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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 17:18

L Ordre des médecins, l’Assistance publique, les caisses de l’Assurance Maladie et la Justice s'étaient dans les années 1990  mis d'accord pour maintenir en fonctionnement la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, malgré (ou à cause ? ) de ce qui s'y passait.  

Commis expert judiciaire dans une affaire d'escroquerie médicale commise en bande organisée, le professeur André Lienhart, sous la direction et la supervision de son redouté Confrère René-Claude Touzart, a fait écrire mensongèrement à son co-expert le docteur François Chedru ,dans ses conclusions, que l’opération qui y avait été subrepticement effectuée sur mon père  était légitime et avait été  menée "selon les règles de l'art" alors qu’il n’en était absolument rien.

 Non seulement elle ne l'avait pas été, mais l'opération avait failli coûté la vie à l'opéré malgré lui. J'avais été jusqu'à jugé utile et prudent d'avertir les opérateurs que non seulement l'opération projetée était inutile, mais que leur patient n'était pas opérable pour des raisons évidentes. 

 En fait, les quatorze  articles de la charte qui rappelle le droit des patients avaient tous été violés (la Charte n'avait cependant pas encore été promulguée)

Voir en note les qualités  du Pr. André Lienhart,  qui a avalisé la rédaction l'expertise savamment mensongère qu'il a, avec le Pr. René-Touzart, fait rédiger au  Dr. François Chedru après qu'il l'a tenu éloigné de notre témoignage direct afin que  que les opérateurs "n'aillent pas en prison" (ainsi qu'il s'était exprimé en télephonant à ma soeur fin décembre 1995, la sachant -comment pouvait-il le savoir ? - par peur d'y voir fondre ce qu'elle appelait "son héritage" - farouchement opposée à ce que mon père maintienne sa plainte contre de trop puissants adversaires. 

De fait, la  Clinique de l'Haÿ-les-Roses était, selon le Commandant Christian Raeckelboom - en 1990 Inspecteur principal  au Commissariat l’Haÿ-les-Roses -  "protégée en hauts lieux", c’est-à-dire non seulement par l’Ordre des médecins, mais aussi par le parquet, par la Mairie de l’Haÿ-les-Roses,  par l’Assistance Publique, par le CNTS,  alors que cette Clinique était depuis des lustres devenue une catastrophe sanitaire, ruineuse pour les patients qui imprudemment y mettaient les pieds. (Marc Méchain, ami intime des Elmelik, avait en tant que premier Adjoint au Maire pris la succession de Pierre Tabanou, brusquement décédé en 1989. Comme par hasard le bulletin municipal l'Haÿ notre ville a disparu des archives entre 1989 et 1993  et la mairie a brûlée avec ses archives).  Après quoi une nouvelle plaque commémorative à la gloire du fondateur de la Clinique Elmelik fut érigée, qui stipulait qu'il était décédé en 1959, et non plus comme le stipulait la précédente des suites de sa déportation en tant que résistant en 1944 ! 

Mon père, Haÿssien depuis 1964, à partir du moment où il est entré dans cette Clinique, au lieu de se contenter de lui faire subir ce qui avait été stipulé sur le bon d’hospitalisation (y était stipulé un acte en K 20, la cure d'un cor au quatrième orteil du pied gauche), la fine équipe des pieds nickelés, apprenant que je me trouvais ce jour-là à 500 km, s'était empressée de transgresser mon interdiction pour subrepticement lui infliger  un KC  60 + 60/2 + 50 + 75% + ( 30 + 30/2 + 75 % ) + les nombreux frais occasionnés par les inévitables complications de leurs ineptIes, ce alors que l'état mental et neurophysiologique de leur patient en imposait cliniquement, quoiqu'à tort, pour le diagnostic de maladie d’Alzheimer compliquant une encéphalopathie vasculaire (sic, cf. les CRs relatifs à son hospitalisation en août 1990 et février  1991 (publiés site-Web n°  125391509 ndlr) du fait qu’il souffrait soit d’une rarissime et improbable  leuco-encéphalopathie multifocale progressive (une LEMP) mais beaucoup plus sûrement d'un sévère syndrome NDB12PP.

Celui-ci  était la cause de ses « troubles de la marche », c’est-à-dire que ses troubles relevaient d'une sévère carence vitaminique B12.  Cette carence  était la véritable responsable du tableau clinique de sclérose combinée de la moelle, un tableau qui imposait le diagnostic de maladie de Biermer, c’est-à-dire le diagnostic d’une  sévère carence vitaminique B12, et non une inutile opération orthopédique bilatétrale effectuée par un rhumatologue qui se prétendait être chirurgien.

Après leur stupide opération, la « fine équipe »  renvoya le patient  chez lui,  sans assistance aucune,  alors qu'il avait à s'occuper d'une épouse  invalide, aveugle et atteinte d'une authentique maladie Alzheimer  (pour une analyse plus détaillée de cette histoire voir sur les sites 73331815, 108281777 html.

