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22 février 2012 3 22 /02 /février /2012 16:26

 

Jacob Freud  meurt le 23 octobre 1896. Est-il mort sans avoir rien révélé à Sigismond Schlomo Freud le secret relatif à sa de sa procréation ?



Tous les analystes savent maintenant que la famille Freud était une famille à secrets, mais ils n'osent, ni ne veulent surtout que cela soit révélé;. C'est pourquoi les Archives Freud ne doivent pas être totalement divulguées.

  

"Ce que l'on ne peut pas dire, il faut le taire" disait Wittgenstein, qui savait fort bien de quoi il "retournait" au sujet de  Sigismund Freud comme d'Adolfus  Hitler, qui s'étaient l'un l'autre, comme en miroir épiés et  "percé à jour".

  

Jacques Lacan, transgressant "l'interdit" de Wiittgenstein, n'avait pu s'empêcher de le violenter, tout au moins à minima, en traitant du sujet par la "racine carrée de moins un" (Jacques Bénesteau, qui n'est pas psychanalyste, m'avait manifestement pas compris l'astucieuse présentation de l'a-Chose, devenue  indicible) .



Paradoxalement, c'était comme l'a fait Marie Balmary par un chemin parallèle, en application même de la doctrine fondamentale de la psychanalyse freudienne, qui veut que le refoulé fondamental s'exprime, quoi qu'on fasse, par tous les moyens dont l'inconscient est capable, tout au moins pour qui sait ce que parler veut dire, pourvu que l'on sache lire entre-les-lignes le signifié, clivé du signifiant, par la barre, qu'il situa à la base. Ce pourquoi Lacan se réjouissait de n'être compris que par une infime fraction de son auditoitre, mais non que de lui seul.

  

C'est pourquoi il convoqua de touite urgence Marie Balmary en 1979 , commençant à s'inquiété d'avoir été trop bien compris, sinon doublée par celle-ci, dans son "retour à Freud".



Dans une lettre adressée à Willhem Fliess le 2 novembre suivant la mort de son père, Sigmund Freud fait part de son désarroi. Il écrit <<  par une des voies obscures situées à l'arrière plan du  conscient officiel

 

 

 

 

 

 

 

 

Elisabeth Roudinesco est la fille d'un médecin roumain, très honnête, compétent  et consciencieux, selon ce qu'elle en dit elle-même. Je veux bien la croire, car il  tenait Sigmund Freud pour un épouvantable charlatan. En tant que tel, il avait Freud en horreur, au contraire de Mme Aubry, sa mère, également médecin, qui s'en était entichée.

 

Mais avant de répondre à la question posée, il nous faudrait définir plus précisément ce qu'est la haine : d'après le Petit Robert, la haine est un  "sentiment violent qui pousse à vouloir du mal à quelqu'un et à se réjouir du mal qu'il lui arrive".

 

L'envie et la jalousie en seraient les racines, mais aussi la rancune, qui, elle, pousse à la vengeance.  

 

Il y aurait donc plusieurs sortes de causes  :  la haine jalouse et la haine rancunière.

 

Se réjouir du mal que l'on fait est  un sentiment "pervers".  

 

En cela ses parents ressemblaient à couple que je connais bien, qui s'était divisé aussi   au sujet de Freud, mais aussi de Jacques  Lacan.  L'un les avait testés, à la demande de l'autre,  et pas l'autre, par crainte de faire l'objet d'un rejet, à cause de son passé. 

 

Or l'un les tenait pour des charlatans, et l'autre quasiment pour des dieux, bien que complétement athée.  L'un s'était vu reproché par son analyste (une psychanalyste "lacanienne", une neurologue amie de Françoise Dolto  répondant au nom de Marie A, diplômée de la faculté de médecine  de Montpellier) d'admettre qu'un pédopsychiatre puisse exercer convenblement sans être passé sur un divan

 analytique.

 

L'autre admirait les lacaniens, sinon Lacan lui-même.

 

Ce dernier l'avait  lui-même  éconduit alors qu'il était dans un bureau de l'hôpital en train de fouiller fièvreusement dans le dossier du malade qu'il devait tout de suite après présenter devant son auditoire. Du coup,  ce en quoi consistait l'exercice de haute volée à laquelle il se livrait devant  l'auditoire lors des présentations risquait d'être éventé. Il ne voulait pas courrir ce risque  

 

Ses présentations avaient alors cours à l'hôpital Saint-Anne. Lacan y était censé de découvrir ex nihilo histoire des maladers  cependant qu'il  tenait caché qu'il venait d'en  prendre savamment connaissance à travers  leurs dossiers.

 

Il était  intolérable pour Lacan, qui venait  d'avaoir été privativement été desmasqué, de risquer de l'être publiquement. Il avait sur un ton péremptoire, qui avait laissé pantois  (pend-toi ?!) l'interessée, fait  immédiatement de sortir celles-ci de l'Amplhi où allait se dérouler la séance de prestidigitation << Vous, .... oui vous, là-bas, sortez immédiatement  >>.

 

Une autre preuve, plus récente et vérifiable que celle-ci, quoi plus indirecte,  témoigne de ce que la psychanalyse  freudo-lacanienne est depuis l'origine une supercherie. J'y reviendrai à propos du livre de Gabrielle Rubin intitulé "De la haine et du pardon" (allez savoir, sans vous voir  taxeé de paranoïa,  pourquoi Gabrielle Rubin fait semblant de n'y pas savoir que "Anna O" , alias Bertha Pappenheim, était une patiente de Joseph Breuer"?   

