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24 septembre 2019 2 24 /09 /septembre /2019 14:55

Le syndrome NDB12PP n'a rien à voir avec la maladie d'Alzheimer.

Ce syndrome neuropsychiatrique concerne peu ou prou 30% des personnes passé la soixantaine, mais les médecins peuvent au premier abord le confondre avec cette maladie de Biermer, mais la confusion ne peut se faire après une analyse plus approfondie.

Or cette confusion avait été faite dans le cas de mon père en août 1990, alors qu'il était hospitalisé en neurologie au CHU de Bicêtre.

Il faut dire que ses médecins avaient manifestement eu la volonté de faire exprès de chercher à confondre deux entités cliniques très différentes, et donc à se tromper de traitement  Ainsi privèrent-ils très longtemps leur malade du seul traitement qui aurait pu le rétablir sans laisser de séquelles, à savoir le traitement de la maladie de Biermer, laquelle fait partie des urgences médicales.

Le syndrome NDB12PP est dans son déterminisme étroitement apparenté à la maladie de Biermer, et il peut être considéré comme une forme clinique de cette maladie Il dépend du même traitement quand ce n'est pas de la même urgence thérapeutique lorsque les malades en sont sévèrement affectés.

En 1991, est paru un précis de neurologie aux éditions Flammarion Médecine-Sciences intitulé « La maladie d’Alzheimer et autres démences », dans lequel le docteur Michel Serdaru, de la Fédération Française de Neurologie, attirait l’attention des praticiens sur le fait que ni un test de Schilling normal, ni même une vitaminémie B12 normale, ne suffisaient à exclure le diagnostic de maladie de Biermer. La chose était donc connue.

En août 1990 je ne l'avais évidemment pas encore lu, mais je n’avais eu cesse de répéter aux neurologues qui avaient mon père en charge au CHU de Bicêtre qu’en médecine « la clinique prime le laboratoire», un adage que l’on enseigne aux apprentis médecins dès leur première année d’études.

Ils ne voulurent rien entendre. Ils avaient décidé une fois pour toute que mon père souffrait d'une démence irréversible, "qu'il était de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic, dixit le Chef de Clinique Pascal Masnou à la mi-août) .

Un mois plus tard, j'ai dû, en désespoir de cause, administrer moi-même à mon père, alors qu’il était en train de mourir, le traitement de la maladie de Biermer pour essayer de le sauver. C'était à la demande de ma sœur et en sa présence que je m'étais décidé à agir. Il n'étais plus question d'attendre alors qu'il était 19 h 15. Les pharmacies allaient fermer, et faire venir l'Interne de garde aurait été inutile et fatal. Il n'aurait probablement rien compris à la situation et aurait sûrement refusé de faire ce qu'il fallait.. 

Déjà que les neurologues du CHU de Bicêtre m'avaient pris pour un fou (je suis psychiatre). Et pour ne pas contrarier les fous, ils avaient donner l’ordre aux infirmières de ne faire que semblant devant moi d’administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer. Mais celles de l'hôpital Charles-Foix, où il avait été transféré, ne voulurent pas s’associer à des ordres devenus manifestement inconvenants. Quand elles ont compris que j'étais médecin, elles m'ont prévenu à temps en me montrant le cahier de prescription, que seulement un traitement à doses homéopathiques avait été ordonné alors que des doses drastiques étaient impérativement nécessaires dans cette forme de maladie pour enrayer le processus morbide et avoir une chance d'obtenir la régression des paralysies..

Le syndrome NDB12PP ne serait en fait qu’une forme clinique très fréquente de la maladie de Biermer, maladie rapidement dégénérative et mortelle sans son traitement spécifique (elle classée « urgence médicale »), sauf qu’il est trois à quatre fois plus fréquente que la forme classique de la  maladie, pourtant elle-même très fréquente puisque touchant 5 à 7 % des personnes passé soixante ans.

La plupart des médecins-praticiens, même les jeunes, continue cependant encore  aujourd'hui de l'ignorer, ainsi que l’on peut s’en assurer par un sondage téléphonique, alors que ce syndrome se guérit pour le prix de deux ou trois paquets de cigarettes, mais pas la maladie d’Alzheimer.

C'est ainsi que le syndrome NDB12PP jusqu'alors méconnu a été mis en évidence pour la première fois en septembre 1990. Mais j’ai aussi dû payer cher mon intervention du fait même qu’elle s’était montrée salvatrice. Tout s‘est ensuite passé comme si le fait qu’elle ait réussi avait été vécu par le professeur Saïd comme un intolérable affront.

