Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
18 octobre 2021 1 18 /10 /octobre /2021 16:56

Le titre de cet article donne à penser que la solution "bête comme chou" serait une alternative à la peine de mort d'un individu particulier, alors que ladite solution intéresse – ou devrait intéresser – l'ensemble de la population, menacée qu'elle serait (qu'elle est) de succomber à plus ou moins brève échéance aux conséquences du réchauffement climatique engendré par la pollution atmosphérique, donc à des pluies diluviennes et des inondations catastrophiques si (puisque) les conditions qui lui sont actuellement faites paraissent inarrêtables tout en semblant vouloir s'aggraver.

L'aggravation des conditions climatiques est-elle vraiment inéluctable, comme il avait été dit de l'état de mon père en août 1990, quand, en staff, il avait été décidé qu'il était "de toute façon inéluctablement voué à une rapide plus grande aggravationpar les savants neurologues qui l'avaient admis dans leur Service au début du mois, ce que le Chef de Clinique Pascal Masnou s'était empressé de me faire savoir. 

Le neurologue François Chedru a rapporté ses dires dans les conclusions de son expertise, rédigée en février 1996, soit dix-huit mois après le décès d'un malade qui avait été promis à une mort rapide cinq ans et demi plus tôt) ? !

En août 1990, une dizaine de jours après son admission dans leur Service, les neurologues avaient été jusqu'à me faire savoir par le docteur Masnou "qu'il était préférable pour mon père comme pour moi que l'état où il se trouvait ne dure pas trop longtemps", et sur ce, ils le firent transférer le 22 août à l'hôpital Charles-Charles dans un Service de gériatrie patronné par le docteur Jean-Yves Beinis, parce qu'il occupait à Bicêtre, m'avait-il été dit, inutilement  un coûteux lit de spécialité, puisqu'au lieu de se rétablir son état avait continué de se détériorer malgré le traitement de la maladie de Biermer; traitement qui - m'avait-on assuré avant son transfert - serait malgré tout continué bien qu'il soit affecté de la maladie d'Alzheimer, maladie réputée incurable.

Il ne m'avait cependant pas été dit qu'entretemps non seulement ordre avait été donné de ne pas administrer réellement le traitement de cette maladie, mais que la consigne avait été donné au docteur Beinis de ne faire que semblant devant moi de le lui administrer.

Or l'anémie  de Biermer, aussi connue sous le nom d'anémie pernicieuse, est un syndrome neuro-anémique très fréquent chez les personnes âgées.

L'anémie de Biermer fait partie des urgences médicales parce qu'elle est rapidement et inexorablement mortelle si elle ne reçoit pas son traitement spécifique, qui est extrêmement simple, sans danger et très peu coûteux, puisqu'il s'agit de la vitamine B12 à administrer à doses drastiques.

Le diagnostic de syndrome neuro-anémque avait été correctement posé et énoncé devant moi aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre par les Urgentistes dans la soirée du 31 juillet vers 21 h 45 au retour de l'examen de sang. C'était pourquoi le malade avait été admis en neurologie le 2 août au matin dans le Service de neurologie de cet hôpital, un Service patronné par le professeur Gérard Saïd. Il était assisté de madame le docteure Martine Dési (par ailleurs traductrice d'un livre critique d'un auteur américain sur les concepts du docteur Freud, mais dont l'auteur et le titre à présent m'échappent)

Le Chef de Clinique, Pascal Masnou avait voulu me faire admettre (avaler) que mon père souffrait en réalité d'une DTA (Démence de Type Alzheimer) alors que j'avais plaidé que cela ne pouvait pas être le cas parce que l'année précédente, lors d'un voyage en Espagne mon père avait fait preuve d'une mémoire d'éléphant (l'Espagne, le pays de ses origines supposées, parce qu'il était franc-comtois, avait la peau mate et bronzait très vite, devenant en quelques jours un "zoreille" semblable à un Antillais, et de celles supposées d'un "vrai fils" présumé de même origine, contrairement à moi, qui a les yeux bleus et une peau blanche manifestement réfractaire aux effets colorants du soleil. A cette époque et à ses dires je n'étais plus depuis quelques mois "son vrai fils", mais un imposteur qui se faisait passer pour son fils, qui s'entendait avec le professeur Jacques Witvoët pour l'empêcher de soigner le cancer des os qui s'était greffé sur la prothèse de hanche que ce chirurgien lui avait posé en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis,  à la demande de ce faux rejeton, intéressé à le voir mourir de son cancer pour hériter - fin de l'apparente thèse du père en ces mois là) 

Le Chef de Clinique n'ajouta cependant pas à ses dires mortifères qu'il paraîtra plus naturel que mon père meurt d'une maladie liée à l'âge dans un Service de gériatrie consacré aux incurables que dans un Service de neurologie à la pointe de la Recherche sur l'intérêt des vitamines dans le traitement des complications neurologiques du diabète sucré, réputation et classement des hôpitaux obligent !

