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26 août 2020 3 26 /08 /août /2020 17:33
En France plus d'une centaine d'écoles portent le nom de Françoise Dolto.
Il y en aurait 167, selon Wikipédia !
 
C’est tout à fait scandaleux mais c’est conforme à la logique des théorisations psychanalytiques, une logique tellement favorable aux pédophiles qu’elle leur sert d’alibi quand il arrive qu’ils soient dénoncés par leurs victimes.
 
Cela ne peut pas s'expliquer autrement que par le fait que la France est, selon l’expression de Me Marie Grimaud « eldorado des pédophiles », autrement dit une pédophilocratie.
 
La célèbre « psychanalyste » Françoise Dolto, dans une interview publiée en 1979 par le magazine "Choisir la cause des femmes" (n° 44) a éhontément affirmé que les filles qui subissaient les assauts sexuels de leur père étaient consentantes.
 
Est-ce parce que la sœur de Françoise Dolto, qui s’est suicidée, avait été incestée par son grand-père maternel, ainsi que le rapporte Marianne Kuhni, à Genève psychothérapeute féministe: << L’interprétation psychanalytique de l’inceste a pour conséquence de minimiser les incestes paternels et de protéger les pères incestueux>>.  http://mariannekuhni.com/tag/francoise-dolto . 
 
Cf. les extraits de l' interview de Françoise Dolto publiée en 1979 dans le n° 44 de "Choisir la cause des femmes"
 
Ils ont par la suite été publiés dans de nombreux ouvrages sans que les psychiatres patentés inféodés au freudisme ne les condamnent en en prenant connaissance, ce qui en fait objectivement des complices de l'incestualité.
 
Marianne Kuhni  écrit << L'interview est rapportée dans "La porte du fond" de Christiane Rochefort - Grasset 1988, p. 244, et dans "Le viol du silence" d'Eva Thomas - J'ai lu 1989 p. 235-236 
https://evathomas.blogspot.com/p/biographie.html
« Le viol du silence »  est en réalité paru en 1986 chez Aubier, et "Le livre noir de la psychanalyse" en fait état en 2005 (publié sous la direction de Catherine Meyer / ... /
 
Du fait de l'extrême rareté des exemplaires du n° 44 de « Que choisir » encore en circulation, son authenticité a parfois été mise en doute par des personnes qui n'avaient pas intérêt à le voir circuler.
 
Aux dires de Jean-Christophe Rabiller / ... / Catherine Dolto fille de Françoise et Présidente de l'association "Archives et documentation Françoise Dolto", interrogée par téléphone sur cet entretien accordé par sa mère à "Choisir la cause des femmes", a prétendu ne jamais l'avoir lu ! Qu'un entretien qui a suscité autant de polémiques soit ignoré par la fondation qui conserve les archives Françoise Dolto signifierait-il que cette fondation aurait préféré qu'il reste introuvable ?
 
Dans cet entretien hallucinant, Dolto n'hésite pas, en plus de nier la réalité des viols incestueux, à défendre les châtiments corporels et à affirmer que ce sont les maris des femmes battues qui doivent être aidés et non ces femmes elles-mêmes, qui “poissent” leur mari / ... /
 
Ce dossier comporte notamment, outre l'entretien avec Françoise Dolto, un entretien avec le commissaire Lefeuvre de la brigade de la protection des mineurs / ... /
 
Il montre que, contrairement à ce que prétendent ses défenseurs, Françoise Dolto n'était pas en avance sur son temps en ce qui concerne la cause des enfants, en tout cas en matière d'inceste. Le commissaire Lefeuvre confirme en effet la réalité de l'inceste et parle de viol et de chantage, là où Dolto ne parle que de consentement de l'enfant.
Que ce soit le flic plutôt que la psychologue qui comprenne la réalité de l'inceste en dit long sur le caractère réactionnaire des positions de la psychanalyse en matière de sexualité. ... ”
 

Voir aphadolie.com (recommandé)

« La France eldorado des pédophiles. », selon l’avocate Marie …Un drame qui soulève une nouvelle fois le problème du suivi des personnes condamnées pour pédophilie. « La France est l’eldorado des pédophiles, dénonce ce lundi dans Radio Brunet l’avocate pénaliste Marie Grimaud, référence de l’association Innocence en danger (IED). « Parce que la sanction judiciaire, lorsqu’elle existe, est bien moindre.https://aphadolie.com/2018/05/02/la-france-eldorado-des-pedophiles

Date de publication : 2 mai 2018

https://www.lelibrepenseur.org/selon-lavocate-marie-grimaud-la-france...

