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14 janvier 2015 3 14 /01 /janvier /2015 17:11

Marc-Léon Lévy, qui c'est ?  Un agrégé de Lettres Modernes  (ou Mots d'hErnes), Directeur de  "La Cause Littéraire", selon lui-même et Wikipédia.

Tout ça ne fait pas de lui un médecin, ni même un psychiatre et/ou un psychologue, bien qu'il se veuille plus "psy" que les psys (ce qui n'est pas interdit ni même impossible : Ingmar Bergman, le fils spirituel d'Auguste  Strindberg qualifiait les "psys" (les psychiatres) d'analphabètes de l'âme, ce en quoi il n'avait forcément pas tort.  Il devait penser à Karl Jaspers, qui avait fait de Van Gogh et de Strindberg des Schizophrènes ! 

Strindberg avait un ami psychiatre, le Dr. Eliasson, dont il avait noté l'idéologie éliminationniste, très proche de celle que cultivait Sigmund Freud sous le manteau (pluriel de mental), et pas seulement lui à l'époque en tant que médecin (p.ex Julius Tandler)  qui lui faisait dire en privé que les névrosés  l'insupportaient, qu'ils n'étaient que de la racaille dont  vaudrait mieux faire des cargaisons à senvoyer par le fond , qu'ils étaient juste bons à l'entretenir financièrement.  (ce pourquoi il les choisissait autant que possible très fortunés), et qu'ils servaient aussi  à ses recheches à partir de leur cas.

En quoi Freud il se montrait très proche de son ex patient secret,  qu'était selon toute probabilité et vraisemblance été le fils d'Aloïs Schicklegrüber, un patient plus connu sous le nom d' Adolf  Hitler que sous celui d'Adolfus  Hitler, un ancien patient acquis à la haine des juifs après qu'il s'est sans succès exposé à la mort en suivant les conseils très intéressés de son "alter égo" (son frère jumeau)  Sigismund  Freud, ainsi que l'avait à moitié compris Thomas Mann.

Hitler deviendra son rival mimétique après que les conseils qui lui avait prodigué se montrèrent  inopérant malgré les danger encourus à les avoir suivis. Jusqu'à y risquer plusieurs fois sa peau et à en contracter  une "cécité hystérique", selon le psychiatre,  Edmund Forster qui eut le malheur de le prendre en psychothérapie  à la fin de la guerre de 14 -18  à l'hôpital de  Pasewalk (Cf. le "Hitler" de Ron Rosenbaum et de François Delpla). 

Le Dr. Ernst Weiss  aurait recueilli le dossier clinique  de ce cas clinique pour le metttre en lieu sûr avant que ce psychiatre ne disparaisse. S'il était devenu un témoin  génant pour Freud, il était à abattre pour Hitler

Le Dr. Forster aurait été obligé de livrer sous la torture  le nom de celui  à qui il avait remis le dossier clinique  de son ex-patient devenu trop célèbre. Se sentant à son tour lui-même en danger, Ernst Weiss s'était réfugié en France, mais avec l'arrivée des nazis à Paris, il s'était empressé de rédiger son avanture avant de se suicider pour ne pas leur tomber dans les mains et subir le sort du Dr. Forster. Elle est relaté dans "Le témoin oculaire", publié en France en 1963 chez Arléa.  

Elisabeth Roudinesco l'en excuse  dans un livre qui lui est consacré, admettant  "qu'il n'aura cessé d'agir en en contradiction avec son oeuvre" ainsi qu'il est noté quatrième de couverture de ce livre, primé par ses zélotes. 

Il n'a manifestement pas compris qu'à la fin et depuis longtemps Lacan Jacques avait une araignée accrochée aux méninges, qui lui mettaient la structure de l'inconscient à l'envers, d'où son furieux amour des calembours.

A la fin devenu aphasique il lui restait quelques réflèxes indélébiles, tendre comme pApA et le père Ubu la soucoupe à sous.

En mettre encore plus à gauche, avant d'y passer par la volonté du grand Autre. 

Malin comme un cygne, Levy Leon Marc feint de croire que lui au moins  comprend Freud et Lacan, contre Michel Onfrey,  qu'il it imposteur. Jean-Pierre Bernajuzan lui a fort à propos cloué la maximologie (le Monde du 4/01/2010)

Son Maître à penser creux avait depuis longtemps compris CE qu'a aussi compris Gabrielle Rubin, et presque aussi Marie Balmary, en déraison de quoi   Roudinesco a évité d'en parler dans son dernier ouvrage  sur  l'histoire originaire de Bouche-Triomphante (Sieg ist Mund).

Freud est loin d'être seul à être né du compleXe  A/a  (de grAnd-pApA JacObNathansOn/MamAmalié =>Sigismund Freud => compleXe des dupes => une bevue insconsciente => seriales père-versions fraeudienne (sen langue lacanoïde ).

C'est comme "çà" et/ou pour ça que son saint-homme  découverinvente le compleXe de Papa/ Mamalia (papa Jacob sur fille Amalia).

Une inzestaçion finalement assez ordinaire, puisque c'est le cas d'une femme sur vingt (Ida Bauer Dora comme une Meuf / vingt a été en pApAzestée, selon l'Institut médico-légal de Paris, chiffres de 1997 (soit en France un million-cinq-cent-mille Meufs, réévaluées 2 millions en 2010).

Marc-Léon Lévy n'a ka  lire Jacques Lacan entre les signes. GrAnd-pApA Lacan prenait sa mère dans son lit = inzeste du deuxième type, en principe non consanguin => effet yau-poêle => lire Léonore Le Caisne ou Barbara ou Pola Kinski (sur son père et père-grand ), et/ou  Gabrielle Rubin, au lieu des âneries négationnistes des Roger Perron nistes). Saurait-il voir que le monde Lui doit Adolf H d’être devenu ce qu'il semitàêtre  dans son "délire de haine" le  20/08/1920

Daniel Sibony ne me contredira pas, qui semble le savoir, ainsi que le patient  Francis Hofstein, (01 45 89 71 03) , qui ne veux pas porter chapeau. Il pourrait eSSpliquer ce que le disque our-courant d’A.H dit et cache, qui n'est pas du semblant    

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