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20 mars 2022 7 20 /03 /mars /2022 14:53

==> En faisant connaître des réalités qui dérangent.

C'est ce qu'avait assez vite compris Sigmund Freud, après qu'il a montré, dans un livre publié en 1895 sous le titre "Études sur l'hystérie", que la survenue des troubles psychiatriques dits "hystériques", était attribuable à des attentats sexuels subis bien plus tôt dans l'enfance ou l'adolescence. 

A un confrère berlinois, le docteur Wilhelm Fliess qui lui servait de confident, il avait dans une lettre datée février 1897 confié qu'il en avait lui-même été victime de la part de son père, avant de s'aviser, dans une lettre qu'il lui a adressé six mois plus tard, qu'il était préférable de taire de telles réalités, faisant semblant de s'être trompé.

Son revirement est très bien relaté par la psychanalyste Marie Balmary dans un livre, "L'homme aux statues", paru en 1979 chez Grasset, qui est la publication de son dérangeant Mémoire de psychanalyse, rejetée par son directeur de Thèse (le Dr. Jean Laplanche, au prétexte ouvertement controuvé qu'il s'agissait d'un Mémoire de sociologie qui n'avait rien à voir avec la psychanalyse.    

Sa savante publication qui fit qu'elle fut mise à l'index par les professionnels bien-pensants : Elisabeth Roudinesco, dans son "Dictionnaire de psychanalyse", l'accusa d'avoir chercher à "christianiser Freud". Une accusation qui n'est d'ailleurs pas irréaliste puisque Freud a pris sur lui les fautes (les fellations) que Jakob Freud avait imposé à ses frères et sœurs et sur lui-même dans leur enfance,  et par  le psychanalyste Jeffrey-Moussaieff Masson, dans "Assault on truth", publié en 1984, un best-seller aux États-Unis traduit la même année en France sous le titre "Le réel escamoté", publié aux éditions Aubier-Montaigne. Ce livre y fut très peu diffusé, mais abondamment décrié par les professionnels de la Cause. Et pour cause. Les réalités dérangeantes font peur aux complexés du freudisme.  

Si la planche fut dans l'immédiatement "savonneuse", elle fut après sa publication chez Grasset salvatrice pour de nombreux patients rendus plus malades qu'ils n'étaient par les psychanalystes en orthodoxie devenus formatés / formatants.    

De même elles sont effrayantes pour les complexés de l'éthique médicale quand ils font semblant de confondre la maladie d'Alzheimer avec la maladie de Biermer.

La maladie de Biermer est une affection qui se manifeste cliniquement à partir du moment l'organisme est en manque de vitamine B12. Comme l'infarctus, elle  fait partie des "urgences médicales", parce que tout retard à son traitement expose les malades à mourir ou à ne pas pouvoir récupérer les atteintes du système nerveux que cette affection occasionne, cependant qu'elle  est extrêmement fréquente chez les personnes qui ont passé la soixantaine.

Une forme clinique trois à quatre plus fréquente que les formes habituelles, qui est restée méconnue jusque dans "le milieu des  années 1990" (selon l'expression des Drs. E. Andrès & al), est depuis 2003 dénommée par ceux-ci en France "syndrome NDB12PP" (de Non Dissociation de la vitamine B 12 de ses Protéines Porteuses) après qu'ils l'ont appelé "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal chez les personnes âgées" (Cf. E. Andrès & al., qui écrivent l'avoir débusquée dans un article paru en 1996 sous ce titre à propos de la recension d'une soixantaine de cas de malades âgés. 

Selon ces auteurs, le syndrome NDB12PP serait trois à quatre fois plus fréquent que la maladie de Biermer. Ils ont en 2011 mis ce fait au compte de la metformine (Glucophage*), le traitement du diabète de type II, qui entrave l'assimilation de la vitamine B12.   

Les graves désordres neurologiques et psychiatriques observés dans ces affections sont dus à une profonde carence de l'organisme en vitamine 12. Cf. C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer"

.En 2011, E. Andrès & al. ont suggéré que la grande fréquence du syndrome NDB12PP nouvellement observée correspond à l'augmentation actuelle de l'incidence du diabète de type II à cause du traitement par la metformine, qui interfère avec la vitamine B12.

