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19 novembre 2014 3 19 /11 /novembre /2014 14:45

Je suis déconcerté par les écrits de Jean-Louis Racca, non que je ne sois pas d'accord avec lui sur les conséquences hautement iatrogènes des "concepts" freudiens.  Je suis bien placé pour savoir qu'ils sont à l'origine de millions de morts par suicide de par le monde, à commencer chez les psychanalystes dupes de ses embrouilles, et chez leurs enfants (Cf. une des filles de Mélanie Klein), mais Jean-Louis Racca se trompe quand il assimile Marie-Christine Gryson-Dejenhart aux psychanalystes : non seulement elle n'est pas psychanalyste, mais elle est aussi critique que lui à leur endroit. JLR n'a apparemment pas lu "Outreau, la vérité abusée" (Hugo & Cie octobre 2009).

 

Ce qu'il ignore, ou plutôt ce qu'il passe sous silence, c'est que les "théorisations" négationnistes de Freud aient été et sont restés providentielles pour la pédophilocratie, et qu'elles aient fait autant d'adeptes.

 

Jacques Lacan avait évidemement compris ce qu'il ne voulait pas dire clairement parce qu'il ne fallait pas le faire savoir pour faire carrière, que Freud était né, comme lui même, dans une famille "yau de poêle". Cf.  Elisabeth Roudinesco  "Généalogies" (Fayard 1994), et   Gabrielle Rubin "Le roman familial de Freud" (Payot 2002), en passant par Marianne Krüll "Freud fils de Jacob" (Gallimard 1984)  et Marie Balmary ("L'homme aux statues - la faute cachée du père" (Grasset 1979 - 1997).

 

Freud serait donc le fils de son grand-père maternelle, ce qui n'a rien d'invraisemblale compte tenu de la fréquence de l'inceste dans les familles, y compris les plus bourgeoises.


D'où la  grande pertinenc  de ses théorisations par rapport à lui-même et par rapport à un de ses ex-patients secret, que ses parents n'avaient pas pour rien prénommé Adolfus, sa problématique (son équation personnelle) le situant elle aussi en "racine carrée de moins un", ainsi que le professait l'éminent Jacques Lacan , dans des discours qui ne seraient pas  "que du semblant" (Cf. "la lettre volée").

 

Sigismund Freud avait donné des conseils "avisés" au jeune Adolfus H, après qu'il s'est trouvé désemparé par la mort de sa mère.

 

Contrairement à la légende, le jeune Adolfus n'était pas sans le sou après la mort de sa mère. Elle lui avait laissé de quoi vivre en dandy et il  avait de quoi aller consulter Freud, dont il avait évidemment entendu parler et dont il espérait beaucoup.

 

En l'entendant, Freud, qui aimait pouvoir compter sur la fortune de ses patients pour vivre dans la prospérité, lui prodiga des conseils qui se sont non seulement révélés extrêmement dangereux, mais au bout du compte parfaitement inopérants.

 

Son patient a été non seulement à l'origine de certains aspects de ses spéculations théoriques (notamment  celle du "roman familial du névrosé" parue en 1909, après que son patient lui a raconté ce que lui avaient dit son père et/ou sa mère), mais aussi pourquoi  il avait fait preuve de bravoure et risqué sa vie en s'engageant dans l'armée allemande en 1914. Il lui avait fallu se montrer "digne" de se faire reconnaître par la "famille prestigieuse" dont il se disait et se croyait  issu. D'où son prénom, initialement Adolfus, comme celui de Freud, par la suite amputé de deux lettres (une amputation à l'origine du cancer de la bouche qu'a développé Freud, selon l'interprétation délirante du psychanlyste "lacanien" Bernard This


  C'est probablement ce qui fait que Claude Lanzman ne tient pas du tout à ce que cela puisse se dire. Contrairement à George Steiner, Claude Lanzman voudrait interdire toute essai compréhension psychologique des motivations d'A.H., sur ce qui a pu motiver le renversement de ses sentiments vis à vis de sa famille d'originaire,  "en racine carré de moins un" (lire aussi le "Hitler" de François Delpla, Grasset, décembre 1999).  (Lire aussi Joachim Fest et Ron Rosenbaum).

S.F. avait à l'encontre des "malades mentaux" la même philosophie qu'A..H.;

Il confessait  en privé que les malades l'importunaient, qu'ils n'étaient que de la racaille et du "matériel" ne servant qu'à ses recherches comme à le faire vivre. Que le mieux serait d'en faire des cargaisons pour les couler. Ainsi S.F. et A.H. étaient non seulement proches spirituellement, via leur commune lecture de Schopenhauer et de Gustave Le Bon, mais aussi géographiquement, via  leur commune villégiature à Berchtesgaden.     

Je suis déconcerté par les écrits de Jean-Louis Racca, non que je ne sois pas d'accord avec lui sur les conséquences hautement iatrogènes des "concepts" freudiens  (ils sont à l'origine des millions de morts par suicide de par le monde - je suis bien placé pour le savoir), mais JLR se trompe quand il assimile Marie-Christine Gryson-Dejenhart aux psychanalystes : non seulement elle n'est pas psychanalyste et s'en défend, mais elle est aussi critique que lui au sujet de Freud et de ses zélotes. Jean-Louis Racca n'a apparemment pas lu "Outreau, la vérité abusée" (Hugo & Cie octobre 2009). Ce qu'il ignore, ou plutôt ce qu'il passe sous silence, c'est que les "théorisations" de Freud ont été et restent providentielles pour la pédophilocratie. Et c'est peut-être bien la raison de leur succès rémanent. 

