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30 octobre 2014 4 30 /10 /octobre /2014 01:56

J'ai reçu une invitation à me rendre à la troisième rencontre scientifique de la CNSA  (Caisse Nationale de Solidarité pour l'Autonomie) qui aura lieu les 5 et 6 novembre prochains.

 

J'aurais aimé m'y rendre, mais ce que j'aurais à dire risque d'être beaucoup trop difficile à entendre.

 

Comment faire état en réunion de violences hospitalières tellement dérangeantes pour l'image des médecins responsables et celle  l'AP - HP sans susciter des réactions de rejets corporatistes et négationnistes ? 

Ce à quoi j'ai été confronté est si peu valorisant pour ces médecins et les institutions qu’ils représentent que celles-ci les ont soutenus et relayés, pour ne pas dire aidé à dissimuler les énormes erreurs et les violentes fautes qu'ils avaient commises, des fautes des erreurs avaient failli être mortelles.

 Les moyens utilisés pour nier les faits et la réalité n'ont rien à voir avec ce que l'on serait en droit d'attendre de médecins et d'institutions se réclamant de la Recherche et de l'Ethique. 

Tout a été fait par ces médecisn et par l'administration du CHU de Bicêtre pour attribuer les conséquences invalidantes de ces violences et de ces erreurs d'abord sur la fatalité, ensuite sur le malade lui-même (déclaré cobsentant), et finalement sur le fils du malade, en l'occurence médecin et l'auteur de cet article, alors que par son intervention il avait permis au malade premièrement de ne pas succomber à ces violences  et à ces erreurs, et deuxièmement de récupérer la majeure partie de ses possibilités intellectuelles. Il lui était en fait surtout reproché de lui avoir permis de porter plainte contre X après qu'il s'est rétabli, c'est-à-dire le 17 décembre  1990, c'est-à-dire trois mois après son intervention salvatrice, et non pas 47 mois après,  ''mais dans les délais", comme a fait semblant de le déplorer l'instruction de cette affaire pour justifier un non lieu (Cf. l'article "un non lieu abusif" sur le "blog de leon") 

Les fautes et les énormes erreurs qui ont été commises ont été alourdies de falsifications pour en masquer la gravité, ce qui rendait encore plus difficiles la reconnaissance. La justice a refusé de les prendre en compte alors qu'elles étaient évidentes au vu des documents probants qui lui ont été présentés.

Lors d'un Colloque qui s'est tenu au sein du Palais de justice et auquel assistait Emmanuel Hirsch, au début des années 2000 (et non pas en 1997 comme je l'ai précédemment écrit). Celui de 1997 était consacré aux droits des personnes handicapés Il était présidé par le Pr. Bernard Glorion et Me Bernard Vatier et sponsorisé par uen grande banque française). Le procureur géneral du TGI de Paris m'y avait confié que ce sont les assurances, et non pas la justice, qui cherchent à entraver la justice par intimidation des victimes et de leurs avocats dans les affaires "sensibles"  relatives à des fautes médicales. 

Ce n'est pas ce que m'a appris l'expérience, mais à y réfléchir, le procureur avait en quelque sorte raison puisque  l'AP - HP  est son propre assureur (Cf. "Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliations hospitalières", un Mémoire pour l'obtantion d'un DEA d'Ethique médicale soutenu en 1999 par  Dr. Patrice Bodenan)

-/- 

En 1990  il m'avait fallu intervenir pour corriger les erreurs mortelles et l'incompréhensible entêtement des neurologues qui s'occupaient de mon père à ne pas les voir et les corriger cependant qu'elles étaient tellement évidentes que des infirmières qui s'occupaient de mon père avaient cherché à m'aider pour y remédier.

Les neurologues du CHU de Bicêtre avaient refusé de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer au prétexte que ni le test de Schilling ni la vitaminémie B12  ni la formule sanguine le justifiait alors que leur malade souffrait cliniquement et à l'évidence d'une carence vitaminique B12 très sévère (le tableau clinique de sclérose combinée caractérise les formes neurologiques graves de cette maladie). .

