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3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 15:46

Le problème du réchauffement climatique est un faux problème.

 

Le vrai problème réside en ce que l'on à peine à croire qu'il est tout aussi possible de parer simplement et économiquement au réchauffement  qu'il avait été possible en 1990 sur le plan médical d'empêcher un malade atteint du syndrome NDB12PP d'évoluer vers une mort pronostiquée rapidement inéluctable (sic).

 

Le problème était alors que les neurologues qui avaient en charge le malade atteint de ce syndrome ne savaient pas - ou ne voulait pas comprendre  - qu'un tel  syndrome pouvait exister, et encore moins savoir ou comprendre qu'il pouvait être compatible avec un test de Schilling négatif et une cobalaminémie normale, c'est-à-dire un syndrome para-biermerien remédiable avec le traitement normalement dévolu à la maladie de Biermer.

 

Certes, la solution au réchauffement climatique ne relève pas du traitement de la maladie de Biermer applicable au traitement du syndrome NDB12PP, mais relève de même de l'obtusion intellectuelle qui avait empêcher les médecins de tous les pays du monde de comprendre que certains syndromes neurologiques pris pour des encéphalopathies dégénératives irréversibles comme la maladie d'Alzheimer ou les encéphalopathies vasculaires relevaient en fait d'un traitement aussi simple que celui de la maladie de Biermer.   

 

Le syndrome NDB12PP ne fut reconnu et individualisé qu'après-coup, après que lesdits neurologues ont dû de très mauvaise grâce - c'est le moins que l'on puisse dire - se rendre à l'évidence.

 

Ils ont fini par admettre que j'avais eu raison d'être intervenu contre leur avis pour sauver la vie de leur malade en lui administrant moi-même le traitement de la maladie de Biermer, le traitement que je leur avais durant cinq très longues semaines en vain instamment demandé d'administrer.

 

Ils avaient durant tout ce temps fait semblant de lui faire adminstrer par les infirmières, jusqu'à ce que l'une d'entre elles se décide à me dévoile que ce qu'elle administait n'était qu'un simulacre. Les neurologues avaient ordonné une simulation, soit parce qu'ils avaient pensé qu'il ne fallait pas contrarier un fou, soit parce qu'ils avaient voulu faire semblant de s'être trompé en récusant le diagnostic de carence vitaminique B12 afin que leur malade ne puisse sortir vivant de la mésaventure qu'il avait précédemment subi en se rendant à la  Clinique obstétricale de l'Haÿ-les-Roses, la Clinique Elmelik, où une opération orthopédique lui avait été subrepticement et illicitement infligée  par leurs confrères, soit parce qu'uhe transfusion de sang lui avait été administrée six ans plus tôt à l'hôpital Saint-Louis alors que les transfusions véhiculaient le VIH. Ils auraient ainsi voulu mettre l'AP - HP et le CNTS à l'abri d'un procès  pour "empoisonnement" ?

 

Quoiqu'il en soit, c'est le fait-même d'avoir mis le traitement en route qui fit découvrir l'existence de ce syndrome, qui reçut jusqu'en 2003 le nom de "syndrome de carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal", conformément à l'appellation que j'avais initialement proposée. J'avais en 1990 devant l'évidence professé devant les neurologues de l'hôpital Bicêtre qu'un tel syndrome devait exister. Ils n'avaient pas voulu me croire et avaient été jusqu'à me dire que c'était plutôt moi n'était pas normal.

 

Les neurologues et l'AP - HP ont été pris de panique après que leur malade a ressuscité et récupéré ses facultés intellectuelles sous l'effet du traitement que j'avais dû moi-même mettre en route ... (suite et explication de cette incroyable et aventureuse découverte  sur le Web, site  n° 108281777 html, où mieux encore sur le site n° 73331815 html).


Il risque d'en être de même du STSMC, c'est-à-dire de ne pas être pris au sérieux, du procédé technique susceptible de récupérer aussi largement que simplement l'inépuisable et gigantesque potentiel  énergétique des marées, procédé que je  préconise pour parer au réchauffement climatique. A  la différence près qu'il n'entre pas dans mes moyens financiers de faire la démonstration in situ de sa validité alors qu'ils il est fonctionnel sur maquette.

 

Or il n'y ait aucune raison que le procédé ne soit pas transposable en vraie grandeur in situ

 

Il s'agit d'un procédé (ou Système) qui récupère l'énergies des marées quelles que soient les conditions atmosphériques et sans qu'il ne soit nécessaire de faire appel à la construction de barrages ni nécessaire l'existence d'une baie, puisqu'il opére par transfert. D'où sa dénommination : STSMC pour Système Transfert Séquentiel à Mémoire de Charge, élaboré à partir d'un système plus simple, sans Mémoire de Charge, mais en son principe tout aussi performant, le STSMI.  

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