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4 janvier 2021 1 04 /01 /janvier /2021 13:00

Admis en neurologie dans le Service du très éthique professeur Gérard Saïd au CHU de Bicêtre le 2 août 1990 à l'âge de 79 ans mon père faillit en perdre la vie.

Le professeur Saïd était à l'époque un pilier de l' (ex ?) Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale juive (l'IFREM), éditeur de Médica Judaïca, une Revue présidée par son ami Emmanuel Hirsch, une Revue qui dans son numéro 21 en mars 1991 met en avant les beaux principes de la Gneva Daath  tels qu'ils sont exprimés dans le Choulin, chapitre du Talmud.

Emmanuel Hirsch n'est pas médecin, mais professeur de philosophie. 

Secret médical oblige, mais à ma grande surprise, il m'a dit “connaitre par cœur” l'histoire médicale de mon père lorsqu'en 1997 j'ai voulu lui en toucher un mot.

Était-ce parce que mon père avait été admis dans le Service du Pr. Saïd après être malheureusement passé par les mains inexpertes des médecins de la Clinique Léon Elmelik, sise à l'Haÿ-les-Roses, où mes parents habitaient depuis 1964, qu'il avait perdre la vie dans le Service du professeur Gérard Saïd ?

On est en droit de le penser, car c'était après qu'un diagnostic de présomption de maladie de Biermer a logiquement et correctement été porté cliniquement devant moi aux Lits-Portes de cet hôpital dans la soirée du 31 juillet 1990 au retour de l'hémogramme pratiqué en urgence comme au vu d'un tableau clinique de "sclérose combinée de la moelle" (syndrome tétrapyramydal avec clonus rotulien inépuisable, dysmétrie et spasticité relative à un syndrome cérébelleux) que le traitement de cette maladie, à bref délai inéluctablement mortelle en l'absence de son traitement spécifique, avait été remplacé par un faux-semblant 

Le tableau de sclérose combinée de la moelle s'observe dans les formes neurologiques de l'anémie de Biermer.

Très amaigri, mon père ne pesant plus que 50 kg, contre normalement 72 kg.

Mais après son admission dans le Service du professeur Gérard Saïd, il ne fut tenu aucun compte du diagnostic de présomption porté aux Lits-Portes par les Urgentistes, dont Antoine Moulonguet, actuellement Chef d'un Service de neurologie à La Pitié-Salpétrière.

Bizarrement, le diagnostic de maladie de Biermer ne fut pas même mentionné dans le Compte-Rendu d'Hospitalisation établi par l'Interne, Olivier Ille. Celui-ci fera très peu parler de lui bien qu'il ait sept ans plus tard eu à voir avec les assassinats de malades commis dans son Service par Christine Malère.

Le Service me remit son CRH à la place du dossier d'hospitalisation, au mensonger prétexte que celui-ci avait été “égaré”.

Dans le Service du professeur Saïd le diagnostic de neuro-anémie de Biermer avait été bizarrement écarté, au fallacieux prétexte que le test de Schilling et la cobalaminémie (la B12 plasmatique ) étaient normaux.

Autrement dit, on avait fait comme si on ignorait les articles qui depuis longtemps avaient été publiés sur le sujet, dont en 1978 celui de Kolhouse & al, (New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792.Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”).

On avait fait semblant de l'ignorer au profit du diagnostic sciemment équivoque d'une "encéphalopathie vasculaire" compliquant une "DTA" (Démence deType Alzheimer), le tout étiqueté de façon ni vraie ni fausse, mais floue et ambiguë  ''ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX'' (sic)

Il s'agit là d'une appellation certes intelligible, mais pour qui est du sérail. Elle sert en effet à désigner de façon cryptée la LEMP (la LeucoEncéphalopathie Multifocale Progressive), c'est-à-dire une affection épouvantable mais heureusement rare, quoique devenue plus fréquente à l'époque, depuis que les transfusions de sang "à l'américaine" on boosté la circulation du VIH : 25.000 patients furent ainsi en France indument contaminés dans la première moitié des années 1980, dont mon père en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis lors de la pose d'une prothèse de hanche dans le Service du Pr. Jacques Witvoet.

