En ce 8 avril 2021, sous le titre "Pédocratie à la française, la chute des intouchables" paraît un livre, par lequel son auteur, Jacques Thomet espère pouvoir ouvrir les yeux de ses contemporains sur des réalités tenues cachées.
Mais qui a envie de les connaître ?
N'en fait pas partie celles de la Clinique des docteurs Elmelik, qui s'était à l'Haÿ-les-Roses dans les années 1990 spécialisée dans une activité fort utile aux hôpitaux qui avaient besoin de se débarrasser des malades embarrassants.
Le fait qu'elle soit située a Haÿ-les-Roses était heureux; Les malades allaient pouvoir mourir dans un endroit à l'avance bien fleuri.
Ce qui explique les dires de la "petite" secrétaire de l'Ordre Régional des Médecins de l'Île-de- France lorsqu'elle m’a remis le dossier jaune intitulé, d'une grande écriture manuscrite au feutre noir CLINIQUE ELMELIK, un dossier relatif au signalement que mon père et moi-même avions fait au sujet des pratiques illicites de certains de ses médecins : << Mon pauvre monsieur (sic), pourquoi voulez-vous que le Conseil de l'Ordre poursuive les violeurs et les pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre ! >>
Elle m’avait dit ça alors que notre signalement n'avait pas trait à la pédophilie !
L'avertissement de cette secrétaire peut se comprendre: les secrétaires de l’Ordre des médecins savent bien à quoi s'en tenir à ce sujet du fait que les dossiers passent par leurs mains quand elles les classent et les organisent, de même que le Secrétaire Général, qui, lui se garde bien d'en parler (parce qu'il est tenu au respect du secret médical, pardi !)
Sa déclaration ne m'avait qu'à moitié étonné parce que déjà le Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, nous avait prévenu que ses médecins propriétaires, selon lui des "milliardaires", pouvaient y faire ce qu'ils voulaient - d'une part parce qu'ils étaient "milliardaires", et d'autre part parce qu'ils étaient "protégés en haut lieu".
C'était la seule explication qu'il avait trouvée.
J'ai peu après appris d'autres sources que ceux-ci étaient les héritiers des principaux actionnaires d'une grande banque commerciale, et par l'ancien directeur du SAMU du Val-de-Marne, feu le professeur Pierre Huguenard (décédé en 2006) qui avait joint le geste à la parole pour me dire que "rien qu'à entendre leur nom, son sang ne faisait qu'un tour" (sic), en serrant les dents et les poings.
C'était une affaire "à ne pas ébruiter", condition mise par le parquet de Créteil pour consentir à ce qu'elle soit confiée à la juge Bénédicte Scelle au lieu d’être classée, comme elle l’avait précédemment immédiatement été.
Le TGI de Créteil était alors sous la houlette de Michel Barrau, avant que celui-ci ne soit dépêché en 2003 pour éteindre le feu au TGI de Toulouse dans l'affaire Allègre.
Son savoir-faire pour étouffer les affaires embarrassantes était bien connue en "hauts-lieux".
Pour en savoir + rendez-vous sur les articles du "blog de leon" relatifs à la Clinique Léon Elmelik, à l'incendie de la mairie de l'Haÿ-les-Roses et à son ex maire Marc Méchain, à la d2couverte du syndrome NDB12PP fabriqué par "antisémitisme" par l'auteur de cet article.
