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30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 12:11

Avant de reparler des procédés STSMC et STSMI de récupération de l'énergie potentielle des marnages, il faut comprendre la situation qui est la mienne depuis j'ai commis ce qui a été considéré par l'Ordre des médecins comme un crime de lèse Majesté : celui de n'avoir pas respecté le devoir de confraternité en n'empêchant pas une victime de garvissimes exactions médicales de porter plainte contre les X médecins après qu'il a, en 1990, par deux fois failli mourir de leurs mauvais traitements.


Ne l'en avoir pas empêché a été vécu et m'a été signifié comme un manquement au sacro-saint devoir de Confraternité, comme une trahison passible de représailles - En témoigne les lettres adressées par les fautifs  au Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins dans les années 1990 (voir site 69970222 htlm).

Mon exposé sera nécessairement un peu long et technique, à l'instar de ce qui s'est alors passé, qu'il m'a fallu réparer avant que de pouvoir en comprendre les tenants et les aboutissants malgré les savantes embrouilles faites pour les dissimuler à une justice qui ne tenait apparemment pas tellement à les savoir, d'autant moins qu'elle les connaissait, ce qui n’avait pas été sans effrayer nos avocat(e)s (voir site 73331815 html).    

Les premiers médecins avaient à la Clinique de l'Haÿ-les-Roses involontairement failli tuer mon père en lui infligeant subrepticement, en totale transgression des principes les plus élémentaires de la médecine, de la chirurgie, du droit et du respect de la personne, une double opération orthopédique. Non seulement l'opération avait été réalisée en dépit du bon sens parce que très dangereuse, inappropriée et complètement inutile, mais été réalisée dans les pires conditions qui soient par un rhumatologue qui se prenait et se faisait passer pour  chirurgien orthopédiste. Elle s'était inévitablement soldée par une hémorragie cataclysmique. L'opération avait en outre été préalablement  interdite et par moi et par le Dr. Joseph Heller, le cardiologue de mon père. 

Les médecins-propriétaires de cette Clinique seraient, de source informée, les enfants de grands banquiers, et à ce titre "hautement protégés"? selon la police, qui m'en a informé (voir site 108281777.

 

Leur Clinique  était à vendre et ils cherchaient à parfaire le chiffre d'affaire de leur établissement. Protégés par l'Ordre et le parquets, travaillant en accointance avec le maire, les Elmelik, les  très riches propriétaires de cette Clinique, pouvaient "tout se permettre", au grand dam de leurs victimes et de la Police de l'Haÿ-les-Roses, qui n'en pouvait mais de ce qu'ils y faisaient et de ce qui s’y passait.

 

Un des maires-adjoints de cette Commune avait été mon voisin de pallier. 
  
Les médecins qui leur succédèrent et qui recueillirent mon père au CHU de Bicêtre  étaient neurologues. Ils ne voyaient pas d’un très bon œil que mon père puisse  être en mesure de porter plainte contre les premiers, comme il leur en avait imprudemment exprimé l'intention. La Clinique de l'Haÿ-les-Roses servait de dépotoir, à leur Service comme à d'autres Services de l'AP.  Cette Clinique acceptait en effet de prendre les malades embarrassants en "soins de suite". Ne pouvant évidemment y renvoyer mon père y finir ses jours après qu'ils se sont gardé de lui administrer le traitement susceptible de lui sauver la vie, prétextant qu'il ne s'améliorait pas malgré le traitement qu'ils ne lui administraient pas tout en faisant semblant, ces neurologues l'adressèrent  au Dr. Beinis, médecin-chef d'une USN (Unité de Soins Normalisés) de  l'hôpital Charles-Foix, en lui prescrivant de faire comme eux l'avait fait, semblant de lui administrer ledit traitement. Le sachant peu critique donc docile et peu regardant, ils lui avaient fait croire que ce traitement était inutile mais  abusivement exigé par le fils du malade, qui se mêlait de contester leur diagnostic et d'interférer avec la conduite des traitemenrs à suivre.