Les neurologues de ce CHU avaient fait comme s'ils ne savaient pas qu'en médecine, la clinique prime le laboratoire. Je n'avais pourtant eu cesse de le leur répéter, leur faisant remarquer que la pratique du test de Schillingqui introduit une quantité non négligeable de vitamine B12  (1mg en IM) pour cloturer le test, avait apporté durant deux à trois jours une nette amélioration à l'état neurologique, leur malade ayant alors pu se lever et faire queques pas.  

Il est vrai qu'un autre adage dit qu' il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.

Mais alors qu'est-ce qui les empêchait non seulement de m'entendre, mais aussi de voir la réalité ? 

      - Etait-ce parce que le rétablissement de mon père n'aurait pas fait l'affaire des médecins d'une Clinique proches des neurologues - tout au moins proches géographiquement. C'était une Clinique où peu avant à son hospitalisation à Bicêtre mon père avait été la cible d'une  lourde et violentes escroquerie chirurgicale  perpétrée par une équipe de médecins dont la réputation de prédateurs n'était plus à faire (selon les dires de la police à l'l'Haÿ-les-Roses ils "pouvaient  tout se permettre". leur Clinique était, "protégée en hauts lieux",  Cf. site Wel n° 108281777 html)  

- Etait-ce parce que le Service de neurologie où l'avait fait transférer le Service des Urgences de l'hôpital Bicêtre avait intérêt au maintien en fonctionnement de ladite Clinique. Celle-ci lui était utile parce qu'elle acceptait de se charger des malades considérés comme irrécupérables.

- Ou était-ce parce que mon père avait subi une transfusion de sang en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis - c'est-à-dire dans un hôpital de l'AP - HP à une époque où les transfusions étaient contaminées par le VIH - que les neurologues n'avaient rien voulu voir ni entendre ?

- A moins que ce soit pour suivre  à la lettre les directives d'une circulaire administrative invitant les médecins à faire l'économie de traitements présumés inutiles ? (J'ignore si une telle circulaire a circulée). Auquel cas les économies réalisées auraient été du même ordre que celles escomptées par le CNTS quand il a pris la décision d'abandonner le procédé artisanal de transfusion  pour passer à l'industrialisation de la transfusion sanguine par le mélange du sang des donneurs. L'économie attendue avait ainsi multiplié les risques de contaminer les receveurs par le VIH. Elle a sans doute  grandement contribué à la transmission du SIDA, et a finalement coûté  extrêmement cher aux victimes de cette rationalisation comme  à l'Assurance Maladie. 

La responsabilité de la soudaine inflation de l'incidence de cette maladie jusqu'alors restée rare fut essentiellement attribuée à l'homosexualité masculine alors que l'homosexualité existe depuis la nuit des temps. 

Toujours est-il que contre toute attente, sinon contre toute espérance, le traitement refusé à mon père, celui de la maladie de Biermer,  n'aurait pas coûté plus cher que le prix de deux paquets de cigarettes à être dès le début administré. Il aurait alors évité les lourdes séquelles motrices auxquelles a donné lieu sa tardive adminstration.

Ce traitement allait malgré tout lui sauver la vie et le rétablir dans ses fonctions intellectuelles après je me suis décidé à le mettre mis en route six semaines après son admission à Bicêtre.

Les neurologues avaient demandé à ce que leur malade soit admis à poursuivre son hospitalisation dans l'USN de l'hôpital Charles-Foix au prétexte que son hospitalisation en neurologie à Bicêtre ne se justfiait plus, qu'elle coûtait cher à l'Assurance Maladie alors qu'il ne se rétablissait pas et qu'il était  "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic, l'expression est écrite noir sur blanc dans les conclusions de l'expertise judiciaire que le Dr. François Chedru a complaisamment pris sur lui d'établir en 1996 pour satisfaire la demande de ses collègues les Pr. André Lienhart et René-Claude Touzardl, mandatés par madame Bénédicte Scelles, juge d'instruction au TGI de Créteil. Cf. "Un non-lieu abusif").