04/05/2018 · Selon l'avocate Marie Grimaud, « la France est l'eldorado des pédophiles » Par Bardamu 4 mai 2018 in Dégénérescence, Vidéos 0 15 PARTAGES 21 VUES Partager …

La France est le paradis des violeurs d’enfants !

Les pédophiles « condamnés » sont regroupés et hébergés dans une même prison « club-Med »

 Par Aguellid 27 décembre 2022

 

 

Définitivement, on peut affirmer aujourd’hui que la France n’est pas un pays civilisé, du moins les élites qui la gouvernent. Aucune société humaine, absolument aucune, n’a géré ses criminels les plus dangereux de cette sorte ! Comment est-il possible non seulement d’abolir la peine de mort pour les crimes monstrueux commis sur les enfants mais de surcroît protéger les mêmes coupables en les mettant dans des prisons de luxe dans lesquelles ils possèdent les clés de leurs propres cellules ? Ces mêmes criminels, condamnés à des peines très légères qui vont leur permettre de sortir rapidement de prison afin de récidiver comme le démontrent à chaque fois les faits divers sordides. Cet extrait de 7 à 8 diffusé sur TF1 est juste ahurissant, on y voit des pédocriminels avoir un accès direct à des cabines téléphoniques ?

Nous avons l’impression que la société française a mis en place des moyens importants afin de protéger ces criminels car sans la justice et la police ils auraient déjà été éliminés de la société. Grâce à la force légitime de la police et de la justice, ils sont logés et nourris tranquillement, gratuitement, dans des pseudos prisons jusqu’à leur libération et à leurs récidives. C’est du jamais vu dans toute l’histoire de l’humanité et ça nous est présenté comme une grande avancée humaine par les dégénérés et les criminels qui nous gouvernent !

Une société humaine qui est dans l’incapacité de protéger ses membres les plus fragiles, c’est-à-dire les enfants, n’est pas digne de son humanité. Au con

traire, c’est une société monstrueuse, indigne, dont le seul avenir est celui de disparaître.

 

Marianne Kuhni  écrit << L'interview est rapportée dans "La porte du fond" de Christiane Rochefort - Grasset 1988, p. 244, "Le viol du silence" d'Eva Thomas - J'ai lu 1989 p. 235-236 >> https://evathomas.blogspot.com/p/biographie.html

<< Le viol du silence est en réalité paru en 1986 chez Aubier) et "Le livre noir de la psychanalyse" en 2005 sous la direction de Catherine Meyer aux édiditions  Les Arènes / ... /

Du fait de l'extrême rareté des exemplaires du n° 44 de cette revue encore en circulation, son authenticité a parfois été mise en doute par des personnes qui n'avaient pas intérêt à le voir circuler. Au dire de Jean-Christophe Rabiller / ... / Catherine Dolto fille de Françoise et Présidente de l'association "Archives et documentation Françoise Dolto", interrogée par téléphone sur cet entretien accordé par sa mère à "Choisir la cause des femmes", a prétendu ne jamais l'avoir lu ! Qu'un entretien qui a suscité autant de polémiques soit ignoré par la fondation qui conserve les archives Françoise Dolto signifierait-il que cette fondation aurait préféré qu'il reste introuvable ?

