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9 janvier 2014 4 09 /01 /janvier /2014 17:40

L'auteur de cet article ne savais pas qu'en sauvant la vie de son père en 1990 il avait intuitivement et incidemment découvert une nouvelle entité nosologique en procédant au traitement d'une affection mortelle fréquente chez les personnes âgées, une affection qui était de façon très étonnante restée ignorée. Sans doute est-ce parce qu'elle était souvent confondue avec la maladie d'Alzheimer, et de ce fait considérée à tort comme incurable et "laissée pour compte". Cf. article "Une nuit vitaminée" site web n° 69972425 html.  

 

Cette entité nosologique allait dans les années suivantes être redécouverte et recevoir le nom barbare de syndrome NDB12PP (pour syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses).

 

La réussite de son intervention pour sauver la vie de son père alors qu'il avait été déclaré dément et lui avoir fait, contre toute attente, retrouver ses facultés intellectuelles, pourrait y avaoir beaucoup contribuée. Ce sauvetage ne lui en a pas moins valu des persécutions ordinales.  

 

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Il lui  était ainsi revenu de réparer les conséquences catastrophiques des fautes perpétrées à la Clinique de L'Haÿ-les-Roses et des erreurs commises à l'hôpital, son intervention ayant in extremis paré à leurs conséquences. Cela lui  a coûté très cher en argent et en énergie. Cela a néanmoins été loccasion de la découverte dune importante entité nosologique. Apparentée à la neuro-anémie de Biermer, maladie mortelle et fréquente passé la soixantaine, l'entité nosologique individualisée à cette occasion peut effectivement, quand elle  affecte les patients qui en sont victime, une fois éliminé le diagnostic d'anémie de Biermer, prêter à confusion avec une maladie dAlzheimer compliquée d'une encéphalopathie vasculaire . Ce fut apparemment ce qui s'est passé avec son père en 1990.

 

Alors que ces affections sont au dessus de tout recours thérapeutique, le syndrome de carence vitaminique B12 est accessible a un traitement vitaminique B12 simple,   calqué sur celui du traitement de la maladie de Biermer. Il l'avait appliqué.

 

Jusquen 2003 cette nouvelle entité fut dénommée  ''syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" ,  mais depuis l'abandon du test de Schilling en 2003, cette entité sappelle plusd volontiers ''syndrome NDB12PP''.

 

S'il n'avait pas pris la responsabilité dintervenir, il naurait pas eu à subir les ''ennuis'' (des menaces de représailles ordinales ) que ma valu le rétablissement de son père alors que les neurologues qui l’avaient en charge l'avaient condamné à une "inéluctable plus grande dégradation" (sic, selon les conclusions de l'expert qui a rédigé le rapport d'expertise réclamé par Mme Bénédicte Scelles, nommée juge d'intruction,  après que son père s'est porté partie civile auprès du TGI de Créteil, non contre les neurologues qui l'avaient eu en charge, mais contre le pseudo chirurgien de la Clinique de L'Haÿ-les-Roses - voir site 73331815 html).

 

Son père en serait rapidement mort, et personne naurait trouvé à y redire, sauf que sonfils se serait reproché de n’avoir pas fait ce qui lui aurait été possible de tenter.


L'escroquerie chirurgicale de la Clinique de L'Haÿ-les-Roses a grandement contribué à brouillé le tableau clinique et à rendre les erreurs médicales qui ont suivi possibles, sinon bienvenues : par analogie avec les constructions architecturales, appelons les fautes et les erreurs qui furent commises en 1990 à l'encontre de son père des ''malfaçons''. Lorsque des malfaçons en maçonnerie sont faites dans les soubassements d‘un édifice, des fissures se produisent, qui s'agrandissent et en entraînent d'autres, jusquà lécroulement final. Il lui  avait fallu lorsque cet écroulement s'est produit secourir en catastrophe son père qui se trouvait enseveli sous les décombres, au risque d'y rester lui-même enseveli. Ce risque était dautant plus grand que lOrdre des médecins, en tant co-responsable des vices de construction, plutôt que de l'aider dans mon travail, s'est évertué à déstabiliser davantage l'édifice qu'il avait laissé se construire en dépit du bon sens et des règles fondamentales. L'Ordre censé veiller à ce que les règles soient respectées cherchait par là à occulter ses propres défaillances.

 

L'Ordre ne trouva pas mieux que de se joindre aux contrefacteurs, l'administration hospitalière se chargeant de son côté de produire un grand rideau de fumée. On appela le rideau fumées ''Espace Éthique de l'AP - HP". Derrière ce rideau, d'autres monstruosités pouvaient discrètement se perpétrer.

 

Ainsi, en 1997, soit deux ans après la création de cet  "Espace", le docteur Laurence Kouyoumdjian y fit une brèche , qui mit en lumière ce qui se devait de rester caché.

 

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