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11 février 2022 5 11 /02 /février /2022 17:18

Le livre de Victor Castenet sur les aspects inavouables d'Orpéa secoue le monde politique et médiatique.

En France la maltraitance des personnes âgées vulnérables dans certains Ehpads et certains Services gériatriques de l'AP-HP est tellement courante qu'elle a longtemps été banalisée, quasiment été considérée comme chose normale, et ceux qui s'en plaignent et la dénoncent comme des empêcheurs de dormir en paix, des "grincheux" qui feraient mieux de continuer de garder ça pour eux.

C'est pourquoi j'ai dans l'après-midi du 8 février 2022, communiqué par SMS, l'information que << Certains Services de l' AP-HP sont pires que l'Ehpad Orpéa quand on y ordonne de ne faire que semblant de traiter un évident Biermer au prétexte, manifestement erroné, qu'il s'agit d'un Alzheimer. Cf. où sur le blog de leon. >> au "Magazine de la Santé" via son numéro d'appel à témoins, le 41555 par un bref texto qui renvoyait à "Pire qu'à Orpéa", mis en ligne la semaine dernière.

Me Sarah Feldmann, qui défend les familles de victimes, avait été invitée à l'émission.

Cette émission médicale diffusée par Fr. 5 depuis des années dans l'après-midi longtemps été animée conjointement par les docteurs Michel Cymès et Marina Carrère d'Encausse. 

J'avais maintes fois prévenu l'émission en laissant un message sur son répondeur de ce qui était arrivé de pire à mon père en 1990, puisque ses médecins avaient passé la consigne de ne faire que semblant devant son fils de lui administrer le traitement de la neuro-anémie de Biermer alors que cette maladie avait été la cause, reconnue lors de son passage aux Urgences de l'hôpital Bicêtre, de son admission en neurologie. Mais c'était insupportable à savoir et par conséquent inaudible. Personne n'a cherché à me contacter pour en savoir plus.

Espérons que Marina Carrère d'Encausse n'osera plus éluder le problème que pose une tentative d'assassinat astucieusement déguisée, après qu'elle a ratée (par ma"faute") en petite erreur d'appréciation sans grandes conséquences  (selon l'expertise bidonnée rédigée par le docteur François Chedru mais conjointement signée des docteurs André Lienhart, René-Claude Touzard et François Chedru) alors qu'elle s'est soldée par un coma carus, des paralysies très handicapantes et une perte d'autonomie.

Tenue informée par une lettre RAR de 12 pages alors qu'elle était ministre de la Santé, madame Agnès Buzyn, comme précédemment en 2004 le professeur Gilbert Tchernia, a préféré faire l'autruche. Elle n'a pas jugée nécessaire de me rencontrer.

L'accusé réception du Magazine de la Santé est évidemment automatique, mais on verra si Marina et ses invités ne chercheront pas à en savoir un peu plus plus en lisant les articles que j'ai depuis 2009 mis en ligne à ce sujet.

A commencer par le suivant:  Les pratiques, secrètement meurtrières, commises à l'encontre d'une certaine catégorie de malades âgés au sein de l'AP-HP, n'ont été révélées qu'en 1997 par le docteure Laurence Kouyoumdjian.

Elles étaient tellement atterrantes que l'on avait préféré les faire passer pour des euthanasies compassionnelles réalisées isolément par une infirmière immature, alors qu'elles étaient en réalité systémiques et programmées en “hauts lieux”, selon l'expression du Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, quand il m'a parlé des inexplicables protections dont les médecins de la Clinique Léon Elmelik bénéficiaient. Il m'avait demandé de ne pas répéter ses dires, mais ses confidences recoupaient ce qu'en m'avait dit l'année précédente, en septembre 1990, le docteur André Souche.

A l'époque André Souche occupait le poste de sous-directeur à la D.R.P.S. de la C.P.A.M. du Val-de-Marne. Il avait été le premier à nous avertir de ce que la Clinique de l'Haÿ-les-Roses était intouchable, prenant juste temps de nous dire "si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber" sans prendre le temps d'en dire plus.  La C.P.A.M. du Val-de-Marne interdisait toute information à son sujet. Le docteur Souche s'était montré tellement effrayé que l'on puisse aborder le problème posé par cette Clinique qu'il avait coupé cours à toute question en raccrochant précipitamment son combiné.

Il devait que trop bien le connaître, à en juger par l'affolement qui s'est par la suite aussi emparé de Maîtres Cathérine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet après elles-ont été consulter ce qu'il en était des antécédents de ladite Clinique au bureau d'Ordre pénal du TGI de Créteil.

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