Lettre Dr. Patrice Bodenan à monsieur le Dr. Jean Penneau (Fac-similé)
Bry le 10 janvier 1994
Docteur Patreice Bodenan à Monsieur le Docteur Penneau
Conseil Régional de l’Île de France
Monsieur le Secrétaire Général
J'ai été chargé d'instruire initialement une plainte du Docteur Pierre CHRETIEN contre le Docteur Denis chirurgien exerçant au centre chirurgical de La Haÿ les Roses 94 -
J'ai donc reçu le Docteur CRETIEN Pierre et son père à l'hôpital Saint-Camille
J'ai aussi contacté et reçu et Docteur DENIS et la responsable de la Clinique (Mme le Docteur ELMELIK) ainsi que le Professeur Debeyre.
A l'évidence notre confrère le Docteur Pierre Cretien n'est pas fondé à poursuivre le Docteur DENIS professionnel réputé et parfaitement irréprochable pour les faits invoqués par lui Le Docteur Pierre CRETIEN est atteint d'un délire de persécution plaintes multiples auprès des différentes structures TGI Créteil CPAM etc _)
J'ai donc rendu un avis auprès du Conseil de l'ordre des Medecins du Val de Marne conseillant un rejet pur et simple de la plainte du Docteur Crétien, et la mise en examen de ce dernier pour évaluer son aptitude à l'exercice de la médecine -
J'appris par la suite que Pierre CRETIEN avait déposée à mon encontre une plainte pour partialité, collusion avec la partie adverse, pressions, auprès du Conseil départemental de l'Ordre du Val-de-Marne
J'ai été très étonné de la démarche de Monsieur Pierre CRETIEN qui ne repose sur aucune base réelle et que je trouve diffamatoire
Cette démarche rapportée à toutes les démarches de Monsieur le Docteur Pierre CRETIEN justifie à mon avis l'application de l'article L 460 -
Je vous prie d'agréer monsieur le secrétaire Général mes salutations respectueuse et distinguées
Signé BOD °°°
Le Dr. Antoine Denis, prétendument "de réputation internationale" était rhumatologue, et non pas “chirurgien”, et encore moins chirurgien orthopédiste, mais se faisait passer pour tel, et même pour "professeur" (c'est ce qu'il avait laissé croire à sa consœur le Dre. Ghidalia. Le bloc chirurgical de la Clinique Léon Elmelik n'était plus aux normes en 1990. Le dénommé "CENTRE CHIRURGICAL" de l'Haÿ-les-Roses servait en fait de dépotoir et se ne livrait plus qu'aux “soins de suite”, même si des accouchements et des IVG y avaient encore lieu (au risque et périls des parturientes d'être violées par le médecin propriétaire de cette Clinique "protégée en hauts lieux", selon la Police l'Haÿ-les-Roses.
ORDRE DES MEDECINS -
CONSEIL DEPARATEMENTAL DU VAL-DE-MARNE
4, RUE OCTAVE DU-MESNIL
94000 CRETEIL
TEL : 47.07.78.06. TELECOPIE : 49.81.06.96
JP/NA
Monsieur le Docteur CRETIEN
<< Mon Cher Confrère,J'ai l'honneur de porter à votre connaissance que votre dossier de plainte a été totalement transmis au Conseil de la Ville de Paris où est inscrit le Docteur DENIS et que ce dossier a été transmis au Conseil Régional par le Conseil de Paris, ce qui démontre bien (?) notre impartialité et l'absence de mesure d'intimidation de notre part.
Je vous serais infiniment reconnaissant de considérer - et je vous le demande solennellement - qu'il n'y a eu dans l'étude de ce dossier aucune pratique indélicate, voire "répréhensible" et qu'il n'a jamais été question d'une quelconque animosité de la part de Confrères.
Il serait nécessaire que vous soyez plus conscient que l'honneur de la mission de l'Ordre départemental et sa réputation n'ont jamais été entâchées d'aucune impartialité (sic) dans le cadre du respect de la déontologie et de l'éthique.
Restant à votre disposition, je vous prie de croire, mon cher Confrère, de mes sentiments distingués. >>
Le Président
Docteur Jean POUILLARD
L'ex président du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne s'est-il rendu compte que ses arguties révélaient implicitement ce qu'il croyait pouvoir nier quand il a écrit "puisque les faits que vous alléguez ne peuvent pas être pris en compte dans la mesure où le Conseil de Paris a été le rapporteur réel "...
Que le dossier ait été transmis au Conseil régional par le Conseil de Paris (un Conseil tout aussi vermoulu que celui du Val-de-Marne et que celui du Conseil national) ne démontre pas l'absence de mesure d'intimidation de la part du Dr. Patrice Bodenan °°° Sa lettre - manuscrite - au président du conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins (ci-après) démontre le contraire.