Dans cet entretien hallucinant, Dolto n'hésite pas, en plus de nier la réalité des viols incestueux, à défendre les châtiments corporels et à affirmer que ce sont les maris des femmes battues qui doivent être aidés et non ces femmes elles-mêmes, qui “poissent” leur mari / ... /

Ce dossier comporte notamment, outre l'entretien avec Françoise Dolto, un entretien avec le commissaire Lefeuvre de la brigade de la protection des mineurs / ... /

Il montre que, contrairement à ce que prétendent ses défenseurs, Françoise Dolto n'était pas en avance sur son temps en ce qui concerne la cause des enfants, en tout cas en matière d'inceste. Le commissaire Lefeuvre confirme en effet la réalité de l'inceste et parle de viol et de chantage, là où Dolto ne parle que de consentement de l'enfant.

Que ce soit le flic plutôt que la psychologue qui comprenne la réalité de l'inceste en dit long sur le caractère réactionnaire des positions de la psychanalyse en matière de sexualité. ... >>

En France il a été établi en mai 2017 par le CNRS que 4 millions de personnes (hommes ou femmes) ont subi l'inceste, ce qui n'a pas empêché le professeur Samuel Lepastier, psychiatre membre de la SPP (Société psychanalytique de Paris) et praticien attaché de l'hôpital la Pitié-Salpêtrière de soutenir en 2006 la thèse négationniste, c'est-à-dire psychanalytique, que les allégations d'incestes relèvent de fantasmes.

Samuel Lepastier n'est pas assez connu pour avoir fallacieusement commenté, au sujet des enfants d'Outreau, dans “Le Monde” du 7 février 2006, l'affaire dite "des dysfonctionnements de la Justice française".

Titre de son affabulation : "L'inconscient, le grand absent".

Pourquoi les psychanalystes profèrent-il de si énormes mensonges ?

Malgré ou plutôt à cause de sa profonte stupidité, "Le Monde" a accepté de publier le commentaire du professeur Lepastier.

A le lire, on se demande pourquoi ce "psychanalyste" n'a pas fait l'objet de poursuites judiciaires pour avoir proféré des propos non seulement négationnistes, mais hautement mortifères, puisque l'invention pédophilocratique du concept de "complexe d'oedipe" a conduit et continue de conduire un nombre incalculable, mais considérable, de victimes d'exactions sexuelles au suicide pour avoir cru trouver une bonne écoute  dans un Service psychiatrique dit “institutionnel”, c'est-à-dire adepte de ce concept, pour eux dévastateur.

Ainsi d'une patiente hospitalisée alors qu'elle était enceinte de son père, par ailleurs père de quatre filles. Elle leur avait dit ce qu'elle avait subie. Les psychiatres qui l'avaient en charge avaient malheureusement pour elle fait leurs le concept freudien de fantasmes "œdipiens", c'est-à-dire incestueux. Ils avaient ainsi mis son récit sur le compte de la reviviscence de fantasmes incestueux inconscients, et de ce fait pas voulu la croire quand elle a dénoncé son père. Elle s'est alors suicidée. Son autopsie a révélé que non seulement elle était enceinte, mais qu'elle l'était effectivement de son père. Et ce père abusait pareillement de ses trois autres filles, qui chacune croyait être la seule à devoir subir les assauts incestueux de leur père.

L'affaire a été rapportée sur Europe 1 par une psychanalyste très médiatique, en l'occurrence Caroline Dublanche (ralliée depuis 2018 à RTL, avec une audience de 200.000 auditeurs). Elle pourrait être interrogée à ce sujet pour précisé la source de cette divulgation)

Samuel Lespastier, professeur de psychiatrie, semble ignorer que l'on peut tout à la fois être né d'un inceste, en avoir été victime dans sa plus tendre enfance, et avoir par la suite sciemment et puissamment œuvré à la “forclusion” d'une telle réalité, si et quand il y a mécon-naissance des ses origines, mais pas seulement. L'inconscient est “structuré comme un langage”, enseignait Jacques Lacan. Il avait compris que Sigmund Freud avait développé une théorie paranoïaque parce qu'il n'avait pas eu accès "à sa propre équation", en "racine carrée de moins un", qui fit qu'elle a, de son inconscient "structuré comme un langage", resurgit dans le réel en un savant délire projectif, c'est-à-dire para-logique, c'est-à-dire structuré sur un mode paranoïaque, contagieux, à la façon des délires mystiques, où s'originent les croyances religieuses.

