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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 16:14
J'ai le difficile devoir d'attirer l'attention de la Justice et celle du nouveau gouvernement sur les lourds dysfonctionnements judiciaires dont avaient à se plaindre l'Inspecteur Christian Raeckelboom et les policiers du commissariat de l'Haÿ-les-Roses, dysfonctionnements qui se faisaient au bénéfice de la grande délinquance médicale, et par conséquent aux détriments des victimes.
 
En effet, lorsque mon père a été convoqué au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses  le 23 janvier 1991 pour confirmer la plainte qu'il avait porté par courrier postal le mois précédent devant le procureur de Créteil à l'encontre des médecins de la clinique Léon Elmelik l'Inspecteur, le Commandant Christian Raeckelboom, lui fit comme à moi-même, qui avais dû accompagner mon père du fait de son handicap moteur, cette stupéfiante confidence : << J'aimerais que cette affaire aboutisse,  et voir ainsi fermer cette Clinique, mais je dois vous dire, bien que ce ne soit pas dans mes fonctions (gardez ça pour vous),  que j'ai là sur mes étagères cent cinquante plaintes pour viols. Aucune n'a pu aboutir. Les actionnaires de la Clinique sont protégés en hauts lieux, ils sont milliardaires; ils peuvent y faire et y font ce qu'ils veulent. Toutes les plaintes contre eux sont bloquées au parquet >> . 
 
N'en croyant pas mes oreilles, je lui avais dit : << Des vols, il y en a dans toutes les Cliniques et dans tous Hôpitaux -
-Des viols, je dis des viols !
- Comment est-ce possible ? Qui viole qui ?
- Le Directeur. Il viole les accouchées sous anesthésie
- Le Directeur, il est gynécologue ! ... Mais s'il viole les accouchées alors qu'elles sont anesthésiées, comment peuvent-elles après savoir qu'elles ont été violées ?
- Parce que certaines se sont réveillées alors qu'il était encore en train >> ( sic  le 23 janvier 1991

C'était sidérant. Mon père avait 79 ans. Je ne pouvais comprendre que l'Ordre et la Justice puissent se faire les complices de telles monstruosités.

J'appris plus tard - fortuitement en 2002 - de la part d'une personne qui se disait parente des Elmelik (elle ne voulut pas me dire son nom au prétexte qu'il était "trop connu") qu'il n'y avait pas que les parturientes à y être violées. Elle était assise près de moi et assistait à une séance de l'A.F.P.E. (Association Française pour la Protection de l'Enfance).

La Clinique de l'Haÿ-les-Roses, propriété de la famille Elmelik, travaillait en 1990 en connivence avec le Maire de l'Haÿ-les-Roses, Marc Méchain, et le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd.

Ainsi s'expliquait que ces médecins aient pu sans être inquiétés par la justice attenter à la vie de mon père en août septembre 1990 après que ceux de la Clinique Elmelik aient profité sans se gêner de sa grande vulnérabiliré pour l'abuser et essayer de l'escroquer financièrement.

Il ressortait pourtant clairement de l'expertise du Dr. Yves Dano, remise au parquet en octobre 1997

- 1° que mon père avait été abusé par les médecins de la Clinique de Elmelik

- 2°  que c'était effectivement mon intervention qui avait permis que sa vie soit in extremis sauvée trois mois et demi plus tard alors qu'il avait été transféré à l' U.S.N. de l'hôpital Charles-Foix et était en passe d'y mourir, victime du faux traitement qu'avaient institué les neurologues de l'hôpital Bicêtre, un traitement que le Dr. Jean-Yves Beinis avait été chargé d'appliquer dans son U.S.N. malgré sa mortelle et évidente inadéquation.

Après que mon père a ainsi pu échapper à la mort, il a porté plainte.  C'est alors que l'Inspecteur Christian Raeckelboom l'a prévenu que les Elmelik étaient protégés en hauts lieux.

Mon père n'en a pas moins maintenu la plainte qu'il avait adressé le 17 décembre 1990 devant le procureur de CréteilMichel Barrau. Il l'avait à juste titre portée pour "coups et blessures volontaires, mise en danger de la vie et non assistance à personne en danger".

Malgré l'extrême la gravité des faits, sa plainte, répertoriée C 90 301 0032, fut classée sans suite, mais cette réponse l'informait de la possibilité qui lui restait de se constituer partie civile.

Son avocate, maître Catherine Scotto-Derouet insista pour que les faits soient signalés à l'Ordre des médecins.

Il s'en est immédiatement suivi que nous  (mon père et moi) avons été menacés de représailles ordinales.

Le président du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne JeanPouillard dépêcha un ami des Elmelik, le Conseiller-Rapporteur bidon Patrice Bodenan, qui nous menaça de représailles. Nous : c'est-à-dire maître Scotto-Derouet mon père et moi.