Les neurologues ne pouvaient pas faire tranférer de leur malade à la Clinique de l'Haÿ-les-Roses Elmelik, puisqu'il en venait et qu'il avait dit son intention de porter plainte contre les médecins de cette Clinique pour ce qu'ils lui avaient fait subrepticement et illicitement fait subir, qui avait déjà failli lui être fatal  (voir pour plus de précisions l'article n° 73331815 html)    

Il est d'ailleurs heureux que les neurologues de Bicêtre l'aient fait transférer à l'hôpital Charles-Foix  parce que les infirmières de l' Unité de Soins Normalisés ont fini par se rendre compte que leur malade présentait les signes cliniques caractéristiques des carences vitaminiques B12 sévères, c'est-à-dire en fait ceux de la maladie de Biermer, une maladie qui était à l'époque - avant que ce cas n'initie la redécouverte d'une cause plus fréquente - considérée comme la principale cause des carences vitaminiques B12 profondes. Elles ont alors décidé de me montrer que mon père ne prenait pas réellement le traitement de cette maladie, mais seulement un semblant. Elles n'avaient pas voulu suivre jusqu'à ses conséquences ultimes la consigne qui leur avait été donnée par leur Chef de Service, qui lui-même la tenait des neurologues de Bicêtre, de ne pas réellment administrer ce traitement. L'atteste une lettre de transmission manuscrite signé de l'Interne, qui comme par hasard deviendra quelques années plus tard le patron de Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie.  

L'information que m'avait donnée les infirmières de l'hôpital Charles-Foix m'avait permis d'intervenir pour démarrer correctement le traitement de la maladie de Biermer le 12 septembre 1990.   

Pour compliquer les choses, à l'époque, et même jour pour jour, la prestigieuse Revue américaine Archives of Neurology  (que le CHU de Bicêtre fera sept ans plus tard interdire de présentation à la bibliothèque) autorisait la publication d'un article faisant état de ce que le métabolisme de la vitamine B12 était perturbé dans les infections à VIH, avant que d'autres (Cf. infra "Bibliographie") ne fassent état de ses effets positifs dans le traitement des rarissimes et très mystérieuses  "leuco-encéphalites multifocales progressives" - les LEMP - dont la fréquence avait augmenté de 20 % depuis l'apparition du SIDA.

(Cf. Archives of  Neurology 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" . Accepted for publication September 5, 1990)  

 

J'avais le 12 septembre 1990 en désespoir de cause comme à la demande expresse de ma soeur dû me résoudre à mettre moi-même en route  le traitement de la maladie de Biermer alors que mon père était mourant. Il venait de plonger dans le coma et se trouvait dans un état aussi épouvantable que catastrophique (voir l'article Web n° 108281777html : les neurologues avait faitt le diagnostic d'ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX. Or l'atteinte diffuse du système nerveux caractérise les LEMP).

 

Le traitement que j'ai alors mis en route, bien que tardif, permit tout de même à mon père de sortir du coma. Le traitement de la maladie de Biermer réussit en quelques semaines à  le rétablir dans ses fonctions intellectuelles et physiologiques, mais provoqua de ce fait curieusement la panique dans les Services de l'AP - HP responsables de cette duperie, une panique qui s’étendit pour des raisons contigentes jusqu’à l’Ordre des médecins et la haute administration de l’AP-HP, si ce n’est jusqu'au ministère de la Santé. 

Le prétexte ou la raison de la folle tromperie des neurologues était qu'il ne faut jamais contrarier les fous, à en juger par le geste de l'index visé sur la tempe que m'adressa plus tard le Chef du Service responsable de cette mystification, un geste qu'il avait accompagné du conseil d'aller consulter un psychiatre. Ce n'était pourtant pas lui qui avait donné la consigne de faire semblant d'administrer le traitement de la maladie de Biermer. L e Pr. Gérard Saïd était aux Etats-Unis en août 1990, d'après ce que m'avait dit sa Secrétaire, madame Gauthier. Mais selon ses conceptions éthiques  (voir ci-après), il se devait apparemment de couvrir les bavures de ses subordonnés.  

 Ce Chef de Service a pourtant reconnu le bien fondé de mon diagnostic le 3 juin 1992, donc du traitement vitaminique B12 que j'avais mis en route le 12 septembre 1990. Il l'avait reconnu de façon à la fois agressive et méprisante en disant  que des erreurs "il en faisait tous les jours", et que mon père n'avait d'ailleurs pas fait que souffrir d'une carence vitiaminique B12,  mais de carences "multi-vitaminiques" (sic). 

