The STSMC is the rational and obvious solution to avoid the risk of nuclear accidental heavy radioactive pollution, and by the way the growth of greenhouse gas effect.
How it works is shortly described in previous articles.
It could in few years replace the nuclear power reactors park to provide energy around the earth, everywhere tidal range is high.
French : Le professeur Bernard Laponche, consultant international dans le domaine de l’énergie nucléaire, a travaillé au CEA et à l’Agence Française pour la Maîtrise de l’Energie (AFME), et Benjamin Dessus, le président de Global Chance * ont fait paraître aux éditions du Seuil en octobre 2011 un solide plaidoyer pour «En finir avec le nucléaire »
Ces deux auteurs réfutent les arguments spécieux portant tant sur l’indépendance énergétique de la France dont se prévalent les pro-nucléaires (dont ci-après Henri Prévot) que sur la sûreté et la sécurité, soi-disant le privilège de la technologie française.
Le coût du kWh nucléaire serait grandement sous-évalué, les marchés étrangers surestimés et le contrôle grâce au nucléaire des émissions de gaz à effet de serre en fait assez marginal. La gestion des déchets nucléaires est en outre sans solution acceptable.
- Le risque d’un accident majeur étant rédhibitoire, il importe de sortir le pàlus rapidement possible du nucléaire. Les conséquences tragiques de ses accidents ont été mises en évidence une fois pour toutes à Tchernobyl et à Fukushima.
La multiplication des centrales nucléaires ne fait pas croître linéairement la possibilité d'un accident majeur. Le risque est incalculable. La possibilité qu'un accident majeur ne se reproduise est bien supérieur à la possibilité de gagner au loto !
En cas d'utilisation de l'arme nucléaire, que ce soit accidentellement ou délibérément, l'affolement et la désorganisation seraient telles que des accidents de centrales nucléaires se produiraient en séries.
- Même si aucun accident ne pouvaient survenir, la production croissante des déchets radioactifs est préoccupante, dangereuse sur des siècles et des millénaires à venir. On ne sait déjà pas qu'en faire !
- La diffusion de techniques permettant la prolifération des armes nucléaires est en elle-même une menace qui ne peut que grandir.
Henri Prévot, ingénieur général des Mines, dans un livre paru 8 mois plus tard chez le même éditeur, tient une position inverse que les précédents auteurs. Il prétend qu'il serait irréaliste d'en sortir.
Henri Prévot prétend en effet que « nous passer du nucléaire nous mettrait sous la coupe des Russes, nous ferait émettre beaucoup plus de CO2 qu’aujourd’hui et dépenser des milliards d’euros par an, qui seraient mieux employés à payer des chercheurs ou des médecins / … / Vivre avec le nucléaire, c’est mettre en balance d’un côté des valeurs qui ont pour nom confiance en l’avenir, ouverture vers les autres, foi dans les vertus de la technique, et, de l’autre, le risque, très peu probable mais majeur, qui sera accepté si les citoyens le connaissent, lui donnent sens et ont le moyen de le gérer eux-mêmes »
Conclusion : la technologie STSMC devrait mettre ces auteurs d'accord, à moins que les arguments des uns et des autres ne soient qu'un prétexte plus ou moins conscient à la détention de pouvoirs de dominations (Cf. René Girard).
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* Global Chance 17 ter, rue du Val 92190 Meudon France
Association globalchance@wanadoo.fr
Site Internet atlas.conseil@free.fr
Bibliographie
La Recherche, n°472, février 2013 Benjamin Dessus, Bernard Laponche et Hervé Le Treut, "Quelles émissions de gaz à effet de serre faut-il réduire ?"
Le trente-deuxième numéro de "Les Cahiers de Global Chance"
"L’efficacité énergétique à travers le monde : sur le chemin de la transition",
Global Chance et les responsables politiques devraient s'intéresser de plus près au STSMC !