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7 novembre 2020 6 07 /11 /novembre /2020 03:12

La théorie œdipienne, inventée non par Freud, mais par Ernest Jones en 1908 quand il est venu le rejoindre à Vienne depuis son exil canadien, cache consciemment ce qu'elle révèle en révèlant - inconsciemment - ce qu'elle cache.

La théorie œdipienne est criminelle. C'est l'hydre qui fait perdre la tête, à qui s'y livre comme à ceux qui veulent la lui couper, castration oblige.

Parce qu'à travers elle Freud a révélé, sans le savoir, qu'il était à la fois le fils de son père et de son grand-père maternel, c'est-à-dire de Jacob Nathanson, et non pas de Jakob Freud, celui-ci ayant épousé Amalia Nathanson alors qu'elle était grosse de son père !

Les psychanalystes demeurés freudiens ont avec la théorie œdipienne cherché à faire admettre  aux victimes de violences sexuelles subies dans l'enfance qu'elles ne sont jamais que les victimes de leurs désirs incestueux inconscients. Preuve en est le commentaire du psychanalyste Samuel Lepastier  (il est aussi psychiatre et professeur) que le journal "Le Monde" daté du 8 février 2006 a publié le 7 février

https://www.lemonde.fr/idees/article/2006/02/07/l-inconscient-le-grand-absent

L'imposture freudienne a eu pour effet de sur-culpabiliser les victimes de ces violences, souvent jusqu'à les pousser au suicide. 

Si on pouvait faire dn le monde le compte des suicides qu'ont provoqué les "cures" dites "psychanalytiques" appliquant les conceptions controuvées de Freud et de ses zélotes on trouverait sans doute des dizaines de millions.

Freud savait, et se réjouissait parfois, qu'il provoquait des suicides chez ses partisans (dont Tausk).

La théorie œdipienne n'est pourtant pas totalement absurde et paranoïaque, elle révèle ce que Freud ne pouvait et ne voulait surtout pas savoir, mais que Jacques Lacan avait parfaitement compris, et pour cause (lire E. Roudinesco "généalogies" paru en 1994)

Cette théorie a en connaissance de cause fait dire à Jacques Lacan que la psychanalyse est un délire.

Jacques Lacan en a tiré le concept de "forclusion du nom du père", une "forclusion" génératrice de psychoses paranoïaques, si ce n'est de psychoses hallucinatoires.

(La Psychose Hallucinatoire Chronique est en Suède assimilée à la schizophrénie, pays où cette affection concerne  0,35 % de la population, contrairement à ce qu'il en est en France, où la schizophrénie la concerne à hauteur de 1%)

Le concept de "forclusion du nom du père" est à juste titre fondé sur un "retour à Freud".

Lacan tablait sur le sens rétrograde (paradigmatique) des mots pour n’être compris que par une minorité les non-dupes de leur sens. 

L'imposture de la phallocratie médicale n'est donc pas nouvelle.

Sigmund Freud n’avait pas été long à se rendu compte que dénoncer l'inceste et la pédo-criminalité en tant que cause de psycho-névroses (il se disait lui-même hystérique) revenait à se mettre à dos les nombreux pratiquants de la prédation sexuelle et incestueuse. Il choisit dès lors de se mettre  du côté du manche plutôt que de la cognée, et se mit à nier une réalité  dérangeante. Il parla de fantasmes œdipiens, bien secondé en cela par le Dr. Ernest Jones, grand amateur de tendrons, qui inventa aussi pour lui la "grossesse nerveuse" d'Anna O.

("Anna O" avait longtemps été la jolie patiente et la maîtresse morphiniquée du "bon" Dr. Josef Breuer, ami et confident du bon Dr. Freud

François Balmès, psychanalyste, exégète de Jacques Lacan et directeur de programme au Collège international de philosophie, qui n'avait rien compris ce que  Lacan disait de l'Être (de Freud)  mais faisait comme si, avait poussé  en mai 2003 au Collège de philosophie dans l’amphithéâtre Stourzé, ce jour-là bondé à craquer  le ridicule jusqu'à répondre à la question qu'un auditeur impertinent lui avait posée : << Comment Lacan concevrait-il l'inconscient maintenant que l'on sait que l'univers a non pas quatre mais onze dimensions ? >>

Au bout de 10 minutes, le courageux orateur a fini par caler : il ne savait plus à quelle question il répondait de si profonde façon.

C'est que la psychanalyse, comme ce qui la fonde, a le don de rendre ses adeptes abscons comme la lune.  Parqequ'il y a dans la psychanalyse, comme en physique quantique, des variables cachées, impossibles à saisir sans les impacter :  l'appareil (le "psy") qui s'y essaie finit schizophrène catatonique, transformé en statue de sel.

S'y était essayé  Mary Balmary, dans "L'homme aux statues" (Grasset 1979) et Gabrielle Rubin "Le roman familial de Freud" (Payot 2002) .

Après l’avoir compris et révélé, Gabrielle Rubin a dû se tirer une balle dans le pied cinq ans plus tard et feindre l’imbécilité dans "Du bon usage de la haine et du pardon" (Payot  2007).

Marie Balmary, blackboulée  par son directeur de thèse (le professeur Jean Laplanche, dite à repasser) a dû changer de voie et s'orienter sur l'analyse des écrits bibliques, et l'excellente  psychanalyste Gabrielle Rubin par se tirer une balle dans le pied en faisant de "Anna O" une patiente de Freud

Transmettre à Marinopoulos, à Etienne Klein et à Yapaka (Belgique) ou à Philippe Vergnes (sur Agora-Vox).