Comme je suis un paranoïaque déjanté– c'est du moins la réputation qui m'a été faite après-coup, après que j'ai fait mentir lesdits  neurologues - j'avais su lire cette excellente précaution dans la tête du docteur Masnou ! 

C'est pour avoir appliqué une idée  "bête comme chou", que j'avais mis en route trois semaines après que mon père a été transféré à l'hôpital Charles-Foix, aux "Glycines", dans l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis,  que j'avais fait mentir les prévisions des neurologues : mon père avait pu se rétablir en quelques semaines et récupérer à 30/30 au MMSE ses facultés cérébrales alors qu'elles étaient passées de 25/30 à 22/30 en l'espace de trois semaines pour sombrer à 0/30 encore trois semaines plus tard, puisqu'il avait alors sombré dans un coma carus (diagnostic posé après que j'ai constaté une mydriase totale et l'aréactivité non moins totale de mon père aux stimulations).

Le docteur Beinis avait-il lui aussi plongé dans le coma ? Non pas dans un coma carus, comme mon père, mais un coma hypnotique  dans la mesure où il n'avait rien voulu entendre de ce que lui avait dit madame Pondu, la Surveillante de son Service, le 6 janvier au matin, que son malade souffrait bel et bien de la maladie de Biermer, ainsi qu'elle avait pu s'en rendre compte en essayant la veille dans l'après-midi de le faire manger en constant la présence dans sa bouche d'une glossite de Hunter, caractéristique d'une profonde avitaminose B12, avitaminose dont la cause est le plus souvent la maladie de Biermer, la maladie que les Urgentistes des lits-Portes  de l'hôpital Bicêtre avaient diagnostiqué devant moi cinq semaines plus tôt, sans que jamais ce diagnostic n'apparaisse dans le compte-rendu d'hospitalisation et la lettre de transmission destinées au docteur Beinis !          

Aux “Glycines”, les pigeons étaient non seulement tolérés, mais très bien considérés. Ne sont-ils pas les symboles de la Paix et de la foi en l'avenir ?

Aussi, de grandes volières y abritaient de jolies tourterelles blanches, qui attiraient les pigeons des alentours.  Ils leur faisaient non seulement une cour effrénée, mais pouvaient se pavaner dans les allées, et même dans les chambres des malades sans en être chassés.

Je m'étais permis d'en faire la remarque critique après que j'ai vu une dizaine de ces joyeux volatiles entrés par la fenêtre se taper furieusement la cloche aux dépens plateau repas du soir de la malade de la chambre qui jouxtait celle de mon père.

A quoi l'infirmière à qui j'en avais fait la remarque, me répondit "que les pigeons mettaient un peu de vie dans le Service".

Je regrette de n'avoir pas eu l'idée bête comme chou d'en faire des photos ou un film.  

 

D'où mon idée bête comme chou  d'en faire ici même le récit sur le "blog de leon

 

Bête comme chou avait été au XIII e siècle l'idée de Leonardo Fibonacci d'utiliser le zéro positionnel pour faciliter les calculs alors que ce système de numérotation était connu depuis des millénaires. Si le génial Archimède avait eu l'idée de s'en servir, les découvertes de Képler, Galilée, Newton et Lavoisier auraient sans doute pu être faites plus tôt ?

 Bête comme chou aussi l'idée de Jenner de prendre au sérieux la remarque d'une fermière, que le cow-pox protégeait plus sûrement et plus efficacement de la variole que la technique de la variolisation et d'en faire un vaccin. Cf. Professeur Patrick Berche dans son livre "Gloires et impostures de la médecine" Perrin 2011;

 Bête comme chou celle du père d'un enfant qui s'était noyé de pratiquer le bouche à bouche pour tenter de le réanimer plutôt que d'utiliser la méthode mécanique qui prévalait alors, qui était exposée dans les stations du métro parisien jusqu'à la fin des années 1950;

Bête comme chou la découverte du docteur Ignace Semmelweiss qui avait remarqué et tenté de faire appliquer la règle qu'il fallait se laver soigneusement les mains avant d'entreprendre un accouchement pour faire chuter drastiquement la mortalité des accouchées et des nourrissons; 

