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31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 15:50

Mon cher Confrère,                                                  

Je  vous ai adressé hier un rapport, au sujet de la maladie neuropsychiatrique (neurologique et psychiatrique) qui avait pernicieusement et insidieusement affecté mon père en 1989 - 1990. Je l'avais rédigé tant bien que mal dans un anglais peut-être approximatif, mais que j'espère compréhensible (Cf. sur ce site article précédent) .

Le texte qui suit porte surnce qui pourrait être un aspect inattendu du "traitement" d'une leucoencephalopathie multifocale progressive due au virus du SIDA plus ou moins  (plutôt + que -)  délibérément confondue avec une "encéphalopathie vasculaire" mais qui plus probablement a en réalité  rapport avec une tentative d'assassinat de malade déguisée en erreur de diagnostic et de traitement.

Médecin, devant l'aspect clinique présenté par le malade, en l'occurrence mon père,  je l'avais moi-même confondu avec la maladie de Biermer, ce qui était beaucoup moins grave que de le confondre avec une "encéphalopathie vasculaire" (sic) compliquant une maladie d'Alzheimer dans la mesure où le traitement de la  maladie de Biermer, qui comme la LEMP, affecte les cellules gliales (essentiellement nourricières)  avant d'affecter les cellules grises du cerveau, connaît le même traitement, à savoir une cobalamino-thérapie thérapie soutenue et prolongée. Cf. Jean-Paul Viard "Les nouveaux aspects neurologiques du SIDA".

Mon rapport est plus généralement  destiné aux neurologues et aux neuro-psychiatres.

L'affaire est compliquée à exposer, mais comme elle est d'importance, j'en ai  corrigé les  insuffisances et les imprécisions stylistiques, quitte à en introduire de nouvelles. Cette lettre est la reprise, l'amélioration et le remplacement d'un précédent texte, qui laissait beaucoup à désirer quant à sa rédaction et sa lisibilité.

L'embrouille méthodologique plus ou moins savante qui a présidé à cette "errreur" de diagnostic explique la difficuté d'en rendre compte.  

Mes parents avaient quitté Paris en  1964 pour habiter  l'Haÿ-les-Roses, y vivre plus au calme et dans un air meilleur

Comme je l'ai expliqué, en 1989, un délire avait commencé à tourmenter mon père et à le vulnérabiliser. Ce qui avait fait de lui une proie potentielle idéale pour une équipe d'aigrefins plus soucieux d'exploiter le désarroi des patients qui venaient à eux que de leur venir réellement en aide (Cf. textes précédents, site 73331815 html ).  

Comme l'avait tout de suite compris le Dr. Michel Serdaru en 1992, les problèmes que mon père avait posé aux neurologues de Bicêtre à la suite de leur aggression était "certainement compliqué". Au vu des CR d'hospitalisation, il s'était cependant demandé, en me regardant d'un air ironique et interrogateur et, si les neurologues auxquels il  avait eu affaire à Bicêtre étaient véritablement médecins. Parlant des médecins de la "fine équipe" qui lui avait subrepticement infligé le 25 mai 1990 une opération orthopédique bilatérale pour corriger ses douleurs et ses désordres "morphostatiques" (sic, pour parler de ses pieds-ronds antérieurs) soi-disant responsables de ses "troubles de la marche", le Dr. Serdaru avait estimé que même le centièmes des fautes qu'elle avait commises méritait un procès. Il avait trouvé la chose si intolérable qu’il s’était mis en colère, au point vouloir avertir la presse ... avant de se raviser soudainement, après qu'il a exigé que je lui en révèle la véritable l'identité. Me tournant soudain le dos  il se récria "Ah ! Mais celui-là, il a des relations !" (sic). De fait, cette "fine équipe" de pieds nickelés (le Pr. Jean Debeyre arborait des chaussures à ferrures) terrorisait tout le monde quand elle sévissait à Henri Mondor. Le Professeur Pierre Huguenard (chez qui j'avais fait un stage en 1970), s'était lui aussi mis très en colère à son encontre lorsque je l'ai rencontré en 1994 à la Société Française de Médecine (qu'il présidait alors qu'il avait pris sa retraite) . Rien que d'en  entendre le nom, son sang "ne faisait qu'un tour" (sic, parlant de son ancienne anesthésiste, "spécialiste des hôpitaux" resic ). Choqué par l’ambiance régnante, j'avais dû fuir le stage d'anesthésiologie que j'avais entrepris chez Pierre Huguenard, tant l'atmosphère y était tendue : l' Assistance Publique lui en avait imposé la présence dans son propre Service.