 

Une trace de cette prévention à mon égard se trouve dans une lettre manuscrite d'un des Interne du Service de neurologie de Bicêtre, que j'ai pu récupérer en fin 1995 et qui a été transmise au parquet en 1996, si toutefois notre avocate a bien fait son travail. Ce qui n'a peut-être pas été le cas au vu de ce qu'elle s'est permis de ne pas faire l'année suivante à notre détriment - ne pas remettre son Mémoire dans les délais impartis, selon le principe qu'introduire des "erreurs" de procédure est un moyen d'enrayer les plaintes.  

Après que le 7 septembre 1990 une infirmière de l'USN m'a fait savoir que le traitement que mon père était censé continuer de recevoir à Charles-Foix n'était qu'un faux-semblant, étant donné l'état de mon père, je m'étais trouvé dans l'obligation de le mettre moi-même au plus vite en route. C'est ce qui avait, contre toute attente, y compris la mienne,  permis à mon père de s'en sortir in extremis vivant et de récupérer en quelques semaines  presque  intégralement ses capacités intellectuelles, au grand effarement des neurologues. L'apprenant, ils s'empressèrent de faire disparaître son dossier, de me discréditer par des accusations aussi abjectes qu'infondées, et de faire jouer leur relations, tant ordinales qu'administratives et institutionnelles. 

                                                                                                           -/-

Lors du passage de mon père aux Urgences du CHU de Bicêtre, au soir du 31 juillet 1990, le diagnostic d'anémie de Biermer avait été immédiatement porté au vu de l'hémogramme et du tableau clinique qu'il présentait. Un tel diagnostic impliquait un traitement vitaminique B12 drastique et prolongé,  le traitement obligé de cette maladie, qui est curable mais à brève échéance mortelle sans celui-ci. Or 38 jours plus tard, le 7 septembre, au lieu de s'être amélioré l'état de mon père s'était fortement s'aggravé. Une infirmière de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix,  où mon père  avait été transféré depuis Bicêtre le 22 août, ayant appris par la Surveillante que j'étais médecin, tint à me montrer le registre des traitements. Le registre montrait que le traitement de la maladie de Biermer, que mon père  était censé jusque-là recevoir, n'était qu'un faux-semblant (voir le site web 108281777 html).

Pourquoi la justice, sur les réquisitions expresses de Michel Barrau, ne s'est-elle pas inquiétée de ce qu'il ne s'était agi que d'un simulacre bien que la très longue contre-expertise du Dr. Yves Dano - 44 pages d'une dactylographie fine et serrée, que le procureur a manifestement très attentivement lue - ne l'ait pas caché. Dans la première expertise,  le neurologue François Chedru, Chef de Service à l'AP. ,  s’était gardé de le mettre en évidence.  Le Dr. Chedru m'a par la suite avoué qu'il avait bidonnée son expertise, ce dont, sans être médecin,  il n'était pas difficile de se rendre compte.  

                                                                                                             -/-

Après son passage aux Urgences du CHU de Bicêtre,  mon père avait été admis en neurologie. Les neurologues avaient invalidé le diagnostic des urgentistes pour le remplacer par un faux diagnostic, celui-ci réputé incurable, alors que le diagnostic porté aux Urgences s’imposait et commandait  un traitement aussi simple qu'efficace.

Les neurologues désavouèrent le diagnostic des urgentistes au profit de celui d'une démence d'origine indéterminée, une "DTA"  (Démence de Type Alzheimer). C'était un diagnostic assez vague pour être commodément porté devant les nombreux cas, réputés irrémédiables, d'affaiblissements intellectuels idiopathiques rencontrés en pratique chez les personnes âgées. Un diagnostic fourre-tout déjà obsolète  en 1990. Je l'avais dûment critiqué. J'avais plaidé de façon argumentée devant le Dr. Pascal Masnou, Chef de clinique, en faveur du diagnostic de présomption de maladie de Biermer porté aux Urgences Bicêtre, diagnostic qui avait motivé son transfert en neurologie. J'avais ainsi obtenu, du moins apparemment, que le traitement y afférent soit maintenu malgré la "normalité"  - réelle ou prétendue - du test de Schilling.

