Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
29 mars 2014 6 29 /03 /mars /2014 13:17

La Fondation de France sollicite des fonds pour la Recherche Médicale  

Mon père avait failli perdre la vie en 1990 de la méconnaissance de ce que ni le test de Schilling négatif, ni même une cobalaminémie déclarée  "normale"  ne devaient faire a priori rejeter le diagnostic syndrome de carence vitaminique B12.  Cf.www.inserm.neurologie.vitamines.gérard.saïd/

Comprenant l'importance de cette constatation (voir article n° 108281777 html), j'en avais avisé  le professeur François Piette alors qu'il venait de prendre la direction du CEGAP, madame le Dr.Jacqueline Zittoun, par lettre adressée à l'hôpital Henri Mondor, le Pr. Yves Najean, Chef du Service de médecine nucléaire à l'hôpital Saint-Louis  

Le Dr. Michel Serdaru, neurologue à  Fédération Française de Neurologie, avait sans que je ne le sache encore, dans un livre sur la "maladie d'Alzheimer et autres démences" publié en 1991 chez Flammarion attiré l'attention des cliniciens sur le fait que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale n'étaient suffisants pour éliminer de diagnostic de syndrome neuro-anémique, c'est-à-dire un syndrome démentiel en rapport avec une carence vitaminique B12.

J'avais compris qu'il importait de le savoir, mais ne me doutais pas encore que j'aillais plus que je ne pouvais l'imaginer particicper à la redécouverte de ce qui désormais s'appele le syndrome NDB12PP.  

Les circonstances qui m'avaient conduit à insister sur ce point avaient  été dramatiques et éprouvantes,  tant  pour le malade que moi et pour les neurologues qui avaient injustement et assez méchamment rejeté mon avis diagnostic et thérapeutique.

 

La reconnaissance du fait a depuis empêché un certain nombre d'erreurs de diagnostics, probablement élevé, concernant celui de maladie d'Alzheimer, maladie incurable, au profit du diagnostic de syndrome NDB12PP, remédiable par une vitaminothérapie B12, à l'instar du traitement de la maladie de Biermer.

 

Ce qui ne s'appelait pas encore le syndrome NDB12PP avait été dénommé par les neurologues qui avaient mon père en charge "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic) cependant que je leur disais qu'il s'agissait plus probablement soit de la maladie de Biermer, soit d'un syndrome remédiable par la vitamine B12; J'avais en effet remarqué et fait remarquer que le test de Schilling, qui nécessite pour sa passation d'adminitrer une dose relativement importante de vitamine B12 avait apporté une réelle mais brève amélioration de l'état du malade, qu'il fallait donc considérer que son "ATTEINTE DIFFUSE" soit combattue par une vitaminothérapie B12 semblablement au traitement de la maladie de Biermer. Je ne fus pas entendu et dû de ce fait moi-même mettre en route ce traitement alors que mon père se trouvait dans un état désespéré (voir description site 66972425 html).

 

La résurrection de mon père sous l'effet de ce traitement fut aussi spéctaculaire qu'inattendue. mais m'a coûté très cher. Outre les persécutions du Conseil de l'Ordre, sa résurrection m'a valu l'accusation (par une des sous-directrices de l'hôpital Bbicêtre, c'est-à-dire en fait par les médecins  qui n'avaient pas su faire ce qu'il aurait fallu faire), l'accusation d'avoir délibérément  "fabriqué" la maladie de mon père. Je l'aurais même "fabriqué"  par "antisémitisme" (sic, voir comment les choses se sont en réalité passées sur les sites n° 73331815 et 108281777 html).

 

.............................................................. 

Partager cet article
Repost0

commentaires