Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 12:12

Je m’étonne et suis le premier à avoir à le regretter, que l’idée d'exploiter l'énorme "gisement" d'énergie potentielle des marnages par la méthode du transfert séquentiel ne me soit venue à l’esprit que si tard dans mon existence alors que j’avais depuis une quarantaine d’années l’intuition qu’une méthode moins directe mais plus efficace de l’exploiter était possible (voir infra le principe).

 

Je m'étonne encore bien plus de ce que la méthode  n'a  jamais  proposée par qui que ce soit, du moins à ma connaissance, peut-être parce qu'elle est  trop réaliste ? (voir note en fin de page *)  

 

Après que j’ai lu « Anne Lauvergeon Une femme qui résiste » - paru en septembre 2012 chez Plon - , j’ai adressé à l’auteure une lettre pour la lui communiquer. J’en espérais une réponse encourageante mais cette lettre n’a malheureusement pas été distribuée parce que l’Institut François Mitterrand où je l'avais adressée (au 10 de la rue Charlot 75003) n’a aux dires de la poste pas de boite aux lettres accessible !  Madame Lauvergeon aurait certainement été à même de me donner un avis compétent sur la faisabilité du "transfert séquentiel" .  

La faisabilité de ce transfert est en effet conditionnée par la nécessité de mettre au point de vastes structures cellulaires à mémoires de forme. Ces structures devront pouvoir reprendre d’elles-mêmes la majeure partie de leur volume initial, sinon la totalité de celui-ci, a marée basse, c’est-à-dire après qu’elles ont été vidées de leur contenu gazeux par l’augmentation de la pression exercées sur elles lorsque la marée était au plus haut. J’ai une idée bien précise sur la structure à leur donner pour leur conférer la fonctionnalité recherchée.

Le principe consiste donc à faire travailler "on shore" les gaz enfermés et comprimés "in shore" dans ces vastes structures cellulaires alors qu’elles sont immergées à 10, 20, 30 ou 40 mètres de profondeur, voire davantage si fairese peut, ce qui devrait permettre aux gaz enfermés et comprimés dans ces structures d’être exploiter "on shore" bien ailleurs que dans des estuaires, c’est-à-dire partout où les marnages sont importants, donc tout le long des côtes normandes et bretonnes, donc de pouvoir fournir maintes fois l’équivalent de ce que peut fournir le barrage de la Rance, qui fournit à lui seul l’équivalent du quart d‘un réacteur nucléaire classique.

La faisabilité et la pertinence de la méthode séquentielle peut très rapidement, en quelques semaines, être testée en laboratoire. Le seul fait qu’elle soit démontrée valide relancerait ipso facto l’espoir d’une activité économique etindustrielle retrouvée, et par là même sortirait la France du chômage.

Je me suis a nouveau cette semaine adressé à madame Lauvergeon. Mais si vous trouviez un instant pour lui parler de mon projet méthodologique, sans doute prendrait-elle le temps de comprendre tout l'intérêt qu'il y a à l'explorer plus avant.  

En vous remerciant de votre attention, je vous prie d'agréer, Monsieur le Ministre, l'expression de ma très haute et parfaite Considération. 

 

 Pierre Cretien. M.D.  

 

Notes :

 

A l'instar de la solution thérapeutique, trouvée  "stupide", que j'avais en août 1990 proposé à mes Confrères neurologues de Bicêtre pour remettre mon père sur pied alors qu'il était hospitalisé dans leur Service, dont le Grand Patron était le professeur Gérard Saïd, membre de l'IFREM (ne pas confondre  l'IFREM avec l'IFREMER svp : l 'IFREM est ou était l'Institut de Recherche en Ethique Médicale juive. Il semble avoir disparu ou aura changé de sigle. Demander à  Emmanuel Hirsch, qui l'animait et qui occup maintenant, alors qu'il est nullement médecin, à l'Hôpital Saint-Louis  "l'Espace Ethique  de l'Assistance Publique -Hôpitaux de Paris, qui bizarrement prétend  "connaître cette histoire par coeur (ou par Choeur ? ) ", comment se fait-il alors qu'il n'est pas autorisé à la savoir "par coeur",  ce que l'IFREM est devenu.  Quoi qu'il en soit le Service a été ou était labellisé INSERM.  Les neurologues de son Service se seraient tout bonnement "trompé"  en faisant le diagnostic d'encéphalopathie vasculaire (sic, "daignostic porté  a posteriori  alors que la preuve avait été apportée qu'il ne s'agissait pas de cela ) ce qu'en fait ils savaient très bien avoir été  un syndrome neuro-anémique compliqué d'un délire de Capgras, comme l'atteste le fait qu'ils aient fait retirer de la biblothèque du CHU de Bicêtre ce qui y avait trait, à savoir la collection d'Archives of Neurology et les numéros de la Revue l'Encéphale antérieurs à 2004, et non une soi-disant DTA (une Démence de Type Alzheimer, selon la terminologie de l'époque, voir 108281777 html ou 73331815 html pour plus de précisions chronologiques).

 

 

............................................. 

Partager cet article
Repost0

commentaires