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12 février 2019 2 12 /02 /février /2019 17:22

En novembre 2002, lors d'un colloque de l'AIU (Alliance Israélite Universelle) consacré à la psychanalyse de l'antisémitisme, le docteur Georges Gachnochi, pédo-psychiatre et psychanalyste, ouvrit la séance  en fustigeant les journalistes du journal "Le Monde". Il attribuait les critiques que ses journalistes avaient formulés à l'encontre de la politique expansionniste du gouvernement israélien à la "Haine de Soi d'être juif".

Quand on a un différend avec des personnes réputées appartenir à la communauté juive, que l'on soit juif ou non, on fait facilement, si ce n’est systématiquement, l’objet de l’accusation d’antisémitisme.

C’est ce qui m'est arrivé en 2004 de la part de la direction de l'hôpital Bicêtre après que je me suis adressé à la CADA  (Commission d'Accès aux Documents Administratifs) pour avoir enfin accès au dossier médicale de mon père, comme à Michel Onfray en 2010 de la part d'Elisabeth Roudinesco, "l'historienne de la psychanalyse" après (et même avant) qu'il ne publie "La chute d'une idole" (E. Roudinesco avait donc dû pouvoir lire son livre avant qu'il ne paraisse, comme quoi tout comme le docteur Alain de Mijolla, elle se ou est chargée par le lobby freudien de veiller au grain de folie lucrative introduit dans la psychiatrie française par la doctrine débilitante - cocaïno-délirante et projective - du tristement célèbre docteur Sigmund Freud.) 

Faute d'un traitement correctement administré lors de son hospitalisation mon pèrel avait sombré dans un coma carus. Il avait failli ne pas sen sortir vivant et en avait gradé de lourdes séquelles motrices, ce qui l'avait privé de son autonomie. Il avait porté plainte, et comme j'avais été en mesure d'intervenir à temps grâce à ses infirmières, qui m'avaient montré que le traitement que ses médecins lui faisaient suivre était erroné, j'ai été taxé d'antisémitisme.

Pourquoi ? 

J‘avais moi-même de façon abjecte précédemment - en 2004 - fait l’objet de cette accusation de la part de la direction d'hôpital Bicêtre, qui m'a accusé d’avoir, par antisémitisme sciemment fabriqué (sic) la maladie pour laquelle mon père avait été hospitalisé à Bicêtre en août 1990.

A propos du livre de Delphine Horvilleur "Réflexions sur la question antisémite" j’invite la rédaction du Magazine "Elle", Médiapart, Anticor, l’auteure de ces réflexions sur l'antisémitisme, mais aussi les divers journaux et magazines que j'ai déjà informé sur ce qui était passé à l'hôpital Charles-Foix et à l'hôpital Bicêtre, dont madame Agnès Buzyn, Ministre des Solidarité et de la Santé, à se pencher sur les circonstances qui ont en 2004 fait porter cette accusation d’antisémitisme à mon encontre.

La direction de l’hôpital Bicêtre l’avait portée après que je me suis adressé à la C.A.D.A. (Commission d’Accès aux Documents Administratifs) pour que soit enfin donné suite à ma demande de pouvoir consulter le dossier d’hospitalisation de mon père aux Lits-Portes de l’hôpital Bicêtre (du 31 juillet au 2 août 1990) comme dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd du 2 au 22 août 1990, avant son transfert à l’hôpital Charles-Foix dans le Service gériatrique du docteur Jean-Yves Beinis (du 22 août au 12 octobre.)

C’est en effet un dossier que la direction de l’hôpital Bicêtre et le Service du professeur Gérard Saïd ont toujours, c’est-à-dire depuis que j’avais demandé à le consulter en 1991, prétendu être perdu (Je sais de bonne source qu’il ne l’a jamais été).

Non seulement le docteur François Chedru m’avat affirmé le 4 juillet 1996 qu’il avait pu le consulter en janvier 1996 après que madame Bénédicte Scelle, Juge d’instruction au TGI de Créteil, l’a chargé d’expertise, mais les médecins de la Clinique Léon Elmelik, contre lesquels mon père avait à juste titre porté plainte pour « coups et blessures volontaires et non assistance à personne en danger » avaient aussi pu le consulter ! Ils avaient pu le consulter, et même faire une copie de celui du docteur Jean-Yves Beinis.