Certes, l'erreur est humaine, mais il m'a laisser assumer toutes les conséquences financières et morales des fautes de son équipe alors qu'il se réclamait de l'éthique médicale juive. Selon le sociologue et psychanalyste franco-israèlien Emeric Deutsch, l'éthique juive commande  que tout dommage doit faire l'objet de réparations, et non pas donner lieu à des menaces de représailles. Il faut croire que l'éthique médicale du Pr. Gérard Saïd peut s'affranchir de cette obligation. (Le Pr.  G. S. présidait  au côté d'Emmanuel Hirsch au Comité scientifique de l'IFREM, un Institut de Formation et de Recherche en Ethique Médicale juive, éditeur de la revue  "Medica Judaïca"). 

Emmanuel Hirsch, qui n'est pourtant pas médecin, m'a fait savoir qu'il connaissait  "par coeur" ce qui est arrivé à mon père en 1990.

Mon père avait dans l'aventure certes pu récupérer une grande partie de ses fonctions intellectuelles, mais il y perdit tout de même son autonomie motrice. 

Je n'ai dans ce sauvetage désespéré et ses conséquences,  dues au retard de traitement, reçu aucune aide ou compensation, bien au contraire, puisque outre un mepris ostentatoire j’ai été menacé de représailles ordinales par l’entremise d’un des hauts responsables de l’Ordre des médecins du Val-de-Marne, le Dr. Patrice Bodenan, qui s'était entendu avec les médecins de l'AP - HP  pour entraver la plainte que mon père avait porté à l'encontre de ses X agresseurs. 

Frère Bod °°° avait la réputation d'être "très influent au palais" (sic, d'après nos avocates, qui prirent peur pour elles-mêmes et trahir la cause qu'elles avaient accepté de défendre). 

Le dit ''Bod'' écrit au Secrétaire général et président du Conseil disciplinaire du Conseil Régional : <<A l'évidence notre confrère le Docteur Pierre Cretien n'est pas fondé à poursuivre le Docteur DENIS professionnel réputé et parfaitement irréprochable pour les faits invoqués par lui Le Docteur Pierre CRETIEN est atteint d'un délire de persécution plaintes multiples auprès des différentes streuctures TGI Creteil CPAM etc _ )

J'ai donc rendu un avis auprès du Conseil de l'ordre des Medecins du Val de Marne conseillant un rejet pur et simple de la plainte du Docteur Crétien, et la mise en examen de ce dernier pour évaluer son aptitude à l'exercice de la médecine -

J'appris par la suite la plainte que Pierre cRETIEN avait déposée, à mon encontre une plainte pour partialité, collusion avec la partie adverse, pressions auprès du Conseil départemental de Val-de-Marne

J'ai été très étonné de la démarche du de Monsieur Pierre CRETIEN qui ne repose sur aucune base réelle et que je trouve diffamatoire

Cette démarche rapportée à toutes les démarches de Monsieur le Docteur Pierre CRETIEN Justifie à mon avis l'application de l 'article L 460 

Je vous prie d' agréer monsieur le secrétaire Général mes salutations respectueuse et distinguées >> . Lettre signée "BOD". Sa signature était assise sur un large triangle isocèle en signe d'appartenence à la confrèrie maçonique.  

L'article L 460 du Code de la Santé Publique stipule que dans le cas d'infirmité ou d'état pathologique rendant dangereux l'exercice de la profession, le conseil régional peut décider la suspension temporaire du droit d'exercer".

Après qu'il a réclamé contre moi  une mise en examen et l'application de l'article L 460,  Frère Bod est aller quérir un DEA d'éthique médicale.auprès du  "Laboratoire d'éthique médicale de l'hôpital Necker", c'est-à-dire auprès de Grand Frère Christian Hervé.   

Son Mémoire, soutenu en 1999 a été mis en ligne sur le Web. Il traite comme par hasard des "Problèmes éthiques posées par les commissions de conciliation hospitalières". Il y est notamment écrit au chapitre IV  de son que selon  l'art  L. 714-12  du CSP  << il  appartient au représentant légal de l’établissement, en l’occurence le directeur, d’assurer la défense des intérêts de l’établissement devant les juridictions civiles ou administratives ou d’ester en justice >>

 Frère Bod°°° sera en récompense de son éfficiente pantalonnade et du GRAND petit risque qu'il a pris de s'exposer à une plainte pour collusion (puisqu'il avait accepté le rôle de rapporteur au bénéfice des médecins visés par la plainte de mon père alors qu'il n'y était statuairement nullement aurorisé, d'autant  qu'il était par dessus le marché de dupe l'ami de la directrice et principale propriétaire de l'inéffable Clinique de l'Haÿ-les-Roses, la Clinique des très riches (selon la police et des Confrères informés) Drs. Elmelik. 

