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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 17:44

Monsieur le président, et cher Confrère, ...    J'ai l'honneur de m'adresser à vous à cause de ce qui m'arrivé après que mon père a développé un syndrome neuro-psychiatrique. Son délire était dévastateur. Il sema la confusion jusqu'au sein des institutions juridiques.

Il était dans sa quatre-vingtième année quand  un syndrome neuropsychiatrique et démentiel "mal étiqueté" s'est constitué, un syndrome très complexe qui avait dépassé l'entendement commun.

C'est pourquoi, quand il a été  hospitalisé en neurologie j'ai demandé à ses médecins qu'il soit aussi examiné en psychiatrie. Il aurait été d'autant plus judicieux que son cas fasse alors l'objet d'une investigation psychiatrique approfondie que les neurologues qui s’occupaient de lui avaient d'eux-mêmes noté que leur malade tenait des propos  "absurdes", ainsi que l' indique leur compte-rendu d'hospitalisation. Au terme du chapitre consacré à l'examen cardiovasculaire il y est en effet textuellement noté : << Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées. Le mini mental est évalué à 25/30 >> (soulignement mien, ci joint le CR complet).
 
 Il ne fut pas donné suite à mon avis cependant que son délire, très complexe, était relatif à ma personne et à un cancer dont il se croyait atteint ainsi qu'aux médecins qui avec moi lui cachaient la vérité, et au maire de la Commune où il habitait, qui aurait voulu s‘accaparer de ses biens. Il prétendait en effet que je n'étais pas son véritable fils et que « nous » (moi et les chirurgiens à qui je l’avais  adressé en 1984 pour la pose d‘une prothèse de hanche) lui cachions la véritable nature de son mal (dans son délire un cancer des os s'était développé à l'endroit de sa prothèse, ce que nous aurions à tout prix voulu lui cacher (voir ci-après en bibliographie § 18 le contexte relatif à son délire, qui relevait pour beaucoup d'un délire de Capgras). Deux semaines plus tard le mini-mental ne sera plus qu'à 22/30  mais reviendra à 30/30 six mois après sous l'effet d'un traitement cobalaminique bien conduit et l'effacement du délire.
 
Dans son délire, avant qu'il ne soit hospitalisé, mon père s'en était allé trouver son notaire pour que soit  remis à un chirurgien dentiste,  qu'il disait être son véritable fils,  ce qu'il voulait lui transmettre après sa mort, qu'il sentait venir (de ce point de vue, on ne peut pas dire qu'il délirait car il était à ce moment-là non pas atteint d'un cancer, mais d'une affection tout aussi mortelle). Son notaire avait refusé de faire suite à sa demande, mais pas le maire de sa Commune, à qui il finit par s'adresser. Celui-ci lui fit savoir qu'il pouvait compter sur lui pour que soient exécutées sa volonté. J'ai appris tout cela après coup, longtemps après qu'il a récupéré des facultés plus normales, et après que le maire en question a fait l'objet d'une mise en examen et soit, pour je ne sais quelles autres raisons délictueuses, amené à donner sa démission.
Quoiqu’il en soit, la mairie brûlera avec ses archives quelques années plus tard. Le  maire qui lui succédera sera lui aussi amené à donner sa démission en 2012  alors qu'il briguait un mandat de Sénateur. 

Parvenu à l'âge de 74 ans, c’est-à-dire à un âge où il est dit que l'inventivité se tarit, j'aurais donc à solliciter du service social de la CARMF un soutien pour suppléer à mon manque de ressources, ce manque résultant pour beaucoup de ce que  solution thérapeutique que j'avais préconisée en 1990 pour mon père m’a coûté très cher ... après qu'elle s'est montrée efficace.

Elle avait été bénéfique non pour moi mais pour mon père,  et avec lui pour les malades présumés souffrir de ce qui s'appelle désormais une  leuco-encéphalopathie multifocale progressive, ou plus brièvement une  LEMP.