Freud avouait en privé que ses patients l'insupportaient, qu'ils ne servaient qu'à le faire vivre et à ses recherches, que c'était de la racaille, que le mieux serait d'en faire des cargaisons pour les couler.

L'idéologie de Freud était proche de celle du Führer (l'effet des variables cachées ?)

- /-

J’ai pour ma part été ultra-violenté en 1945, dans le cabinet d'un médecin pédoclaste, celui du Dr. B.(ce n'était évidemment pas le Dr. Breuer) qui avait réussi à convaincre mes parents que je risquais le rachitisme (il savait que c'était leur phobie) mais qu'il pouvait m'en prémunir par des séances d'UV thérapie. Il pouvait m'en faire dans son cabinet, dans lequel il y avait aménagé une chambre exprès pour "ça" !

Comme il exerçait dans l'immeuble mitoyen, après les premières séances, qui évidemment s’étaient bien passées, je pouvais m'y rendre seul. Mais à la énième séance, je ne peux pas dire laquelle, sans doute la quatrième ou la cinquième, lui ou un assistant, ou je ne sais qui,  a profité de ce que je n'y voyais rien - j'avais alors les yeux recouverts par un bandeau de feutre noir - pour me sauter dessus et me violenter de la pire façon.

Après cette séance je suis devenu pantophobique. Je  me suis mis à avoir peur de tout ce qui pouvait de près ou de loin ressembler à une installation d'UV thérapie préventive du rachitisme, en particulier les salons de coiffure. Je refusai non seulement d'y mettre les pieds, mais même de passant devant  la boutique du coiffeur du coin de la rue.

Je me suis mis à refuser de dormir dans ma chambre (c'était en fait un lit placé dans la salle de séjour qui la nuit me servait de chambre à coucher) et exigeai de dormir dans la chambre de mes parents, et qu'ils gardent la lumière allumée toute la nuit.

D’où la colère de mon père, qui ne comprenait pas comment j'avais pu tout à coup changé de caractère à ce point. Il avait jusqu'alors été très fier de moi, de ce que les maitresses d'école pouvaient lui dire de moi, qui faisait qu'il me plaçait sur un piédestal, jusqu'à  être "à genou devant mon intelligence" (sic, dixit mon père lors d'une dispute au sujet de ce qu'avait dit de moi à ma mère une psychiatre freudienne du dispensaire  Furtado-Heine,cf. infra ). 

Et voilà que tout à coup j'étais devenu idiot.

Il se mit à me haïr au point de me battre presque à mort pour m'apprendre raison.

Le médicastre lui expliqua que les UV parfois pouvaient provoquer des telles réactions !

Mon père crut ce connard sur parole.

Ma mère s'en fut trouver une pédo-psychiatre au dispensaire de la rue Furtado Heine (75014), madame Jacqueline Moreau-Dreyfus, qui lui expliqua, après m'avoir fait passer des tests et fait faire un dessin (qu'elle trouva bizarre), que j'étais intelligent mais que j'étais une "lavette" (sic). Je souffrais parait-il du complexe des dupes.

Impossible d'en parler ensuite en analyse sans être accuser de fantasmer des désirs œdipiens refoulés et d'être accusé de "perversions" (sic) "C'est pas à vous d'imposer vos conceptions" me dit  madame Marie A. une "psy" (- chiatre lacanienne crétinisée exerçant au 286 Boulevard Saint-Germain) longtemps après que celle du dispensaire Furtado Heine a expliqué à ma mère que c’était sa faute (les psychanalystes comme Maud Mannoni expliquaient que les mères d'enfants arriérés étaient responsables de l'arriération de leur progéniture, alors que c'est Freud qui est responsable de l'arriération des psychanalystes.)

Freud avait compris que pour sa carrière, il avait intérêt, après qu’il s'est aperçu que dénoncer l'inceste et la pédo-criminalité allait lui barrer la route de la richesse et de la célébrité, de nier la réalité, bien secondé en cela par un amateur de tendrons, Ernest Jones, qui lui inventa la grossesse soi-disant nerveuse d'Anna O et le complexe des dupes, une mystification qui a provoqué quantité de suicides chez d'innombrables victimes, y compris des psychanalystes qui avaient naïvement cru à ses grosses ficelles (+ c'est gros …). Même Roudinesco dans son dernier livre sur Freud a fini concéder que ce complexe était de la foutaise, après que je lui ai mis les points sur les iX au sujet du "ramonage de cheminée" que le "bon" Dr. Josef B. offrait tous les jours de la semaine à sa jeune patiente Berha Pappenheim ("Anna 0" était une parente de Freud via son épouse Amalia) maintenue sous morphine (l'inconscient étant structuré comme un langage, il la morphi-niquait).

Ramonage et labourage de crâne étant les mamelles de la sphinge frœudienne, une "grossesse nerveuse" (dite hystérique) s'en était suivie chez sa patiente, et une tentative de suicide chez madame Breuer.

Mais c’est Freud qui, avec Ernest Jones dans le rôle de sage femme, accoucha d'une théorie, qui stipulait que les petites filles ne désirent rien tant (inconsciemment) que leur papa les niques pour leur faire un bébé (conformément à ce qu'avait fait la mère de Freud avec son papa) et les garçonnets rien tant que bousiller papa pour niquer maman à sa place (ce que le petit Sigi se rappelait avoir voulu faire avec sa maman quand il l'a vue "nudam" dans le compartiment d'un wagon les ramenant d' Odessa. 

Cf. http://genocides.over-blog.com

 

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