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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 13:47

 

Les "euthanasies" dont un urgentiste de l'hôpital de Bayonne se serait rendu responsable ou coupable, ont fait la une des journaux malgré la priorité généralement accordée en ces temps aux futurs élections et à l'endettement du pays.
Le nombre des victimes d'euthanaisies abusives est certainement très important, mais impossible à chiffrer. Les euthanasies sont  la plupart du temps clandestines. Elles  sont d'ailleurs quasi impossibles à révéler.
Pour ce qui est de l'urgentiste de Bayonne, on  a parlé de quatre morts.
Ce qui étonne, ce n'est pas que de telles pratiques aient eu lieu, mais qu'elles aient été médiatisées alors que quantité d'autres ne le sont pas, quand bien même la presse en est informée, preuves documentées à l'appui.
Elles sont d'ordinaires savamment tues, alors qu'elles sont de pratiques courantes. Ce qui est généralement interdit, c'est de les dénoncer.  
J'ai été témoin de la tentative d'assassinat dont mon père fut victime en 1990 alors qu'il était hospitalisé pour un syndrome neuro-anémique parfaitement diagnostiqué à son passage aux urgences de Bicêtre.
Il fut dans les jours suivants déclaré  soi-disant atteint d'une démence sénile, et ne reçut sous ce prétexte pas le traitement spécifique de cette mortelle affection, ce qui le conduisit assez rapidement au coma six semaines après son admission.
Il fut par la suite déclaré "mal étiquétée" (sic, euphémisme pour indiqué qu'une erreur de diagnostic délibérément mortelle avait été commise à son encontre, compliquée  d'une non moins prétendue tumeur cérébrale). On m'avait  ainsi  laissé entendre qu'il était préférable qu'il ne survive pas, juqu'à ce qu'une infirmière, probablement soucieuse de ne pas s'associer  à ces mensonges,  m'invite à venir vérifier son traitement (pour plus de détails, se reporter  au compte-rendu de cette affaire au chapitre "maltraitances des personnes âgées. Formes particulières".
Il me fut impossible d'en faire état; Les interventions de l'Ordre des médecins et des  Services responsables  pour occulter l'affaire ont été d'autant plus efficaces qu'elles couvraient de lourds interêts.
L'affaire a été dénoncer  premièrement au procureur du parquet de Créteil par la victime elle-même dès qu'elle fut en mesure de le faire, c'est à dire après qu'elle a recouvert ses capacités intellectuelles,  trois mois après avoir manqué de perdre la vie.
Cela fait en effet vingt ans que je me tue (au sens strict) à signaler le fait à propos de ce cas précis (qui en recouvre certainement d'autres), d'abord à qui de droit, c'est à dire à l'Ordre des médecins, aux pouvoirs judiciaires; et finalement de façon circonstanciée à l'attention de tout un chacun via des lettres ouvertes aux journaux et aux politiques, qu'ils soient de tendances socialistes (Marianne, Libération, Le Nouvel Observateur, André Vallini et François Hollande Jean-Yves Le Bouillonnec notamment, mais pas seulement), de tendance UMP ou centriste (Le Figaro, Le Point, Ousest-France, Jean-François Copé, Xavier Bertrand, et tout dernièrement - ce jour même - au Dr Président de l'Assemblée Nationale le Dr. Léonetti) ou indéterminés (dont le redouté Canard Enchaîné, Aujourd'hui - Le Parisien ...) ou aux journaux locaux (L'Est Républicain, l'Indépendant du Jura, ), documents factuels à l'appuis, sans que curieusement cela ne soit relayé, sauf il y a trois ans par Le Penthièvre (n° du 20 mars 2008).
Une dénociation qui me valut des menaces ordinales et la moquerie du parquet, qui fit activement barrage .
Comment expliquer cela alors qu'au moins un de ceux que j'ai mis en cause a récidivé sans être inquiété dans les années qui suivirent, qu'un autre - un Chef de Service responsable - m'a directement menacé de plainte en diffammation devant témoin (devant le Pr. P. Hardy) et mis en cause, via madame Isabelle Pilot, ex sous-direcrice de l'Hôpital Bicêtre quand elle était "Chargée des relations de l'hôpital Bicêrtre avec la Clientèle", ce qui aurait pourtant dû le conduire à me faire traduire en justice.  Ce qu'il avait promis de faire devant le médiateur de l'hôpital Bicêtre, plus ou moins régulièrement représenté par le Pr. P. Hardy (en remplacement du Pr. Gilbert Tchernia, tout d'un coup déclaré "indisponible" alors qu'il avait réussi à dénicher la preuve que le test de Schilling avait été falsifié pour "justifier" les erreurs mortelles qui avaient été faites, qui déjà avait fait semblant de ne rien voir (et pour cause,les "euthanasies" dénoncées étaient en principe tout aussi condamnables mais bien plus scandaleuses que celles dont il est actuellement question, susceptibles qu'elles étaient de renvoyer à des erreurs gouvernementales et administratives monumentales, s'agissant d'euthanasies préventives de possibles mises en accusation de l'A.P.- H.P. et du C.N.T.S., ce qu'il ne fallait surtout pas pouvoir démontrer. Ce sont des "violences" presques impossibles à dire. Et sans doute plus encore à entendre ?
Pour qui voudraient en savoir plus et tenter de comprendre le pourquoi de l'omerta juridique ou qui auraient négligé de prendre mes alertes au sérieux, j'invite à consulter Google 73331518 html, qui renvoie à ces "formes occultées de "maltraitances des personnes âgées".
Il y est question d'un malade de 79 ans qui survécut 5 ans à une euthanasie passive/forcée, qui porta plainte pour "non assistance à personne en danger" mais qui s'en était sorti vivant grâce au signalement d'une infirmière, et sur ce signalement, l'intervention du fils du malade venu, in extremis, interrompre le processus destructeur.

 

Dr. P.C. 13 août 2011 Tél 06 78 58 96 21

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