La suite montra que les avertissements de l'inspecteur Christian Raeckelboom étaient fondés : maître Annick Dorsner-Dolivet, avocate pénaliste, me rapporta que le docteur Bodenan était très influent au Palais, et que parquet était manifestement très réticent à donner suite à la plainte de mon père.

Un non-lieu méprisant, réclamé par Michel Barrau (qui sera en 2003 dépêcher pour éteindre le feu à Toulouse après que les archives de la mairie de l'Haÿ-les-Roses aient pris feu d'elles-mêmes en pleine nuit à 3 heures du matin le 30 juin 1999 tellement elles étaient brûlantes)nous fut effectivement signifié le 3 juin 1998 (Cf. www. omerta médicale et non-lieu abusif );

C'était un flagrant déni de justice formulé avec une évidente mauvaise foi. J'y étais moqué au prétexte, tout à fait infondé, que j'aurais incité mon père à porter plainte et que j'aurais fait toute une histoire de ce qui lui était arrivé alors que je n'avais fait que l'aider à réunir les preuves justifiant le bien fondé de sa plainte. Même un centième des fautes qui avaient été commises justifiait un procès, s'était exclamé en mars 1993, un neurologue très réputé de la Fédération Française de Neurologie. Il avait voulu porter l'affaire devant les médias et nous avait désigné un bon avocat (en l'occurrence maître Bernefeld) pour nous défendre.

L'Ordre des médecins, dont la raison d'être officielle est de faire respecter le code de déontologie médicale, l'avait lui-même transgressé en lon en large et en travers au bénéfice des médecins de la Clinique Elmelik et de l'équipe du Service du Pr. Saïd, qui au Comité scientifique de Médica Judaïca  en fit tout autant. 

Le 10 octobre 1997, il est soudainement apparu nécessaire à l'Association des Médecins Israélites de France (l'A.M.I.F.) et à l'Ordre des médecins de s'entendre alors qu'ils étaient depuis toujours en froid, c'est-à-dire depuis la collaboration de l'Ordre avec l'occupant nazi (une collaboration qui fut pourtant loin d'être systématique, ainsi qu'il apparaît à la lecture du livre du docteur Bruno Halioua sur la question)  

L'entente se fit dix jours après que j'ai eu une dispute avec le Pr. Saïd au sujet de ses mensonges : je venais de récupérer au laboratoire d'électrophysiologie le résultat des examens qui soi-disant n'avaient jamais été faits et de lui signaler un important article du Dr. Reynolds relatif aux avitaminoses B 12 paru en juillet 1993 dans Archives of Neurology, une Revue qu'il fit aussitôt supprimer de la bibliothèqie du CHU au prétexte qu'elle était "très mauvaise" (sic). 

Cette affaire est relatée plus longuement selon un ordre chronologique sur le site Internet n° 34640255 html et 108281777 html 

Rappelons ici plus brièvement les faits qui avaient motivés la plainte de mon père : alors qu'il n'était pas en état de subir une opération importante, au lieu de s'en tenir à une intervention anodine prévue et cotée K 20 pour le débarrasser d'un cor siégeant sur un orteil, le rhumatologue de la Clinique Elmelik (qui se faisait passer et se prenait pour un véritable chirurgien orthopédiste), s'était avanturé à lui faire subir une double opération d'alignement des avant-pieds, une opération qui ne doit pas se faire, même sur un sujet jeune et en bonne santé, à fortiori sur un sujet très amaigri de 79 ans, à la démarche chancelante, agineux et fortement hypertendu (à 24/13 ). Il était alors victimes d'épistaxis à répétitions, d'une atteinte extrapyramidale et d'une vulnérabilté psychologique évidente. Parce que bilatérale, l'opération lui fit ipso facto perdre son autonomie et tomber entre les mains des neurologues de l'hôpital Bicêtre. Ceux-ci profitèrent de ce qu'ils le savaient atteint d'une maladie mortelle, quoique facilement curable par un traitement simple, pour ne faire que semblant de le lui adminstrer. Le bon diagnostic avait été porté dès son admission aux Urgences de Bicêtre. 

La décision de ne pas faire le nécessaire avait été collectivement prise en staff à Bicêtre 1 ° parce qu'il fallait empêcher que le malade puisse porter plainte contre les médecins de la Clinique Elmelik : propriété d'un violeur en série qui satisfaisait ses pulsions sur des parturientes, il était connu comme tel par et l'Ordre des médecins et par le parquet, mais sa Clinique était très utile aux établissements de l'Assistance publique car elle débarrassait  les Services de l'A.P. des malades exposés aux contaminations VIH lors de transfusions en 1984 - 1985, malades devenus ainsi potentiellment sidaïques et 2° parce qu'en avril 1984 mon père avait fait l'objet d'une telle transfusion à l'hôpital Saint-Louis.