Jacques Lacan était un psychiatre et un psychanalyste dissident. Il était lui-même le fils d'un père incestueux. Il pouvait difficilement s'exprimer autrement qu'en "mathèmes" plus ou moins intelligibles, car à l'être trop clairement, il risquait d'être irrémédiablement exclu du champ social et professionnel. Il s'est par conséquent, dans son "retour a Freud", exprimé de façon métaphorique, elliptique, pseudo mathématique, pour faire plus scientifique, en prenant Freud, sans le nommer nommément, comme un cas clinique non pas éclairé, mais éclairant, un cas de personnalité délirante retour-née à décrypter pour que ses idées doctrinaires soient remises à l'endroit.

Pour Lacan la théorie œdipienne était non seulement fausse, mais issue d'un délire dont la solution était la "racine carrée de moins un", c'est-à-dire de l'inceste dont il est le produit ...

C'est aussi pourquoi il s'était inquiété du travail mené par Marie Balmary pour son Mémoire sur Freud. Son directeur de thèse, le professeur Jean Laplanche s'était avec Jean-Bertrand Pontalis dans un petit recueil intitulé en 1964"Fantasme des origines et origine du fantasme" emparé des équations symboliques de Jacques Lacan comme s'il s'agissait d'équations mathématiques; Jacques Lacan les traita alors publiquement d'imbéciles dans une de ses conférences, dont j'ai perdu la trace. Autant dire que le travail de Marie Balmary, qui avait cité Jacques Lacan en exergue alors qu'elle était patronnée par Jean Laplanche, avait peu de chances de recevoir de lui l'onction psychanalytique malgré ses grands mérites.

Jacque Lacan, qui aimait à jouer sur les mots (les maux) a lancé la notion de forclusion-nom-du-père (de Freud). Le nom de son père biologique, et non le “le non” (en tant qu'interdit du père).

C'est à partir de son origine incestueuse qu'effectivement la théorie œdipienne a été exprimée à l'insu de son auteur.

Freud l'a en effet révélée en l'exposant de façon aveuglante, "à l'insu de son plein gré", selon la formule géniale d'un célèbre champion cycliste pris en flagrant délit de dopage.

Freud aussi se dopait, non pas à l'insu de son plein gré, peu conscient de ce que la cocaïne favorise l'émergence de délires paranoïaques, par lesquels on croit pouvoir "lire dans la tête des autres" alors que l'on ne fait que lire dans sa propre tête. Une observation que lui fit d'ailleurs son ami Wilhelm Fliess quand leur amitié compétitive s'est refroidie.

Son origine en racine² de moins un, Serge Tisseron et les psychiatres-psychanalystes férus de psychogénéalogie auraient aussi dû la comprendre.

Pourquoi s'en sont-ils gardés ? Lorsque je lui ai posé la question en lui parlant de l'enquête psychanalytique que Marie Balmary à menée dans sa thèse, éditée en 1979 chez Grasset sous le titre "L'homme aux Statues", donc à l'époque où Françoise Dolto se donnait à voir dans la revue Choisir la cause des femmes, Serge Tisseron, qui était venu parler publiquement à la médiathèque de Bagneux de ses recherches sur le cas de Hergé, a préféré botter en touche en rétorquant que la thèse de Marie Balmary n'avait pas été confirmée.

A l'époque de Freud et de son père, avorter était beaucoup plus risqué. Dans “Amok” Stefan Zweig en a fait une saisissante illustration. Les grossesses incestueuses menées à terme étaient de ce fait des réalités certainement plus fréquentes qu'aujourd'hui.

