Afin d'amener le maximum de téléspectateurs à ne pas passer à côté de "La fabrique du mensonge", une enquête phare programmée pour être diffusée dans la soirée du dimanche 7 mars 2021, Fr 5, tout au long de la semaine qui en a précédé la diffusion, a rappelé aux téléspectateurs que les "fake news" sapent les fondements de la science et de la société.
Les méfaits du film "Hold-Up" et des vidéos de Thierry Casasnovas, ont été mises en avant pour illustrer le propos.
Or c'est par "la fabrique du mensonge" que pour la première j'ai entendu parler de ce dangereux nouveau gourou.
Fr 5 a certes bien fait, mais devrait aussi pointer que faire semblant d'ignorer des réalités dérangeantes parce qu'elles mettent en cause des personnalités de l'establishment participe tout autant aux effets délétères des "fakes news".
Et tant qu'à montrer que même un médecin très respecté comme professeur Didier Raoult et qu'un autre comme le docteur Andrew Wakefield peuvent être à l'origine d'informations aussi retentissantes que malheureuses et mal fondées, Fr 5 et France Télévision feraient bien de ne pas occulter les menées perverses de la Justice française, et partant de l’État, qui couvrent les exactions mortelles auxquelles certaines Cliniques et certains hôpitaux de l'APHP se sont délibérément livrés au CHU de Bicêtre comme au CHU de Mantes la Jolie au dépens de ces malades au profit du CNTS et de l'APHP
Les neurologues y avaient acceptés d'éliminer discrètement quand la situation s'y prêtait des patients hospitalisés qui avaient eu la malchance d'avoir été transfusés dans le hôpitaux de l'APHP dans la première moitié des années 1980, c'est-à-dire à l'époque où les transfusions véhiculaient presque toutes le VIH (autour de 25.000 patients furent alors indûment contaminés)
Il s'agissait alors d'éliminer autant que possible cette catégorie de personnes (quand la situation contextuelle semblait s'y prêter)
C'est bien ce qui est arrivé en 1997 à un grand nombre de malades dans le Service de pneumoneurologie des docteurs Olivier Ille (neurologue) et Lauence Kouyoumdjian (pneumologue), et précédemment dans le Service de neurologie du très "éthique" professeur Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre, où déjà en 1990 Olivier Ille avait accepté d'appliquer et de faire appliquer la consigne qui lui avait été donnée de ne faire que semblant d'administrer à un malade manifestement affecté d'un syndrome neuro-anémique son remède spécifique alors que cette affection est liée à une profonde carence vitaminique B12, c'est-à-dire à une affection inéluctablement mortelle à brève échéance sans son traitement spécifique (à savoir l'administration de la vitamine B12 à doses drastiques)
Pour plus d'informations, se reporter aux articles du "blog de leon" consacrés à la Clinique Léon Elmelik et/ou à la découverte du syndrome NDB12PP