 

Mais avant d'entrer plus profondément dans la sujet, il convient de savoir ce qu'est la haine, savoir ce qui le plus susceptible de la susciter.

   

Elisabeth Roudinesco, qui est ni véritablement idiote ni véritablement psychanalyste, à co-écrit, (mais non co-signé) en 1994  avec le psychiatre-psychanalyste  toulousain  Serge Wasserstrüm (s'il ce dernier a  vraiment  existé en tant que psychiatre, ainsi que l'indiquait sa carte de visite, car son nom ne figure  pas sur le Guide Rosenwald récent ou ancien)  un livre de la plus haute importance pour compréhension qu'avait Jacques Lacan de Sigmund Freud.

 

  "Quand on lui montre la lune, l'idiot est celui qui la regarde au lieu de regarder le doigt qui la lui montre" (proverbe afreudien).

 

Titre du livre d'Elisabeth Roudinesco : Généalogies  (le S final serait de Serge Wasserstrüm, d'après ses propres dires, lorsque je l'ai rencontré il y a une dizaine d'années : je recherchais le rapport, qu'il détenait peut-être, publié chez Denoël  en 1973,  un rapport que le psychanalyste américain Walter Langer avait en 1941 fait à la demande de l'OSS, sur Adolf Hitler. Je voulais  pour en savoir un peu plus sur celui-ci  que ce que Ron Rosenbaum, François Delpla , William Shirer et Lionel Richard en avaient dit dans leurs écrits. A  même de les avoir lu, et bien plus après, mon impression, si ce n'est mon intuition, avait été que Hitler était  devenu ce qu'il était à partir  de .... la conjugaison de plusieurs facteurs, dont un, qui pouvait avoir été déterminant : sa rencontre, directe avec Sigmund Freud, ou indirectement,  via son psychiatre Edmund Forster, à Pasewalk, en novembre 1918, qui avait adopté la notion, défendue par Freud,  que l'hystérie n'était pas une spécificité féminine, mais pouvait être attribuée aux hommes  (Cf. ses études sur l'étiologie de l'hystérie, parues en 1896. où il recense 6 hommes  pour 12 femmes ...  ).

 

Mais avant de m'aventurer  plus loin, il me faut d'autres indices, vérifier dans son "dictionaire de la psychanalyse " d' Elisabeth Roudinesco et Michel Plon (Fayard 1997) si le nom d'Alice Miller y est  mentionné ....... 

 

Vérification faite, son nom  ne figure pas entre ceux de Théodor Meynert et  Eugène Minkowsky. alors que  que les noms de Marie Balmary et Jeffrey-Mousaïeff Masson ne sont pas occultés bien que les  travaux de ces derniers rejoignent ceux d' Alice Miller sur la "pédagogie noire" de Freud (développée  à partir du moment où il à révoqué l'origine traumatique (fondée sur la réalité) des psycho-névroses au "profit" de la très hypothétique théorie pulsionnelle, fondée sur des spéculations imitées de la thermo-dynamique (l'introduction de ce "énergitique" devait  dans l'esprits de Freud faire plus "science" par rapport aux critiques de Krafft Ebing, qui s'était un peu gaussé de son exposé sur  l'étiologe de l'hystérie).

 

Ce  changement de perspecrive, en fait un renversement quasi total, fut très bien  accueilli par les pédoclastes et les pédophiles, dont nombre de psychanalystes historiques  : Freud en était tellement conscient qu'il avait veillé à ce que sa fille Anna ne tombe jamais entre les mains d'Ernest Jones, qui, avec Edward Glover, était un grand partisan de sa nouvelle doctrine pulsionnelle (c'était quasiment l'enfant qui devenait l'abuseur  sexuel). 

 

Là où Alice Miller s'est  (un peu) trompé, c'est d'avoir cru que Freud était véritablement "inconscient" par rapport à ses motivations profondes, c'est-à-dire par rapport à ce qui avait motivé son  "renoncement" à sa grande découverte sur l'étiologie des psycho-névroses  (par rapport à ce qu'il appelait "l'hystérie" de conversion).

 

Freud s'était en fait rendu compte qu'il se heurtait à des "résistances" qui risquaient d'être insurmontables, donc  très préjudiciables à sa carrière : mieux valait aller dans le sens du vent, donc trouver une théorie susceptible de  disculper les très nombreux adultes (souvent les parents et les détenteurs d'autorités) qui se servaient de l'innocence des enfants (parfois des nourrissons)  pour se procurer du plaisir sexuel. 

 

 

Reste quand même à  savoir pourquoi Elisabeth Roudinesco et Michel Plon ont occulté une des plus importantes contributrice au progrès de la psychanalyse ?!

 

Alice Miller a osé avancer que Adolf Hitler avait un grand-père juif  et qu'il aurait été victime de ce qu'elle appelle "l'éducation noire". 

 

Est-ce cela qui était irrecvable ? 

 

A ma connaissance elle ne dit pas d'où elle tient cette information : les recherches de Ron Rosenbaum  n'étaient pas  publiées quand elle a écrit "L'enfant sous terreur".     

 

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