Quand cela arrivait, et que la personne née d'un inceste a pu en prendre conscience, ce qui est loin d'être toujours le cas, le fait était très généralement occulté. A moins d'être, à le laissé connaître, mis au ban de la société. Il est par conséquent préférable d'occulter une telle réalité pour ne pas nuire à son inclusion sociale. Tout se passe en effet comme si la faute, commise avant la naissance de l'enfant à naître (de l'enfant à n'être pas), incombait non à ses parents mais à la personne née de l'interdit. La “psychanalyste” Françoise Dolto expliquait d'ailleurs, dans son propre délire, que l'enfant à naître “choisissait” sa mère, donc que l'enfant à naître choisissait les conditions de sa naissance. Elle professait aussi que les victimes d'inceste étaient "consentantes", ainsi que l'a rapporté dans son livre Eva Thomas, "Le viol du silence", paru en 1986, et depuis réédité en Livre de Poche , citant une interview parue dans “Choisir”.

Choisir - Mais enfin, il y a bien des cas de viol ?
F. Dolto - Il n'y a pas de viol du tout. Elles sont consentantes.
Choisir - Quand une fille vient vous voir et qu'elle vous raconte que,
dans son enfance, son père a coïté avec elle et qu'elle a ressenti cela
comme un viol, que lui répondez-vous
?
F. Dolto - Elle ne l'a pas ressenti comme un viol. Elle a simplement
compris que son père l'aimait et qu'il se consolait avec elle, parce que
sa femme ne voulait pas faire l'amour avec lui.

https://www.cerhu.com/112385-dolto-linceste

Voir aussi Marianne Kuhni https://mariannekuhni.com/2014/04/03/en-psychanalyse-lenfant-porte-la-responsabilite.

Elle écrit : "L’interprétation psychanalytique de l’inceste a pour conséquence de minimiser les incestes paternels et de protéger les pères incestueux. Face à une telle conception, on peut se demander si la psychanalyse n’est pas en elle-même une production d’un Syndrome de Stockholm sociétal"

Sigmund Freud avait confessé, dans ses lettres à son ami et Confrère Wilhelm Fliess, qu'il avait été, très jeune, victime de son père, qui imposait à ses enfants de lui faire des fellations.

Après le lui avoir avoué, il a élaboré ("perlaboré", autrement dit "père- l'aborré") et propagé, à partir de 1910, c'est-à-dire sur les conseils du docteur Ernest Jones, un fallacieux mais astucieux concept, sur-culpabilisant et très invalidant pour les victimes d'inceste et/ou d'exactions pédophilesques, en l'occurrence celui de complexe d’œdipe.

Ernest Jones était en effet, comme le père (officiel) de Sigmund Freud, un grand amateur de chairs tendres. Il avait à cause de cela dû fuir l'Angleterre pour échapper à sa Justice. Il avait ainsi trouvé refuge au Canada. Il avait eu le temps de comprendre, en lisant ses essais sur la sexualité théorique, que Freud pouvait lui être utile. Aussi était-il venu le rejoindre à Vienne en 1908.

Le concept fallacieux de complexe œdipien est si malin qu'il a dupé et continue de duper les psychiatres, tout au moins en France, définie par Me Marie Grimaud comme un eldorado pour les pédophiles.

La Bible, au chapitre de la Genèse, et l'histoire légendaire d'Œdipe telle qu'elle est apportée par Sophocle, imputent aux amours transgressives et perverses, via la parabole de la consommation du Fruit de l'Arbre interdits, des conséquences désastreuses à n'en plus finir.

Il est d'ailleurs curieux que Sigmund Freud, qui paraît-il avait appris à lire dans la Bible, ne s'en soit pas aperçu, et ait préféré recourir à la légende œdipienne, pour en inverser le sens et sur-culpabiliser les enfants victimes d'exactions sexuelles.

Voici ce que Samuel Lepastier, “psychanalyste”, avait écrit au sujet du "grand oublié" relatif aux enfants d'Outreau, qui ne fait que répéter la conception qu'à la suite de Sigmund Freud les “psychanalystes” se font de l'inceste. Cf. aussi l'article du “psychanalyste” Roger Perron paru dans le "Dictionnaire international de psychanalyse" publié en 2002 chez Calmann-Levy (La même remarque vaut donc pour Roger Perron, l'auteur de l'article relatif à l'inceste, voire pour Alain de Mijolla, coordinateur de ce dictionnaire)

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