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4 septembre 2020 5 04 /09 /septembre /2020 03:09

Si vous n'avez pas regardé sur Arte le documentaire de Pierre Emmanuel Luneau Daurignac "La violence sexuelle dans le sport" regardez-le en "replay".

Il vous suffira de transposer ce qui y est rapporté à ce qui se passe en France dans un bon nombre d'hôpitaux et de Cliniques pour savoir ce qu'il en est de l'Ordre des médecins et de la "Justice" française vis à vis des violences sexuelles et des autres violences commises par des médecins, y compris des pédiatres et des psychiatres. 

Mais Michel Barrau, Emmanuel Hirsch, son frère Martin, l'Ordre des médecins et les pédophilocrates sont là qui veillent à ce que ces affaires soient étouffées.

Cf. sur ce blog l'article "Une affaire à ne pas ébruiter".

http://genocides.over-blog.com/2016/03/a-ne-pas-l-ebruiter.html

"Ne pas ébruiter" était la condition mise par le parquet de Créteil, c'est-à-dire par Michel Barrau, c'est-à-dire par le pouvoir politique, pour accepter de faire semblant d'instruire la succession des énormes  "petites erreurs d'appréciation" (dixit le docteur Patrice Bodenan) dont mon père avait été victime en mai et juin 1990 à la Clinique Léon Elmelik et après en neurologie à l'hôpital Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd après que les neurologues de son Service ont au mois d'août passé la consigne au docteur Jean-Yves Beinis, un gériatre de l'hôpital Charles-Foix, chez qui ils l'avaient fait transférer, de ne faire que semblant de lui administrer le traitement de la maladie pour laquelle il avait été hospitalisé à Bicêtre, à savoir celui de la neuro-anémie de Biermer, alors que celle-ci est à bref délai inéluctablement mortelle sans son traitement spécifique, en lui mentant sur la nature du mal qui affectait le malade qu'ils lui adressaient. Ils lui avaient fait croire  que l' ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX  (sic) qui l'affectait relevait d'une DTA (démence ce type Alzheimer) compliquant une "encéphalopathie vasculaire". 

Ci-après le fac-similé de la plaque qui a trôné une dizaine d'années, de 2004 à 2014,  à l'entrée du Square Léon Elmelik à l'Haÿ-les-Roses.

Elle servait de lieu de ralliement pour commémorer les 16 juillet la rafle du Vel-d'Hiv, mais elle a depuis 5 ans disparue, et seul subsiste le poteau porteur..

 

SQUARE DU DOCTEUR

Léon ELMELIK

(1897 – 1959)

Fondateur de la clinique de l'Haÿ

Résistant, arrêté par la Gestapo

Torturé, interné, condamné à mort. Déporté à Buchenwald

Maire-adjoint, commandeur de la légion d'honneur

 

Il n'est pas précisé sur la plaque que le docteur  Léon Elmelik avait été déclaré "Nacht und Nebel" ("Nuit et Brouillard") par l'occupant nazi, mais ça l'est dans la courte note biographique qui lui est consacrée dans un fascicule figurant à la médiathèque de l'Haÿ-les-Roses

L'article qui suit avait été mis en ligne le 23 octobre 2014 sur le "blog de leon"

Il renvoie au déclenchement du violent l'incendie qui dans la nuit du 30 juin 2002 a ravagé la mairie de l'Haÿ-les-Roses avec ses archives. Cf. "Le Parisien" qui titrait : Violent incendie à la mairie de l'Haÿ-les-Roses. www.leparisien.fr/paris-75/violent-incendie-a-la-mairie-de-l-hay-les-roses-30-06-2002..

<< Le 30 juin 2002 à 00h00

UNE TOITURE DISPARUE, des pans de murs et des fenêtres qui donnent désormais dans le vide ; l'incendie qui a touché la mairie de L'Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne) dans la nuit de vendredi à samedi a été d'une rare violence. Aucun blessé n'est à déplorer mais plus de 300 m 2 sont partis en fumée et les services municipaux sont paralysés. Les flammes ont pris vers trois heures du matin, dans les combles, au-dessus du 4 e étage, pour une cause qu'il reste à déterminer. Elles ont ensuite ravagé la toîture, alimentées par les poutres et les archives municipales ...>>

Le déclenchement de cet incendie n'a pas été élucidé. Il est mystérieux parce qu'il est survenu au beau milieu de la nuit sans raison apparente.

Un tel incendie ne pouvait pas s'être allumé tout seul. Il fallait bien que quelqu'un ait mis le feu. A moins de penser que des rats ou des souris en aient été capables. Il est cependant vrai que certaines archives étaient si brulantes qu'elles ont très bien pu s'enflammer toutes seules.

En 2004, après que les archives de la Mairie sont parties en fumées et que la mairie a été reconstruite, la Municipalité a fait élever dans le square Léon Elmelik cette nouvelle plaque commémorative à la gloire du fondateur de la Clinique Elmelik. une plaque au libellé beaucoup moins vague que celui de la plaque précédente.

L'ancienne plaque était rédigée de façon à donner à penser que le Dr. Léon Elmelik était décédé en 1944 des suites de sa déportation en tant que maire-adjoint et Résistant à l'occupation nazie.

Je me souviens d'un jour où j'avais traversé ce square – c'était bien avant d'avoir été confronté aux multiples problèmes que m'ont par la suite valu les scabreuses activités des médecins de cette Clinique, c'est-à-dire bien avant 1990.

