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13 février 2018 2 13 /02 /février /2018 13:23

Quels sont en France les malades hospitalisés qui auraient pu facilement être sauvés mais à qui les médecins ont délibérément refusé un traitement salvateur, même quand celui-ci était très simple et très peu coûteux à mettre en oeuvre, et/ou les "euthanasies" réalisées sans le consentement des malades, et donc tout à fait criminelles, parce que réalisées pour des raisons spécifiques inavouables.

Il s'agit alors de meurtres commis sur ordre hiérarchique et par conséquent destinés à rester secrets.

Ces assassinats déguisés sont des crimes presque parfait dans la mesure où ils sont couverts par les autorités judiciaires, et donc jamais sanctionnés, sauf à leur trouver un bouc (ou une chèvre) émissaire commode.    

J'ai précédemment cité le cas d'Eva Marrée Smith Kullander, rapporté il y a quelques jours par le Figaro et à la télévision par Arte sous le titre "Le pays où les putains n'existent pas", où il était dit qu'Eva Marrée avait été assassinée dans les locaux d'un service social d'une ville suédoise (à lire les journaux suédois de cette époque il apparaît qu'elle avait été tuée sur les marches de l'escalier y menant, une petite imprécision qui n'est sans doute pas tout à fait innocente), et celui d'un malade hospitalisé dans le Service d'un grand hôpital de la région parisienne, pour qui les neurologues de ce CHU avaient ordonné - cela dans une lette manuscrite à usage interne quand ils le firent transférer à l'hôpital Charles-Foix dans une "Unité de Soins Normalisés" (sic) ainsi que, de façon surprenante, un mois plus tard, dans leur CRH - que ne lui soit administré qu'un faux-semblant du traitement nécessaire à son rétablissement, au prétexte, sciemment fallacieux, que ledit malade était "de toute façon voué à une inéluctable aggravation" (sic).

Bien que manifestement mensonger ce prétexte, également avancé par les experts, fut en toute connaissance de cause avalisé par le parquet alors même que la maladie, parfaitement curable, dont souffrait le patient, avait été correctement diagnostiquée par les Urgentistes dès son admission aux "Lits-Portes" de l'hôpital Bicêtre !    

Le diagnostic, la causalité et la façon de remédier à son mal - un syndrome biermerien à traiter en urgence par une vitamino-thérapie B12 drastique - étaient aussi évidents à faire que ceux applicables à une voiture dont on verrait au premier coup d’œil que les pneus sont presque à plat.

Les neurologues chez qui les Urgentistes adressèrent le malade, au lieu de faire ce qu'il urgeait de faire pour remédier à son état, pour justifier leur refus d'appliquer ledit traitement vitaminique B12, prétextèrent que les résultats des mesures de laboratoire étaient normaux : c'était exactement comme si un garagiste avait prétexté que  son manomètre indiquait que la pression des pneus était normale au lieu de se fier à ce qu'il voyait ! 

Si de tout cela la Presse française et les médias n'ont pas voulu parler alors même qu'ils en avaient été informé de façon documentée, ils se sont en revanche empressés de gloser sur l'assassinat d'Eva Marrée, qu'ils ont mis au compte du puritanisme suédois.  

La Presse a pris pour du bon pain les explications officielles qui mettaient sur le compte d'une immaturité affective les assassinats de malades qu'avait commis l'infirmière du Service du docteur Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie (Olivier Ille est celui qui s'était chargé de transmettre au Service du docteur Jean-Yves Beinis l'ordre de refuser au susdit malade son traitement salvateur).   

En France, dans le cas de mon père, c'était parce qu'il avait six ans auparavant - en avril 1984 lors d'une opération chirurgicale été contaminé par une transfusion de sang, c'est-à-dire alors que la quasi totalité des transfusions véhiculaient le VIH. Autour de 25.000 personnes furent ainsi contaminées rien qu'en France, et ces transfusions ne sont pas sans rapport avec la diffusion du SIDA et les ordres donnés "en hauts lieux" de les faire discrètement disparaître quand la situation s'y prêtait.       

