Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 février 2017 7 05 /02 /février /2017 20:01

Il est banal d'observer que les bébés ont instinctivement très peur des personnes en blouse blanche.

Alain Finkelkraut I (AF 1) a invité l'écrivaine Belinda Cannone et l'écrivain Denis GrozdanovItch à discourir sur la bêtise à "Réplique", titre de l'émission qu'il anime et qui est diffusée tous les samedis matin de 9 h 10 à 10 heures sur France-Culture.

AF 1 précise que Belinda Cannone est docteure en littérature comparée, romancière et essayiste et que Denis GrozdanovItch est diplômé de l'IDHEC et un grand amateur d'échecs (tout comme moi, mais pour moi il en va "des échecs dans le succès", comme le psychanalyste Jules René Laforgue l'avait dit de Napoléon - d'où le choix inconscient de mon pseudo de blog (léon, sans grand L parce que je ne suis ni un aigle même j'aime faire le Paon, comme tout le mOnde), et sans doute aussi de mon erreur au sujet du prénom de Laforgue, qui n'était Jules, mais René.

René Laforgue aurait été pétainiste sous l'occupation allemande. Vous ne voyez pas le rapport ? Moi non plus, à part que Jules fait penser à César, qui fait penser à Napoléon, auxquels Adolfus Hitler aurait aimé pouvoir se comparer.

Une identification inéluctablement vouée à l'échec, du point de vue même de la psychanalyse freudienne - et lacanienne, aurait ajouté Bernard This, puisque l'échec d'Hitler, et donc celle de Pétain, étaient inscrites. Adolfus Hitler avait en effet supprimé les deux dernières lettres de son prénom, sur le modèle de son mentor Sigismund Freud, qui paya cette suppression d'un cancer de la mâchoire, selon ses explications cabalistes et "lacaiennes" - et donc de René Laforgue, puisque pour Freud, toutes les erreurs et les confusions sont l'expression de pulsions sexuelles enfouies dans les abysses de l'inconscient, des pulsions qui chercheraient sans relâche à refaire surface, alors que ce sont plus fondamentalement celles de la bêtise, c'est-à-dire de la grégarité, qui cherchent avant tout à s'exprimer.

Jules René Laforgue est l'auteur, avec Angelo Hesnard, de "Les Processus d'Auto-punition dans les Névroses et les Psychoses", un paru en 1931 chez Denoël et Seele, et réédité en 2001 chez L'Harmattan, un livre que je n'ai pas lu. De ce psychanalyste historique j'ai seulement lu "Psychopathologie de l'échec" chez Fayot Payot,en 1941, réédité en1990 chez Trédaniel (livre devenu non grata oblige ?) J'ai dû lire dans les années 1970; Je crois me rappeler que c'est dans ce livre qu'il inclut Napoléon dans son exemple de "ceux qui échouent dans le succès" (je n'ai pas ce livre sous la main. Je l'avais emprunt à la bibliothèque municipale de Villejuif.)

  1. était dans le subconscient de Laforgue le paradigme d'Hitler, comme l'intelligence de la bêtise des autres est dans celui d'Alexandre Adler le paradigme d' Hitler ? (Cf. le "Hitler", de François Delpla, préfacé par Alexandre Adler, livre paru décembre 1999 chez Grasset, que j'ai lu sitôt paru, parce que préfacé par AA, qui se dressait contre l'idée commune qu'Hitler ait pu être considéré comme un imbécile, parce que le fait qu'un tel homme ait pu exister m'avait toujours effrayé. Je cherchais à comprendre. Je ne savais pas encore que Freud y était pour quelque. Or l'index bibliographique très fourni de ce livre me lancer sur un début, quoiqu' erroné, de la résolution du problème.
  1. avoir lu et été interloqué par ce livre, dont François Delpla avait présenté le manuscrit à son éditeur ( Grasset) en même temps que la psychanalyste Marie Balmary présentait le sien, qui traitait de la découverte d'une prétendue "erreur", commise selon elle intentionnellement, et non pas "par erreur", dans la reliure de la Bible que Jakob Freud avait offert à son fils pour son trente-cinquième anniversaire, ou de son "fils" (adoptif, selon l'exégèse, interdite, que Gabrielle Rubin a tirée de celle de Marie Balmary)

