Aldred Jarry et Sigmund Freud ont beaucoup inspiré les surréalistes
D’après une étude menée par le CNRS et publiée en mai 2017, les incestes réels se comptent en France par millions (4 millions selon le CNRS).
Mais dimanche dernier, sur Fr. 5 au cours de l'émission “C politique”, à propos du livre de Camille Kouchner ("Familia grande") sur l'inceste dont a été victime son frère jumeau de la part de son beau-père le professeur de Droit Constitutionnel Olivier Duhamel, Andréa Bescond et Charlotte Pudlowski ont avancé que les victimes d'incestes sont en France 6 millions.
Elles n'ont pas préciser la source de cette information.
J'ai fait plus longuement part de ces estimations à l'Association Psychanalytique de France parce que du point fondamental de la science psychanalytique : "il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents chez tout être humain, et les comportements réels, de type incestueux, infiniment plus rares; il reste que leur abord psychanalytique a permis d'en comprendre beaucoup mieux la genèse et la signification ”
Que répondra l'APF à l'auteur du "blog de leon" ?
======>> certainement RIEN
Parce que la psychanalyse est une "pompe à phynance" qui - synchronicité oblige - a vu le jour à l'époque où d'Alfred Jarry imaginai Le Père Ubu
Véritable portrait de Monsieur Ubu, par Alfred Jarry (1896).
Cette astucieuse escroquerie permet de se faire du gras sur le dos des naïfs argentés. Tant pis pour eux, et tant mieux pour ceux réussissent à s'approprier la méthode pour partager son lucratif pouvoir de décérébration.
#MeTooInceste : comment le silence s’est brisé
Pour les psychanalystes bon teint tel Roger Perron "il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents chez tout être humain, et les comportements réels, de type incestueux, infiniment plus rares; il reste que leur abord psychanalytique a permis d'en comprendre beaucoup mieux la genèse et la signification ” (en conclusion de l'article où il traite de l'inceste, page 801 du méga "Dictionnaire international de psychanalyse" édité en 2002 par les éditions Calmann-lévy (soulignement mien)
Dorothée Werner, dans son éditorial du n° 3918 du magazine Elle fait à raison remarquer dans son éditorial qu'il faut en finir non pas tant avec "la loi du silence" qu'avec "la loi du déni", la loi du silence n'étant que le conséquence du déni.
Un déni auquel ont beaucoup œuvré les fallacieuses théorisations psychanalytiques frœudiennes, ainsi que l'avait en 1979 pointé la psychanalyste Marie Balmary dans ''L'homme aux statues", sous-titré "La faute cachée du père" (chez Grasset, réédité en 1997), un livre qui avait valu à son auteure d'être ostracisée par les tenants de la fidélité à doctrine frœudienne des fantasmes incestueux confondus avec la réalité, doctrine soutenue encore en 2006 par le psychiatre-psychanalyste Samuel Lepastier dans son commentaire sur les enfants d'Outreau, paru dans "Le Monde"
https://www.lemonde.fr/idees/article/2006/02/07/l-inconscient-le-grand-absent https://media.blogs.la-croix.com/inceste-le-viol-du-silence/2021/01/07
=====> "Samuel Lepastier fâcheusement n’est pas assez connu pour avoir fallacieusement commenté, au sujet des enfants d’Outreau, dans « Le Monde » du 7 février 2006, l’affaire dite « des dysfonctionnements de la Justice française ». Titre de son affabulation : « L’inconscient, le grand absent »."
Pourtant, Marie Balmary m'avait pas été jusqu'à sous-titrer son analyse "La faute cachée du grand-père", comme à mon avis (de psykalacanien) il aurait été bien plus légitime de le faire.
Si Sigmund Freud est passé à côté de la réalité au sujet la très grande fréquence des incestes et des attentats sexuels commis à l'encontre des bébés et des enfants, il a des excuses : comme l'écrivain-philosophe George Steiner, il était juif, et George Steiner a en avril 2014 fait remarquer à Laure Adler dans l'émission "Hors-Champs" qu'elle animait à cette époque sur France-Culture (l'émission a été rediffusée sur cette même fréquence en décembre de la même année, et c'est alors que je l'ai captée) que , contrairement à ce qui se passe chez les autres, chez les Juifs il n'y a ni inceste ni pédophilie.
C'est pourquoi Freud est passé à côté de la réalité.
C'est aussi pourquoi le docteure Catherine Bonnet s'est trompée de cible à mon sujet. Elle avait dû penser que j'avais tenté de la dissuader de faire des signalements de cas pédocriminels au Conseil de l'Ordre.
Ma famille maternelle est non pas de confession juive, mais d'origine juive, ainsi qu'en ont apporté la preuve les recherches généalogiques de l'épouse de mon petit cousin René Pasquet. Ce dont je ne m'étais jamais soucié.
Ce n'était aucunement par solidarité avec les pédocriminels que j'avais rencontré ma Consœur afin de lui faire savoir ce que m'avait confié en avril 1993 une des secrétaires du Conseil Régional de l'Ordre des Médecins de l'Île-de-France en me remettant le dossier relatif à la plainte de mon père concernant agissements des médecins de la Clinique Léon Elmelik (*) à son encontre, à savoir que les violeurs et les pédophiles étaient "au Conseil de l'Ordre" : << Mon pauvre monsieur, pourquoi voulez-vous que le Conseil de l'Ordre poursuive les violeurs et les pédophiles ? Ils sont au Conseil de l'Ordre ! >> , m'avait-elle dit, et cela alors que la plainte de mon père ne portait pas sur ce genre d'exactions criminelles.
Trois mois plus tard, "synchronicité" oblige, en juillet 1993, le pédochirurgien Bernard Glorion était élu président du Conseil National de l'Ordre des Médecins.
Et en 1997, quand l'affaire des assassinats de malades – des assassinats immédiatement décrétés compassionnels par Bernard Kouchner - commis au CHU de Mantes la Jolie dans le Service de pneumoneurologie par l'infirmière Christine Malèvre sous l'égide du très catholique docteur Olivier Ille éclata (**), Bernard Glorion au nom de l'Ordre, et Gérard Saïd au nom de l'AMIF et de l'IFREM, se trouvèrent tant de points communs au plan dé-hontologiques qu'ils s'empressèrent de faire Alliance (***).
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* Pour plus de précisions sur cette Clinique, cf. le “blog de leon”
** - à cause du docteure Laurence Kouyoumdjian, qui contrairement au sacro-saint "devoir de confraternité", n'avait pas su garder sa langue dans sa poche alors que les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient en 1990 si bien servi les intérêts de la Clinique Léon Elmelik et du CNTS sous l'égide du déhontologique professeur Gérard Saïd.
*** Cf. à qui sait lire préface et postface et la page 12 de “Blouses blanches, étoiles jaunes”, de Bruno Halioua, éditions Liana Lévi, décembre 1999.
+ sur wwww. 34640255 html, mis en ligne en août 2009 après que Nicolas Sarkozy a fait remarquer que depuis l'avènement d'Internet il n'était plus possible à la Justice d’enterrer les affaires dérangeantes
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