablissement inattendu au sein de l'AP - HP avaient obligé les médecins à y réfléchir un peu plus longuement.

C'est en fin de compte madame le professeure Jacqueline Z., à qui j'avais écrit en 1992 pour attirer son attention sur le fait, comme je l'avais fait pour le professeur François Piette, gériatre, et bien avant, dès 1990,  au professeur Yves Najean à l'hôpital Saint-Louis, qui a été récompensée, en 2005, par la Fondation de France, pour ses recherches sur les états relatifs audit syndrome, et donc aux états cryptiques  B12 carentiels, un syndrome dont j'avais en 1990 postulé la possibilité avant d'en démontrer la réalité en le contrant avec le traitement normalement dévolu à la maladie de Biermer.

De tout cela le journal "la Croix" ne s'est pas fait l'écho, pas plus que les autres journaux et magazine auxquels je m'étais adressé, et ce n'est pas non plus par "la Croix" que j'ai découvert qu'à l'Eglise Saint Nicolas des Champs se produisaient des guérisons étonnantes, mais ces jours-ci grâce à Didier van Cauwelaert, un écrivain qui n'a manifestement pas "la plume de bois" (je lui emprunte cette expression.)  

En attendant, je dois me contenter de vivre chichement après avoir été chassé de chez moi par une épouse cornaquée par un psychanalyste lambda à Lacan, jusqu'à devenir un temps SDF, et dormir dans ma voiture, car on m'a fait payer très cher mon "outrecuidance" (J'ai comme René van Cauwelaert, le père de Didier, été arnaqué par une avocate (Cf. "Le nouveau dictionnaire de l'impossible" chapitre "Matérialisation") 

La mienne m'avait été recommandée en octobre 1996 par une psychiatre de MSF pêchée à Enfance Majuscule. Elle est depuis mars 2014 devenue conseillère spéciale du pape François II (selon "le Parisien"). Elle m'a en juin 1999, quand elle-même a éprouvé les mêmes désagréments que moi vis à vis du Conseil de l'Ordre, demandé de la pardonner ... de m'avoir mal conseillé.

Aurait-elle été arnaquée - comme moi - par ladite avocate "Majuscule" ?  Tout ça n'est pas fini, car le problème est politique, et "ça" n'en finit pas depuis que les "possédés" ont de plus en plus l'outrecuidance de balancer ce que les "possédants" leur ont fait subir.

CQFD ce qu'il en est d'avoir mis les pieds sur les pavés très inégaux de l'Establishment. 

Pour en savoir plus, voir  les articles précédents 

"genocides.over-blog.com" (le blog de leon).

Posts

Interloqué par son livre sur "l'au-delà du possible",  je dédie ce petit résumé du retour inattendu à la vie de mon père - un retour "miraculeux" - à l'illustre écrivain Didier van Cauwelaert, dont je viens de lire le "Nouveau dictionnaire de l'impossible".

Mon père ne se disait pas "croyant", il avait même les curés en horreur, mais m'a un soir avoué, c'était en 1994, en début d'année, avoir prié dans la journée pour que je passe le voir chez lui le plus vite possible (alors qu'il m'avait au cours de l'année précédente maudit - et mots dit, une explication de son aversion généralisée pour les curés)

Le 5 septembre 1990, en constatant de visu que le traitement que les médecins du CHU Charles-Foix appliquaient à la maladie de mon père le conduisait inéluctablement vers une issue fatale, les infirmières d'un service gériatrique de cet hôpital, apprenant que j'étais médecin, pensant que leur Chef de Service et son Assistante devaient s'être trompés, m'avaient discrètement demandé de venir "jeter un œil" sur le cahier de prescription.

J'ai ainsi pu, au moment où mon père était en passe de mourir, intervenir pour lui administrer en catastrophe le traitement qui l'a non seulement sorti d'un coma carus, mais qui, contre toute attente, n'a pas été terminal, mais a réussi à lui faire retrouver rapidement, à 30/30 au MMSE, ses capacités cérébrales alors qu'il avait été diagnostiqué par ses médecins comme dément souffrant de la maladie d'Alzheimer compliquée d'une "encéphalopathie vasculaire", le tout  à l'origine d'une "atteinte diffuse du système nerveux" (sic) déclarée incurable. <<Ne vous faîtes pas d'illusion - m'avait dit le médecin Chef de l' Unité de Soins Normalisés - votre père ne remarchera  jamais >> .

C'est ce qui leur avait fait dire - et même fait écrire noir sur blanc six ans  plus tard par un confrère sollicité en expertise, donc sciemment à faux  -  qu'il était (en 1990) "de toute façon inéluctablement voué à une plus grande aggravation" (sic, pour faire ressortir que les énormes fautes commises à son encontre par ses médecins n'avaient été que vénielles, quasiment sans importance, puisqu'il était "de toute façon voué etc ... une déclaration faite au mépris du CP qui condamne - en principe - sévèrement les faux en expertise. Mais ce principe, il pouvait en l'occurrence sans crainte s'asseoir dessus, parce qu'il le savait bien en tant que lui-même Chef d'un  Service de neurologie dans un CHU de l'AP, c'était ce que lui demandait l'Establishment. C'est d'ailleurs à lui que s'adressera le professeur Olivier Lyon-Caen pour dire au micro de France-Culture ce qu'il faut penser de l'objectivité des experts médicaux, dans une émission intitulée "Avec ou sans rendez-vous" ... au droit du plus faux ... une émission diffusée le 13 septembre 2013)

C'est que le rétablissement de mon père avait été tellement contrariant et dérangeant qu'il avait semé la panique au sein de l'Establishment, c'est-à-dire au Conseil de l'Ordre des médecins comme à la direction de  l'AP - HP,  qui se concertèrent (en 1992) pour que me soit appliqué l'article L 460 du CSP, applicable aux médecins "dérangés" dérangeants l'ordre établi.