Or ce n'est pas une véritable erreur de Jakob Freud que Marie Balmary pense avoir découvert, mais une erreur dans l'explication que ses pairs lui donnaient. Ils avaient pris l'erreur pour une véritable erreur alors que c'était pour Balmary manifestement une erreur intentionnelle et significative, une "erreur" qui justifiant la thèse très contestée - parce que trop dérangeante - qu'elle avait auparavant soutenue dans son Mémoire de psychanalyste en 1979, thèse brillamment menée mais néanmoins refusée par son "patron" de thèse (le docteur Jean Laplanche, psychiatre et psychanalyste orthodoxe, mais qu'elle a heureusement osé publiée dans son non moins très brillant livre sur "Homme aux statues" ... sous-titrée "La faute cachée du père" (brillante à quelques détails près, dus, comme chez Bernard This, à une interprétation cabaliste, c'est-à-dire psychanalytique et donc erronée, pour ne pas dire, paranoïaque des noms que Freud avait "inconsciemment" donné à ses enfants, interprétation délirante stupidement reprise par Eliette Abécassis, pour faire plaisir à sa mère, dans son "roman" Un secret du docteur Freud (Flammarion, août 2014). Un secret qui cache un autre, autrement plus compromettant celui-là, au point que les "archives Freud" qui lui sont relatives en sont interdites de consultation officiellement jusqu'en 2113, .

De l'interprétation "non grata" de Marie Balmary s'est inspirée sans oser l'avouer une autre psychanalyste, Gabrielle Rubin, dans "Le roman familialm de Freud", paru en 2002 chez Payot, qui soutien et prrécise de façon encore plus dérangeante la thèse de Marie Balmary, thèses qui laissent à penser que, comme l'avait depuis longtemps compris Jacques Lacan, qui n'avait été assez bête pour le clamer sur les toits quoique tous ses "séminaires" traite du "problème", que Jacob Nathanson était ET le père ET le grand-père, par sa fille, de Sigismund Freud. Aussi s'est-elle réclamée des solides recherches de Marianne Krüll pour justifier sa thèse, Marianne Krûll étant une chercheuse plus "autorisée" par la doxa que ne l'est Marie Balmary. (Marianne Krüll, "Freud fils de Jacob", Bibliothèque de l'Inconscient, Gallimard 1984)

Peut-être Laforgue s'avait-il inconsciemment (ou pertinemment ?) que Sigismund Freud avait choisi, ce qui reste "le secret le mieux gardé du monde", ce que les frères Obermayer croient pouvoir le dire des Panama pappers, de soutenir le jeune Adolfus Hitler en 1908. D'où son mauvais bon choix en 1940.

Car Ernest Jones, grand mystificateur et bras droit de Freud-le-fabulateur, y était probablement aussi pour quelque chose, qui avait fait le même bon-mauvais choix après qu'il a rejoint Herr Professor en 1908, à l'époque où Freud avait, à la demande du bon docteur Eduard Bloch, accepté de prendre l'inconsolable Adolfus en cure analytique, pour de très bonnes mauvaises raisons (l'attente d'une très grande plus-value compte tenu de ses espérances, Freud ne s'intéressant qu'aux névrosés très fortunés. Ce que n'était pas - pas encore - le jeune Adolfus, et de qui lui et Erneste Jones ont inventé le "concept universel" de "roman familiale du névrosé et leur moins universellement génialement imbécile concept de "complexe d'Œdipe", applicable à Hamlet comme à Adolfus.

Dixit Finkelkaut << Qu'est ce donc que la bêtise et en quoi, quelle que soit notre intelligence supposée, nous concerne-t-elle ? Comme mes deux invités d'aujourd'hui, Belinda Cannone et Denis Grozdanovitch. Je suis passionné par le phénomène ou le problème de la bêtise. J'avais moi-même projeté, autrefois, de lui consacrer un livre. Mais à la différence de Belinda Cannone qui a écrit naguère " La bêtise s'améliore" et Denis Grozdanovitch qui publie " Le génie de la bêtise", je n'ai pas su aller au bout de mon projet. Ils n'ont pas calé, eux.>>

L' émission a été diffusée le matin du 28 janvier 2017.

