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17 avril 2019 3 17 /04 /avril /2019 14:51

« La révélation d’une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire, soit par état ou profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporelle, est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. »

Selon l'article 4 du Code de déontologie médical  « Le secret médical, institué dans l’intérêt des patients (sic), s’impose à tout médecin dans les conditions établies par la loi. Il couvre tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l’exercice de sa profession, non seulement ce qui lui a été confié, mais aussi ce qu’il a vu, entendu ou compris

Le secret médical est donc une modalité du secret professionnel dont la violation constitue une infraction pénale. Elle est en principe sanctionnée par le Code Pénal en son article 226-13, et non pas en réalité car c' est en fait  une disposition très pratique qui sert à mettre les médecins qui commettent des erreurs, des fautes, des escroqueries, des viols, ou des assassinats ciblés, à l'abri de la Justice ...  pour autant qu'ils appartiennent à l'establishment ou à des réseaux spécialement influents, tels ceux que Me Marie Grimaud a le courage de dénoncer, des réseaux qui font que la France est, de par l'emprise des concepts freudiens sur la psychiatrie française, pour les pédocriminels un eldorado.

De ce que dit la loi à son application un gouffre immense s'interpose

Preuve en est que l'Ordre des médecins et la Justice ont avalisé le fait que le docteur °°° Patrice Bodenan, en tant que Conseiller ordinal se revendiquait - non pas ouvertement mais en interne - de la franc-maçonnerie, a été jusqu'à mettre le dossier d'un malade entre les mains d'un certain docteur Antoine Denis après qu'il se l'est procuré auprès d'un Chef de Service de gériatrie de l'hôpital Charles-Foix, en l'occurrence le docteur Jean-Yves Beinis, patron d'une Unité de Soins Normalisés (sic). Le docteur Beinis le lui avait remis sans discuter, sans réticence aucune puisqu'il se savait en tort, donc que l'Ordre et la Justice soutiendront ses transgressions, puisqu'elles étaient d'une part au profit de la "fine équipe" et d'autre part au bénéfice du CNTS et des "responsables mais non coupables" de dizaines de milliers de contaminations par le VIH     

Le Dr.  Antoine Denis était un rhumatologue membres de la "fine équipe des pieds-nickelés" (voir articles précédents) contre lequel ledit malade avait porté plainte après qu'il a, par miracle réussi, grâce à la vigilance de la Surveillante de ladie USN  (madame Pondu, voir site n° 108281777 html), à sortir du très mauvais trépas (un coma carus terminal) où l'avait plongé les "soins normalisés" ordonnés par docteur Beinis, qui suivait aveuglément les directives, par définition "irréprochables", des neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd.

(voir infra le fac-similé de la Carte de Visite de frère Bod°°°. Elle est surchargée de titres aussi ronflants que creux profonds, et pour l'un d'eux illégitime, et donc usurpé)

Des directives par définition Irréprochables, puisque le Pr. Gérard Saïd était alors membre de l'IFREM, un Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale, un Institut éditeur de Médica Judaïca, une Revue d'éthique médicale placée sous le haute direction du  philosophe Emmanuel Hirsch, le frère de Martin Hirsch, l'actuel directeur de l'AP - HP.

Fac-similé de la carte de visite que Bodenan °°° nous tendit le 27 avril 1992, en proférant des menaces de représailles ordinales à notre encontre.

Docteur Patrice BODENAN

Anesthésiste  Réanimateur

Chef de service adjoint à l'Hôpital Saint-Camille

Pneumologue attaché à l'Hôtel Dieu de Paris

Expert près des Cours d'Appel de Paris

Membre du Conseil de l'Ordre des Médecins du Val de Marne

Responsable du bureau de Presse

                                        Administrateur du Syndicat des Médecins du Val de Marne                                     

            Hôtel  Dieu de Paris  Tel : 42.34.82.34 (poste 2506) Hôpital  Saint-Camille   Tel : 49.83.10.10. (Bip 34)  