Le Pr. Pierre Huguenard s'était fait beaucoup  ennemis dans la hiérarchie hospitalière, m'avait confié le Dr. Jules Fineltain en 1993.

Les Elmelik, héritiés actionnaires et paraît-il milliardaires - par leur mère - d'un très grand groupe bancaire, pouvaient "tout se permettre", protégés qu'ils étaient "en hauts lieux", selon ce que m'avait expliqué le Commandant Christian Raekelboom au commissariat de l'Haÿ-les-Roses le 23 janvier 1991, c'est-à-dire protégés et par la justice, via les parquets (avec Michel Barrau et Yves Bot), par l'Assistance Publique, par les Caisses de l'Assurance Maladie, et par l'administration de la santé - l'IGAS était obligée de fermer les yeux - sans compter la Mairie de l'Haÿ-les-Roses (sous la houlette peu recommandable de Marc Méchain, l'ami intime des Emelik, à qui mon père avait eu la "bêtise" en 1990 , alors qu'il délirait (atteint d'un Capgras), de vouloir secrètement confier des fonds en faveur de son "vrai" fils (puisque dans son délire je ne l'étais pas). Une mission que celui-ci s'était empressé de bien vouloir remplir en remplacement de son notaire Pierre Dauptain, qui s'y était refusé, en oubliant d'avertir sa famille de la démarche pour le moins bizarroïde de son client !) et par l'Ordre des médecins (via les Drs. Jean Pouillard et Patrice Bodenan°°°,  les anges gardiens des Elmelik). Le système était et reste bien verrouillé. Ce qui avait fait dire au Pr. François Piette qu'à s'attaquer à elle relevait du don quichottisme, c'est-à-dire l'inconscience (merci pour moi). De fait, leur Clinique servait de solution finale aux malades bons à éliminer, ceux dont les Services de l'A.-P. cherchaient à se défaire avant qu'ils ne décèdent dans leur Service, en particulier les malades accidentellement contaminés par le VIH dans la première moitié des années 1980, selon plusieurs sources, dont celle d'un cancérologue de Villejuif (à la retraite). Le Service du Pr. Saïd était bien au courant, qui n'était pas le seul à profiter de l'aubaine pour essayer de maintenir une bonne réputation en affichant un taux de mortalité flatteur. A ce sujet, le classement par Le Point des établissements est un immense attrape nigaud. Je doute qu'il daigne ou ose publier cette lettre, alors qu'il a fait état en juillet 2010 de la condamnation de l'hôpital de Toulon à 120.000 euros de dommage et intérêt  parce que responsable avec le Dr. Patrick Sudre, selon cette Revue, d'un retard de traitement d'une demi-heure envers un maladevivtime d'un infarctus cardiaque, donc de la "perte" d'une chance de survie. Cette Revue fonde une part de son appréciation qualitative des hôpitaux sur la mortalité des Services. Comme certains services se sont spécialisés dans le recueil des malades en fin de vie ou à éliminer, tels celui du Dr. Olivier Ille à Mantes la Jolie, où l'USN du Dr Jean-Yves Beinis à hôpital Charles-Foix, en passant par la Clinique Emelik, parmi d'autres spécialisées dans "les de soins de suite", sa classification des établissements a des chances d'être quelque peu biaisée.

