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5 octobre 2017 4 05 /10 /octobre /2017 12:21

La loi Leonetti-Claeys de février 2016 n’autorise qu’une «sédation profonde jusqu’au décès » seulement pour  «les malades en phase terminale ».

Le docteur Jean-Marie Faroudja, président de la section « éthique et déontologie » (sic) de l’Ordre des médecins, dit qu'il peut << y avoir des dérives dangereuses.>>

Et d'ajouter, comme s'il ignorait ce qui s'était passé en 1990 pour contre mon père, quand  ses médecins ont décidé, de leur propre chef, que mieux valait qu'il ne survive pas très longtemps (dixit en s'adressant à moi le "bon" docteur Pascal Masnou, alors neurologue et Chef de Clinique dans Service du professeur Gérard Saïd où mon père était hospitalisé depuis deux semaines. Les dits médecins qui firent secrètement mais effectivement en sorte qu'il ne puisse survivre longtemps à sa maladie, une maladie qui certes était devenue handicapante, mais encore parfaitement curable, au prétexte - évidemment fallacieux - qu'il était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic, l'antienne fut à faux répétée en 1996 par le docteur François Chedru dans son expertise rendue six ans plus tard à la demande de la juge d'instruction Bénédicte Scelle), alors même que mon intervention avait trois semaines plus tard, en septembre 1990, permis à mon père de sortir très rapidement du coma et lui avait fait regagner ses esprits.

Sa résurrection mit ses médecins en émoi, pour ne pas dire dans la panique, ainsi que la direction de l'hôpital Bicêtre, qui se dépêchèrent, dans un premier temps, de prétendre que le dossier d'hospitalisation de mon père avait été perdu - tout en essayant de me faire signer qu'il m'avait été remis quand me fut remis des documents qui n'avaient rien à voir avec celle-ci, et qui dans un second temps (en 2004) m'accusèrent d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic, le professeur Gérard Saïd  était membre de l'IFREM, Institut Français de Recherche en Ethique Médicale juive, l'éditeur Médica Judaïca) tout en promettant de porter cette affaire devant la Justice (en vertu de l'article 40 du CPP ! ) - ce qu'ils se dépêchèrent aussi très curieusement d'oublier de faire)

Elle me valut aussi les persécutions de leurs ennemis traditionnels à l'Ordre des médecins, avec qui ils se réconcilièrent et s'allièrent (le docteur Bruno Halioua fut en échange "autorisé" et même promptement invité - par Bernard Weber, ainsi qu'il l'a lui-même avoué - à publier son "Blouses blanches, étoiles jaunes", chez Liana Lévi (paru en décembre 1999, au moment où, comme par hasard on pouvait entendre dire à l'hôpital Saint-Louis, où "Espace Ethique de l'AP - HP" avait essaimé depuis Bicêtre, que "dans cette affaire, on a rien à craindre : on tient la médecine, la Presse et la Justice" (il s'agissait de l'affaire connexe, où l'infirmière Christine Malèvre avait joué en 1997 au CHU de Mantes la Jolie le rôle que les neurologues de Bicêtre avaient voulu faire jouer en 1990 au docteur Jean-Yves Beinis en lui recommandant de ne surtout pas appliquer à mon père le traitement qui pouvait lui sauver la vie, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, mais devant moi seulement un faux-semblant (consigne transmise verbalement et par lettre manuscrite au docteur Beinis par le docteur Olivier Ille, futur patron de la très zélée Christine Malèvre.)    

Deux des "hautsreprésentants supermaçoniques de l'Ordre des Médecins, les nommés docteurs Jean Pouillard et Patrice Bodenan avaient deleur côté cherché à me faire appliquer l'article L 460 du CSP - relayés par le procureur Michel Barrau, au bénéfice de leur poulain "milliardaire" (selon le Principal du Commissariat de La Haÿ-les-Roses) le médecin serial-violeur Jean-Claude Elmelik, l'ex propriétaire de la Clinique Léon Elmelik) que << un médecin ne doit pas pouvoir donner délibérément la mort. C’est pour cela que nous sommes tout à fait contre toute forme d’euthanasie.>>

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