Ces  affections débilitantes étaient alors plus vaguement étiquetées  "atteintes diffuses du système nerveux".  La prévalence de ces atteintes nerveuses diffuses avait augmentée de 20 %  depuis la massification des contaminations VIH.  Quoique fort rares et non seulement dues aux seules contaminations VIH, toutes les viroses étant  susceptibles de les provoquer, les LEMP comptent parmi les plus redoutables des complications de ces contaminations.

Ces affections étaient en 1990  réputées au dessus de tout recours thérapeutique. Les neurologues qui avaient pris mon père en charge le 2 août 1990 s'étaient ainsi contentés de lui administrer du Prozac *, ainsi qu'en témoigne le compte-rendu d’hospitalisation (Cf. ci-après copie), cependant  qu'à son admission aux Urgences de l’hôpital au soir du 31 juillet  l'existence d'un syndrome neuro-anémique ait paru évident aux urgentistes au vu de la formule sanguine et de l'examen neurologique (tableau de sclérose combinée). L'hypothèse d'une maladie de Biermer était des plus plausibles, mais celle-ci ne figure curieusement pas sur ce CR.  Celui-ci fait cependant état de ce qu'un test de Schilling a été réalisé, etce test, soi-diant  négatif,  a servi de prétexte pour rejeter le dignostic de syndrome neuro-anémique au profit de celui d'une "atteinte diffuse du système nerveux" alors qu'il aurait dû être complété d'un myelogramme et d'autres tests tant était la symptomatogie clinique plaidait pour un syndtome neuro-anémque : tout s'est passé comme s'il avait avait absolument en écarter la possibilité alors que le traitement de la maladie de Biermer était la seule chance de rétablir le malade dans ses fonctions.
  
Le traitement de la maladie de Biermer ne lui fut donc pas administré (Cf. ci-après  CR d'hospitalisation) . Les neurologues  me firent cependant croire qu'il l'était parce que j'avais insisté pour qu'il lui soit administré, jusqu'à ce qu'une infirmière de l'hôpital Charles-Foix  s'avise de me faire savoir qu'il ne l'était pas vraiment. L'état de mon père s'était alors si gravement dégradé qu'il était en passe de mourir. Je l'ai dès lors administré moi-même, ce qui eut pour effet de le sortir du coma et de le rétablir en quelques semaines.  Un autre test de Schilling fut alors réalisé, qui était à 5%, ce que l'on me cacha.

S'il s'était véritablement agi d'une LEMP, cela voudrait dire que le traitement de la maladie de Biermer vaut pour les LEMP. C'était quasiment la découverte qu'un traitement des LEMP était possible. La littérature anglo-saxonne a dès cette époque fait état du problème (Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" . Accepted for publication September 5,1990).

Le fait qu’un traitement des  LEMP soit possible a depuis fait en France l'objet d'un déni dans certaines publications (Cf. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 . Revue Neurogique 2006;162 (1) :22-42. Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris) .  Ce déni est-il en rapport avec le fait que le traitement que j’avais préconisé pour mon père ne lui avait pas été vraiment administré ?  Le traitement cobalaminique des infections à VIH reste prôné outre atlantique (Cf. ci-après bibliographie).

Quoi qu'il en soit cette  "découverte", si c'en est une, m’a finalement coûté très cher.

Lorsque je me suis décidé à le lui administrer moi-même, mon père était dans un état grabataire et démentiel qui allait rapidement s‘aggravant, au point qu’il a fini par sombrer dans un coma qui faillit être terminal. Après qu’une infirmière m’a prévenu qu’ ordre avait été donné par son Chef de Service de seulement faire semblant d’administrer ce traitement, je me suis  décidé de l’instituer par moi-même de toute urgence.  A la surprise générale, le traitement s’était soudainement montré salvateur, ce qui eut pour effet de plonger les équipes soignantes non dans le soulagement, mais dans la panique. Mon traitement permit au malade de sortir du coma et lui fit retrouver ses possibilités intellectuelles à 30/30  alors qu’elles paraissaient définitivement compromises, descendues à 22/30 trois semaines avant l‘instauration effective  du traitement. J’y reviendrais après que j’ai exposé la dernière que j‘ai faite, qui est sans doute plus importante parce qu‘elle concerne non pas quelques malades, mais tout le monde.