Due à ce que l'on appelle un “virus de sortie”,(la réactivation du virus JC), la LEMP est de très sombre pronostic.  Elle survient chez les personnes immunodéprimées, notamment celles qui ont été infectées par le VIH. www.msdmanuals.com//leucoencéphalopathie-multifocale-progressive

Ledit fallacieux CRH m'avait été adressé en lieu et place du dossier d'hospitalisation, au prétexte que le dossier avait été perdu, alors qu'il ne l'était pas et ne l'avait jamais été. Six ans après le docteur François Chedru avait pu le consulter pour les besoins de son expertise, commanditée par madame Bénédicte Scelle, Juge d'instruction au TGI de Créteil.

Mon père avait réussi non seulement à sortir miraculeusement vivant de ce cet imbroglio savamment orchestré par les neurologues de l'hôpital Bicêtre, mais à regagner "à la surprise générale" 30/30 au MMSE, contre précédemment 22/30, non pas à la satisfaction, mais au grand mécontentement de ses médecins !

Le CRH était signé “Olivier Ille, Interne

Le Chef de clinique Pascal Masnou avait délégué à Olivier Ille le suivi clinique et traitement de mon père, et l'Interne avait mis son malade mis sous Prozac * pour tout traitement pendant que le docteur Pascal Masnou essayait de me faire croire que le traitement de la maladie de Biermer lui était correctement administré, conformément au diagnostic qui avait été porté aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.

Après trois semaines passées dans le Service de neurologie, mon père ne pesait plus que 47 kg et son état s'était dégradé à tel point que, le 22 août, il fut transféré à l'hôpital Charles-Foix dans l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, où il put bénéficier d'une belle chambre individuelle, au lieu d'avoir à partager à Bicêtre une chambre à plusieurs lits.
Une lettre manuscrite de l'Interne avait accompagné son transfert, une lettre que j'ai pu récupérer cinq ans plus tard quand la direction de l'hôpital Charles-Foix a mis le docteur Beinis en demeure de me communiquer copie de son dossier d'hospitalisation.

Outre que cette lettre faisait grandement état du diagnostic d'encéphalopathie vasculaire, elle se terminait en indiquant au docteur Jean-Yves Beinis de n'administrer au malade qu'un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer. bien qu'aucun médecin ne puisse ignorer que la maladie de Biermer est très rapidement et inopinément mortelle sans son traitement spécifique.

La Surveillante de l'USN de l'hôpital Charles-Foix, madame Pondu, qui avait l'expérience de la maladie de Biermer, affection fréquente chez les personnes âgées,  apprenant que j'étais médecin, s'empressa de me faire savoir par une de ses élèves, avant qu'il ne soit trop tard – l'état du malade s'était dégradé au point d'être extrêmement critique – que mon père ne recevait pas réellement le traitement cette maladie, mais seulement un faux-semblant.

Bien que madame Pondu ait essayé de persuader le docteur Beinis que son malade souffrait bien de cette maladie et donc de la nécessité de lui administrer réellement le traitement de la maladie de Biermer, elle n'y est pas parvenu. Ce qui fit que faute de l'avoir reçu, au soir du 12 septembre, à 19 heures, lorsque je suis entré dans la chambre du malade, celui-ci gisait sur son lit, squelettique, prostré, incontinent, presque nu dans ses émonctoires.

A force d'être tombé du lit dans les jours précédents, son corps était, des pieds à la tête, couvert d'ecchymoses. Il avait deux côtes cassées (fait noté sur le cahier d'observation)

Après s'être un instant agité comme s'il avait cherché à s'agripper à un objet imaginaire – ces mouvements sont dits carphologiques et précèdent de peu la mort – le malade sombra dans un coma.carus.

Ma sœur, qui était arrivée avant moi me dit << Toi qui est médecin, tu ne peux vraiment rien faire >> ?

J'étais certain que mon père ne souffrait aucunement, comme les neurologues du CHU de Bicêtre avaient cherché à me le faire croire, d'une tumeur cérébro-spinale de type gliale, ne serait-ce que parce que le test de Schilling, qui nécessite l'injection de 1 mg de cobalamine, une molécule plus connue sous le nom de vitamine B12.

