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28 février 2022 1 28 /02 /février /2022 14:46

Le livre de Victor Castenet sur les aspects inavouables d'Orpéa secoue le monde politique et médiatique.

En France la maltraitance des personnes âgées vulnérables dans certains Ehpads et certains Services gériatriques de l'AP-HP est tellement courante qu'elle a longtemps été banalisée, quasiment été considérée comme chose normale, et ceux qui s'en plaignent et la dénoncent comme des empêcheurs de dormir en paix, des "grincheux" qui feraient mieux de continuer de garder ça pour eux, voire pour des délirants antisémites.

Je renvoie à ce que j'ai écrit le 9 septembre 2016 sur ce blog sous le titre "des petits pots pour sauver le vie des vieux".

C'est pourquoi j'ai dans l'après-midi du 8 février 2022, communiqué par SMS, l'information que << Certains Services de l' AP-HP sont pires que l'Ehpad Orpéa quand on y ordonne de ne faire que semblant de traiter un évident Biermer au prétexte, manifestement erroné, qu'il s'agit d'un Alzheimer. Cf. où sur le blog de leon. >> au "Magazine de la Santé" via son numéro d'appel à témoins, le 41555 par un bref texto qui renvoyait à l'article "Pire qu'à Orpéa", mis en ligne la semaine dernière, mais pour X raisons (ou des raisons X), l'affaire ne semble pas pouvoir être publiée par ledit magazine, qui n'a même pas cherché à me contacter, conformément à ce que m'avait annoncé le docteur André Souche, de la Direction des Relations avec les Professions de Santé (DRPS de la CPAM du Val-de-Marne),  avant de raccroché précipitamment son combiné : "Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber Cf.  blog de leon - "MALTRAITANCES AUX PERSONNES ÂGÉES"  chapitre I  A § 1 Mes sources directes d'informations 

Me Sarah Feldmann, qui défend les familles de victimes, avait été invitée à l'émission médicale diffusée par Fr. 5, qui est depuis des années longtemps  animée par le docteure Marina Carrère d'Encausse. 

J'avais maintes fois prévenu l'émission en laissant un message sur son répondeur sur ce qui était arrivé d'inimaginable à mon père en 1990, puisque ses médecins avaient passé la consigne de ne faire que semblant devant moi, son fils, de lui administrer le traitement de la neuro-anémie de Biermer alors que cette maladie avait été la cause, reconnue lors de son passage aux Urgences de l'hôpital Bicêtre, de son admission en neurologie.

Mais apparemment insupportable à savoir pour Marina et par conséquent inaudible. Personne n'a cherché à me contacter pour en savoir plus.

Marina Carrère d'Encausse élude le problème que pose cette tentative d'assassinat astucieusement déguisée, après qu'elle a ratée (par ma faute puisque j'avais pu la contrecarrer) en petite erreur d'appréciation sans grandes conséquences  (selon l'expertise bidonnée rédigée par le docteur François Chedru mais signée des docteurs André Lienhart, René-Claude Touzard et François Chedru) alors que cette "petite erreur" s'est soldée par un coma carus, des paralysies très handicapantes et une perte définitive d'autonomie.

Tenue informée par une lettre RAR de 12 pages alors qu'elle était ministre de la Santé, madame Agnès Buzyn, comme précédemment en 2004 le professeur Gilbert Tchernia, a préféré faire l'autruche. Elle n'a pas jugée nécessaire de me rencontrer.

L'accusé réception du Magazine de la Santé est évidemment automatique, mais on verra si Marina et ses invités ne chercheront pas à en savoir un peu plus plus en lisant les articles que j'ai depuis 2009 mis en ligne à ce sujet.

A commencer par le suivant:  Les pratiques, secrètement meurtrières, commises à l'encontre d'une certaine catégorie de malades âgés au sein de l'AP-HP, n'ont été révélées qu'en 1997 par le docteure Laurence Kouyoumdjian.

Elles étaient tellement atterrantes que l'on avait préféré les faire passer pour des euthanasies compassionnelles réalisées isolément par une infirmière immature, alors qu'elles étaient en réalité systémiques et programmées en “hauts lieux”, selon l'expression du Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, quand il m'a parlé des inexplicables protections dont les médecins de la Clinique Léon Elmelik bénéficiaient. Il m'avait demandé de ne pas répéter ses dires, mais ses confidences recoupaient ce qu'en m'avait dit l'année précédente, en septembre 1990, le docteur André Souche.

A l'époque André Souche occupait le poste de sous-directeur à la D.R.P.S. de la C.P.A.M. du Val-de-Marne. Il avait été le premier à nous avertir de ce que la Clinique de l'Haÿ-les-Roses était intouchable, prenant juste temps de nous dire "si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber" sans prendre le temps d'en dire plus.  La C.P.A.M. du Val-de-Marne interdisait toute information à son sujet. Le docteur Souche s'était montré tellement effrayé que l'on puisse aborder le problème posé par cette Clinique qu'il avait coupé cours à toute question en raccrochant précipitamment son combiné.

Il devait que trop bien le connaître, à en juger par l'affolement qui s'est par la suite aussi emparé de Maîtres Cathérine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet après elles-ont été consulter ce qu'il en était des antécédents de ladite Clinique au bureau d'Ordre pénal du TGI de Créteil.

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