Elle date de juin 2012 et  n’a aucun rapport avec la médecine, à moins de considérer la crise économique que nous traversons comme une maladie, et mon invention comme un remède à la crise et à la pollution atmosphérique.

Du fait que celle-ci  ne met personne en cause, elle ne devrait en principe pas, comme la précédente, faire l’objet d’oppositions, mais au contraire bénéficier de soutiens. Elle est d’une tout autre portée puisque, si elle était appliquée, elle serait susceptible bon pas de sauver quelques malades, de relancer l'économie industrielle de la France ainsi que celles de nombreux pays tout en préservant l‘environnement atmosphérique de la planète.

Le problème avec cette découverte  vient de ce que pour la promouvoir efficacement, il faudrait que je fasse concrètement  la démonstration de son efficacité,  autrement que sur le papier et le calcul théorique. Elle demande donc  à être mise à l’épreuve dans une modélisation avant d’être développée à plus large échelle. Or je n’en ai pas tout seul les moyens. D'où ma demande. 

                                                                                                                                                              -/-

Pour en revenir à la découverte qu’un traitement des LEMP était possible, le fait qu’elle s’était  faite empiriquement sur un raisonnement analogique, mais sans doute aussi sur une erreur de diagnostic,  l‘a rendue problématique et sujette à contestation : les symptômes que  mon père avait présenté avaient en effet fortement évoqué aux urgentistes qui l’avaient reçu à Bicêtre comme à moi-même un syndrome neuro-anémique, une entité  beaucoup plus fréquente que l’atteintes diffuses du système nerveux des LEMP, si bien qu’il ne s’agissait sans doute aussi et surtout de cela, ou même encore que de cela, auquel cas la découverte en question serait né d’une erreur intentionnelle de diagnostic, si ce n’est d’un malentendu. D’où la persévérance des neurologues dans le déni de réalité et l’impossibilité qui me fut faite de pouvoir consulter  le dossier de mon père  cependant qu’il était communiqué aux médecins qui l’avaient précédemment abusé et contre qui il avait porté plainte, en l’occurrence les médecins de la Clinique Elmelik. Ceux-ci l’avaient en effet inopinément opéré précédemment à son admission en neurologie dans des conditions tellement illicites et invraisemblables, pour ne pas dire acadabrantestesques,  qu’ils faudrait plusieurs pages pour les exposer. 

Quoi qu’il en soit, le fait d’avoir sauver la vie de mon père en lui administrant moi-même le traitement que ses médecins n’avaient fait que semblant de lui administrer m'est revenue très cher du fait que non seulement sa résurrection  contrariait les intérêts des médecins de ladite Clinique, mais aussi parce qu’elle s'était faite contre l'avis de neurologues en principe plus compétents que moi, et pour qui, qui plus est, la Clinique des docteurs Elmelik était fort utile parce qu‘elle acceptait de les décharger des malades encombrants, ce pourquoi ils s’étaient rabattus pour se débarrasser de leur malade sur l’USN de l’hôpital Charles-Foix en recommandant au Chef de ce Service de ne faire comme eux-mêmes que semblant d’administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer diagnostiquée aux Urgences de l’hôpital Bicêtre.

 

Ci-après le fac-similé du C.-R. d'hospitalisation établi au nom de l’ Interne mais non signé, qui m‘a été remis au début de l‘année suivante quand j'ai voulu consulter le dossier du patient (dossier tout de suite curieusement déclaré égaré). Je le rapporte tel quel. Ce C.-R. est daté du 20 août 1991 (rectifié au stylo-bille 1990). Il n'y est en conclusion aucunement question d'un traitement cobalaminique ! ?


A la Fédération Française de Neurologie, le Dr. Michel Serdaru s'était demandé si le malade avait eu affaire à de vrais médecins !