- / -

Démonstration (si c'en et une):

Admis le 2 août 1990 en neurologie à l'hôpital Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd, mon père, âgé de 79 ans, avait un peu trop vite été déclaré " être de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation".

C'était ce que m'avait annoncé le Chef de Clinique, le docteur Pascal Masnou, dix jours après l'admission de mon père dans son Service.

Le Dr. Masnou avait ajouté à ses dires que mon père avait la maladie d'Alzheimer, et que "dans l'état où il se trouvait, il valait  mieux, pour moi comme pour lui, qu'il ne survive pas trop longtemps". 

J'avais protesté qu'il ne pouvait en aucun cas s'agir de cette maladie parce que l'année précédente mon père avait gardé une mémoire d'éléphant, qu'il s'agissait donc bien de la maladie de Biermer, même si les données du test de Schilling et de la vitaminémie B12 étaient normales, qu'il fallait par conséquent continué le traitement de cette maladie, d'autant que j'avais constaté que le test de Schilling avait en lui même apporté une amélioration clinique transitoire dans les jours suivants sa passation, qu'il n'y avait donc aucun inconvénient à en poursuivre le traitement puisque cette amélioration donnait la preuve qu'un gliome n'était pas en cause dans la survenue de ses troubles neurologiques.        

Le docteur Masnou était sûr de lui. Il ne pouvait pas se tromper puisque le traitement de l'affection pour laquelle mon père avait été hospitalisé en neurologie lui avait été secrètement refusé alors même que la maladie de Biermer avait été la raison de son admission en neurologie après qu'elle a tout de suite été diagnostiquée par les Urgentistes qui avaient examiné mon père aux Lits-Portes sur la constatation d'un tableau clinique dit de sclérose combinée -  Or la maladie de Biermer est rapidement et inéluctablement mortelle sans son traitement spécifique. C'est d'ailleurs pourquoi elle fait partie des urgences médicales. 

 Le docteur Masnou bien qu'il fasse partie d'un Service qui se prétendait à la pointe de la recherche en neurologie, a fait comme s'il ignorait en 1990 qu'il était depuis longtemps connu qu'un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisaient à l'éliminer le diagnostic de maladie de Biermer.  Cf: 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

Pourtant le Service du professeur Saïd n'a pas manqué, deux ans plus tard, par de grandes affiches placardées partout dans les couloirs et la Salle d'attente de faire savoir qu'une Unité de Recherche sur l'intérêt thérapeutique des vitamines dans le traitement des maladies neurologiques lui avait attribué par  l'INSERM, sollicitant au passage de la part des familles une participation financière à ses Recherches, alors qu'il avait en 1990 fait comme si l'article de Kolhouse & al publié en 1978 dans le prestigieux New England Journal of Mecicin n'existait pas.

Ces affiches furent dès le lendemain que j'en ai fait la remarque au docteur Masnou partout retirer, si bien que je n'ai pas pu en faire des photographies.

L'explication que me donna le docteur Masnou à ce retrait soudain était que Michel Crépeau, le Maire de la Rochelle, interdisait la mendicité ! 

La sentence du docteur Masnou de l’inéluctable aggravation de l'état du malade a été rapportée mot pour mot en février 1996 par le neurologue François Chedru, commis par madame Bénédicte Scelle, Juge d'instruction au TGI de Créteil, pour l'éclairer sur le bien fondé de la plainte de mon père, plainte portée à juste titre pour "coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril" contre les X médecins responsables de ses lourdes séquelles motrices occasionnées après que l'administration du contenu dudit petit pot lui a "miraculeusement" permis d'échapper à la mort : son contenu alimentaire n'était cependant pas en cause. C'était le fait que madame Pondu, la Surveillante de l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, s'était placé en face du malade quand il a fallu lui en faire ingurgiter le contenu avec une petite cuillère qui a révélé la supercherie criminelle qui était à l'origine 1° de la sentence de mort proférée devant moi par le docteur Masnou et 2° de l'inexorable, et pour moi inexplicable, aggravation de son état : alors que le malade était depuis plusieurs semaines censé recevoir de la vitamine B12 à doses drastiques, ce qui est normalement le traitement de l'anémie de Biermer - la maladie qui avait été diagnostiquée à son admission aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre et la cause de son admission en neurologie - il n'en avait reçu qu'un faux-semblant: 1/2 mg/semaine au lieu d'1 mg/jour par voie intramusculaire, et cela sur l'ordre expresse des neurologues du Service du professeur Gérard Saïd transmis dans un compte-rendu manuscrit de l'Interne Olivier Ille,au docteur Beinis daté du 22 août 1990, dont une copie m'a finalement été communiquée en décembre 1995 par la direction de l'hôpital Charles-Foix après par une lettre RAR j'ai demandé d'avoir copie du dossier d'hospitalisation de mon père dans le Service du docteur Beinis en 1990. Une lettre à laquelle le docteur François Chedru a en tant qu'expert forcément dû prendre connaissance en janvier 1996 mais dont il s'est gardé de faire état dans son expertise.