Le Dr. Jean-Yves Beinis, qui vient de prendre sa retraite, ne se sent nullement responsables des exécutions qu'il opérait, puisqu'il en était inconscient, ne faisant que suivre aveuglement les consignes "thérapeutiques" mortelles que lui transmettaient les neurologues de Bicêtre. Il n'avait pas à avoir à se préoccuper de savoir qu'elles l'étaient (selon son propre aveu, à moi réitéré le 3 mars 2011).

Quoi que j'ai pu faire en 1990 pour amener mon père à se soigner plus correctement que ne le faisaient ses médecins, plutôt que de suivre mes conseils, il s'était, sans que je sache véritablement pourquoi, bizarrement mis à se méfier de moi. Il s'était à cause de cela livré en mai 1990 aux mains d'une équipe de médecins de l'Haÿ-les-Roses, une équipe qui s’était mise à lui tendre une oreille apparemment accueillante, mais au diapason de sa maladie comme à celui du Président du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne (futur Rédacteur en Chef du Bulletin de l'Ordre et vice président national), si ce n'est celui de l'Ordre national, Conseils qui protégeaient ladite équipe malgré (ou à cause) de ce qu'elle se permettait de perpétrer au sein de sa Clinique, à l'Haÿ-les-Roses. M'en avaient après coup  informé - après que mon père a porté plainte devant le procureur du TGI du Val-de-Marne pour ce dont il y avait été victime - un certain nombre de Confrères, dont le Pr. Pierre Huguenard, le Dr. Jules Fineltain et l'inspecteur Christian Raeckelboom (Cf. Google 73331815 html et sur le même site l'article sur "la théorie du complot", et "une nuit vitaminée").

Mon père était dans le coma, au bord de l'exitus, lorsque, le 12 septembre 1990 au soir, je suis intervenu pour l'en l'empêcher d'y entrer. Il avait été transféré le 22 août 1990 depuis le Service Neurologique de Bicêtre vers l'hôpital Charles-Foix dans l'Unité de Soins dits "Normalisés" (sic) du Dr. Jean-Yves Beinis accompagné d'une lettre manuscrite fallacieuse de l'Interne Olivier Ille, une lettre aussi pernicieuse que la maladie dont le patient était affecté. Cette lettre l'incitait à ne surtout pas suivre mes recommandations de traiter le patient selon la maladie neurologique qui avait motivé son admission à en neurologie à Bicêtre, à savoir un syndrome neuro-anémique nécessitant impérieusement un traitement cobalaminique soutenu et prolongé, mais de ne faire que semblant de céder à mes informations. "On", c'est-à-dire Mme ou Mlle Weill, la jolie Assistante sociale de son Service, missionnée en "go between", avait préalablement au transfert de son futur patient fait savoir au Dr. Beinis que mon hypothèse diagnostic (que mon père souffrait de ce qui relevait probablement d'une carence métabolique d'utilisation d'origine X de la cobalamine, n'était que l'élucubration d'un psychiatre déjanté (parce qu'anti freudien? ), donc de n'y pas prêter attention tout en faisant semblant d'en tenir compte.