Avait précédé au CR une lettre manuscrite de cet Interne, lettre datée du 22 août 1990. Y est stipulé de n’administrer au malade que 1/2 mg de vitamine B 12 par semaine, une dose tout à fait insuffisante pour venir à bout des troubles neurologiques déterminés par cette maladie, le traitement consistant normalement à administrer 1mg par jour pendant au moins un mois. Cette lettre ne m’a été remise par son destinataire qu’en 1995, après que la Direction de l’Hôpital Charles-Foix lui a intimé l'ordre de m’ouvrir son dossier.

CR daté 20 septembre 1990 (qui aurait dû l' être du  20 août). 

 


MOTIF DE L’HOSPITALISATION
Troubles de la marche

ANTECEDENTS

  


HTA essentielle, ancienneté inconnue.
Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90
Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose

HISTOIRE DE LA MALADIE


Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,
Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de
se déplacer avec un déambulateur;

EXAMEN CLINIQUE


Etat général conservé. Apyrexie. Tension fluctuante à l’entrée entre 18/12 et 20/12
La station debout et la marche sont très difficiles petits pas.
Membres inférieurs en hyper-extension. Polygone de sustentation légèrement élargi. Tendance au piétinement et à la rétropulsion.

L’occlusion aggrave l’équilibre (sic)
Au plan neurologique on objective un déficit moteur discret prédominant sur les raccourcisseurs aux membres inférieurs et coté à 4 +.

Aux membres supérieurs les petits muscles des mains interosseux et lombricaux sont discrètement déficitaires à 4. Le tonus est spastique. Les réflexes pyramidaux aux quatre membres, jusqu’en C 4 : Babinski bilatéral.

Au plan de la sensibilité, pas d'astéréognosie. Les troubles prédominent aux membres inférieurs sur la sensibilité proprioceptive. La sensibilité extéroceptive semble normale, bien que fluctuante d'un examen à l'autre et avec une hypo-esthésie au chaud et au froid et à la douleur en chaussette. Il existe une discrète incoordination motrice bien nette aux membres supérieurs avec hypermétrie. L'examen des paires crâniennes est normal en dehors des réflexes du voile abolis. Enfin, il existe depuis deux à trois mois une incontinence sphinctérienne avec mictions impérieuses.

EXAMEN CARDIO-VASCULAIRE  Pouls régulier, pas de souffle cardio-vasculaire. Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées.Le mini mental est évalué à 25/30.

.../...

DISCUSSION

Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES

Biologie usuelle normale. Hémogramme, hémostase, vitesse de sédimentation, ionogramme, glycémie, fonctions hépatorénales, fonctions phosphocalciques, électrophorèse des protéines sériques, vitamine B12, pholates sériques, test de SCHILING normaux.(sic) Sérologie syphilitique négative.
Infection urinaire à acinectobacter traitée et stérilisée par NOROXINE
Radiographie rachis cervical et charnière cervico-occipitale : impression basilaire, arthrose cervicale modérée. Scanner cérébral : atrophie cortico-sous-corticale. Aspect de leuco-araïose mais le scanner est de mauvaise qualité, l’analyse de la substance blanche est difficile. Une IRM du rachis cervical avait été proposée pour étayer le diagnostic d'une myélopathie cervicale mais non réalisée devant une peur panique du patient deux jours avant l'examen

 


CONCLUSION

TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ETRE BENEFIQUE
PAS D’INDICATION OPERATOIRE
SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX
---

Commentaire.
Le patient avait été hospitalisé parce q u'il avait été pris d'une telle panique que ses voisins avaient dû faire appel à Police Secours, ce qui est nullement rapporté dans ce CR. 

  


La cause réelle de son hospitalisation n'est pas plus mentionnée : le malade avait été admis en neurologie sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté aux urgences de l'hôpital et aucune prescription de vitamine B12 ne figure en conclusion de ce CR.

 

Complément sur le site n° 69970222 html

 

BIBLIOGRAPHIE

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med.  299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78  "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson  "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 -  1988  J. Lindebaum &  al. N. Engl. J. of Med.  "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression". 

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"

15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

18 ° - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus). +++++

19 - Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

 

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