Le docteur Antoine Denis, le pseudo chirurgien de la Clinique Léon Elmelik contre qui mon père avait axé sa plainte avait été jusqu’à se permettre de déposer au Conseil Régional de l’Ordre des médecins de l'Île-de-France la copie du cahier des observations cliniques faites à Charles-Foix dans le Service du docteur Beinis, tout comme il avait manifestement pu consulter le dossier de mon père à l’hôpital Bicêtre, puisqu’il y avait puisé des informations qui ne pouvaient que provenir d’une lettre que j’avais adressé au professeur Saïd en mars 1991.

J'ai en décembre dernier fait connaître, par courrier RAR (AR 1A 152 454 8557 4) , à madame Agnès Buzyn, cette ignoble accusation, lui précisant que j’avais été accusé d’avoir "sciemment fabriqué“ (sic) la maladie de mon père par ”antisémitisme" !

La communication du dossier d’hospitalisation de mon père m’avait été refusé au prétexte, controuvé, qu’il avait été perdu cependant qu’il avait été communiqué aux médecins de la Clinique Léon Elmelik, une Clinique obstétricale dans laquelle mon père venait de subir, à l’âge de 79 ans, de façon impromptue et ‘‘à l’insu de son plein gré ’’, alors qu’il n’était manifestement pas en état de la subir, une opération orthopédique bilatérale illicitement réalisée un rhumatologue qui se prétendait et se prenait pour un chirurgien orthopédiste ‘‘de renommée internationale’’ (sic, dixit le docteur Antoine Denis lui-même, et le docteure Edith Ellmelik, la propriétaire de cette Clinique, sise à l’Haÿ-les-Roses.)

La Clinique Elmelik était une Clinique dans laquelle le docteur Jean-Claude Elmelik – le frère du docteure Edith Elmelik - se permettait – selon la police de cette Commune, de violer impunément les accouchées en salle de réveil. -Cf. www.34640255 html Chap. II § 5.)

A l’Haÿ-les-Roses, « tout le monde » à la Mairie comme à la Sécurité Sociale était au courant, ainsi qu’à la CPAM du Val-de-Marne la DRPS (Direction des Relations avec les Professions de Santé), Cf. Chap. 1 § 1 les déclarations du Dr. André Souche.

Mon père étant devenu invalide après son opération, je l’avais accompagné le 23 janvier 1991 lorsqu’il a déposé sa plainte au Commissariat de l’Haÿ-les-Roses.

Le Commandant Christian Raeckelboom, m’avait alors fait une déclaration qui allait dans le même sens que celle du docteur Souche : << J'aimerais que pour une fois cette affaire aboutisse. Je n'ai en principe pas à vous le dire, ne le répétez pas, mais j'ai sur mes étagères cent cinquante (sic) plaintes pour viols. Aucune n'a pu aboutir. Les actionnaires de la Clinique sont protégés en hauts lieux, ils sont milliardaires. Ils peuvent faire et font ce qu'ils veulent. Les plaintes contre eux sont toutes systématiquement bloquées au parquet >> .)

Mon père avait, à juste titre, porté plainte contre X à leur encontre pour « coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril »;

Il aurait pu vivre comme son frère jusqu'à 90 ans mais sans doute miné par les conséquences des mauvais traitements qu'il avait subi il est décédé inopinément de cause inconnue à l'hôpital Charles-Foix dans l'après-midi du dimanche le 2 octobre 1994 alors qu'il était porté sortant pour le lendemain.

Malgré ma demande aucune recherche sur la cause de sa mort n'a été faite cependant que le même Service s’était permis le mois précédent de se livrer à l’autopsie de ma mère. Elle était pourtant décédée dans le même Service d’une cause parfaitement connue.

Dans la soirée du 12 septembre 1990 il m'avait fallu intervenir pour empêcher mon père de mourir alors qu'il était hospitalisé depuis six semaines. Les neurologues du Service du professeur Saïd qui l'avaient eu en charge, à l’hôpital Bicêtre -du 2 août 1990 au 22 août 1990), et le docteur Jean-Yves Beinis les trois semaines suivantes à l’hôpital Charles-Foix, n'avaient fait que semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biemer cependant que cette maladie avait été diagnostiquée devant moi dès l'admission du malade par les Urgentistes aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre dans la soirée du mercredi 31 juillet 1990 au retour des examens sanguins fait en urgence comme au vu de l'examen neurologique.

Ces examens étaient caractéristiques de cette maladie, très fréquente, et mortelle si elle n'est pas traitée à temps par une vitaminothérapie B12 selon un protocole depuis longtemps bien établi.