                                          19, route des Gardes        92 190 Meudon  Tel : 46.26.02.73   

J'ai barré réanimateur parce que le professeur Pierrre Huguenard, directeur à Henri Mondor du SAMU du Val-de-Marne, chez qui le Dr. Bodenan avait obtenu sa qualification d'anesthésiste, m'a appris qu'il ne lui avait aucunement accordé ce titre. Bodenan avait donc usurpé cette qualification, et de fait, on s'apercevra qu'il avait surtout appris à endormir les gens. Mais il a vraisemblablement par la suite obtenu la qualification auprès du Pr. Christain Hervé en tant que Frère °°°, ayant réussi à obtenir de lui un DEA d'éthique médicale, un DEA qui lui a permis d'accéder au poste  de président du Conseil disciplinaire au Conseil de l'Ordre d'Île-de-France.   Il en était si fier qu'il l'a mis en ligne sur le Web, jusqu'à ce qu'il s'aperçoive - probablement en me lisant ou en prenant conseil auprès dfe Pr. C. Hervé - que sa manière de concevoir l'éthique était très discutable puisqu'il y spécifiait que le rôle de tout directeur d'établissement hospitalier était avant tout de défendre l'équilibre de ses comptes, quand bien même ce serait au détriment des malades. De ce point de vue il était donc "normal" que ses amis les médecins de la Clinique Léon Elmelik aient imposé à leur malade une opération non pas légitime du point de vue médical mais du point de vue du Cash-flow de leur Clinique, un point de vue qui me sera répété par son Confrère Pierre Brassart, dépêcher par Jean Penneau, le président du Conseil disciplinaire de l'Ordre du Val-de-Marne pour avaliser les épouvantables transgressions que les médecins de la Clinique Léon Elmelik avaient commises à l'encontre de leur client.    

Dans la dernière semaine du mois de septembre 1990, effaré par ce qui était arrivé à mon père - il avait failli perdre la vie après qu'il a eu le malheur de mettre les pieds dans une Clinique du Val-de-Marne - j'ai, en tant que médecin, téléphoné à la DRPS du CPAM du Val-de-Marne (la DRPS est la Direction de Relations ses Professionnels de la Santé).

C'est le docteur André Souche, sous-directeur à la DRPS qui m'a répondu. Il a ainsi le premier de mes 28 informateurs directs concernant cette Clinique (Cf. le site n° 34640255 html Chapitre I A § 1, site bientôt vieux de dix ans).

Je n'avais pas eu le temps de lui dire qu'il s'agissait de la Clinique Léon Elmelik  (une Clinique sise à l'Haÿ-les-Roses) qu'il m'a  tout de suite coupé  la parole, avant même que j'ai le temps de lui exposer le problème au sujet ce qui s'était passé  dans une Clinique du Val-de-Marne.

Il voulait avant tout savoir de qu'elle clinique il s'agissait.

Lorsque je lui ai dit qu'il s'agissait de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, il coupa tout de suite cours à la conversation. Il me dit d'une voix manifestement teintée d'angoisse << Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber >>. Sur ce, il raccrocha immédiatement. Gloup !

J'aurais dans les années suivantes affaire au directeur en titre, le docteur Philippe Garroust, ex médecin d'établissements pénitenciers (aux dires d'un médecin de la SS), qui se montrera tout aussi fermé, mais en conservant un calme olympien,

A l'époque je n'avais jamais entendu parler de l'existence des “Illuminati”.  Mais, avec les nombreuses autres sources informations que j'ai depuis récolté au sujet des Elmelik et de leur Clinique, je me demande si les fantasmes qui tournent autour de leur strange Clinique est du hard rock ou du polochon !?  Mais, coïncidences, aux dernières nouvelles - celles-ci ne datent que du 14 mars 2019,  quand j'ai consulté le Web, et vous pouvez vérifier, les Studios Marvel préparent un film sur les Illuminati, le Doctor Strange, les X-Men et les 4 Fantastiques. Y aurai-t-il un rapport entre eux et "la fine équipe des pieds nickelés" de la Clinique Léon Elmelik ?  Le professeur Jean Debeyre, chirurgien orthopédiste, affectionnait les belles chaussures à ferrures, d'où le nom de l'équipe. 

<< Les 4 Fantastiques, les X-Men et les Avengers feraient équipe pour faire régner la paix dans les différentes galaxies et contrecarrer la Cabale, ou Dark Illuminati, formée par les vilains dont Loki, The Hood, Docteur Fatalis, Emma Frost et Norman Osborn. Voilà qui s'annoncerait palpitant, même si l'information est à prendre avec des pincettes ! La bonne nouvelle, c'est que cela signifierait peut-être qu'Iron Man va survivre à Avengers Endgame.>> https://www.melty.fr › Cinéma › Marvel Studios 

On le voit, ça ne colle pas avec "la fine équipe" de notre histoire, où n'y a que des méchants, à commencer par l'auteur de ce site, dixit le gentil docteur François Chedru le 6 janvier 1996 (voir plus loin).  