Jacques Lacan avait compris que la famille Freud était, comme la sienne, une famille "yau de poêle" (Cf.  Elisabeth Roudinesco en 1994 et Gabrielle Rubin en 2002) 

Freud serait ainsi le fils de son grand-père maternelle, d'où la "pertinence"  de ses théorisations par rapport à lui-même et par rapport à son ex-patient secret (A.H.), sa problématique se situant elleaussi en "racine carrée de moins un", comme le professait Jacques Lacan (Cf. ses séminaires, notamment son commentaire sur  "la lettre volée"). Sigismund F. avait donné des conseils à Adolfus H., des conseils qui se sont révélés aussi dangereux qu'inopérants, mais qui  rendent compte non seulement de certains aspects de ses spéculations théoriques (l'invention du  "roman familial du névrosé" paru seulement en 1909, c'est-à-dire après qu'il a eu A.H. comme patient et compte tenu de ce que A.H. lui avait raconté, qui l'avait plus tard - après que son ex-patient est devenu le führer autrichien des l'Allemands - conduit à écrire son "Moïse  et le monothéisme" (Moïse égyptien conduisant des Hébreux) , mais aussi  pourquoi  Adolfus H. avait fait preuve de bravoure et risqué sa vie en s'engageant dans l'armée allemande en 1914  pour se montrer "digne" de se faire reconnaître par sa "prestigieuse famille originaire". Il s'en été dit  et s'en croyait, à bon droit semble-t-il,  issu  (d'où son prénom, initialement Adolfus, comme celui de Freud, amputé de deux lettres trop signifiantes  - lire Joachim Fest et Ron Rosenbaum). 

C'est probablement ce qui a fait que Claude Lanzman ne tient  pas du tout à ce que cela puisse apparaître.. Contrairement à George Steiner, Claude Lanzman voudrait interdire toute essai compréhension psychologique, sur ce qui a motivé le renversement de ses sentiments vis à vis de sa famille originaire,  "en racine carré de moins un" (lire aussi le "Hitler" de François Delpla, Grasset, décembre 1999, préfacé par Alexandre Adler).  

Freud avait à l'encontre des "malades mentaux" la même philosophie qu'A..H.,Il confessait  en privé que les malades l'insupportaient, qu'ils n'étaient que de la "racaille" et du "matériel" servant à ses recherches et à lui procurer de l'argent. Que le mieux serait d'en faire des cargaisons pour  les couler.

Ainsi S.F. et A.H. étaient non seulement proches spirituellement, via leur commune lecture de Schopenhauer et de Gustave Le Bon, mais aussi géographiquement, via  leur commune villégiature à Berchtesgaden.  

Ce qui est arrivé à Michel Onfrey - se faire accuser d'antisémitisme pour avoir osé contester les théorisations fraudiennes m'est à moi aussi arrivé en 2004. Non seulement j'avais en août 1990 osé contester le diagnostic d'encéphalopathie vasculaire et de DTA (Démence Type Alzheimer) formulées par l'équipe de neurologie de l'hôpital Bicêtre - alors dirigée par le profeseur Gérard Saïd - mais aussi et sans doute surtout pour avoir démontré la pertinence de ma contestation en appliquant à mon père hospitalisé le traitement des carences vitaminiques B12 sévères telles qu'elles existent chez les malades souffrant de la maladie de Biermer malgré la normalité des données chiffrées du test de schilling et la normalité de la vitaminémie B12. Devant l'évidence clinique qu'ils'agissait bien d'un syndrome de carence vitaminique B12 sévère avec test de Schilling normal et vitaminémie B12 normal, j'avais in extremis passé outre l'avis et le refus obstiné de ses médecins de lui administrer le traitement vitaminique B12 normalement dévolu au traitement de la maladie de Biermer (voir le site-web n° 108281777html). Ce traitement s'était montré extraordinairement pertinent, au delà de toute espérance. La rétablissement  du malade  alors qu'il avait été donné pour perdu suscita la panique au sein du Service et de l'appareil administratif de l'hôpital Bicêtre, une panique qui gagna bizarrement quelques années plus tard (en 1995) l' administration centrale de l'AP- HP, qui s'empressa de mettre sur pied un "Espace Ethique de l'AP - HP" en guise de rideau de fumées. Les faits  avaient fait apparaître que parallèlement à la maladie de Biermer, il existait de très nombreux  cas  - plus nombreux  que les cas de carence B12 dus à la maladie de Biermer - d'un syndrome apparenté.  Depuis 2003, il s' appelé "syndrome NDB12PP" (voir sur le Net sa définition). En 2004, alors que j'avais demandé, en passant par la CADA, à pouvoir enfin consulter le dossier jusqu'alors déclaré soi-disant "égaré" du malade, j'ai été violemment accusé par une sous-directrice de l'hôpital Bicêtre - en fait la porte parole du Profeseur Saïd - d'avoir moi-même sciemment provoqué la maladie de mon père par "antisémitisme" (sic). A ce sujet, on peut consulter le compte-rendu de la réquisition de  "non-lieu" réclamé en  le 3 juin 1998 par le procureur Michel Barrau, qui s'est réclamé des conclusions bidonnées de l'expertise rédigée par le Dr. Chedru pour le prononcer de manière tout à fait partiale et méprisante à mon endroit (alors que le Dr. Chedru m'avait avoué le 4 juillet 1996 qu'il avait produit une expertise "bidon", ce qui était évident à sa lecture, même pour un non médecin, ainsi que me l'avait fait savoir en le lisant en 1997 Me Boyer au Cabinet de Me Bernfelfd)      

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