Il n’avait pas même daigné répondre à la lettre que je lui avais très poliment adressée en février 1991 à l’occasion de la ré hospitalisation de mon père dans son Service durant une semaine afin que soit refait le test de Schilling, lettre dans laquelle je lui faisais part qu’il s’était bien agit pour mon père sinon de la maladie de Biermer proprement dite, du moins d’une affection apparentée, en rapport avec une profonde carence vitaminique B12, malgré l’apparente normalité du test de Shilling. Or lors de cette ré hospitalisation, un test de Schilling fut bien refait, qui s’avéra franchement positif, à 5 %, contrairement précédemment, prétendument normal , à 35 %, qui avait fait réfuter le diagnostic de maladie de Biermer. Ce contre-résultat à 5 %me fut alors caché. J’ai pu y l’obtenir plus tard, en me rendant directement au laboratoire de médecine nucléaire.

Avant d’avoir eu l’idée de m’y rendre, j’avais le mois suivant refais une lettre, datée du 18 mars 1991, dans laquelle je suggérais l’idée, à dessein erronée, dans l’espoir qu’il allait la démentir, que mon père souffrait d’un syndrome pseudo-bulbaire. Le professeur n’y répondit pas davantage, mais j’eus deux ans plus tard la surprise de retrouver ce faux diagnostic de syndrome pseudo-bulbaire invoqué par le rhumatologue de la Clinique Elmelik pour se disculper par rapport aux complications qu’avait entraîn l’opération transgressive qu’il avait subrepticement réalisée sur mon père. Et quand j’ai demandé au professeur Saïd de pouvoir consulter le dossier d’hospitalisation de mon père, il me fut répondu que tout ce qu’il en restait était ma lettre du 18 mars, lettre que la secrétaire se chargeait d’agiter devant mon nez l’air narquois en disant que ‘‘c’était tout ce qu’il en restait’’.

"Ne pas ébruiter l’affaire" était la condition que le parquet de Créteil avait demandé à Me Annick Dorsner-Dolivet de respecter et de faire respecter avant d'accepter d'instruire la plainte contre X que mon père avait, à juste titre, adressé le 17 décembre 1990 au procureur de ce tribunal pour "mise en danger de la vie, coups et blessures volontaires et non-assistance délibérée à personne en péril de mort".

Il l'avait porté à la suite ce qui lui était arrivé de très fâcheux après qu'il a eu la mauvaise idée de mettre les pieds à la Clinique Léon Elmelik, une Clinique dirigée par ses propriétaires, les très riches docteurs Edith et Jean-Claude Elmelik.

Sise rue des Tournelles, à l'Haÿ-les-Roses (94240) non loin de son domicile, c'était une Clinique "protégée en haut-lieu" pour une raison inconnue et incompréhensible, selon le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Christian Raeckelboom, qui en avait "par dessus la tête" d'avoir à enregistrer pour rien des centaines de plaintes à l'encontre de certains de ses médecins, le docteur Jean-Claude Elmelik se livrant au viol (sous anesthésie) des femmes qui venaient y accoucher, ou pour une IVG, voire pour tout autre opération (selon d'autres sources, dont le SAMU 94 et certains médecins dans la confidence). J‘ai fini bien plus tard pas savoir pourquoi elle était protégée. Elle servait de dépotoir et de solution aux hôpitaux des environs qui cherchaient à se débarrasser de malades encombrants.

Brillante avocate pénaliste, Me Annick Dorsner-Dolivet (elle était réputée pour sa grande compétence en matière pénale, et c'est pourquoi elle nous avait été recommandée par un juriste éminent, le professeur Chabbas, après que Me Catherinne Scotto-Derouet s'est en 1992 montrée défaillante, affolée et intimidée par un envoyé de l'Ordre des médecins, le docteur Patrice Bodenan, un ami du docteure Edith Elmelik, qui lui fit savoir que les médecins de la Clinique Léon Elmelik avaient procédé à une intervention chirurgicale à visée esthétique à la demande de mon père, une intervention faite après qu'il en avait accepté les risques. Il lui fit aussi savoir à faux que, paranoïaque, j'étais à l'origine de la plainte illégitime de mon père auprès du procureur du TGI de Créteil, et qu'en conséquence j'avais été rayé du tableau de l'Ordre des médecins.

C'était mensonger, mais de fait, à l'instigation du docteur Jean Pouillard, alors le président de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne, le docteur Bodenan fut illicitement nommé « par erreur » (sic) Rapporteur de l'Ordre dans la plainte que mon père avait rédigée à l'encontre des médecins de la Clinique Léon Elmelik.