Lisant alors la plaque commémorative qui lui était consacrée je m'étais fait cette réflexion que Dr. Léon Elmelik était mort peu avant la libération, qu'il n'avait donc pas eu l'heur de connaître la défaite des nazis alors qu'il l'avait payé de sa vie pour s'être courageusement engagé dans la Résistance.

Il était sur cette plaque stipulé que le Dr. Léon Elmelik avait été Maire-adjoint et Résistant, et qu'il était décédé à la suite (ou des suites ?) de sa déportation en 1944.

Traversant à nouveau le square après la reconstruction de la mairie, je vis en 2004 qu'une toute nouvelle plaque commémorative avait été érigée en l'honneur du Dr. Léon Elmelik.

Celle-ci était cette fois bien mise en évidence, trônant au beau milieu de la petite pelouse située de l'autre côté de l'allée où se trouve un très viel arbre de Judée classé "ARBRE REMARQUABLE" (cet arbre semble filer actuellement un bien mauvais coton. Seules quelques rares branches portent des feuilles alors qu'il était splendide il y a dix ans, après l'inauguration de la nouvelle mairie. J'en avais aussi fait la photo dans les années 1990. Je regrettai alors de n'avoir pas aussi photographié l'ancienne plaque commémorative. Je pris l'arbre et la nouvelle plaque en photo.

Le miracle et ma surprise tiennent en ceci que la nouvelle plaque commémorative stipule en lettres blanches sur fond bleu que le Dr. Léon Elmelik est décédé en 1959. Il y est aussi précisé qu'il avait été torturé, interné, condamné à mort et déporté à Buchenwald après son arrestation.par la Gestapo.

La précédente plaque ne prétendait certes pas que le Dr. Léon Elmelik était décédé en 1944, mais était bel et bien rédigée de façon à laisser entendre qu'il était décédé des suites de sa déportation en 1944, et qu'il avait été maire-adjoint précédemment à sa déportation.

Le Dr. Léon Elmelik a sans doute été déporté en 1944, et si maire-adjoint il a été, il ne l'a été que les six derniers mois de sa vie, de mai 1959 à novembre 1959, date à laquelle il serait décédé d'une longue et douloureuse maladie, d'après une courte note biographique relatif à l'histoire de l'Haÿ-les-Roses.

Il n'y est pas non plus dit qu'il s'était évadé pour échapper à sa condamnation, mais qu'il avait été déporté à Buchenwald.

En 1991 un médecin expert agréé par la Cour d’Appel de Paris m'a confié que le Dr. Léon Elmelik avait fondé la Clinique de l'Haÿ-les-Roses en 1930 grâce à la fortune de son épouse, riche héritière des principaux actionnaires d'une très grande banque industrielle et commerciale française . Il avait été jusqu'à me préciser laquelle.

Il m'avait dit que dans cette Clinique avant la guerre un manipulateur de radiologie avait trouvé la mort, électrocuté par le matériel radiologique, mais qu'on avait réussi à faire passer sa mort  pour la conséquence d'un infarctus cardiaque.

Je ne sais d'où cet expert tenait ce qu'il savait. Je n'ai pu vérifier que partiellement ses dires. Quoi qu'il en soit, ses dires s'accordaient avec ce que m'avait déjà fait savoir en septembre 1990 le docteur André Souche, de la DRPS du Val-de-Marne et en janvier 1991 le Commandant Christian Raeckelboom le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, puis deux ans plus tard le radiologue de Villejuif.

En mars 1993, un policier du même Commissariat m'avait dit que la Police en avait ''par dessus la tête'' de cette Clinique, que les plaintes pour viols qui y avaient cours y avaient effectivement cessées pendant les six mois qu'avait duré la suspension d'exercice du Dr. Jean-Claude Elmelik, une suspension que l'Ordre des médecins avait été contraint d'imposer mais que les plaintes pour viols avaient recommencé depuis qu'il avait été autorisé de reprendre son activité de médecin gynécologue. La direction de la Clinique fut récupérée par sa soeur, Edith Elmelik, médecin anesthésiste.

Ce que me raconta en suite, en 1994, le Pr. Pierre Huguenard à leur sujet était du même ordre. En m'en parlant, il explosa de colère : "Rien que d'entendre leur nom, mon sang ne fait qu'un tour ...". Il compléta sa phrase par une série de qualificatifs que je ne saurais reproduire sans choquer les lecteurs .

On se reportera à l'article sur Google  numéroté 34640255 html mis en ligne en août 2009 et à celui numéroté 108281777 html, "Théorie du complot, mythe ou réalité " – mis en ligne le 18 juillet 2012, un texte que j'avais adressé depuis la poste de l'Haÿ-les-Roses au au journal Le Figaro, à l'ex Président du Conseil Consultatif National d'Ethique le Pr. Didier Sicard (parce que celui-ci avait déjà été mis au courant et qu'il était l'auteur de "L'alibi éthique", publié chez Plon en 2006), au ministre de l’Intérieur Manuel Valls et je crois aussi au ministère de la Justice et à celui de la Santé.

A la marie de l'Haÿ-les-Roses Pierre Coilbault a succédé en juin 2012 à Patrick Sève, contraint de donner sa démission. Celui-ci a expliqué pourquoi et comment il y a selon lui été contraint. Sa lettre a été publiée dans "Le Parisien" du 9 juin 2012.

Dans cette lettre Patrick Sève se plaint de ce que Le Parisien aurait cherché à lui nuire au profit de l'UMP.

A noter dans dans la liste des anciens maires de l'Haÿ-les-Roses figure le nom d'un ami très proche des Elmelik, celui de Marc Méchain. il n'a pas été maire jusqu'en 1995, obligé de quitter la fonction en 1993.

 

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