Lorsque trois semaines plus tard son patient faillit mourir des directives communiquées par les neurologues du Service Saïd, j'étais avec ma sœur. A sa demande expresse, malgré les risques encourus à satisfaire une telle exigence, je suis intervenu pour instituer en urgence un traitement qu'il aurait fallu faire dès son admission à Bicêtre. Devant l'urgence de la situation, je n'avais guère le choix (Cf. "Une nuit vitaminée" et 73331815 chap. IV ). De fait, ma sœur m'a par la suite avoué qu'au cas où père aurait fait un exitus au cours de la nuit, elle m'aurait accusé de l'avoir tué. Ma soeur ne m'a par la suite aucunement secondé, bien au contraire, lorsque je me suis soudainement retrouvé avec un père devenu furieux parce qu'il était revenu à lui et s'était retrouvé lourdement invalide et dépendant, avec pour le seconder une épouse (ma mère) devenue entre-temps quasi aveugle, affectée d'une double cataracte (0/10 à gauche et 1/10 ème à droite) et de surcroît devenue plus franchement alzheimerienne, quoique son bon niveau verbal ai pu, jusqu'en 1992, un instant faire douter notre l'excellent Confrère le Dr. Michel Serdaru qu'elle ait véritablement été atteinte d'Alzheimer (ancien opticien, mon père s'occupa en décembre 1990 de la faire opérer de sa cataracte). Mon père était convaincu qu'il devait la vie aux médecins hospitaliers (merci pour moi, mais on peut le comprendre. Il était dans le coma quand je l'ai tiré d'affaire, et on n'est pas prophète dans sa propre famille - ni même dans son pays, paraît-il, mais je suis Suédois autant que Français). Ils comptait même sur eux pour l'aider contre la "fine équipe" qui l'avait malencontreusement saigné en mai 1990. Je lui avais dit de porter immédiatement plainte, mais ma mère et ma soeur et ma mère s'y déjà étaient vivement opposées (elles avaient fait comme la mère de Tristane Banon vis à vis de DSK en 2003). Ma mère s'est par la suite, en septembre 1994, volontairement laissé mourir de faim à l'hôpital Charles-Foix à la suite d'une tentative de viol perpétrée le mois précédent par un malade psychotique "amoureux d'elle" alors qu'elle était hospitalisée à l'hôpital Paul Guiraud dans le service du Dr. Marcel Lapenne. Elle s'est éteinte aux premiers jours d'octobre 1994 alors qu'elle était depuis quelques semaines entre les mains de l'excellente Dr. Christiane Verny, qui avait en vain tenté de l'alimenter (commeje l'avais moi-même fait avec mon père en septembre 1990) . Les résultats d'examens post-mortem, confiés au Dr. Serdaru, ont confirmé la maladie d'Alzheimer. Sur les adjuvants possibles à l'éclosion de sa maladie, voir 109201519 html. A noter qu'en 1993, l'administration de Depakine* avait apparemment eu un effet favorable, notable sur sa présence comme sur ses performances intellectuelles, alors que les antidépresseurs d'épreuve - l'Athymil *, prescription qui fut vivement aprouvée par le Pr.François Piette - et la poly-vitamino-thérapie, étaient restés absolument sans effet en 1992. En juillet 1988, la prescription de Laroxyl* par son médecin traitant (le Dr. X n'était pas psychiatre, mais néphrologue) avait eu un effet "explosif", déstabilisent la famille au point que mon épouse, pédo-psychiatre de CMPP, imergée dans la bigoterie freudo-lacanienne, demanda le divorce ... prononcé en 1989 après 20 ans de mariage, sur les conseils irresponsables et aveugles d'un psychanalyste tout aussi lacanolâtre qu'elle, le Dr. Francis Hofstein, pour ne pas le nommer (cf. son pédigré dans "Généalogies" (Elisabeth Roudinesco, 1994).

 Divorce inattendu et hyper-traumatisant pour tous, y compris la demadeuse. Mes deux fenfants n'ont rien compris au traumatisant divorce de leur parents. Mon épouse, sur les conseils  du Dr. Hofstein, psychanalyste, s'était mise à me persécuter, prétendant que je l'avais empêché de se soigner d'une otite chronique qu'elle n'avait en fait pas, mais qui avait été diagnostiquée par le .Dr. Deboise (ORL à Paul Brousse et trésorier du Conseil de l'Ordre du 94) , qui pourrait, avait-il précisé, lui flanquer une paralysie faciale (alors que je lui avais dit qu'elle ne souffrait que d'une otite virale, conformément à ce qui était la réalité).