Bien plus tard, en 2004,  l'AP -HP, la direction de l'hôpital Bicetre et le Chef du Service responsable de ces énormités m'ont menacé de poursuites en justice en m'accusant d'avoir été responsable de leur bavure, prétendant que j'avais moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic, à cause de mon nom patronymique ? alors que si j'avais porté le nom de ma famille maternelle l'accusation aurait probablement été la même, parce que, c'est bien connu,  "la haine de soi d'être juif" est "maladie" courante, qui sévit chez certains journalistes de "Le Monde", selon le pédopsychiatre Georges Gachnochi, qui la dénonçait (dans un Colloque qu'il présidait, dont le thème était  la "Psychanalyse de l'antisémitisme", Colloque tenu au sein de l'AIU le  dimanche 15 novembre 2002).

La loi, par l'article 40 du CPP  faisait d'ailleurs aux médecins de mon père obligation de me dénoncer, car ce qui aurait été ce l'on appelle en médecine un "syndrome de Münchhausen" est passible d'une très lourde condamnation pénale.

La correction de la  "bavure"  que ses médecins avaient commise - ils avaient à tort refusé à mon père le traitement de la maladie de Biermer,  jusqu'à faire semblant de le lui administrer - avait pourtant permis d'initier la découverte d'un syndrome neurologique resté jusqu'en 1990 méconnu parce que confondu dans ses manifestations cliniques avec la maladie d'Alzheimer, alors qu'il concerne des milliers de malades et est de traitement  très simple et efficace, pourvu qu'il soit vraiment administré.

Ce syndrome est maintenant connu  - depuis 2003  -  sous le nom de syndrome NDB12PP.  

Le cas de mon père avait ainsi été un cas princeps, mais la panique que suscita son rétablissement inattendu au sein de l'AP - HP avaient obligé les médecins à y réfléchir un peu plus longuement.

C'est en fin de compte madame le professeure Jacqueline Z., à qui j'avais écrit en 1992 pour attirer son attention sur le fait, comme je l'avais fait pour le professeur François Piette, gériatre, et bien avant, dès 1990,  au professeur Yves Najean à l'hôpital Saint-Louis, qui a été récompensée, en 2005, par la Fondation de France, pour ses recherches sur les états relatifs audit syndrome, et donc aux états cryptiques  B12 carentiels, un syndrome dont j'avais en 1990 postulé la possibilité avant d'en démontrer la réalité en le contrant avec le traitement normalement dévolu à la maladie de Biermer.

De tout cela le journal "la Croix" ne s'est pas fait l'écho, pas plus que les autres journaux et magazine auxquels je m'étais adressé, et ce n'est pas non plus par "la Croix" que j'ai découvert qu'à l'Eglise Saint Nicolas des Champs se produisaient des guérisons étonnantes, mais ces jours-ci grâce à Didier van Cauwelaert, un écrivain qui n'a manifestement pas "la plume de bois" (je lui emprunte cette expression.)  

En attendant, je dois me contenter de vivre chichement après avoir été chassé de chez moi par une épouse cornaquée par un psychanalyste lambda à Lacan, jusqu'à devenir un temps SDF, et dormir dans ma voiture, car on m'a fait payer très cher mon "outrecuidance" (J'ai comme René van Cauwelaert, le père de Didier, été arnaqué par une avocate (Cf. "Le nouveau dictionnaire de l'impossible" chapitre "Matérialisation") 

La mienne m'avait été recommandée en octobre 1996 par une psychiatre de MSF pêchée à Enfance Majuscule. Elle est depuis mars 2014 devenue conseillère spéciale du pape François II (selon "le Parisien"). Elle m'a en juin 1999, quand elle-même a éprouvé les mêmes désagréments que moi vis à vis du Conseil de l'Ordre, demandé de la pardonner ... de m'avoir mal conseillé.

Aurait-elle été arnaquée - comme moi - par ladite avocate "Majuscule" ?  Tout ça n'est pas fini, car le problème est politique, et "ça" n'en finit pas depuis que les "possédés" ont de plus en plus l'outrecuidance de balancer ce que les "possédants" leur ont fait subir.

CQFD ce qu'il en est d'avoir mis les pieds sur les pavés très inégaux de l'Establishment. 

Pour en savoir plus, voir  les articles précédents 

"genocides.over-blog.com" (le blog de leon).

Addenda  et conclusion : on est en France, pays classé dans les derniers des pays d'Europe sur le plan judiciairece qui rend compte que ce n'est pas tant d'avoir œuvré à la résurrection de mon père qui m'était reproché par l'Ordre et la Justice, mais de ne pas l'avoir ensuite empêché de porté plainte.

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