Mon père présentait alors ce qu'en médecine on appelle un "tableau de sclérose combinée de la moelle", caractéristique des syndromes neuro-anémiques, la maladie de Biermer étant, avec le syndrome de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses (syndrome NDB12PP) la cause principale de ces syndromes (le NDB12PP est deux à trois plus fréquent que la maladie de Biermer, mais n'avait alors pas encore été individualisé. Il ne le sera "qu'au milieu des années 1990" après que la résurrection inattendue de mon père sous l'effet du traitement de la maladie de Biermer a semé la panique au plus haut sommet de la direction de l'AP – HP comme au ministère responsable des contaminations par le VIH lors de la première moitié des années 1980, c'est-à-dire à l'époque où le Ministère de la Recherche, était occupé par Laurent Fabius et celui de la Santé par Claude Evin.)

Mon père avait été adressé le 22 août au Dr. Jean-Yves Beinis à l'hôpital Charles-Foix. Son état continua de s'y détériorer, mais apprenant que j'étais médecin, Mme Pondu, la Surveillante de ce Service, m'invita à venir vérifier si le traitement qu'elle avait à administrer était correct.

C'est ainsi que je me suis aperçu qu'il ne l'était pas du tout : au lieu de recevoir comme promis et comme il aurait fallu 1mg/IM/jour de vitamine B12, mon père ne recevait que 1/2 mg/semaine, une dose tout à fait insuffisante pour venir à bout d'un grave tableau de sclérose combinée dû à la maladie de Biermer comme au syndrome NDB12PP .

La symptomatologie du syndrome NDB12PP est superposables à celle de la maladie de Biermer parce que ce syndrome est comme celle-ci causé par un déficit cobalaminique.

Mais à cette époque, ce syndrome n'avait pas encore été individualisé. Faute d'avoir reçu le traitement adéquat, mon père en était arrivé au stade terminal de sa maladie.

Devant l'urgence de la situation, j'avais dû intervenir in extremis pour instaurer le traitement de la maladfe de Biermer. Contre toute attente j'avais réussi à redresser la situation.

L'erreur avait soi-disant été due à un test de schilling jugé normal et une cobalaminémie elle aussi considérée dans les limites de la normale.

Ces tests avaient été réalisés à Bicêtre devant  un syndrome clinique évoquant fortement une maladie de Biermer (tableau neurologique de sclérose combinée et glossite de Hunter).  

J'avais jugé de mon devoir de médecin de prévenir mes confrères qu'il ne fallait pas se fier à un test de Schilling normal et une vitaminémie B12 elle aussi normale pour éliminer automatiquement le diagnostic de syndrome neuro-anémique.

En premier lieu en février 1991 dans une lettre au Pr. Gérard Saïd, responsable du Service neurologie au CHU de Bicêtre parce que c'était à partir d'une erreur de diagnostic faite dans son Service (en son absence) que l'erreur avait été communiquée à l'hôpital Charles-Foix par l'Interne Olivier Ille.

Il m'avait fallu intervenir pour administrer à mon père le traitement nécessaire à sa survie alors qu'il venait de sombrer dans coma carus et était tout près de mourir.

J'avais aussi fait part des ces faits, important à connaître pour prévenir les récidives, au Pr .Yves Najean à l'hôpital. Saint-Louis, au Dr. Jacqueline Zittoun à Henri Mondor, au professeur François Piette, alors en charge du CEGAP à l'hôpital Charles-Foix, et au Dr. Michel Serdaru, un des meilleurs neurologues de la FFN.

A cause d'un test de Schilling "normal" sa maladie avait été confondue avec une démence de type Alzheimer (DTA) alors qu'il s'était agi d'un syndrome qui maintenant s'appelle le syndrome NDB12PP après s'être appelé, jusqu'en 2003, syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal.

Je fus peu après (en 2004) accusé par la direction de l'hôpital responsable de cette confusion d'avoir moi-même "fabriqué" la maladie de mon père par "antisémitisme" (sic).

Une accusation aussi abjecte que malveillante et destructrice. (voir au site internet n° 108281777 html « Théorie de complot, mythe ou réalité » alors que j'ai toujours été hanté par les exactions antisémites des nazis, d'autant que né avant la guerre dans le service du Dr. Lévy-Solal àl'hôpital Saint-Antoine j'aurais moi-même pu en pâtir si Churchill, Roosewelt et les soldats soviétiques n'avaient mis fin aux prétentions d'Adolf Hitler.

On peut me joindre au 07 86 92 02 05.

 

 

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commentaires

C
Your phone booth: a closet will do.
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