En falsifiant les résultats du test de Schilling et en me cachant les résultats de l'hémogramme fait aux Urgences, le Dr. Pascal Masnou, Chef de Clinique dans le Service du Pr. Saïd, avait voulu me faire croire que mon père ne souffrait pas de la maladie immédiatement diagnostiquée aux Urgences (une maladie de Biermer décompensée par des hémorragies post-opératoires) mais d'une "démence vasculaire vouée à une inéluctable dégradation" .

Devant mon incrédutlité et mon insistance à ce qu'il soit traité conformément à l'évident diagnostic porté aux Urgences, Masnou fit mine de souscrire à mon avis de faire administrer le traitement que réclamait impérativement l'état de son malade, puis missionna son Interne (Olivier Ille, le futur patron de Christine Malèvre) pour transmettre ses mortelles consignes au Dr. Jean-Yves Beinis. N'avait été l'intervention d'une de ses infirmières venue m'avertir que mon père ne recevait pas réellement son traitement, mon père serait mort dans la nuit du 12 au 13 septembre 1990 : ne faire que semblant d'administrer le bon traitement revenait à le tuer.

Après que la tentative d'assassinat a ratée, le Pr. Gérard Saïd concéda en vociférant (c'était le mardi 2 juin 1992), qu'une erreur avait effectivement été commise mais que des erreurs, il en faisait "tous les jours". De son côté, l'Assistance publique se dépêcha de créer un "Espace éthique" au sein de l'hôpital Bicêtre, qui fut ensuite transposé à Saint-Louis. Ce "machin" fut confié à un ami du Pr. Saïd, le philosophe Emmanuel Hirsch, qui trouva là un emploi certainement plus rémunérateur que celui de professeur des Lycées. Prévenu de ce que l'Ordre des médecins m'avait fait menacer de représailles par le docteur Bodenan; il s'entendit avec celui-ci et le laissa consulter le dossier du malade cependant qu'il avait donné l'ordre à sa secrétaire (madame Gauthier) de le déclarer perdu.

 Le livre du Pr. Pierre Bouche sur les neuropathies et polyneuropathies périphériques disparut mystérieusement presque immédiatement de la bibliothèque du CHU,  et en novembre 1997, le Pr. Saïd fit en personne supprimer l'abonnement de la bibliothèque du CHU à la soi-disant "très mauvause" Revue "Archives of Neurology". Plus tard la Revue l'Encéphale fut amputée de ses numéros antérieurs à 2004. Y était rapporté l'observation d'un délire de Capgras relatif à une anémie de Biermer ( Vol 29, N° 6, pp 560 - 565, décembre 2003).

Pour ce qu'elle implique et signifie, cette affaire est bien plus inquiétante que l'assassinat commis par le "gang des barbares". Les assassins n'y sont pas des malfrats reconnus et condamnés comme tels, mais des médecins se réclamant de l'éthique. Dans l'affaire Fofana, la mère de la victime et le président du C.R.I.F. estimèrent insuffisantes les condamnations prononcées eu égard aux souffrances infligées. Ils obtinrent ainsi que l'affaire soit rejugée. Qu'aurait pensé madame R. Halimi et le président du C.R.I.F. si, à la place d'une lourde condamnation, la justice avait prononcé un non lieu et s'était moqué de madame Halimi pour avoir fait de l'assassinat de son fils "tout une affaire" ?

Je remercie d'avance le nouveau gouvernement pour ce qu'il fera qui assurera au citoyens de ce pays une justice moins dépendante des forces corporatistes

  Dr.  Pierre Cretien, le 11/06/2012 , c'est-à-dire un an avant que je prenne connaissance de ce que le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normalne soit rebaptisé en 2003 en "syndrome NDB12PP", un syndrome jusqu'alors méconnu  que j'avais en septembre  1990 pu mettre en évidence en administrant effectivement à mon père, qui avait fini par  plongé dans le coma, le traitement de la maladie de Biermer, un traitement que ses médecins (dont Olivier Ille, futur Chef du Service où Christine Malèvre faisait allègrement passer ses malades de vie à trépas) n'avaient jusqu'alors fait que semblant de lui administrer. 

Ce sauvetage, réalisé en catastrophe (voir www. une nuit vitaminée et/ou site n° 108281777 html)  m'a valu les persécutions de l'Ordre des médecins et de l'hôpital Bicêtre, qui m'accusa en 2004 d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic) pour ne pas parler de celles de ma soeur, effrayée par la perspective d'un procès qui risquait de lui coûter ce qu'elle appelait "son héritage", de mon épouse et de son confrère le psychiatre Francis Hofstein, des docteurs Catherine Bonnet (qui m'en demanda pardon) et de Pierre Sabourin, en tant que psychiatres abusés par les interventions du docteur Patrice Bodenan, le rapporteur bidon. 

   

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