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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 11:49

On peut légitimement se demander comment il se fait que la découverte  du syndrome de Non Dissociation de la Vitamine  B12 de ses Protéines Porteuses, un syndrome si répandu qu'il est maintenant connu sous l'appellation NDB12PP,  ne s'est pas faite plus tôt ?

 

Sa découverte est intervenue après qu'une "petite erreur d'appréciation" (sic) a été faite en 1990 au sujet d'un malade victime de troubles neurologiques et psychiatriques sévères, troubles qui se sont grandement amendés après qu'il a reçu le traitement de la maladie de Biermer, alors même qu'il avait plongé dans le coma.    

 

Il faut se reporter à ce que l'auteur de ces lignes a rapporté factuellement sur  le site 73331815 html, où il expose comment il avait dû intervenir pour sortir son père du coma où l'avait plongé le "mauvais étiquetage" de sa maladie. 

 

Elle fit premièrement l'objet d'une double opération orthopédique, qui ne fit qu'aggraver son état.  Son hospitalisation en neurologie ne déboucha que sur un traitement  antidépresseur (la fluoxétine). Les neurologues qui l'avaient en charge au CHU de Bicêtre appelèrent sa mystérieuse maladie  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic) , et même après que  cette "atteinte diffuse"  a  très favorablement réagi au traitement de la maladie de Biermer, ces mêmes neurologues continuèrent à l'attribuer à "une encéphalopathie vasculaire" (sic)           

 

Page 156 du livre que  l'ex Ministre de la Recherche  Valérie Pécresse paru en septembre dernier, chez Albin Michel l'auteure écrit qu'il faut en finir avec la politique de précaution et préférer celle de la responsabilité.

Que je sache - c'est emblématique - loin d'avoir été récompensée pour avoir pris la responsabilité de faire  cesser en les dénonçant en 1996 - 1997  les nombreux assassinats commis par l'infirmière Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie, la pneumologue Laurence Kouyoumdjian a été virée comme une malpropre alors que son Confrère le neurologue Olivier Ille, pourtant Chef des Services ou opérait cette infirmière, a pu très tranquillement conserver son poste cependeant que lui s'était bien curieusement gardé de les dénoncer.

Tout s'est alors passé comme si l'administration de ce CHU comme celle de l'AP - HP, si ce n'est la Direction de la Santé elle-même et son Ministère de tutelle, reprochaient au Dr. Laurence  Kouyoumdjian d'avoir, par son signalement, mis fin à ces assassinats, qui semblent loin d'avoir été commis à partir de sa seule initiative. En effet, mon père avait lui aussi failli décéder de prescriptions mortellement erronées alors qu'il était un des malades d'Olivier Ille quand celui-ci exerçait à Bicêtre en tant qu' Interne dans le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd la lettre manuscrite qu'il avait adressé le 22 août 1990 au Dr. Jean-Yves Beinis, dans laquelle il recommandait à celui-ci de n'administrer qu'un simulacre de traitement vitamine B12 alors qu'il était évident que le malade relevait du traitement de la maladie de Biermer, et non d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic)   soi-diant compliquée  d'une maladie d'Alzheimer, ainsi que je l'avais longuement expliqué au Dr. Pascal Masnou, son supérieur hiérarchique, qui fit semblant de m'écouter (Cf. les derniers articles du "blog de leon - pierre cretien" sur les site n° 108281777 html)

Pour avoir pris la responsabilté d'alerter la communauté médicale à signaler la toxicité cardiaque du Médiator*, la pneumologue Irène Frachon a été aux prises avec les pires difficultés.  Son livre "Le Médiator*, combien de morts ?" a failli passer inaperçu. La Revue Prescrire, parce qu'elle est indépendante de l'industrie pharmaceutique, lui a permis de sortir de l'oubli. Il contrariiait les intérêts immédiats des Laboratoires Servier et de son président-directeur.

 

Lorsque j'ai en août 1990  lors des discussions signalé au Dr. Pascal Masnou que le Test de Schilling ne pouvait pas avoir été aussi négatif qu'il le prétendait  (il le disait à 35 %) parce qu'il s'était montré l'espace de quelques jours thérapeutique vis à vis de son malade, et qu'il fallait par conséquent le traiter selon le diagnostic de présomption qui avait motivé son admission dans son Service, c'est-à-dire comme s'il s'agissait d'une maladie de Biermer, non seulement il fit semblant de m'écouter et de le faire administrer, mais après avoir fait transferer son malade à l'hôpital Charles-Foix dans le Service du Dr. Jean-Yves Beinis, il fit recommander à celui-ci via son Interne Olivier Ille  de ne faire administrer qu'un semblant de traitement anti-biermerien. les raisons présumées  de ce simulacre et ses conséquences sont  exposées sur le site 73331815 html et les précédents articles de ce blog. 

 

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commentaires

E
J'apprécie votre blog , je me permet donc de poser un lien vers le mien .. n'hésitez pas à le visiter. <br /> Cordialement
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