Instruit par l'expérience - j'ai en 1945, à l'âge de 6 ans, été très sévèrement malmené par un médicastre pervers après qu'il réussi a persuader mes parents que je vienne en son cabinet (adjacent à l'immeuble où habitaient mes parents) y subir un traitement UV préventif du rachitisme, affection stigmatisante et hantise de mes parents - et par des secrétaires ordinales (retraitées comme encore en fonction) de ce que l'Ordre des médecins protégeaient les médecins violeurs et les médecins pédophiles parce que "c'était à l'Ordre qu'ils trouvaient refuge pour s'abriter" (dixit madame V, rencontrée quai de la râpée) j'avais, en octobre 1996 averti ma consoeur Catherine Bonnet, pédo-psychiatre, de ne ne surtout pas suivre les "bons" conseils d'un Conseiller ordinal (le Pr. Breton) de signaler à l'Ordre des médecins les Confrères coupables de pédophilie. Celle-ci s'était du coup mise à croire que j'étais un des leurs et se mit non seulement à me persécuter elle même, mais à me faire persécuter et par Me Régine de la Morinerie, à qui elle avait demandé que je m'adresse, ainsi que par le Dr. Pierre Sabourin, un psychanalyste avec qui j'avais jusque-là entretenu de bonnes relations en partageant des informations sur le sujet. Du coup, celui-ci se mit à lui aussi à me tourner ostensiblement le dos. Catherine Bonnet fit dans les années suivantes trois signalements ... et fut en juin 1999 condamnée par l'Ordre à trois fois trois ans d'interdiction d'exercer. Elle en fit une très sévère dépression. Elle me demanda pardon de m'avoir fait persécuter, mais c'était trop tard, le mal était fait : Me de la Morinerie en avait profité pour se tirer d'embarras par rapport au barreau en sabotant la cause et l'action que je lui avais confiées.

Après l'agression du Dr. B. en 1945, mon caractère changea du tout au tout. J'étais soudainement devenu polyphobique et invivable. N'en comprenant vraiment pas la cause (le Dr. B. leur expliqua que c'était-là un des effets possible des UV) mon père, dépité de voir que j'étais devenu une loque au lieu de d'être l'enfant prometteur que j'avais été, l'enfant qu'il croyait avoir "fabriqué à son image" (il se prenait volontiers pour un dieu), se mit à me corriger à tel point qu'il aurait failli me tuer (selon ma mère) ... ce qui la décida de me faire changer d'air : je fus en juillet 1946 envoyé en Suède par l'intermédiaire de la Croix-Rouge (internationale?) , ce qui me sauva effectivement la vie : je pris en un mois 6 kg (de 17 à 23 kg). La famille qui me recueillit mit sur le compte de la guerre et des bombardements l' épouvante que m'inspira l'hiver de la même année une aurore boréale. Une terreur et une aurore dont je ne garde aucun souvenir, mais qui me fut racontées lorsque je suis retourné en Suède (en 1957). On me raconta alors qu'il m'avait, à l'étonnement de tous, seulement fallu trois semaines pour parler suèdois. Je le parle encore sans accent, du moins sans l'accent de la Scanie, mais l'accent de Katrineholm, qui n'est pas excatement celui de Stockholm, quoique pas très éloigné. Du coup, mon père s'était mis à apprendre le suédois Il le parla relativement bien ... avec un accent français à couper au couteau autant que l'est celui d'Eva Joly quand elle parle français. De cette éducation, je suis comme Elle resté "parano", paraît-il raison du non-lieu méprisant (et volontairement humiliant) demandé par son Excellence Michel Barrau, d'après ce que m'a rapporté le suppléant de Me Annick Dorsner -Dolivet, alors mon avocate, l'auteure d'un imposant Mémoire et d'un savant livre sur la "responsabilité du médecin" (aux éd. Economica, 2006).