Le 22 juin 1992

ORDRE DES MEDECINS -
CONSEIL DEPARATEMENTAL DU VAL-DE-MARNE
4, RUE OCTAVE DU-MESNIL
94000 CRETEIL

TEL : 47.07.78.06. TELECOPIE : 49.81.06.96

JP/NA
Monsieur le Docteur CRETIEN

<< Mon Cher Confrère,

J'ai l'honneur de porter à votre connaissance que votre dossier de plainte a été totalement transmis au Conseil de la Ville de Paris où est inscrit le Docteur DENIS et que ce dossier a été transmis au Conseil Régional par le Conseil de Paris, ce qui démontre bien (?) notre impartialité et l'absence de mesure d'intimidation de notre part.
Votre opinion concernant notre conseiller rapporteur me paraît sans fondement puisque tous les faits que vous alléguez ne peuvent pas être pris en compte dans la mesure où le Conseil de Paris a été le rapporteur réel de cette affaire et a rédigé la délibération de transmission en toute indépendance. Nous n'avions d'ailleurs pas eu connaissance de la suite réservée à ce dossier jusqu'à votre visite au Conseil.
Je vous serais infiniment reconnaissant de considérer - et je vous le demande solennellement - qu'il n'y a eu dans l'étude de ce dossier aucune pratique indélicate, voire "répréhensible" et qu'il n'a jamais été question d'une quelconque animosité de la part de Confrères.
Il serait nécessaire que vous soyez plus conscient que l'honneur de la mission de l'Ordre départemental et sa réputation n'ont
jamais été entâchées d'aucune impartialité (sic) dans le cadre du respect de la déontologie et de l'éthique.
Restant à votre disposition, je vous prie de croire, mon cher Confrère, de mes sentiments distingués
. >>

Le Président
Docteur Jean POUILLARD


Bodenan en avait profité pour se rendre à l'hôpital Charles-Foix pour se faire remettre le cahier des observations cliniques faites dans le Service du docteur Jean-Yves-Beinis, cahier qu'il a remis au Dr. Antoine Denis, le rhumatologue de la Clinique Elmelik, qui avait illicitement opéré mon père et contre qui mon père avait porté plainte. J'ai appris plus tard qu'il faisait passer pour professeur auprès de ses confrères et se prenait pour un chirurgien orthopédiste.

Bodenan ira de même s'entendre avec le professeur Saïd en lui faisant croire à faux que mon père avait porté plainte contre lui et en profitera pour consulter le dossier, soi-disant perdu, de l'hospitalisation de mon père dans son Service. Non seulement mon père n'avait pas porté plainte contre les neurologues de l'hôpital Bicêtre, mais, étant dans le coma quand je suis intervenu pour lui administrer le traitement approprié à sa maladie, mon père croyait leur devoir la vie et avait cherché à leur faire une donation, ainsi qu'au professeur Mazas.

Bodenan réclamera illicitement deux ans plus tard au président du Conseil disciplinaire du Conseil de l'Ordre d'Île de France le professeur Jean Penneau contre moi l'application de l'article L 460 du CSP.

Dr P. BODENAN

Anesthésie-Traumatologie

HÔPITALSAINT -CAMILLE

94366 BRY-SUR-MARNE Cedex

CONSEIL REGIONAL DE L'ÎLE-DE-FRANCE

 

Monsieur le Secrétaire Général

J'ai été chargé d'instruire initialement une plainte du Docteur Pierre CHRETIEN contre le Docteur Denis chirurgien exerçant au centre chirurgical de La Haÿ les Roses 94 -

J'ai donc reçu le Docteur CRETIEN Pierre et son père à l'hôpital Saint-Camille

J'ai aussi contacté et reçu et Docteur DENIS et la responsable de la Clinique (Mme le Docteur ELMELIK ) ainsi que le Professeur Debeyre.

A l'évidence notre confrère le Docteur Pierre Cretien n'est pas fondé à poursuivre le Docteur DENIS professionnel réputé et parfaitement irréprochable pour les faits invoqués par lui Le Docteur Pierre CRETIEN est atteint d'un délire de persécution plaintes multiples auprès des différentes structures TGI Créteil CPAM etc _ )

J'ai donc rendu un avis auprès du Conseil de l'ordre des Médecins du Val de Marne conseillant un rejet pur et simple de la plainte du Docteur Crétien , et la mise en examen de ce dernier pour évaluer son aptitude à l'exercice de la médecine -

J'appris par la suite que Pierre CRETIEN avait déposée à mon encontre une plainte pour partialité, collusion avec la partie adverse, pressions, auprès du Conseil départemental de l'Ordre du Val-de-Marne

J'ai été très étonné de la démarche de Monsieur Pierre CRETIEN qui ne repose sur aucune base réelle et que je trouve diffamatoire

Cette démarche rapportée à toutes les démarches de Monsieur le Docteur Pierre CRETIEN justifie à mon avis l'application d e l'article L 460 -

Je vous prie d' agréer monsieur le secrétaire Général mes salutations respectueuse et distinguées

Signé BOD

Sa signature est assise sur un très large triangle isocèle. Bod marque ainsi ostensiblement son appartenance à la franc-maçonnerie. Lire la suite après l'encart publicitaire ...

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