C'est là une dose déjà thérapeutique pour ce qui est de l'anémie, mais très insuffisante pour le traiter les formes neurologiques de la maladie de Biermer, et ladite dose avait non pas aggravé l'état du malade, mais l'avait au contraire légèrement amélioré, tout au moins l'espace de quelques jours, ce qui prouvait que le malade ne souffrait aucunement d'un gliome, auquel cas la cobalamine aurait aggravé son cas.

J'ai dit à ma sœur : << Cette histoire "d'hydrome sous-tentoriel" (sic) pour lequel un rendez-vous d' I.R.M. a été pris ne tient pas debout. Papa n'a certainement pas la maladie d'Alzheimer, ni celle de la vache folle. Il y a qu'il ne reçoit pas le traitement qu'il aurait fallu.>>

Après avoir fait un un rapide examen neurologique je lui ai dit : << Il ne voit plus. Regarde ses yeux, les pupilles sont complètement dilatées. Elles ne réagissent pas du tout à la lumière quand je les éclaire. Il reste pourtant une toute petite chance de le sauver. Si on ne fait rien là, mzintenant, tout de suite, demain il sera mort. Il n'est plus temps d'attendre jusqu'au 24 septembre le rendez-vous pris à Broca pour l'I.R.M. cérébrale, ni même quelques heures de plus. Je veux bien faire le nécessaire, mais il ne faudra rien me reprocher si ça ne réussit pas. S'il meurt cette nuit, comme c'est malheureusement à craindre, ce ne sera pas ma faute. J'ai tout juste le temps de courir à la pharmacie chercher ce qu'il lui faut avant qu'elle ne ferme pour le lui administrer, mais il faut aussi me promettre de m'aider après, parce que même si j'arrive à redresser la situation, ça va être très dur >>

Elle promit de m'aider. Il était alors 19 heures 15. Plus le temps de discuter. J'ai dû courir à la pharmacie la plus proche pour arriver avant qu'elle ne ferme.

La pharmacienne était en train de verrouiller les portes de son officine. J'ai ainsi pu d'extrême justesse me procurer, pour 9 francs et quelques trente-six ou trente-neuf centimes une boite de 6 ampoules de cyanocobalamine Labaz*, plus trois seringues.

Vers 19 h 45 j'ai administré à mon père la moitié du coffret, deux ampoules en IM, le troisième versée dans la bouche, soit 3 mg de cyanocobalamine.

Je resté auprès de lui jusqu'à 1 heure du matin à humecter ses yeux, suis pari me coucher et suis revenu le voir le lendemain matin vers six heures.

Mon père était encore en vie. Il y avait même un léger mieux. La mydriase n'était plus totale. Un soupçon d' iris était perceptible à l'orée de la pupille.

Le lendemain soir, j'ai administré les 3 ampoules restantes.

Un mois plus tard, après que mon père a reçu par mes soins en intramusculaire 20 mg de ce traitement étiologique, le malade pouvait se tenir debout sans tomber, et même refaire tout seul son lit, à la grande satisfaction des infirmières, mais pas du tout à celle du docteur Beinis,

Bien que le malade n'ait pas encore récupérer le contrôle de ses sphincters – il les récupéra complément et définitivement que le 17 octobre, alors qu'il avait sans ménagement été renvoyé chez lui le 12 octobre.

Pour parfaire cette infamie, dans les jours qui suivirent, l'hôpital Charles-Foix fit parvenir une facture d'hospitalisation salée au 7, rue de Parc, à La Haÿ-les-Roses, c'est-à-dire au domicile de son ex-patient.

Il n'était même pas tenu compte de l'ALD, la prise en charge à 100 %, à laquelle il avait pourtant automatiquement droit.

