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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 15:29
Depuis depuis 1966, c'est-à-dire depuis la mise en service de l'usine marémotrice de la Rance, l'idée taraudait l'auteur de cet article qu'il devait être possible de récupérer   beaucoup plus économiquement et écologiquement l'énergie des marées qu'en contruisant des barrages.
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L'usine de la Rance est une réalisation remarquable. Les problèmes de corrosion marine avaient été très ingénieusement résolus. L'usine a ainsi pu être mise en service en 1966.

 

L'idée qu'une solution plus simple, plus économique, plus écologique et surtout plus efficace ne m'avait en fait jamais vraiment quittée, mais elle ne s'est présentée qu'en juin 2012, presque d'elle-même, alors que je n'y pensait pas. 

 

On pourrait presque dire que j'ai mis une quarantaine d'années à concevoir le procédé adéquat.

(Entre-temps un autre problème m'a accaparé. Expliquer comment et pourquoi les neurologues qui en août 1990 avaient mon père en charge n'avaient pas su ni surtout voulu lui appliquer le traitement que son état nécessitait pour le sortir du coma. Il avait ainsi fini par y sombrer après six semaines d'hospitalisation, après que ses médecins ont fait semblant de suivre mon avis ! C'est finalement le traitement que j'avais préconisé, que j'ai dû in extremis prendre sur moi de mettre en route qui lui a permit non seulement de sortir du coma, mais de lui faire regagner à 30/30 ses capacités intellectuelles au  MMSE  alors qu'il avait été laissé pour compte, très vite  (bien trop vite) considéré comme "irrécupérable" par ses médecins, qui l'avaient taxé d'' "atteinte diffuse du système nerveux" (sic) prétendument causée par une "encéphalopathie vasculaire" - diagnostic "officiel" figurant sur le compte-rendu d'hospitalsation - : Cf. sur ce blog l'article "Une nuit vitaminée" site n° 66972429 html et/ou les sites 73331815 html et/ou 108281777 html. Voir aussi note * en fin d'article).

 

Cette solution pour pouvoir récupérer l'énergie des marnages à hauteur de térawatts est séquentielle. Elle laisse loin derrière elle l'éolien et réalise une des meilleures solutions sinon la meilleure à ce qu'il est convenu d'appeler la transition énergétique.

Tout comme la mise au point d'un bateau ou d'un avion de ligne, sa mise au point peut être expérimentée sur un modèle plus important que celui sur lequel je l'ai testé. Il n'y a aucune raison qu'il ne puisse fonctionner en vraie grandeur aussi bien et même mieux que sur une maquette, et par conséquent à ce que la puissance qu'il pourra  de délivrer ne puisse être considérable, au point de pouvoir à terme fournir au pays de quoi se passer et du nucléaire et des énergies fossiles.

Il n'y a en effet aucune raison à ce que son rendement soit moindre que celui des usines marémotrices conventionnelles alors que son implantation n'est pas limitée par la nécessité de la présence d'un estuaire. S'agissant d'un système dont le mécanisme s'apparente au fonctionnement d'un coeur, je pense devoir vous le faire connaître avant de le soumettre à l'expertise des ingénieurs.

 La Revue Sciences et Avenir, très consciente des graves dangers que fait courrir le nucléaire, devrait s'en faire l'écho.

Dans un de ses numéros de 2012 S&A a fait état de fonctionnement du coeur articiel du Pr. Alain Carpentier. Est-ce l'article que cette revue a consacré à la mise au point de ce cœur qui m'a mis sur la voie du procédé STSMC ? Je ne le pense pas, quoique le système présente des ressemblances avec le fonctionnement d'un cœur. Un cœur dont le poids irait selon les modèles et les besoins de 90 à 9000 tonnes ! Il fonctionne un peu à l’instar d’un muscle, sauf qu’il fournit de l’énergie au lieu d’en consommer. L'acronyme STSMC en résume le mode de fonctionnement.

A la différence des barrages, le STSMC n'exige pas l'existence d'une baie. Il peut ainsi être mis en service sur des centaines de kilomètres de côtes. Il ne bouleverse quasiment pas l'écologie marine, ne dépare pas l'horizon comme le font les éoliennes tout en étant d'un rendement sans commune mesure. Il est beaucoup plus discret et sans incidence sur la circulation maritime.

La récupération se fait par un transfert séquentiel de l'énergie, qui est emmagasinée dans une sorte de muscle mécanique lui permettant de fonctionner comme une pompe aspirante et foulante, selon le cycle des marées, donc avec une fréquence d'environ deux cycles par 24 heures.

Dans son principe et par construction la maintenance du système sera beaucoup plus simple que celle exigée par le système des barrages parce que le système n'est pas concerné par les problèmes de corrosion marine, à l'abri des mauvaises conditions météorologiques.

 

Le STSMC permettra de récupérer sur une très vaste échelle l'inépuisable ou quasi inépuisable source d'énergie potentiellement contenue dans les marnages. La France et les pays qui bénéficient de côtes offrant d'importants marnages pourront de même participer à la transition énergétique. Les constructeurs d'éoliennes et les tenants du nucléaire risquent évidemment de ne pas trop apprécier .

  Le temps et l'argent risquent de me manquer pour faire connaître et reconnaître la validité de ce système, sa mise au point nécessitant une assise financière que je n'ai pas, et aussi une meilleure réputation que celle que m'a valu une précédente découverte, médicale celle-là, faite en 1990, qui s'est pourtant révélée beaucoup plus pertinente que ce à quoi je m'attendais. L'étonnant est qu'il ait fallu que ce soit moi qui la fasse alors que j'étais loin d'être le mieux placé (voir en note *). 