Comme par hasard encore, Frère Bod °°° a été dans les années 2000 bombardé président de la section disciplinaire de l’Ordre régional d'Île-de-France.  

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient fait comme s’ils ne savaient pas que le traitement des carences vitaminiques B12 est une urgence, tout retard compromettant la rétrogradations des lésions neurologiques quand il ne conduit pas au décès, souvent inopiné, des malades. 

Il se trouvait que non seulement un conflit d'intérêt entrait en ligne de compte, mais plusieurs, qui faisaient qu’il paraissait « souhaitable » que le malade soit dans l'impossibilté de se plaindre de l' escroquerie qui avait précédé son admission en neurologie. Il serait trop long d'exploser ici un problème que je n'ai pu comprendre que bien après ces événements, notamment lorsque le procès de Christine Malèvre a occupé le devant de la scène médiatique, Celle-ci avait opéré ses "euthanasie" alors qu'elle était sous les ordres de celui qui avait recommandé au Chef du Service de l'USN de n'administrer au malade qu'il venait de lui adresser qu'un semblant de traitement vitaminique B12. On se reportera pour plus de précisons sur le Web aux différents articles publiés sur le  "blog de leon - pierre cretien". Les derniers articles parus renvoyent aux problèmes que soulèvent  la redécouverte du "syndrome NDB12PP", un syndrome que j'ai par mon intervention certainement grandement contribué à réactualiser après qu’il a été oublié;  ne serait-ce que par la panique que suscita l'application du traitement de lamaladie de Biermer, maladie étroitement  apparentée au syndrome NDB12PP,  donc de la nécessité de trouver explications. 

En conclusion : aucun des 14 articles de la Chartes du droit des patients hospitalisés n'ont été respectés dans l'aventure. Il est vrai qu'ils n'avaient pas encore été publiés? 

Aurait-ils seulement pu changer quelque chose à la volonté de dissimuler des bavures quand c'est un état d'esprit qui a servi de boussole aux médecins responsables ? 

Ce qui s'est passé avant pendant et après ces évènements  mérite une analyse sociologique.  

Slut för idag  .............................  Cet  article peut faire l'objet d'améliorations 

 

BIBLIOGRAPHIE 

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med.  299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin". 

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78  "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection". 

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson  "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281. 

4 -  1988  J. Lindebaum &  al. N. Engl. J. of Med.  "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis" 

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990). 

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes". 

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection" 

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection" 

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition" 

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".  

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease". 

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users" 

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings" 

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age" 

15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy" 

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert) 

18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

19 - Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

 

Est-ce pour lui avoir fait remarquer l'existence de ces articles que le Pr. Gérard Saïd a en octobre 1997 demandé à la direction de l'hôpital Bicêtre de désabonner la bibliothèque du CHU à la Revue Archives of Neurology et de faire retirer des rayons de celle-ci les numéros existants ? 

Le Pr. Saïd m'a expliqué dans une violente dispute que c'était parce que c'était "une très mauvaise Revue". 

Les numéros de L'Encéphale  antérieurs à 2004 ont aussi été rétirés des rayonnages de la bibliothèques.

Les perturbations du mérabolisme de la vitaminique B12 peuvent être la cause des troubles neurologiques et psychiatriques observés chez les patients infectés par le VIH, troubles qui seraient accessibles au traitement cobalaminique. Archives of Neurology a dès 1991 publié un grand nombre d'articles à ce sujet. 

Une augmentation anormalement élevée, de l'ordre de 20%, de la perturbation du métabolisme de la vitamine B 12 avait été découverte dans une population infectée par le VIH. Cette  perturbation était associée à une neuropathie périphérique et à une myélopathie. La majorité des malades traités par cyanocobalamine auraient bénéficié d'un effet thérapeutique. 

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