Vers la mi-août 1990, lors de ces discussions, le "diagnostic" de DTA  avait été affirmé  devant moi par le Dr. Masnou. Il me laissa alors entendre qu'il valait mieux pour moi  que mon père ne survive pas trop longtemps à une DTA qui ne pouvait conduire, selon ses dires, qu'à une inéluctable plus grande dégradation.  

Le 30 septembre 1990, alors que les neurologues de Bicêtre savaient  que  1°  mon père s'était sorti vivant - mais pas forcément intellectuellement indemne - du faux traitement qu'ils avaient fait suivre à leur patient et 2° qu'ils étaient  conscients d'avoir formulé sciemment un  pronostic erroné,  et 3° qu’ils me l'avaient fait tenir par Dr. Jean-Yves Beinis, ils rédigèrent un ahurissant compte-rendu d'hospitalisation stipulant,  en caractères majuscules en guise de CONCLUSION,  non pas le diagnostic de "DTA",  mais d‘ "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX  (sic), un diagnostic paragmatique valant pour les initiés celui de  "Leuco-Encéphalopathie Multifocale Progressive" (ou LEMP).

C' était bien  improbable qu'il se soit agi d'une LEMP parce que cette affection est d'une extrême rareté. Les LEMP ne sont pas spécifiques de l'infestation à VIH, mais l'augmentation de leur prévalence dans ces contaminations a fait que porter un diagnostic de LEMP était à l'époque une manière de sous-entendre, pour qui sait lire, une telle infestation d'origine nosocomiale, c'est-à-dire une infestation relevant de la responsabilité du CNTS  et des établissements hospitaliers qui s'étaient servi de ses  lots de sangs contaminés dans la première moitié des années 1980. Des malades qu'il valait mieux savoir ne pas être en mesure de développer un sida maladie, au risque de les voir, eux où leur famille, se retourner contre le CNTS ou  l'AP. Or mon père avait été transfusé en avril 1984 l'hôpital Saint-Louis. Le diagnostic paragmatique "atteinte diffuse du SN" a été porté le 30 septembre 1990,  en gros caractères en CONCLUSION  de l' hospitalisation du malade en neurologie le mois précédent cependant que les rédacteurs du CR d'hospitalisation étaient au courant de ce que le faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer qu'ils avaient prescrit au Chef du Service de l'USN de suivre à la lettre avait été éventé, et que le malade avait de ce fait échappé à la mort.

Depuis que mon père a contre toute attente ressuscité sous thérapie B12, les LEMP ont eu la réputation d'être accessible à un traitement vitaminique B12 . Cf. la prestigieuse Revue neurologique américaine  Archives of Neurology  (Arch Neurol  1992 ;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes",  Arch Neurol 1993; 50 : 807 - 811. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection" ), ce que contestera treize ans plus tard vigoureusement un article publié en France en 2006  (Revue Neurologique 2006; 162 (1):22-42. "Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH-1" (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris) 

Etait-ce une raison pour qu'en novembre 1997  le Chef du Service de Neurologie du CHU Bicêtre fasse  interdire de bibliothèque  la Revue Archives of Neurology en en faisant retirer les numéros existant et interrompre l'abonnement au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" cependant qu'il a ensuite fait des pieds et des mains pour y cosigner des articles aux sujets du traitement des maladies liées à des troubles du métabolisme de la vitamine B12  ? :  Cf.  Archives of  Neurology. 2003; 60 (10) : 1457-62. "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert.      

Ainsi taxé de deux affections imparables dont l'une pouvait faire craindre un sida nosocomial, mon père était resté jusqu'au 7 septembre 1990  sans recevoir le seul traitement capable de remédier à son état, à savoir le traitement d'urgence normalement dévolu à la maladie de Biermer. 

Or les carences vitaminiques sévères sont des urgences thérapeutiques non seulement parce qu'elles sont susceptibles de conduire les malades à un existus inopiné, mais chaque jour de retard apporté à leur  traitement rend plus difficilement réversibles les déficits qu'elles provoquent.