Bête comme chou celle du docteur Pierre Cretien, qui, contrairement aux neurologues qui s'occupaient de son père, avait remarqué qu'il ne fallait pas faire aveuglément confiance au test de Schilling pas plus qu'à la cobalaminémie pour éliminer le diagnostic de maladie de Biermer dans la survenue récente d'une "atteinte diffuse du système nerveux" associée à la survenue d'un déficit intellectuel et d'un délire paranoïde quand lesdits neurologues ont choisi d'attribuer ses troubles à une "encéphalopathie vasculaire" compliquant une "DTA" (Démence de type Alzheimer);

Bête comme chou l'invention du gouvernail, qui permit à Christophe Colomb de découvrir l'Amérique;

 Bête comme chou celle d'utiliser l'énergie cinétique de la lune pour produire de l'hydrogène verte à petit prix par un système transférentiel.

Bête comme chou l'idée de mettre des petites roues sous les valises.

Bête comme chou l'idée de la direction de l'hôpital Bicêtre d'accuser le Dr. Cretien d'avoir "lui-même sciemment fabriqué la maladie de son père par antisémitisme" quand il s'est adressé à la CADA pour que le dossier d'hospitalisation de son père lui soit communiqué alors qu'il lui avait été dit qu'il était introuvable, qu'il avait été perdu   

... 

Ceci dit, je n'ai pas vu le film au titre mystérieux "Rien sur Robert", réalisé en 1999  par Pascal Bonitzer, avec Fabrice Luchini dans le rôle principal, mais à en lire le résumé, le film n'a rien à voir avec Robert Badinter et l'abolition la peine de mort.

Or Hamida Djandoubi, réputé avoir été "le dernier condamné à mort pour assassinat après tortures et barbarie, viol et violences avec préméditation" est loin d'avoir été la dernière personne à être condamnée à mort et avoir été exécuté au nom de la République.

A ce sujet, comme j'avais essayé de le faire savoir à Me Badinter dans une lettre que je lui avais adressé dans les années 1990 lorsqu'il était Sénateur, la peine de mort a encore été appliquée en France après 1977 pour des raisons inavouables dans certaines Cliniques et certains hôpitaux, et qui plus est en la faisant inutilement précéder de grandes souffrances physiques et psychologiques aux condamnés, du moins à celui dont il était question dans ma lettre (à savoir mon père.) 

Il avait réussi de justesse à en réchapper en 1990 grâce à la présence d'esprit de la Surveillante d'un Service de gériatrie, qui avait fait savoir au fils du condamné quel était l'astucieux moyen mis en œuvre pour que la mort du condamné puisse être mise au compte de la vieillesse et de la maladie d'Alzheimer, affection imparable. 

La Surveillante avait permis à l'auteur de ces lignes, qui est médecin, d'intervenir alors qu'il était presque plus temps, pour empêcher la condamnation de se réaliser, pareil à un cow-boy surgissant au dernier moment pour empêcher la pendaison d'un des siens en faisant mouche sur la corde du supplicié.

Je n'ai pas fait un double de la lettre que j'avais adressé à Me Badinter.

(adressée au Sénat).

Je n'ai pas eu de réponse. Lui avait-elle été transmise ? L'avait-il lue ?

L'affaire que je lui avais soumis a été improprement appelée "l'affaire Christine Malèvre", mais elle aurait aussi bien fait, et même mieux fait de s'appeler  "l'affaire Gérard Saïd" ou "l'affaire Olivier Ille" ou "l'affaire Jean-Yves Beinis".

Je ne saurais dire si je lui avais écris avant ou après que cette affaire a éclatée ? 

Sans Laurence Kouyoumdjian, l'affaire Malèvre n'aurait sans doute pas éclatée, et les assassinats de malades devenus embarrassants auraient pu se poursuivre encore assez longtemps.

Voir pourquoi sur ce blog j'ai écrit les précédents articles "Que la lumière soit" !  

Il est apparemment possible d'accéder directement à "Que la lumière soit n° 2" en poursuivant la lecture de celui-ci après l'encart publicitaire, de même pour accéder à "Que la lumière soit n°1"sous titré "DEMANDEZ-VOUS POURQUOI ?", qui permet d'accéder de la même façon à l'article précédent intitulé "Des solution opérantes bêtes comme chou" qui a trait à un moyen inédit et plus performant que les barrages pour extraire  l'énorme et quasi inépuisable gisement d'énergie que présente la lune dans sa course autour de la terre, et ainsi de suite jusqu'à l'article consacré à Freud et à "l'effet yau de poêle en psychanalyse"  

Partager cet article
Repost0

commentaires