C'est pourquoi "On" avait choisi de ne pas porter secours à ces malades quand une maladie mortelle les frappait, voire de les tuer carrément sous prétexte d'euthanasies compassionnelles.  

De tout cela la presse française s'est gardée de parler, mais elle s'est précipitée pour monter en épingle ce qui s'est passé en Suède le 11 juillet 2013 quand Eva Marree a été assassinée.      

La justice française, c'est bien connu, est aux ordres du pouvoir politique, ce qui explique qu'elle a fait son possible pour étouffer les assassinats de  malades  programmés dans certains établissements de soins accommodants, et pourquoi elle est dans les trente-sixième dessous du classement des pays européens.

La Clinique Léon Elmelik à l'Hay-les-Roses, le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd au CHU de Bicêtre, l'USN du docteur Jean-Yves Beinis à l'hôpital Charles-Foix et le Service du docteur Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie bénéficiaient  des "hautes protections" du pouvoir politique.

A contrario  le docteure Laurence  Kouyoumdjian ne fut pas félicitée mais pour ainsi dire congédiée pour avoir fait cesser ces assassinats, la justice épargnant le docteur Olivier Ille, et trouvant en son exécutante Christine Malèvre un bouc émissaire (ou plutôt une chèvre) bien commode (par son nom Malèvre rime avec chèvre.

PS : La Foundation Falret a été fondée en 1841 par le docteur Jean-Pierre Falret pour faire évoluer la condition des personnes fragilisées par "la maladie mentale"; elle est reconnue d'utilité publique et fait appel aux dons pour soutenir son action.   

L'Ordre des médecins a cherché me faire appliquer via les via ses hauts représentants, les docteurs Jean Pouillard et Patrice Bodenan, l'article L 460 du CSP pour avoir fait ce que j'avais fait, car, d'après cette institution réactionnaire, fondée par le gouvernement de Vichy, à qui l'Etat a malgré tout confié "mission de Service public", c'était un signe de dérangement mental.

Aussi ai-je fait parvenir ce message à la Foundation Falret 

<< Je n'ai jamais pu bénéficier d'une aide alors que j'en avais le plus grand besoin, mais tout au contraire d'entraves et bien pire encore après que je suis venu en aide à des malades, notamment en 1990, en dénonçant des maltraitances mortelles. J'ai de ce fait été accusé par les médecins et l'hôpital responsables de ces maltraitances d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) leur maladie par "antisémitisme" (sic), parce que la Clinique et le Chef du Service responsables de ces maltraitances étaient respectivement celle des docteurs Jean-Claude Elmelik et Edith Elmelik à l'l'Haÿ-les-Roses, relayés par le professeur Gérard Saïd, Chef de Service à l'hôpital Bicêtre, puis  par le docteur Jean-Yves Beinis, Chef de l'Unité de Soins Normalisés (sic) de l'hôpital Charles-Foix, ainsi que j'en ai fait part ce matin même sur mon site-blog (blog de leon) sous le titre "La paille et la poutre"  : j'avais en septembre 1990 dû intervenir pour que soit réellement administrer le traitement nécessaire à la survie de  mon père. Les neurologues qui en avaient la charge avaient donné  l'ordre de ne faire que semblant de lui administrer le traitement nécessaire à son rétablissement. Mon père sortit du coma où l'avait plongé leur faux traitement et put regagner 30/30 ses facultés cérébrales soi-disant définitivement compromises. Les responsables de ces bavures me firent payer très cher mon intervention. Mais c'est 'normal" car on est en France, la France étant une pédophilocratie. Le pire y est permis, pourvu que l'on se trouve de ce côté-là du manche. Mon intervention permit non seulement la résurrection de mon père, mais initia la découverte d’un syndrome clinique depuis  2003 connu sous le nom de syndrome NDB12PP  pour avoir part de cette histoire au professeur  François Piette, directeur du CEGAP, en janvier 1992, après les professeurs  Yves Najean et Jacqueline Zittoun,  et le Dr. Michel Serdaru, à la Fédération Française de Neurologie, qui travaillait sur ce problème  (Cf. le site-Web n° 34640255 html>> 

 

 
 

 

 

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