Le 21 janvier 1991, le Commandant Christian Rackelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses nous avait tout de suite prévenu (c'était un mardi après-midi), que les plaintes adressées contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient systématiquement "bloquées au parquet".

Disant cela, il avait accompagné ses dires d'un large geste englobant les territoires trouvant derrière son dos, dont tout près et presque immédiatement la mairie de l'Haÿ-les-Roses et la Clinique Léon Elmelik, et, mais beaucoup plus au loin, le TGI de Créteil.

Il avait complété ses dires en nous faisant savoir, en nous priant de ne pas le répéter, que toutes les plaintes pour viol (cent-cinquante, avait-il précisé) qu'il avait eu à enregistrer à l'encontre de son médecin-directeur, le docteur Jean-Claude Elmelik étaient systématiquement "bloquées au parquet".  

L'année suivante, Me Catherine Scotto-Derouet, en se rendant au bureau d'ordre pénal du TGI de Créteil, alors que je m'étais gardé , de crainte de lui faire peur, de lui répéter les dires du Commandant Raeckelboom et ceux du docteur Souche, constata que les très nombreuses plaintes portées à l'encontre des médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, malgré leurs gravités, n'avaient jamais donné lieu à des poursuites. Ce qui prouvait, en avait-elle déduit, qu'ils étaient protégés, qu'il ne fallait donc pas porter plainte au pénal, ce qui ne serait "que pour les em....der",  mais au civil, beaucoup plus intéressant (elles avait évalué les dommages et intérêts à 800.000 francs), parce que ... le docteur Patrice Bodenan, Conseiller ordinal et responsable du Bureau de Presse du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne,  était, à ses dires, "beaucoup trop puissant" (sic).

Le lendemain, le 28 avril, quand j'ai cherché à téléphoner à Me Catherine Scotto-Derouet, au Cabinet de la rue Jouffroy d'Abbans, un de ses confrères me répondit vertement qu'elle n'y était plus, et "qu'on ne voulait plus en tendre parler" (sic).

J'ai mis 6 mois à la retrouver. Elle avait trouvé de quoi exercer son métier au 5 (ou 7) rue Villersexel, dans le Cabinet de Me Michel Bloom, avant que celui-ci  ne déménage pour la rue de Verneuil. Depuis, Me Catherine Scotto (qui n'est plus Derouet) semble s'être installée dans le 9.3, à Noisy-le-Grand, si c'est elle ? 

Persuadée que j'avais été radié du tableau de l'Ordre des médecins, elle me fit savoir que Me Bloom était prêt me défendre contre la décision de l'Ordre (qui donc lui avait avait fait croire que j'étais radié ?) 

L'année suivante (nous sommes en avril 1993) voulant  savoir où en était la plainte que mon père avait adressé à l'Ordre des médecins, la secrétaire qui sortit le dossier relatif à la Clinique Elmelik me dit en me le remettant "Mon pauvre monsieur, pourquoi voulez-vous que l'Ordre des médecins poursuive des violeurs et des pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre"  alors que la plainte de mon père ne portait aucunement sur des exactions de ce genre. SDur, elle me laissa potasser le dossier mais ne m'autorisa pas à en faire des photocopie si je ne signais au préalable un document stipulant que je m'interdirai d'en faire juridiquement usage ! Je ne signais donc pas cette interdiction.

En avril 1993, faute d'avoir reçu une réponse de la Clinique Elmelik quant à savoir qui avait été l'anesthésiste de l'opération interdite et illicite faite le 25 mai 1990 à la Clinique des Elmelik, j'ai adressé une lettre RAR à la CPAM du Val-de-Marne pour le savoir, et faute de réponse, j'ai téléphoné. C'est une secrétaire qui décrocha le combiné. Elle me dit d'attendre, qu'elle allait se renseigner, et en attendant, j'ai entendu une de ses collègues lui dire "ordre a été donné de ne donner aucune information sur cette affaire". Gloup ! 

Voir la suite dans les textes précédents  (Une pomme de discorde et les précédents, en remontant jusqu'aux premiers, au besoin jusqu'à août 2009 !), auxquels on accède directement en poursuivant la lecture de celui-ci ... au delà des encarts publicitaires ....)

 

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