Une sentence "populaire" tance yiakelékonkon padechance. J'étais en tant que tel donc tenté d'ouvrir très grand mes esgourdes de bécile patenté, car à bien des titres je suis très con-cerné par le padechance.

J'avais commencé par les ouvrir, mais je me suis tout de suite rendormi, pour ne me réveiller qu'à la dernière minute, si bien kva me falloir resgourder l'émission en pot de casse.

Ce que je ferai demain matin ou après demain matin ou après-après demain soir ou plus tard encore si gèle l'OTAN STIVER.

Hors de la konery* y pas de salut. Je l'avais appris de ma mère, qui en en bomme mère juive sans cesse me répétait "surtout ne te fait pas mal voir".

J'en sais kek-chose pour avoir transgressé cet interdit, évidemment oedipien, et par suite fait l'objet, pas à la façon du dormeur de La Fontaine au pied de son chêne, mais aux pieds des lits du service de neurologie du CHU de Bicêtre et de l'USN de l'hôpital CHU Charles-Foix, par des Ours blancs, puis par des Ours bruns de l'Injustice hexagonale de très lourdes coûteuses mesures de représailles.

L'intelligente bêtise de ces espèces est phénoménale. Ce sont des espèces que l'on prétend devenues plus que rare en France alors qu'elles y pilulent.

La paix des lâches procédant de la bêtise, selon Winston Churchill, je me suis retrouvé assommé par leur bêtise et ou ? par leur lâcheté ? accusé d'avoir sauvé la vie d'un malade par antisémitisme - sic, dixit madame Isabelle Pilot, porte-parole du professeur Gérard Saïd et de la direction de l'hôpital Bicêtre - en lui administrant moi-même réellement le traitement de la malade de Biermer alors que les neurologues de Bicêtre (le Service du professeur Saïd) avaient donné l'ordre au docteur Jean-Yves Beinis et à ses infirmières de ne faire que semblant de le lui administrer ostensiblement devant moi pour me faire croire qu'il souffrait de tout autre chose que de la maladie de Biermer.

  1. La maladie de Biermer résulte d'une affection stomacale responsable d'une malabsorption intestinale de la vitamine B12, et à terme d'une profonde carence cobalaminique alors que la LEMP une mystérieuse affection qu'ils avaient curieusement baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX", une qualification habituellement réservée pour désigner les rarissimes LEMP (les Leuco-Encéphalopathies Multifocales Progressives), des affections neurologiques qui font généralement suite à une affection virale non spécifique, quoiqu'assez volontiers au VIH, mais dont la cause profonde reste en réalité indéterminée cependant qu'elles conduisent les malades inéluctablement à la mort dans des souffrances effroyables, hormis les quelques cas, encore plus rares auquel le traitement de la maladie de Biermer, c'est-à-dire une vitaminothérapie B12 intensive, aurait été salvateur (Cf. blog-de-léon-bibliographie)

Avant de poursuivre, Cf. les sites 34640255 - 69970222 et 699702429 html et les précédents articles de ce blog, qui posent de manière plus tangible, abrupte et compréhensible le statut de la bêtise et de la lâcheté des ursidés.

Bibliographie indicative

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"

15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

19 - Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

Ce dernier auteur nie la validité et la pertinence des précédents concernant l'effet bénéfique de la vitamine B12 sur les LEMP. ce qui confirme que le malade en question ne souffrait pas en réalité d'une LEMP, mais de la maladie d'Alzheimer ou du syndrome NDB12PP, qui n'en est qu'une forme clinique.

ABSTRACT : The diagnosis of Alzheimer's disease is increasing, often wrongly because most doctors remain unaware of a very common pernicious syndrome, although it's very effectively treatable, if recognized in time, before the patient is so much destroyed that the case is looks as an Alzheimer's disease. This puzzling syndrome, which I had in august 1990 suspected the possibility in a clinical case which had wrongly been labeled "DTA" (Alzheimer Type Dementia), has since 2003 in France been named "NDB12PP syndrom", while in the Anglo-Saxon countries it's named "food cobalamin malabsorption syndrom". This princeps case is what inspired me to open my blog july 2009, which also inspired these thoughts on a possible source to the increasing number of patients being like him inevitably wrongly labeled "Alzheimer's disease".

Partager cet article
Repost0

commentaires