Demandez-vous pourquoi ?

Le fait que mon père ait, dans l'après-midi du 5 septembre 1990, dû ouvrir la bouche pour en avaler quelques cuillerées avait montré qu'il souffrait d'une GLOSSITE DE HUNTER (une langue rouge complétement dépapillée), pathognomonique des profondes carences vitaminique B12 provoquées par la maladie de Biermer.

L'Administration de l'AP-HP et la Justice firent à la suite de son inattendu rétablissement tout leur possible pour étouffer la reconnaissance de cette monstrueuse supercherie, pour ne pas dire de cette "astucieuse" manière de faire secrètement disparaître des malades gênants pour l'establishment

Pour des raisons compréhensibles quand on se place du point de vue de l'AP-HP et de la Justice, celles-ci ont fait leur possible pour que l'histoire de la résurrection du malade à partir de l'administration de ce petit pot soit enterrée par un "non-lieu" judiciaire.

Rien d'étonnant donc à ce que Emmanuel Hirsch m'ait en 1997 dit "connaitre par cœur" son histoire bien qu'il ne soit pas médecin, parce que c'est beaucoup grâce à cause de ce qui s'est passé en 1990 que depuis 1995, à la demande expresse du professeur Gérard Saïd, il occupe une Chaire d'enseignement de l'éthique médicale à l'AP-HP.

Cette Chaire a été spécialement créée pour couvrir les égarements de l'AP-HP. Une Chaire d'enseignement hypocritement appelée "Espace Éthique de l'AP-HP", des égarements qui ont été jusqu'à m'accuser, quatorze ans après (en 2004) d'avoir "moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, dixit madame Isabelle Pilot)

Âgé de 79 ans, mon père ne pesait plus que 47 kilos pour 1m76 lorsqu'il a été hospitalisé le 22 août 1990 dans ce qui s'appelle une Unité de Soins Normalisés (sic),  en l'occurrence celle de l'hôpital gériatrique Charles-Foix, tellement "normalisés" qu'on y laissait les pigeons se pavaner dans ses couloirs et se taper furieusement a cloche aux dépens des plateaux repas des malades devenus incapables de les en empêcher. "Ils mettent un peu de vie dans le Service", me fit-on savoir lorsque je m'en suis inquiété.    

Précédemment hospitalisé le 2 août en neurologie pendant trois semaines dans service du professeur Gérard Saïd sur le diagnostic correct de maladie de Biermer, et donc celui d'une profonde avitaminose B12 facile à corriger par une vitaminothéraie B12, il avait été transféré en gériatrie trois semaines plus tard au prétexte que son état s'était aggravé malgré le traitement cependant qu'en réalité il ne l'avait pas reçu. Seul du Prozac* avait été administré bien que l'On (le Chef de Clinique Pascal Masnou) m'ait fait croire que le traitement de cette maladie était administré . 

Resté sans traitement réel, mon père était devenu trop mal en point pour manier la fourchette et pouvoir manger tout seul, mais ce n'est pas dans sa chambre mais dans la chambre voisine que j'avais surpris des pigeons se taper la cloche juchés sur la table de chevet d'une malade impotente.

La personne qui venait apporter les plateaux repas repassait une demi heure plus tard pour les reprendre..

Le malade, devenu squelettique, en était arrivé au point qu'il était en passe de mourir au soir du lundi 11 septembre 1990.

Le Chef du Service, un gériatre répondant au nom de Jean-Yves Beinis, ne s'était pas du tout inquiété de cet état de chose, même après que madame Pondu, la Surveillante, lui a fait part de ce qu'elle-même avait pu observer dans l'après-midi du 5 septembre en essayant de faire manger le malade : il maintint l'ordre qu'il avait lui-même reçu de la part des neurologues du Servie du professeur Gérard Saïd, de ne faire que semblant d'administrer devant moi le traitement de la maladie de Biermer.     .