Pour en revenir au STSMC, le potentiel énergétique des marnages est non seulement quasiment inépuisable, il sera avec ce système, exploitable dans des conditions parfaitement écologique. Pourvu qu'il soit reconnu, ce système est voué à un grand avenir. Ne nécessitant pas l'existence d'une baie pour son implantation, les énergies récupérables par le STSMC se chiffrent pour la France en terawatts. Il sera donc capable de couvrir plus que ses besoins en énergie. Sa simplicité relative, sa puissance intrinsèque et sa discrétion visuelle sont ses principaux atouts.

J'avais tenté d'attirer l'attention des personnes qui a priori me semblaient susceptibles de m'aider à faire valoir les avantages du STSMC aux industriels capables de le développer, à savoir , M. Arnaud Montebourg, mesdames Delphine Batho, Fleur Pellerin, Anne Lauvergeon, ClaudIE Haigneré, Geneviève Fioraso. A ma surprise, je constate ce jour en visitant le site innovation 2030 que ces sont ces personnalités qui précisément cautionnent le CMI cependant qu'elles n'ont pas daigné répondre à mes sollicitations. Il ne faudra donc pas s'étonner que d'autres pays comme le Canada ou l'Angleterre puissent s'y intéresser bien avant 2030, les problèmes soulevés par la mise au point du STSMC de grande capacité pouvant être assez rapidement résolus.

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Note * :  L'hypothèse que j'avais formulé à la mi-août 1990 au sujet de l'affection qui minait mon père s'était révélée beaucoup plus pertinente que ce à quoi tout le monde pouvait s'attendre.

L'état de mon père avait été promis par les neurologues à une rapide et inéluctable dégradation. De fait, trois semaines après qu'ils l'ont fait tranférer à l'hôpital Charles-Foix, mon père sombra dans le coma. Il était alors tout près de mourir. Avec la permission de ma soeur, pour ne pas dire à sa demande expresse, je me suis décidé à mettre en application le traitement que depuis cinq semaines j'avais réclamé pour mon père. Le docteur Pascal Masnou l'avait refusé tout en donnant l'ordre d'administrer un faux-semblant. Je lui avais pourtant clairement exposé toutes les raisons qu'il y avait à le mettre en route. Il avait fallu que ce soit moi qui fasse la bonne interprétation de ses très compliqués désordres neurologiques alors que j'étais loin d'être le mieux placé pour la faire.

J'avais conjecturé qu'il devait exister des carences vitaminiques B12 avec test de Schilling normal et vitaminémie "normale" mais masquées, qui devaient par conséquent relever du même traitement que celui normalement dévolu à la maladie de Biermer. Mon raisonnement s'était révélé beaucoup plus pertinent que ce à quoi je m'attendais quand je l'ai mis à l'épreuve (des publications plaidaient en ce sens, en pariculier depuis 1978 celle  de Kolhouse et al.

 (1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".)

A la stupéfaction générale, mon père récupéra ses facultés intellectuelles alors qu'il avait été étiqueté "irrécupérable" (voir site n° 69972425 et 108281777 html). Cela étant, sa résurrection n'a coûté extrêmement cher. Elle avait été à l'encontre de présupposés erronés qui avaient cours depuis près d'un demi siècle, des présupposés qui ont depuis dû être révoqués. Mais à l' époque, mon affirmation avait paru ridicule aux yeux des neurologues de Bicêtre, avant de les contrarier  après qu'il se sont aperçu que j'avais raison, eux qui n'avaient pas su ni voulu voir la réalité. Ils l'avaient obstinément refusée alors qu'elle était évidente, tout au moins pour moi avant de l'être pour l'infirmière qui m'avait fait savoir qu'ordre avait été donné par son Chef de Service de ne faire que semblant d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer. Après que j'ai été averti de ce que mon père ne recevait pas réellement le traitement de cette maladie, je l'ai mis moi-même en route, ce qui avait permis au malade de sortir du coma et de regagner 30/30 au MMSE Sa résurrection avait surpris tout le monde, à commencer par moi, tant mon père était mal en point quand je suis intervenu. Au moins cinq semaines s'étaient écoulées avant que ne le mette en route. Mon père avait été hospitalisé pour ce qui était supposé être une démence sénile. Avant qu'il ne sombre dans le coma, le MMSE étant tombé à 22/30. Un diagnostic d'atteinte diffuse du système nerveux (sic) sur fond de malade d'Alzheimer  avait été porté. Déconcertés par sa resurrection obtenue après que je lui ai moi-même administré le traitement normalement dévolu à la maladie de Biermer, alertés, les internistes ont fini par admettre que de telles erreurs "d'étiquetages" devaient avoir été fréquentes par le passé. Après que mon intervention a mis cette effroyable confusion en évidence, j'ai attiré l'attention des confrères sur le problèmùe. L'estimation de la prévalence de maladie de Biermer dans la survenue des carences vitaminiques B12, qui était de 80%, est ainsi tombée à 30%. Il est désormais reconnu que 60% des carences vitaminiques B12 sont en fait dues à ce qu'il est depuis 2003 convenu d'appeler le syndrome NDB12PP, c'est-à-dire depuis qu'il n'est plus possible d'en appeler au test de Schilling . Cf. article de la Revue de Médecine Interne "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients" (2003; 24 (4): 218-223).

Mais on s'est bien gardé par la suite de citer ma contribution dans cette révolution conceptuelle, qui permet à de nombreux malades d'échapper au diagonstic érroné de maladie d'Alzheimer alors qu' ils relèvent d'un traitement simlpe et salvateur.

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