La création en 1995 de l’Espace Ethique de l’AP –HP   « rideau de fumée »  recouvre   la violation des 14 articles d’une  Charte appelée "Droit des Patients" 

 Cette charte est obligatoirement affichée dans les établissements hospitaliers. Elle n’oblige en fait à rien puisque qu’un collège de médecins de l’AP  s’était réuni à l’hôpital Saint–Louis se rassurait sachant    «tenir sous contrôle la médecine, la justice et la presse».

De fait, voir ci-après  en P.S. les « qualités » du Professeur André Lienhart.  

Le Docteur Laurence Kouyoumdjian  a p.ex. été  priée de quitter son  poste au CHU de Mantes la Jolie après qu’elle a dénoncé et fait cesser ce qui se passait dans le Service du Docteur Olivier Ille. Les médias ne s'en sont pas préoccupé alors qu'elle aurait dû être citée à la légion d’honneur (à propos des lanceurs d’alerte, Florence Hartmann a oublié de  mentionner son cas dans les nombreux exemples qu’elle rapporte dans son livre (paru en 2013 aux éditions don Quichotte)    

Pour noyer le poisson, l’Ordre des médecins s'est entendu avec les neurologues de Bicêtre  pour inviter le Dr.  Bruno Halioua à publier «Blouses blanches, étoiles jaunes»,  l'Ordre des médecins ayant toujours couvert les ineffables agissements de la "fine équipe des pieds nickelés" comme ceux du Dr. André Hazout.

 

J'avais écrit à François Hollande pour lui montrer combien le PS avait failli à ses promesses et à ses devoirs  en 1981 en laissant en place l'Ordre des médecins.  Le Secrétaire du PS m'avait alors répondu qu'il n'entrait malheureusement pas dans ses fonctions d'y changer quoi que ce soit.

Pour savoir  ce qu'il en coûte aux patients et à l'Assurance Maladie des mystifications médicales et judiciaires, on pourra contacter l'ancien ministre de l’Intérieur Pierre Joxe au sujet de la mystification d'Outreau (Pierre JOXE a participé au colloque du 24 février 2011 consacré à la mystification d'Outreau, un colloque organisé par le docteur  Gérard Lopez).

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Note relative aux  qualités de l’un des trois responsables du  non-lieu judiciaire prononcé  le 3 juin 1998 par le parquet de Créteil sous la houlette de Michel Barrau 

Le Pr. André Lienhart avait devant moi et son Confrère le professeur  René-Touzart  qualifié  l’opérateur de « chirurgien de banlieue » (sic), mais celui-ci est miraculeusement devenu dans l' expertise « le spécialiste le plus compétent qui soit »  (voir sur ce blog à « un non-lieu abusif » 

Le professeur André Lienhart préside la Commission nationale d’hémovigilance, est vice-président de la Commission nationale des accidents médicaux, membre de cette commission depuis 2003, en charge de la partie du rapport annuel concernant l’activité des CRCI. Il est Membre du Sfar (Société française d’anesthésie et de réanimation depuis 1983, réélu en 2008), responsable de l’enquête sur la mortalité anesthésique, membre du groupe de réflexion éthique depuis sa création. Conseiller ordinal de la Ville de Paris (2003, réélu en 2008), membre correspondant de l’Académie nationale de médecine (2004), commission Éthique et Droit, membre du Conseil scientifique de l’organisme agréé en matière d’évaluation des pratiques professionnelles en technologie et médecine transfusionnelles (depuis 2007), membre du groupes de travail de la Haute autorité de santé (HAS) « information du patient » (2009). Ancien membre de groupes de travail de l’Anaes (information du patient, électroconvulsivothérapie, bonnes pratiques transfusionnelles, dépistage de l’hépatite C; président du groupe de travail «examens complémentaires préopératoires»); ancien responsable du groupe de travail du Haut comité de la santé publique, chargé de la sécurité en anesthésie, rédacteur du rapport (1993), ancien membre de  groupes de travail du Ministère chargé de la santé. Ancien membre de groupes de travail de l’Afssaps, président du groupe chargé des recommandations en matière d’indications des transfusions de globules rouges (2002). Ancien président du groupe de travail HAS-Cfar-Sfar : évaluation des pratiques professionnelles en matière de transfusion sanguine (2004-2005). Ancien président du groupe « Produits sanguins labiles » de l’Afssaps (2005-2007). Ancien président du Conseil scientifique de l’Etablissement français du sang et de l’Institut national de transfusion sanguine (2005-2008). Auteur de plus d’une centaine d’articles publiés dans des revues internationales ou de langue française avec comité de lecture, d’une centaine de chapitres de livres, d’une cinquantaine d’articles pédagogiques, de plusieurs livres, sur des sujets concernant notamment la pharmacologie des médicaments de l’anesthésie-réanimation, les conditions de la sécurité en anesthésie, les pratiques et les recommandations en matière de transfusion sanguine, les implications juridiques de l’activité médicale, l’information du patient, l’accompagnement des patients en fin de vie en réanimation.

 

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