Il faut le comprendre parce que les neurologues qui lui avaient adressé le malade depuis le CHU de Bicêtre (depuis le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd), au vu d'un scanner et d'autres examens para cliniques, avaient astucieusement posé le diagnostic d'une  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX". Pour que le docteur Jean-Yves Beinis ne soit pas tenté de lui en administrer le traitement, plutôt que de parler d'anémie de Biermer, comme l'avaient fait devant moi les Urgentistes des Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre au terme de leur examen neurologique comme au vu de l'hémogramme du malade au soir du mercredi 31 juillet 1990, ils avaient ainsi de façon floue, à la fois ni vraie ni fausse, "étiqueté"  l'affection du malade qu'ils lui adressaient. Ils savaient que le docteur Beinis était peu regardant n'y verrait pas malice. 

Cette  atteinte, ils la disaient être consécutive à une encéphalopathie vasculaire compliquant une probable maladie d'Alzheimer, et sans doute aussi une tumeur du tronc cérébral, qu'ils avaient baptisée "hydrome sous-tentoriel" .

Les neurologues de Bicêtre avaient en conséquence  prévenu le docteur Beinis, comme ils m'avaient aussi prévenu, que le malade était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic)

Cet "étiquetage" et le pronostic qui allait avec ont  été reporté à l'identique dans une expertise judiciaire rédigée en février 1996 par le docteur François Chedru, neurologue Chef de Service au CHU de Meaux (voir à "omerta médicale et non-lieu abusif" sur le "blog de leon") 

Le professeur René-Claude Touzard avait été pressenti par madame Bénédicte Scelle, Juge d'Instruction au TGI de Créteil, pour instruire le procès que ledit malade avait intenté contre X après qu'il a pu récupérer ses esprits et une dizaine de kilos grâce à l'action conjuguée.

1° - d'un petit d'aliments pot pour bébés 

2° - de la cyanocobalamine à dose drastique.

 

La cyanocobalamine est la vitamine B12, une vitamine

indispensable au bon fonctionnement du système nerveux

 des malades lorsque ceux-ci sont atteints de la très

fréquente maladie de Biermer, une maladie qui touche

environ 5% des personnes âgées. De 3 à 7 % selon les

auteurs ayant publié sur le sujet. La  revue l'Encéphale a 

fait état de 7 % en 2003 dans un article consacré au délire

de Capgras)

Ou du syndrome NDB12PP, une affection apparentée à la

maladie de Biermer touchant deux fois plus de malades que

la maladie de Biermer, un syndrome qui serait sans doute

resté encore plus longtemps méconnu si l'administration d'un

petit pot pour bébés ne l'avait pas fait découvrir en 1990.

Son existence a été reconnue après que la plainte du malade

a semé la panique au sein de l'AP - HP, au point qu'il avait

fallu prendre en considération les dires du rédacteur du

présent article.

Il avait postulé son existence lorsqu'il avait signalé aux neurologues

de l'hôpital Bicêtre qu'il devait exister des formes de maladies de

Biermer avec test de Schilling normal et vitaminémie B12 normal.

Ceux-ci l'avaient très mal pris et avaient conseillé au docteur

Cretien, psychiatre, d'aller se faire soigner en psychiatrie  pour

avoir osé proférer pareilles inepties devant de si savants

neurologues.   

Pour plus de précisions sur ce cas on est prié de se reporter au site 108281777 html sur le blog de leon, article daté du 18 juillet 2012 (une lettre postée depuis la poste de l'Haÿ-les-Roses, une lettre à laquelle les destinataires n'ont jamais daigné répondre bien que pour certains d'entre eux soient en charge de l'éthique médicale et d'autres de la destinée économique du pays), et, sur le même site, à l'article "A ne pas ébruiter ", daté du 18 mars 2016 (et/ou à celui plus ancien traitant sur ce blog du "droit des patients hospitalisés", une lettre destinée à la direction de l'AP - HP datant du 27 juillet 2009), en attendant la suite.

Lire après l'encart publicitaire   "L'art de bidonner les expertises médicales" 

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