Deux mois après sa sortie d'hôpital, mon père avait regagné la quasi totalité de ses capacités intellectuelles (elles furent objectivées à 30/30 au MMSE en février 1991, ce que l'on m'avait caché), et mon père regagnera jusqu'à 7 kg de poids corporel dans les années suivantes,

Mais resté fortement handicapé au niveau de ses jambes et de ses mains du fait du retard apporté au traitement de sa maladie, diminué dans son autonomie en raison de parésies résiduelles, le 17 décembre 1990 mon père porta plainte devant le procureur de Créteil pour escroquerie, mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril, non contre les neurologues, car il était alors persuadé que c'était non pas à moi, mais à eux qu'il devait d'être resté en vie, mais contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik.

Ceux-ci l'avaient précédemment à son hospitalisation à Bicêtre lourdement escroqué, avec la complicité de Marc Méchain, à l'époque le maire “socialiste” de l'Haÿ-les-Roses et depuis longtemps proche des docteurs Jean-Claude et Edith Elmelik, le frère et la sœur, tous deux médecins, qui avaient après la mort du docteur Léon Elmelik survenue en novembre 1959, pris possession et la direction de la Clinique Léon Elmelik.

Ils étaient “milliardaires”, aux dires du Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Chistian Raeckelboom, qui en avait "par dessus la tête" d'avoir à enregistrer en vain par centaines les plaintes des parturientes violées par le docteur Jean-Claude Elmelik, qui bénéficiait, avec sœur Edith et les médecins de cette clinique de “hautes protections”, tant au niveau de l'Ordre des Médecins qu'au niveau du parquet de Créteil, c'est-à-dire en fait au niveau du ministère de la Justice et au niveau du ministère de la Santé.

En 2004, refusant encore et toujours de me communiquer le dossier de l'hospitalisation de mon père dans son Service au prétexte qu'il avait été perdu par ma faute pour avoir laissé mon père se faire hospitaliser au CEGAP dans le Service du professeur François Piette et avoir confié au neurologue Michel Serdaru le soin de parfaire son traitement à la Fédération Française de Neurologie, le professeur Gérard Saïd et la direction de l'hôpital Bicêtre m'accusèrent conjointement d'avoir "sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, autrement dit d'être l'auteur d'un Münchhausen, c'est-à-dire d'être l'auteur d'un crime passible, comme l'ont été ceux de Christine Malèvre sous l'égide d'Olivier Ille, d'une lourde peine de prison, quoique celle infligée à Christine Malèvre fut finalement assez légère et peu justifiée, puisqu'elle avait été jugée immature. Christine Malèvre ne relevait donc pas de la prison mais de soins psychiatriques.

Mais qu'est-ce l'antisémitisme pourrait avoir à faire dans cette affaire ?

Il est vrai que je porte le nom de mon père, donc celui de Cretien, et non celui de ma mère, plus ésotérique.

A mon nom manque un h. Je ne suis donc pas vraiment chrétien.

ÉPILOGUE : Le professeur Saïd promit que cette affaire se réglerait devant les autorités judiciaires.

Les médecins que je "persécute" (que je mets en cause) s'appellant Elmelik (Edith), Denis (Antoine), Masnou (Pascal), Saïd (Gérard), Desi (Martine), Beinis (Jean-Yves), Sitruk (Mlle), et Ille (Olivier), militant d'Amour & Vérité au sein de la Communauté de l'Emmanuel, où il (Olivier) fait de beaux discours intitulés “Prends soin de lui” (aux 5 e Rencontres de la Communauté de l'Emmanuel les 15 et 16 mars 2013) j'ai de ce fait été accusé suis d'avoir "sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme"  

Le professeur Saïd promit que cette affaire se réglerait devant les autorités judiciaires.

J'attends toujours ;

Pour plus de détails sur cette abjecte  "fabrication antisémite", se reporter aux sites n° 34640255 html ainsi qu'aux articles du blog de leon consacrés à la Clinique Léon Elmelik

En conclusion, il s'était apparemment agi de préserver l'existence de la Clinique Léon Elmelik, parce qu'elle servait à l'époque à ce à quoi a servi après son changement de propriétaires le Service de pneumo-neurologie du CHU de Mantes la Jolie avec Christine Malèvre sous les auspices très chrétiennes d'Olivier Ille.

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