Bodenan y a pris bien soin, en la signant, de rappeler au président du Conseil disciplinaire le Dr. Jean Penneau son appartenance à la franc-maçonneri, en dessinant sous son nom "Bod" un large triangle isocèle, à son image de forme aplatie.
Bodenan était en 1992 parfaitement au courant des viols qui se commettaient depuis des lustres au sein de la Clinique Léon Elmelik. C'est même pourquoi il me reprocha de ne pas avoir empêché mon père d'y mettre les pieds, comme si j'avais été censé le savoir ! Je ne l'ai appris que le 23 janvier 1991 de la bouche de l'inspecteur Christian Raeckelboom lorsque j'ai accompagné mon père au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses.
Etant donné leur fonction au sein du Conseil de l'Ordre les Drs. Pouillard et Bodenan étaient les premiers à savoir que l'Ordre départemental n'était pas habilité à désigner un délégué rapporteur.
Patrice Bodenan°°° en avait endossé le rôle alors qu'il était une relation des Elmelik. Il avait d'autant plus volontiers accepté de le faire qu'il ambitionnait de succéder à Pouillard à la présidence du Conseil départemental.
Il obtiendra d'ailleurs une dizaine d'années plus tard pour services rendus la présidence Conseil régional après avoir obtenu auprès de son frère en maçonnerie le Professeur Christian Hervé un DEA d'éthique médicale sur "Les problèmes éthiques posées par les commissions de conciliations hospitalières".
En ligne depuis 1999 son Mémoire en a retiré l'an dernier après que j'en ai pointé les arrières pensées. Pour cause : Bodenan soutenait que les directeurs d'établissements hospitaliers étaient fondés à défendre par tous les moyens les intérêts de leur établissement quand bien même ce serait aux prèjudices de ce que madame Isabelle Pilot, une sous directrice de l'hôpital Bicêtre, appellait "la clientèle" (sic). En accord avec le Pr. Gérard Saïd elle n'avait pas hésité à m'accuser d'avoir intentionnellement "fabriqué" la maladie de mon père par "antisémitisme" (sic) pour justifier le refus de l'hôpital à nous communiquer son dossier malgré les injonctions de la CADA.
Isabelle Pilot ne savait évidemment pas ce qui se passait et ce que mon père avait subi à la Clinique L éon Elmelik alors que professeur Saïd ne l'ignorait nullement. Son accusation n'était évidemment sans rapport avec la réalité mais fonction de la "stratégie" que le Professeur Saïd, le Dr. Bodenan et le Conseil national de l'Ordre avaient élaborée pour nous intimider en nous menaçant d'en brandir l'accusation. En témoigne la soudaine réconciliation contre nature du Conseil national de l'Ordre des médecins avec l'AMIF et l'imprimature soudainement accordée au Dr. Bruno Halioua pour la publication de son livre sur l'Ordre collaborationniste après que je me suis pour la enième fois étonné devant le Professeur Saïd de la soi-disant perte du dossier d'hospitalisation de mon père alors que le Dr. François Chedru avait pu le consulter en 1996.
Non seulement le Pr. Saïd avait tout de suite fait déclarer perdu le dossier de mon père en 1991, mais il s'est en en 1997 montré physiquement extrêmement violent à mon encontre. Cette violence fut immédiatement suivie d'un ordre pour que la bibliothèque du CHU Bicêtre cesse son abonnement à la Revue Archives of Neurology et fasse disparaître de ses rayonnages les numéros existants.
Pouillard, Bodenan et lui s'étaient déjà entendus en 1992 pour monter contre moi ce qui en franc-maçonnerie cela s'appelle "un chantier".
Le Dr. Pouillard avait chargé Bodenan de me faire savoir que l'Ordre avait les moyens de me faire payer le fait de n'avoir pas empêché mon père de porter plainte contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik.
Bodenan avait fait croire au Pr. Saïd que mon père avait porté plainte contre lui. Il avait été jusqu'à téléphoner directement à mon père comme à ses avocats pour le dissuader de maintenir sa plainte.
Cf. aussi sur Google le site n°116517337 html "Ordonnance de non-lieu abusive et omerta médicale" (un “non-lieu” réclamé en toute connaissance de cause par Michel Barrau* au profit de X médecins prédateurs).
C'est en France, l'eldorado des violeurs et des pédophiles bien nés, tout à fait dans l'ordre des choses que dans ces exactions des Conseillers de l'Ordre des médecins puissent librement proférer des menaces de représailles à l'encontre des médecins qui les signalent aux autorités judiciaires, et qu'un procureur de la République vienne ensuite, en toute connaissance de cause, réclamer un non-lieu.