Le Docteur Patrice Bodenan°°°, ami des Elmelik et protégé du Dr Christian Hervé °°°, s'était en 1992 sous l'impulsion du Dr Jean Pouillard, mis à vouloir me faire interdire d'exercice par application de l'article 460 du CSP parce que j'aurais, selon une "loi" plus conforme à la tradition déontologique qu'au Code pénal, dû empêcher mon père de porter plainte contre des Confrères. S'appuyant sur les lettres que mon père avait en 1989 adressées au Conseil de l'Ordre et au ministre de la Santé Claude Evin, que j'étais un dangereux alcoolique qui cherchait à l'empêcher de se soigner : mêmes causes mêms effets : il avait pris les élucubrations de Freud et de ses zélotes , qu'il s'était mais à lire, pour des vérités scientifiques. Elles sont encore enseignées en France, décidément "bakomhängande" (Cf. le Dr. Samuel Lepastier).

Telles sont les complications du syndrome de Sérieux et Capgras, lui-même complication des déficiences cobalaminiques, elles-mêmes complications d'une certaine "inconséquence" médicale, pour autant qu'il ne s'agisse pas  tout simplement d'incompétence ? 

En vous priant, Cher Confrère, qui contribuez (le 28/08/12, à " Continent Sciences"  sur France-Culture), à déculpabiliser les mères victimes des mortelles bigoteries bettelheimo-manoniennes, d'excuser la longueur de cette lettre, veuillez agréer l'expression de ma très grande et très confraternelle Considération.

 Pierre Cretien MD.                                                                  31/08/2012 Tel 06 78 58 96 21

P.S. << On a rien à craindre dans cette affaire - pouvait-on entendre à l'hôpital Saint-Louis en 1999 - "on" tient la presse, la médecine et la justice.>> 

Quelle "affaire ? Qui on ? Ne serait-ce pas par rapport l'affaire "CHRISTINE MALEVRE", qui sous l'égide du même Olivier Ille  a "par compassion" fait passer une qunatité invraisemeblable de malades de vie à trépas sans que son Chef de Service n'en s'en émeuve ? Ila aura fallu que ce soit sa collègue Laurence Kouyoumdjian qui en fasse le signalement !Ce qui lui aura valu d'être "remerciée".

J'ai  quant à moi  tout perdu dans cet éprouvant sauvetage. Devenu un paria à cause de la tradition omertiste du « milieu » médical et de cette embrouille "ordino-pädfilo-fraeudo-lacanienne"  .........................

The following bibliography shows that cobalamin defiency was at 1990 not already known for neurologists as often associated with HIV infections, and that vitamin B12 therapy was performative to prevent neurological degenerations. It was obviously the case I had to care since I made the remark that the Schilling test brang by itself an obvious improvment during a few days, which demonstrate cobalamin therapy works, contrary to what was Berger JR & als1987 conclusions', that « various therapies were unsuccessful » against Progressive Multifocal Leukoencephalopathy associated with HIV  (see bibliog. § 2t).

 

BIBLIOGRAPHY

 

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med.  : July 1987;107(1):78-87  78 "Progressive Multifocal Leukoencephalopathy Associated with Human Immunodeficiency Virus Infection: A Review of the Literature with a Report of Sixteen Cases"

3 - 1987 A. Munnich,  J.-M. Saudubray,  Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 -  1991 Arch Neurol;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - 1992 Arch Neurol ;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".

7 - 1993 Arch Neurol ;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"

8 - 1993JAMA ;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"

9 - 1994;Arch Fam Med 3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"

10 - 1997 J. Nutr. ;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".

11 - 1998 AIDS Clin Care ;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".

12 - 1999 Neurology ;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"

13 - 1999 Arch Neurol ;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"

14 - 2000Pe diatrics ;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"

15 - 2002 Neurology;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"

16 - 2003Revue de Médecine Interne ;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - 2003 Arch Neurol. ;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

18 - 2003  L' Encéphale, décembre Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

19 -2006 Revue Neurogique ;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

"Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection". :  

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