A en jugé par son efficacité lorsque je l'ai mis en route, ce traitement aurait  plus complètement rétabli le malade  dans l'intégralité de ses fonctions motrices et intellectuelles. Mon père présentait en effet tous les symptômes cliniques de la maladie de Biermer, y compris la très caractéristique glossite de Hunter et un délire de Capgras, sinon tous les signes biologiques. Or  le premier principe à être enseigné en médecine veut que "la clinique prime le laboratoire". Je l'avais rappelé au Dr. Masnou  lors de mes discutions avec lui afin qu'il le mette application malgré la "normalité" - réelle ou prétendue ? - du test de Schilling, test alors censé caractériser la maladie de Biermer.  Sa commercialisation est depuis 2003 abandonné parce qu'il a été accusé de livrer de fausses informations - il fallait bien un bouc émissaire  - au grand dam des cliniciens parce qu'il permet quand même de distinguer les NDB12PP de la maladie de Biermer.

Prétextant la normalité de ce test, le Dr. Pascal Masnou rejeta le diagnostic de maladie de Biermer. Il m'exposa que l'état de mon père relevait d'une encéphalopathie vasculaire probablement compliquée d'une maladie d'Alzheimer, c'est-à-dire d'un type de démence à cette époque habituellement dénommé  "DTA" (Démence de Type Alzheimer). Cette vague dénomination a depuis été abandonnée. Bon nombre de DTA étaient en réalité ce que l'on  dénomme depuis  "syndromes NDB12PP"  (syndrome de  non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses),  une entité nosologique découverte dans l'après-coup de cette  fausse ou vraie méprise. Son pronostic est beaucoup moins péjoratif  que les soi-disant DTA puisque les NDB12PP sont accessibles à un traitement simple et salvateur, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer.  Les DTA  étaient avant la découverte des NDB12PP effectivement vouées à  une inéluctable dégradation.

Le fait est que l'individualisation de cette entité a été reconnue après  que le cas de mon père a mis des neurologues de l'AP en émoi pour avoir fait mentir le pronostic du Dr. Pascal Masnou. Le Dr. Jean-Yves Beinis l'avait répété comme un perroquet alors qu'il était indifférent à l'état de son malade qu'il voyait se dégrader jusqu'à se trouver dans un état absolument épouvantable (celui-ci  est décrit sur le site Web n° 108281777 html). Le Dr. Beinis ne s'en émouvait alors  nullement, prévenu qu'il avait été par les neurologues qui l'avaient fait transférer dans son Service que tel allait être l'évolution du malade qu'ils lui avaient adressé.

Mon intervention avait été faite in extremis. Elle  consista tout simplement a administrer réellement le traitement de la maladie de Biermer, c'est-à-dire le traitement vitaminique B12 drastique et prolongé, un traitement que ses médecins n'avaient jusque-là fait que simuler pour me faire taire. Il démontra l'inanité du concept de DTA au profit de celui de DNB12PP, une entité depuis publiée sous l'appellation syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal. 

Ne serait-ce pas parce que la résurrection de mon père, taxé d’ "Atteinte diffuse du système nerveux", paradigme de LEMP, avait  sous l'effet de ce traitement semé un vent de panique à l'AP. qu'il a acquis la réputation d'être efficace dans les LEMP ? Avant d'être  au  contraire accusé de n'y être pour rien quand des guérisons surviennent ?  (Revue Neurogique 2006; 162 (1):22-42. "Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH-1" (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

La prévalence des NDB12PP est maintenant estimée deux fois plus importante que celle de la maladie de Biermer, à laquelle il s'apparente. Depuis 2003, depuis que la commercialisation du test de Schilling a été abandonnée, il est devenu plus difficile de les différencier. (Cf. Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Étude de 60 patients") et  "La Presse Médicale" 2008 au sujet de ce syndrome.

Pour paraphraser le Dr. Irène Frachon quand elle écrit "Le Médiator* combien de morts ?" ne pourrait-on pas écrire "La confusion des DTA avec les NDB12PP,  combien de mort ? "

Pour en revenir à la récupération de l'énergie des marnages, refuser de prendre le STSMC en considération revient à rater l'occasion de libérer la France de la nécessité de recourir massivement à l'importation d'énergies fossiles, donc à manquer un possible et prompt redressement économique.  

 

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